
Dans ces colonnes, Georges Michel a dénoncé l'entêtement inquiétant de nos gouvernants, en France et dans l'Union européenne, à vouloir toujours plus d'immigration et à vouloir nous l'imposer, en dépit du ras-le-bol des peuples. Eh bien, au lendemain de l'enterrement du jeune Thomas, au lendemain des émeutes anti-migrants en Irlande, au lendemain de la victoire aux Pays-Bas du parti anti-immigration, il s'est trouvé un ministre d'Emmanuel Macron et d'Élisabeth Borne pour venir tranquillement réclamer à la radio 100.000 ou 200.000 immigrés de plus, pour les dix ans qui viennent.