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  • La gauche réécrit l’histoire de la France mais aussi celle de papa et maman

    Il est une tendance à gauche qui a toujours existé et qui ne s'altère pas avec le temps c'est le désir permanent de traiter ses ennemies politique de collabos. Or l'histoire nous a démontré que les pires collabos sont tous issus de la gauche. Cela n'empêche pas les socialistes d'aujourd'hui de nous faire la morale en laissant entendre que le dicton « tel père tel fils » se vérifie tout le temps. Ainsi, ils n'ont de cesse de reprocher à Marine d’être la fille de son père. Y aurait-il une honte à cela ? A ma connaissance Jean-Marie Le Pen n'a pas collaboré avec l'ennemie. C'est d'ailleurs pour cela qu'il est attaqué sur ses propos et non sur ses actes. Ils tentent de faire la passerelle impossible qui consiste à dire que si JM Le Pen fait des calembours sur les chambres à gaz c'est donc qu'il aurait exterminé des juifs s'il avait vécu à cette époque. C'est donc qu'il est un nazi. C'est donc que sa fille Marine aussi puisqu'elle ne se démarque pas de son père et qu'elle est même fière d'être sa fille.

    La gauche est si soucieuse de salir ses adversaires politiques par la méthode de « filiation honteuse » qu'elle éprouve le besoin pour ne pas être « touchée » aussi par un éventuel effet boomerang de réécrire l'histoire. Ainsi lorsqu'on a eu un un ancêtre collabo il est de bon ton de lui inventer un passé de résistant. De même que si un grand résistant reconnu de tous n'est pas issu de la gauche on va essayer de se l'approprier. Personne ne vous dira que si Jean Moulin vivait de nos jours il serai membre du FN.

    Pour toute ces raisons les acteurs politiques de la gauche, qui n'ont plus le talent qu'avait Mitterrand, essaye de donner maladroitement le change. Ainsi Manuel Valls avait menti sur le passé prétendument anti-franquiste de son père : Comme le révèle AgoraVox, il est difficile de comprendre comment un fils dont le père aurait fui le franquisme en 1949 aurait pu naître à Barcelone en 1962.

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/manuel-valls-s-est-il-invente-un-117234

    Cela ne veut pas dire que le père a collaboré avec Franco, il n'en est sans doute rien. Mais cela veut aussi peut-être dire que la famille n'a pas été persécuté et que le petit Manuel a embelli l'histoire pour la rendre crédible. Mais pourquoi chercher trop de crédibilité ? Celle qui est naturelle devrait suffire. A trop se victimiser on en devient suspect. Et lorsqu'on est suspect c'est là qu'on vous cherche des poux dans la tête. Il a fallu que Manuel Valls entre au gouvernement pour qu'une photo sorte du placard. Sur celle-ci Manuel Valls apparaît sympathisant avec un néo-nazis (qui a confirmé lors d'une interview bien connaître Valls). De quoi apporter une certaine gêne et de l'eau au moulin de ceux qui pensent que Valls est nazis.

    http://www.enquete-debat.fr/archives/jt-intelligent-n11-manuel-valls-et-terry-cooper-42009

    Les choses ne s'arrangent pas lorsqu'on découvre qu'un proche parmi les proches du nouveau premier ministre s'est lui aussi « arrangé » avec l'histoire. Là aussi, une histoire qui n'intéressait personne resurgit au moment même où François Rebsamen entre au gouvernement. Celui que Valls voulait voir lui succéder au ministère de l'intérieur aurait menti délibérément sur le passé de son père, qui aurait été un collaborateur nazi. Voir les révélations et les documents du site Enquête et Débats :

    http://www.enquete-debat.fr/archives/francois-rebsamen-a-menti-a-propos-de-son-pere-qui-etait-bien-collabo-78696

    Il nous révèle qu'en avril 2001, François Rebsamen, fraîchement élu maire de Dijon, accorde une interview à l’Express dans laquelle à la question « votre père a -t-il été collaborateur », il répond :

    « Non. C’est une rumeur que fait courir la droite à Dijon depuis que j’y suis candidat. Il se trouve que la famille de mon père est originaire d’Alsace, de la région de Mulhouse-Bâle, précisément. Pendant la Seconde Guerre mondiale, mon père, pour ne pas être enrôlé dans l’armée allemande, a choisi de prendre la nationalité suisse. C’est tout. »

    L'interview (dans laquelle François Rebsamen confirme aussi son appartenance à la franc-maçonnerie) est pour l'instant toujours en ligne ici :

    http://www.lexpress.fr/informations/interview-francois-rebsamen_642151.html

    Enquête et Débats démontre documents à l'appui que François Rebsamen a menti et que son père n'a pas dû fuir en Suisse pour ne pas être incorporé dans la Wehrmacht en tant qu’alsacien mais que au contraire, il s’est enfui en Suisse à la suite d’un avis de recherche pour collaboration. Une photo de lui en tenue d'officier allemand est même publiée.

    père-rebsamen

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Encore une fois, le fils n'est pas responsable des actes du père mais cela commence à faire beaucoup. François Rebsamen est un ami de Manuel Valls, les deux hommes ont de près ou de loin des sympathisants national socialistes qui gravitent dans leur espace, ils ont des liens avec les loges maçonniques, ils considèrent que critiquer le sionisme s'est faire de l'antisémitisme.

    Je n'oublie pas que les hommes qui ont mis en place le national socialisme étaient des socialistes. Les dictatures sont toujours socialistes. Les illuminatis (qu'ils soient nazis ou soviétiques) qui ont été capable de massacrer leur propre peuple pour le forcer à émigrer n'ont pas de scrupules et sont capable de tout.

    Lorsque je vois la dictature instaurée petit à petit par l'UE et la gauche en France, je pense qu'il est temps de tirer la sonnette d'alarme.

    Valls et Rebsamen n'ont de passeport argentin. Enfin j'ai l'espoir que non (je sais que vous ne comprenez pas le sens de cette dernière question. Mais cela viendra).

    chris

     

     
  • Poursuite contre les États : des règles cachées dans l'accord transatlantique (VOSTFR)

  • L'Union européenne est un système antidémocratique

    L'eurodéputé britannique Nigel Farage, président du parti anglais UKIP, déclareà Valeurs actuelles à propos de l'UE :

    «c’est un système antidémocratique, conçu pour être antidémocratique (…) d’ailleurs, je ne pense pas que quelqu’un comme Catherine Ashton, ou Herman Van Rompuy représente l’Europe. Je ne pense pas que le drapeau européen représente l’Europe, je ne pense pas que l’hymne européen représente l’Europe. L’Europe est leur création, pensée en haut d’une tour d’ivoire. Mais ce n'est pas ça, l’Europe ! Nous voulons une Europe des démocraties indépendantes et souveraines (…)».

    A propos d'Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen :

    «c’est un homme dont personne n’a jamais entendu parler, qui n’a pas été élu, et mieux payé qu’Obama. Il est un tout petit peu plus connu maintenant qu’il y a cinq ans, mais vous savez, sans mes interventions et youtube, personne ne saurait qui c'est. Plus sérieusement (…) j’ai rencontré des hommes politiques français, qui croyaient en l’Union européenne, et qui ne savaient même pas son nom !».

    Sur les prochaines élections :

    «Ce sont les premières élections européennes qui comptent réellement. Depuis 1999, c’était un petit événement. Mais grâce aux mouvements eurosceptiques, c’est devenu très important. Je pense que nous allons voir le Parlement européen avec de nombreux députés eurosceptiques. Est-ce que ça changera quelque chose ? Peut-être que le Parlement pourra résister un peu mieux aux législations et aux lois qu’on nous impose».

    Michel Janva

  • Renaud Camus : Mon message est simple, je ne « l’adapterai » pas !

    Entretien avec Renaud Camus:

    Renaud Camus, vous venez d’être condamné à 4.000 euros d’amende et à 500 euros de dommages et intérêts pour « provocation à la haine raciale ». Dans quel état d’esprit êtes-vous aujourd’hui ?

    J’ai surtout été dans l’incertitude quant aux suites à donner à cette condamnation. Mon instinct me dictait de ne pas en faire appel. Je peux encore écrire des livres, même si je dois les publier moi-même. Je peux m’exprimer ici ou là, et notamment ici, grâce à votre hospitalité. Le débat, Dieu merci, n’a pas pour seul terrain les cours de justice. En première instance, j’ai été traîné devant les tribunaux par le MRAP, je n’ai pris aucune initiative. Si je fais appel, en revanche, j’ai l’air d’admettre que mon honneur, le point de savoir si j’ai raison ou tort, si ce que je dis est la vérité ou pas, dépend du système judiciaire. Or, ce système, il est partie intégrante du système général, de ce que j’appelle le pouvoir remplaciste. Ce serait une illusion complète que de voir en lui une entité sous vide, soustraite à l’air du temps et au rapport de force, objective, impartiale. Il est mon adversaire, je suis le sien. Il me jugera et rejugera comme tel. 
    Renaud-Camus

    Toutefois il pourrait me juger moins mal : pas forcément avec moins de sévérité, mais moins mal. Les attendus de ce jugement ne tiennent pas debout. Je veux bien être condamné pour avoir dit et pensé que nous sommes colonisés, que les indigènes de France et d’Europe sont les victimes d’un Grand Remplacement, que ce que certains appellent la racaille et moi les nocents, la nocence, les voyous, en somme, sont le bras armé de la conquête que nous subissons. Mais je renâcle à être condamné pour avoir dit que les musulmans sont des voyous, ce que je n’ai évidemment jamais dit, ni pensé une seule seconde ; ou bien pour avoir affirmé qu’ils sont, eux, les musulmans, le bras armé de la conquête, ce qui ne veut strictement rien dire, car alors qui seraient les conquérants ? ou bien pour avoir appelé à la violence, bien que pas un mot de mon texte n’aille en ce sens, mais ce serait implicite parce que je ne présenterais aucun projet politique cohérent : or, je préside un parti qui, certes, n’est pas très large mais qui, en dix ans, a émis deux mille communiqués et dont le programme forme un volume de cinq cents pages, dûment publié.

    Qui pourrait accepter d’être condamné pour de si mauvaises raisons, et si manifestement fausses ? Sans compter que mes compagnons de combat m’adjurent de ne pas laisser se créer un précédent, fatal à la liberté d’expression. Donc, réflexion faite, appel.

    Comment envisagez-vous l’avenir ? Vous allez devoir bon gré mal gré « adapter » votre discours ?

    Non. Mon discours tient en trois mots et je les ai prononcés cent fois : auprès du changement de peuple et de civilisation, les autres problèmes ne sont pas rien mais ils sont secondaires, car l’histoire qui se continuerait ne serait plus la nôtre. Il faut tout faire pour mettre d’urgence un terme au Grand Remplacement. Ce message est la simplicité même : je ne vois pas en quoi il pourrait être adapté.

    Par un procès, on en apprend souvent long sur la nature humaine… Vous êtes-vous senti lâché ou soutenu dans cette affaire ? Avez-vous été déçu ou agréablement surpris par les réactions des uns et des autres ?

    Ni l’un ni l’autre : chacun tient son emploi, comme au théâtre. Les traîtres sont traîtreux, les louvoyeurs louvoient, les calculateurs calculent, les bons sont généreux, les nobles sont altiers, les tendres se font du souci, les va-t-en-guerre ne rêvent que plaies et bosses, les timorés voient partout des abîmes et les sages ne se prononcent pas. De même qu’on a pu dire qu’en art il n’y avait pas de goûts, seulement des états culturels, en politique il n’y a guère d’opinions, seulement des états sociaux, économiques, professionnels, confessionnels, ethniques. Sur ce point, je suis assez marxiste, ou larochefoucaldien, ce qui est souvent la même chose. En tout cas, je n’ai à me plaindre de rien, bien au contraire.

    Source: Boulevard Voltaire

  • La ville de Paris choquée de l’enseignement de la morale catholique dans un établissement…catholique

    La mairie de Paris a pondu un communiqué délirant (nous mettons en gras les pires passages), et écœurant d’hypocrisie (les républicains passant leur temps à bourrer le crâne des enfants avec leur fausse morale à l’école, par les associations ou par les médias) :

    « C’est avec la plus grande stupéfaction que nous apprenons les propos auxquels auraient été exposés des élèves du lycée privé Gerson, dans le 16e arrondissement. [la pilule c'est mal et l'avortement est un meurtre : morale catholique de base - NDCI)
     
    Le lycée reconnait avoir fait intervenir sans contrôle, auprès de jeunes élèves, l’association Alliance Vita, proche du mouvement Opus Dei. Les propos contre la contraception et l’avortement qui auraient été proférés hier par cette association au sein du Lycée ont manifestement pour but de manipuler les consciences des jeunes élèves
     
    Nous dénonçons fermement ces propos qui soumettent les élèves parisiens à une guerre idéologique d’un autre temps.

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  • Le 11 mai à Paris pour honorer Ste Jeanne d’Arc et St Louis, parce que « la résistance n’est pas que réaction »

    Un communiqué de Civitas appelle « toutes les forces de la résistance nationale » à participer le 11 mai prochain à 14h30 au défilé en hommage à Sainte Jeanne d’Arc et Saint Louis. Une belle occasion de rassemblement.

    Jeanne d'Arc 2014

    La résistance n’est pas que réaction !

    Dénoncer, combattre puis renverser un système tyrannique qui impose des lois iniques ; ce sont bien autant d’étapes nécessaires.

    Mais il faut aussi être en mesure de présenter une société alternative et offrir des modèles positifs de chefs, des références historiques à commémorer, des héros à vénérer, des saints à prier.

    Saint Louis et Sainte Jeanne d’Arc sont tout cela à la fois. Ils incarnent la force juste et vertueuse mise au service de Dieu et de la patrie française.

    Voilà pourquoi Civitas appelle toutes les forces de la résistance nationale à participer le 11 mai prochain au défilé en hommage à Sainte Jeanne d’Arc et Saint Louis.

    Rendez-vous à 14h30. Drapeaux nationaux, drapeaux locaux et drapeaux frappés du blason de Sainte Jeanne d’Arc seront à l’honneur.

    Venez nombreux honorer avec panache ces grandes figures de la vraie France aux antipodes de la république maçonnique et décadente, vassale d’un mondialisme destructeur.

    Alain Escada, président de Civitas

  • Avortement : les sénateurs vont-ils prendre en compte la détresse de l’enfant en gestation et rétablir la liberté d’expression ?

    Communiqué de la Fondation Lejeune :

    "A l’occasion du débat sur l’IVG demain au Sénat, la Fondation Jérôme Lejeune appelle les sénateurs à se montrer plus éveillés que les députés ou le gouvernement en janvier, sur la réalité de l’avortement pour l’enfant et la nature de l’opposition à l’avortement qui en découle.

    Le Sénat débattra demain, jeudi 17 avril, en deuxième lecture, du projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes dont certains articles relatifs à l’avortement suppriment la notion de détresse et étendent le délit d’entrave à l’information.

    La Fondation Jérôme Lejeune s’émeut de l’absence d’un réel débat démocratiquepour traiter sereinement un sujet de fond. Elle dénonce la mise au silence forcé des organisations civiles et citoyennes qui informent sur l’avortement, ses conséquences et ses alternatives.

    La Fondation Jérôme Lejeune n’est ni passéiste ni isolée en la matière. Elle s’inscrit au contraire dans les mouvements de réveil des consciences, de prise en compte de la valeur et de la réalité de la vie humaine qui émergent partout dans le monde et qui doivent se faire entendre.

    Ainsi, alors que la France s’enfonce dans la chosification de l’enfant à naître, la Commission européenne recevait la semaine dernière une délégation de l’initiative citoyenne ONE OF US appelant l’Europe à ne pas soutenir les activités qui détruisent des embryons humains. Cette initiative de 1,7 million de signatures (homologuées par la commission européenne), pétition officielle la plus importante dans l’histoire des instances européennes, a reçu vendredi dernier le soutien renouvelé du Pape François. Celui-ci vient de rappeler que l’avortement, comme l’infanticide, sont des « crimes abominables». Il appelle à s’opposer« le plus fermement possible à tout attentat direct à la vie, surtout celle qui est innocente et sans défense, et l’enfant à naître dans le sein maternel est l’innocent par définition».

    La réalité de l’avortement pour l’enfant en gestation, l’autorité morale du pape au plan international, et l’ampleur du mouvement ONE OF US pour le respect de la vie humaine, devraient être de nature à encourager les responsables politiques français à se poser les bonnes questions, à se dégager de l’idéologie, et à replacer l’enjeu du début de la vie sur le terrain du bien commun dont ils ont la charge.

    Pour Jean-Marie le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune :

    «Une société ne progresse pas lorsqu’elle fait glisser l’élimination de ses enfants à naître d’une exception tolérée à un droit revendiqué ; elle dérive socialement, juridiquement, anthropologiquement. La Fondation Jérôme Lejeune – un des porte-paroles et acteurs du succès de ONE OF US en France - en appelle à la responsabilité du législateur : nier la dignité de l’enfant à naître depuis sa conception, c’est rompre avec l’éthique, les droits fondamentaux et la réalité. Le fait que ce débat se tienne alors qu’une commission de l’Assemblée nationale vient de voter un changement de statut des animaux en dit long sur l’invraisemblable inversion des valeurs. »

    Michel Janva

  • Catholiques, ces insoumis

    Couverture Figaro Magazine 18-19 avril 2014Le Figaro Magazine du week-end de Pâques (18 et 19 avril) publie undossier de 12 pages sur l’engagement des jeunes catholiques aujourd’hui (« les insoumis »), les débats au sein de l’épiscopat français sur les questions de société, et la canonisation de Jean-Paul II. Articles de Jean-Marie Guénois, Jean Sévillia et Raphaël Stainville.

    Michel Janva