Qui osera dire que l’islam, d’une façon ou d’une autre, plus ou moins discrètement, ne s’impose pas dans notre espace public, notre vie quotidienne et, parfois même, dans l’actualité la plus tragique ? Ce qui s’est passé, ce mercredi 5 novembre, à l’Assemblée nationale, lors de la séance des questions au gouvernement, en est le symbole le plus frappant.








