En ce monde rien n’est certain, hormis la mort et l’impôt" assurait Benjamin Franklin. L’histoire universelle et millénaire de l’impôt, de l’Égypte pharaonique aux paradis fiscaux contemporains en passant par la Chine impériale, la France de Louis XIV et l’Amérique de la prohibition, se confond avec l’Histoire des États. Dans cette émission, Eric Anceau, auteur d'une "Histoire mondiale des impôts" parue chez Passés composés, nous fait partager une nouvelle histoire de la construction de l’État, un récit aussi passionnant que divertissant d’un sujet omniprésent.
l'information nationaliste - Page 1063
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Le Nouveau Passé-Présent avec Éric Anceau : Une histoire mondiale des impôts
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Viktor Orbán menace de mettre son veto à l'ouverture des négociations d'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne
Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán exerce une pression croissante sur l'Union européenne (UE) en menaçant de mettre son veto à l'ouverture des négociations d'adhésion de l'Ukraine. Cette position survient dans un contexte où, après un an de conflit avec la Commission européenne concernant l'État de droit en Hongrie, une partie des fonds de cohésion européens suspendus a été récemment débloquée en réponse aux réformes judiciaires à Budapest. Toutefois, lors du sommet européen dédié au lancement des négociations d'adhésion de l'Ukraine et à un soutien financier de 50 milliards d'euros, Orbán reste fermement opposé à l'adhésion ukrainienne, nécessitant l'unanimité des 27 membres de l'UE. Sa récente rencontre avec le président français Emmanuel Macron à l'Élysée n'a pas modifié sa position.
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Darmanin, entre Tartarin et Torquemada
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L’immigration zéro ou la fin de la civilisation universaliste française !
L’immigration zéro ou la fin de la civilisation universaliste française !
L’immigration fait l’objet d’une foire d’empoigne très animée entre le gouvernement et les partis et cependant on en reste à la superficie des choses sans que presque personne parmi les animateurs de plateau ( mis à part Naulleau sur Cnews) n’évoque les intérêts économiques qui sous-tendent l’enjeu, en dernière instance, de l’immigration. Naturellement, les patrons en sont les chauds partisans et le font savoir, révélant son mobile économique ultime.
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Royaume-Uni. Expulsion des clandestins vers le Rwanda : le nouveau projet de Sunak sera-t-il enfin le bon ?
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Pourquoi ils nous trahissent
Chronique de Paysan Savoyard
(n° 309 – Décembre 2023)
Notre pays est envahi parce que nous sommes trahis. La classe dirigeante laisse s’opérer depuis soixante ans maintenant une immigration massive. Elle ne tente rien pour l’empêcher : elle l’accompagne et l’organise. Pire encore, une partie de la classe dirigeante la souhaite, la suscite, l’encourage. Nous parlerons ici pour l’essentiel de la France et de sa classe dirigeante, mais le diagnostic vaut également sans doute pour la plupart des pays de l’ouest européen.
Face à ce phénomène sans précédent historique, qui va très probablement aboutir à la destruction de notre pays, de notre peuple et de notre civilisation, cette question se pose : pourquoi ? Pourquoi ce comportement incroyable de la classe dirigeante française, politiciens, hauts fonctionnaires, juges, principaux journalistes, dirigeants des grandes entreprises ? Qu’est-ce qui les fait agir de façon aussi contraire à ce que l’on attend normalement des gouvernants ? Quelles sont les motivations de ces dirigeants pour mener une politique de trahison aussi folle et criminelle ? Nous avions déjà approché le sujet dans une précédente chronique, mais il n’est pas inutile d’y revenir.
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Autopsie d’un désastre I Jean Dominique Michel
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Tout le monde déteste la République
Par Philippe Germain
Depuis que l’école d’Action française a repris du poil de la bête (immonde, cela va de soit !), il est notable que ce qui a interloqué la presse télévisuelle, c’est son slogan, scandé à plein poumons dans les rues de Paris : Tous le monde déteste la République.
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La CEDH sur la sellette
Le gouvernement, plus exactement le chef de l'État, a choisi une voie, qu'il imagine imparable, pour répondre à la motion de rejet votée par l'Assemblée nationale. On s'achemine donc vers la procédure, parfaitement constitutionnelle, de la réunion d'une commission mixte paritaire de 14 membres. Elle sera composée de 14 membres, soit 7 sénateurs et 7 députés. On annonce par exemple la participation de Bruno Retailleau, défenseur du projet sénatorial, au total 4 macroniens, 1 modem, 1 sénateur union centriste, 4 LR, 2 socialistes 1 RN, 1 LFI. À suivre évidemment.
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Nos gentils voisins ukrainiens
Nota : ce texte est traduit d’un article paru en Roumanie
Quelques motifs pour ne pas plaindre les Ukrainiens
En 1918 ils ont souhaité officiellement l’annexion de la Bessarabie et seule la présence de l’armée roumaine, soutenue par la France et la Grande Bretagne, les a obligés à retirer leur demande.
En 1945 ils ont réitéré leur demande mais ont été obligés d’annuler encore une fois, sur pression de la part de Staline (cette demande était en contradiction avec les accords de Yalta).
En 1992 ils ont participé à la guerre en Transnistrie, aux côtés des troupes russes et contre les roumanophones, dans le but d’obtenir la séparation de cette région pour ensuite l’annexer (dans la suite de leurs demandes concernant la Bessarabie)