Retour sur la genèse de l’hôpital général et les dessous du scandale qui a ébranlé le trône en 1750. Rencontre sur l’antenne de radio Courtoisie avec Daniel Habrekorn.
Emission du 22 février 2018
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Retour sur la genèse de l’hôpital général et les dessous du scandale qui a ébranlé le trône en 1750. Rencontre sur l’antenne de radio Courtoisie avec Daniel Habrekorn.
Emission du 22 février 2018
Lu dans Le Bien Commun :
par Dmitry Orlov
Plus de 18 mois se sont écoulés depuis le lancement de l’opération militaire spéciale (OMS) de la Russie, dont les objectifs déclarés sont les suivants :
Depuis lors, l’Occident collectif a fait un certain nombre de choses pour aider la Russie et pour se nuire à lui-même. Les sanctions antirusses, par exemple, ont permis d’atteindre de nombreux objectifs : elles ont débusqué une grande partie de la «cinquième colonne» russe et l’ont poussée à quitter le pays ; elles ont incité de nombreuses entreprises occidentales à cesser leurs activités en Russie, en vendant leurs actions à des sociétés russes à des prix défiant toute concurrence ; le refus d’accès au réseau bancaire SWIFT et les attaques spéculatives contre la monnaie russe ont isolé la Russie de l’Occident sur le plan financier et ont mis un terme à l’expatriation des bénéfices et à diverses formes de fuite des capitaux, freinant l’inflation dans la plupart des secteurs (à l’exception des véhicules de tourisme) ; et les bouleversements considérables que les sanctions, ainsi que la destruction du gazoduc Nord Stream ordonnée par Biden, ont provoqués sur les marchés mondiaux de l’énergie, ont fait grimper les recettes d’exportation de la Russie dans une mesure tout à fait embarrassante.
Macron est, paraît-il, furieux que nos services de renseignement n’aient pas prévu le coup d’Etat au Niger. De même, il cherche toujours à comprendre les causes des émeutes du début juillet 2023, comme si l’épisode des Gilets jaunes ou la résistance à la réforme des retraites avaient été mieux anticipés. En fait, en élisant un jeune ambitieux incompétent et inexpérimenté, un séducteur dont les tours sont maintenant connus et déjoués par tout observateur un tantinet clairvoyant, les Français ont mis à la barre pour affronter des tempêtes un marin d’eau douce, un gamin qui avait appris la navigation sur internet, qui ne comprend plus rien dès qu’il est au large, même par temps calme, et se trouve désemparé quand la mer est démontée.
Deux sondages viennent de tomber sur les rapports des Français avec l’immigration mais surtout avec la gestion de celle-ci par les autorités publiques.
Un sondage de l’Institut CSA pour Cnews explique que 61% des français veulent l’arrêt des subventions publiques pour les ONG pro-migrants. Ce chiffre monte à 73% dans la classe d’âge des 18-24 ans, ce qui est assez surprenant quand on sait que cette tranche sort tout juste des bancs de l’école où on lui a consciencieusement bourré le crâne à grand renforts de manuels scolaires fortement connotés idéologiquement. Sans surprise en revanche, l’idée de couper le robinet de l’argent public est davantage soutenue chez les CSP- (65%) que chez les CSP+ (55%) : il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que les classes les moins aisées ont bien plus à souffrir et endurer des conséquences d’une politique migratoire ultra-laxiste.