
Face au manque de personnel, les associations du secteur reconnaissent faire appel à des gens sans vérifier leurs antécédents, une situation qui s’est aggravée avec le recours accru à l’intérim. Un nouveau système de vérification des antécédents judiciaires des intervenants expérimenté dans la Petite enfance et l’Aide sociale à l’enfance a déjà permis d’écarter des profils potentiellement dangereux.