En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Jeudi 28 mars, les services de police de Perpignan ont mené une opération dans un immeuble du quartier de la gare. Onze appartements étaient squattés depuis plusieurs mois.
Quatorze personnes en situation irrégulière ont été délogées d’un immeuble de Perpignan, ce jeudi 28 mars. Au cours de la matinée, une opération de sécurisation « anti-squat » a été menée par la police nationale et la police municipale, rue Oliva, dans le quartier de la gare.
Soudainement, le président de la République et le Premier ministre semblent découvrir le déficit public de la France ! Panique à bord, réunion de crise à l’Élysée… Le déficit public devrait passer à 5,7 % du PIB en 2024 et à 5,9 % en 2025. Voilà qui est pour le moins inquiétant car ils sont aux affaires depuis sept ans et ont donc laissé filer la dépense publique « à l’aveuglette ». D’après un article de Toute l’Europe (21/2/2024), le déficit moyen de l’ensemble de l’UE se situe à 2,8 % du PIB. Le Danemark, Chypre, le Portugal et la Croatie ont un excédent de plus de 2 %. L’Allemagne est proche de l'équilibre, avec un déficit de 0,9 % de son PIB. Il n’y a donc pas de fatalité.
Une semaine après avoir remporté une victoire sanglante sur l’armée russe à la bataille de Borodino, la Grande Armée de Napoléon Bonaparte entre dans la ville de Moscou, mais la population est évacuée et l’armée russe recule. Moscou était le but de l’invasion, mais il n’y avait aucun officiel tsariste dans la ville déserte pour demander la paix et pas de réserves de nourriture ou de ravitaillement pour récompenser les soldats français de leur longue marche. Puis, juste après minuit, des incendies ont éclaté dans toute la ville, apparemment déclenchés par des patriotes russes, laissant ainsi la gigantesque armée de Napoléon sans moyens pour survivre à l’hiver russe à venir.
L'Éducation nationale est un champ d'observation privilégié des dérives et des délires gouvernementaux. Ce ministère qui, il y a encore trente ans, attirait des dizaines de milliers de candidats subit, désormais, une crise de recrutement sans précédent, et à tous les niveaux, primaire comme secondaire. Une grande partie des postes mis au concours ne sont pas pourvus et, dans les académies déficitaires (Versailles, Créteil), on est contraint de baisser le niveau en puisant dans les listes d'attente et en organisant des « seconds concours ». Une crise de recrutement ne se résout jamais d'un coup de baguette magique, à l'armée, l'hôpital ou dans les collèges et lycées. La sagesse élémentaire aurait donc dû conduire le ministère à ne pas accroître les besoins d'enseignement, vu la pénurie de profs. Eh bien, non, au pays des énarques et des inspecteurs des finances, au pays de Gabriel Attal, l'Éducation nationale, à son initiative, a décidé d'une réforme (les groupes de niveau en collège) gourmande en moyens et en postes ! Un État en faillite ne devrait pas faire ça.
Une controverse inutile est apparue à propos de l’avis émis par l’ambassade américaine à Moscou le 7 mars, selon lequel “des extrémistes ont des plans imminents pour cibler les grands rassemblements à Moscou, y compris les concerts” et avertissant les citoyens américains d'”éviter les grands rassemblements“. Cela a pris la forme d’une querelle diplomatique et, au moins momentanément, l’affirmation américaine selon laquelle ils avaient partagé des “informations” avec les Russes a laissé entendre que les agences de sécurité de Moscou étaient ineptes, tandis que les Russes ont répliqué en disant que les Américains n’avaient rien transmis de spécifique ou d’exploitable.
Pompiers, infirmières, facteurs… ces professions assurant des missions de service public éprouvent de plus en plus de difficultés à exercer leur métier avec sérénité dans les quartiers de Marseille placés sous l’emprise des trafiquants de drogue.
La scène est restée gravée dans la mémoire de Myriam [Le prénom a été changé], infirmière à l’hôpital public chargée de s’occuper de patients à domicile. «J’étais entrée dans une pharmacie de quartier pour acheter un médicament avec un collègue. Un jeune est arrivé en scooter et nous a lancé : “Qu’est-ce que vous voulez ?”On lui a tenu tête, et il a fini par partir. Mais que se serait-il passé s’il avait eu un couteau ?», se remémore-t-elle avec colère.