
Une fusillade a éclaté ce mardi soir dans le quartier du Chemin-Bas-d’Avignon à Nîmes. D’après les informations de Valeurs actuelles de source policière, au moins cinq personnes ont été blessées, dont une grièvement.
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Une fusillade a éclaté ce mardi soir dans le quartier du Chemin-Bas-d’Avignon à Nîmes. D’après les informations de Valeurs actuelles de source policière, au moins cinq personnes ont été blessées, dont une grièvement.
Voilà le discours que Patrick Jardin devait lire devant les invités du Rassemblement Vendéen, ce dimanche 14 avril. Pierre Cassen, qui animait la journée, lui a amicalement conseillé d’improviser son discours, ce qu’il sait faire remarquablement, plutôt que de le lire. Ce que Patrick a fait. Mais voilà ce qu’il avait prévu de dire, et qu’il faut lire, tant ce récit de Patrick par ailleurs bouleversant, fourmille d’anecdotes révoltantes.
Je me nomme PATRICK JARDIN. Je suis un ancien chef d’entreprise associé avec mes frères dans une entreprise de location de voitures : « France Cars ». Cette société, créée en 1952 par mon père, a commencé à se développer régionalement, puis en 1979, mon père nous a vendu l’entreprise. A l’époque, la société possédait 350 véhicules. Avec mes frères, nous avions tellement peur du dicton – comme quoi il y a une génération qui gagne de l’argent et une autre qui le dépense – que nous n’avions qu’un seul et unique but : développer ce que notre père avait créé. Je dois dire que nous avons bossé comme des fous jusqu’en décembre 2016, date à laquelle nous avons cédé l’entreprise à un énorme groupe américain « Avis ». A cette date, l’entreprise comptait 27 500 voitures, 585 personnes et 95 agences dans toute la France. Pourquoi l’avoir cédée ? Simplement parce qu’après avoir vécu le décès de mon épouse, puis le terrible drame du 13/11/2015, j’avais perdu l’envie de me battre. De plus nous étions atteints également par la limite d’âge. Enfin aucun de nos enfants ne pouvait reprendre le flambeau, car cela aurait été très compliqué de payer leur part aux autres associés. De plus et c’est sans aucune honte que je le dis, avec le Covid qui s’en est suivi, nous n’aurions pas eu la trésorerie suffisante pour indemniser nos 585 employés et laisser nos 27 500 véhicules sur les parkings, sans pouvoir les faire tourner. De ce côté-là nous avons eu une chance extraordinaire sinon nous aurions été contraints de déposer le bilan !
Mathilde Fontez, rédactrice en chef au magazine scientifique Epsiloon, a tenu des propos qui pourraient prêter à confusion.
Combat royaliste 18
Par Philippe Germain
L’État européen de 2024 repose sur quatre piliers : une classe sociale, une idéologie, la croissance et une métapolitique. L’instrumentalisation de la peur sanitaire et du populisme, au profit de l’Europe, est réalisée par l’oligarchie technocratique. Depuis Charles De Gaulle, ces gestionnaires-contrôleurs ont pris de plus en plus d’importance. Avec Emmanuel Macron, ils contrôlent le pouvoir politique à la place des notables du système des partis et donc ils renforcent le pays légal. Douée en communication, arguant de l’expertise, occupant de prestigieuses fonctions, l’oligarchie technocratique profite des énormes moyens de l’État providence républicain et de l’État supranational européen. C’est pourquoi le pays légal technocratique veut finaliser l’Europe. C’est une clef de la démonstration maurrassienne : le pays légal se perpétue en désorganisant le pays réel.
Le bourgmestre de Saint-Josse-ten-Noode, Emir Kir, a pris mardi midi un arrêté de police avec effet immédiat afin d’annuler la conférence à laquelle ont été conviés plusieurs nationalistes conservateurs européens dans une salle de la commune, le Claridge.
Le Figaro : « Les premiers coups de feu ont déchiré Khartoum au petit matin du 15 avril 2023. L’affrontement entre l’armée et une milice était presque attendu, tant les nuages s’étaient accumulés depuis des mois, annonçant la tempête. Alliés de circonstance pour d’abord détrôner, en 2019, le vieux despote Omar el-Béchir puis pour accaparer le pouvoir aux dépens des civils, le général Abdel Fattah al-Burhan, chef de l’armée et président, et son ancien vice-président le général Mohammed Hamdan Dagalo, dit Hemedti, à la tête des puissantes Rapid Support Forces (RSF), n’ont jamais caché leurs ambitions […] Pour autant, nul ne s’attendait à ce que l’affrontement dure si longtemps ni s’étende à presque tout le pays, jetant 8,6 millions de civils, soit 16 % des Soudanais, sur la route selon les données de l’ONU. »
Dans La France au bord de l’abîme, déjà évoqué ici, l’auteur aborde le cas de l’Union européenne :
L’Allemagne s’accommode de l’UE et de ses élargissements successifs parce que la monnaie unique lui convient bien compte tenu de ses gains de productivité, et parce que l’élargissement à l’Est lui a ouvert l’accès à un vaste réservoir de main-d’oeuvre qui lui permet de compenser sa faible natalité.
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Après la riposte de l’Iran sur Israël samedi et l’envoi de plus de 200 drones et missiles, quel impact sur les grands indices mondiaux, les cours du pétrole ou du gaz ?
C’était le sujet logique de l’écorama d’hier.
Alors quelles conséquences économiques ?
Simple. Si Israël ne riposte pas à la riposte, il ne se passera rien de significatif.
Si Israël riposte de manière significative à la riposte iranienne ce qui est mon scénario privilégié, alors il y aura un risque évident d’emballement et d’embrasement sous forme d’une spirale et donc d’une guerre totale.