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  • « Quartiers sensibles » ou ghettos hors contrôle ? Les aveux officiels !

    Avant d'exposer cette formidable hypocrisie officielle (en surface, « les banlieues sont une chance pour la France » ; et en douce, préparons-nous quand même à la guerre civile), reprenons quelques définitions et l'histoire de toute cette affaire.

    Les Français issus de l’immigration surreprésentés dans les chiffres de la déliquanceLes Chinois sont effarés par le laxisme des autorités françaises !Boko Haram ? 10 % d’islam et 90 % de coutumes tribales…  

    Nos gouvernants les plus optimistes prétendent que les fameux « quartiers sensibles » sont d’aimables oasis de créativité et de vivre ensemble. Plus réalistes, d’autres parlent sombrement de « ghettos » et « d’apartheid ». Mais tous sont inquiets. Preuve : le gouvernement a récemment fait dresser, par divers services de police, une nomenclature précise de toutes ces zones de non-droit en France métropolitaine, que nous vous révélerons en exclusivité demain, pour les plus toxiques d’entre elles.

    Mais avant d’exposer cette formidable hypocrisie officielle (en surface, « les banlieues sont une chance pour la France » ; et en douce, préparons-nous quand même à la guerre civile), reprenons quelques définitions et l’histoire de toute cette affaire.

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  • Acte de naissance : les «fantômes de la République» n’existent que dans la rhétorique pro-GPA

    Adeline le Gouvello, avocat au Barreau de Versailles, écrit sur Boulevard Voltaire :

    "[...] En tout état de cause, l’absence de transcription de l’acte de naissance n’a pas de portée pratique pour la vie de ces enfants :les « fantômes de la République »n’existent que dans la rhétorique bien huilée des promoteurs de la GPA. Ces enfants ont un état civil : celui qui a été établi à leur naissance dans le pays où ils sont nés. Leurs parents d’intention français demandent d’ailleurs la « transcription » d’un acte d’état civil déjà existant, et non pas la « création »d’un acte en vue de donner un statut à un enfant qui en serait dépourvu.

    De nombreux Français d’origine étrangère ne disposent pas de leur acte de naissance à l’état civil français. Concrètement, cela représente pour eux un peu plus de paperasse administrative : dès que l’acte de naissance est demandé, il faut solliciter les services d’état civil du pays d’origine. Sont-ils pour autant, eux aussi, des « fantômes de la République » ?

    Cette contrainte administrative est avant tout subie par les parents et non par les enfants, et c’est bien la moindre des choses qu’ils assument ce petit tracas alors qu’ils ont eu recours à une pratique illégale et qui porte très gravement atteinte à la dignité humaine et à l’intérêt de l’enfant.

    Car, enfin, rappelons ce qu’ont fait ces adultes : ils ont signé un contrat par lequel, en échange d’un prix, ils obtiennent un bébé, avec choix des options (sexe, absence de maladies, de malformations, etc.). C’est la définition même du contrat de vente ou du contrat de prestation de services.

    Or, s’arroger un droit de propriété sur un humain, exploiter le corps d’autrui constituent des atteintes aux droits des personnes qui semblent bien s’apparenter à la réduction en esclavage telle que prévue par l’article 224-1 A du Code pénal.

    Ainsi, si l’on accepte sans réserve la transcription des actes d’état civil de ces enfants, on cautionne pleinement l’exploitation des femmes pauvres, la fabrication de bébés délibérément privés de leur mère, la vente d’enfants. [...]"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Climat : Un marché à 100 milliards de dollars pour la finance

    Financer des transports urbains propres, des centrales photovoltaïques, des fermes éoliennes, des programmes de reforestation, des réseaux d’assainissement… Les enjeux climatiques qui visent à réduire les émissions de gaz à effet de serre deviennent prioritaires dans les projets de développement économique et social. À neuf mois de la conférence de l’ONU sur le climat, les banques privées et publiques sont conviées à Bercy.

    Ils prennent encore plus d’importance dans la perspective de la conférence climat, la COP21 – 21e conférence des Nations unies sur le changement climatique -, qui se tiendra en décembre, à Paris. Les acteurs publics se mobilisent à l’instar de l’International développement finance club (IDFC) – instance réunissant 22 institutions publiques du Nord et du Sud, nationales et régionales, dont l’Agence française de développement – qui organise ce mardi, au ministère des Finances un forum sur la «Finance climat».

    Sur 370 milliards d’euros de financement en 2013, l’IDFC a engagé 80 milliards sur des projets «verts». «L’objectif est d’adopter un langage commun sur ce qu’est un projet climat, d’adopter les bonnes pratiques et d’associer le secteur privé, banques, assurances ou fonds de pension, explique la directrice générale de l’AFD, Anne Paugam. Nous sommes pionniers dans ce volontarisme, en terme d’objectifs et de méthodes!»

    Depuis 2005, l’AFD a financé 18 milliards d’euros sur des projets ayant un bénéfice sur le climat, dont 2,9 milliards en 2014.
    Verdir l’image

    L’agence a mis en place une grille d’évaluation pour mesurer l’empreinte carbone des projets, une méthode qu’elle veut mettre en avant lors du forum. La difficulté est de mesurer l’impact réel sur le réchauffement de la planète, qu’il ne s’agisse pas seulement un effet d’annonce pour verdir l’image d’une entreprise.

    Un levier de financement qui mobilise le secteur privé est l’émission d’obligations dites «vertes». Le Crédit agricole est l’une des premières banques privées à s’être lancée sur ce créneau, dès 2010.

    «La demande pour ce type de produits s’est beaucoup développée depuis deux ans. Côté émetteurs, cela a commencé avec les banques de développement puis les collectivités publiques et maintenant avec des entreprises privées ; côté investisseurs, les plus intéressés sont les grands investisseurs institutionnels», explique Stanislas Pottier, directeur du développement durable de Crédit agricole SA.

    D’ici à fin 2015, les obligations «vertes» devraient représenter à l’échelle mondiale 100 milliards de dollars. Le groupe Crédit agricole, qui détient 14 % de part de marché, s’est fixé un objectif de 20 milliards d’euros.

    Au-delà des questions d’éthique émerge la notion de risque. Ainsi, Amundi, la société de gestion d’actifs du Crédit agricole, propose des fonds de placement «bas carbone», c’est-à-dire sur des valeurs émettant moins de carbone. «Les investisseurs prennent conscience que cela va devenir de plus en plus risqué d’être exposé au carbone, avec peut-être la fixation d’un prix du carbone ou des réglementations plus strictes», commente Stanislas Potier. C’est l’idée que ces entreprises plus polluantes seront moins performantes.

    Source

    http://fortune.fdesouche.com/383037-climat-un-marche-100-milliards-de-dollars-pour-la-finance#more-383037

  • Nationalisme et populisme vus par Pierre-André Taguieff (article paru dans L’Action Française 2909, 21 mai 2015)

     

    Comme dans chacun de ses livres, Pierre-André Taguieff peut nous agacer. Mais de très belles pages sur le patriotisme montrent combien il peut être proche, quoi qu’il en dise, du nationalisme de Charles Maurras : un nationalisme mesuré, défensif et ouvert sur l’universel.

     

    Comme récemment Chantal Delsol dans Populisme – Les Demeurés de l’histoire [1], Pierre-André Taguieff, en un opus complémentaire, bien que de facture différente – Delsol s’interroge en historienne de la philosophie et Taguieff en sociologue de la politique – se demande si nous ne vivons pas La Revanche du nationalisme : les néopopulistes et les xénophobes seraient-ils à l’assaut de l’Europe ? Nous avions rendu compte ici [2] de son précédent ouvrage, qui était apparu à bien des égards politiquement incorrect : Du diable en politique – Réflexions sur l’antilepénisme ordinaire, qui montrait en quoi la gauche, « dont le déclin intellectuel et politique » est évident aux yeux de l’auteur, était passée à côté du Front national qui, loin d’être la résurgence d’une extrême droite néofasciste, exprime un national-populisme que l’évolution de l’Europe favorise. Ce dernier essai revient longuement sur les fautes de diagnostic qui rendent inopérantes les analyses sur la montée actuelle des mouvements nationalistes et populistes européens, qu’il ne faut pas confondre, n’en déplaise à des analystes pressés ou paniqués, à un quelconque retour des années 1930. Est-ce toutefois le matériau qui a présidé à sa composition, à savoir que cet essai est « issu d’interventions faites ces dernières années et de discussions publiques » des analyses de l’auteur ? Outre l’impression de redites entre les différents chapitres, perce également celle d’un auteur ballotté entre la volonté d’aller au fond du phénomène étudié et celle de ne pas dépasser les limites du politiquement correct. C’est, en effet, parce que l’o5uvrage est une bonne mise en perspective de la complexité des problématiques contre les amalgames et les synthèses toutes faites ou simplificatrices, qu’on est gêné par l’emploi non distancié de concepts qui restent polémiques, même si des journalistes pressés – ce que n’est précisément pas Taguieff – en usent abondamment par paresse ou par malveillance. Nous pensons notamment au recours systématique aux phobies pour qualifier la critique de l’immigration ou de l’Europe (xénophobie, europhobie), allié à cette facilité qui consiste à user d’explications psychologiques – mais Taguieff se fonde sur de nombreux auteurs anglo-saxons amateurs d’une telle immixtion qui ne fait pas toujours leur part à la philosophie, à la culture et à l’histoire politiques.

    Déréaliser le vécu

    Surtout, elle permet de déréaliser le vécu en autant de "sentiments" – notamment le fameux "sentiment d’insécurité" – que les élites s’essoufflent, du reste en vain – d’où leur mépris pour l’électorat populaire – à délégitimer auprès d’électeurs rétifs à prendre pour de simples fantasmes égoïstes ou nauséabonds ce qu’ils vivent au quotidien – ce péché d’« idiotie » dénoncé par Delsol. Ainsi, pour décrire le processus des « peurs identitaires », l’auteur évoque « le groupe majoritaire, qui se perçoit comme légitime ("On est chez nous !"), se considère comme menacé, voire comme une victime potentielle ou actuelle, de groupes minoritaires perçus comme étrangers par nature (notamment en raison de leurs cultures respectives), agressifs et conquérants »... Tout en sachant analyser plus loin, de manière directe, et sans plus recourir à la langue de bois du "ressenti", que les « mouvements néopopulistes de droite peuvent être interprétés comme des réactions plus ou moins convulsives, traduites par des démagogues en langage nationaliste, aux processus de désintégration affectant les nations, qui perdent peu à peu leur force intégrative, transformant les citoyens en individus atomisés, impuissants à envisager leur avenir au sein d’un avenir commun. [...] La généralisation du déracinement ne saurait être élevée à la hauteur d’un destin désirable. » De très belles pages sur le patriotisme, une lucide analyse de l’échec de tout patriotisme purement constitutionnel ou « civique » – de fait, le patriotisme républicain – (« On ne peut totalement désimpliquer [...] souveraineté populaire et identité nationale-culturelle ») montrent, par ailleurs, combien Taguieff peut être proche, quoi qu’il en dise, du nationalisme maurrassien, mesuré, défensif et ouvert sur l’universel... Aussi vrai qu’« une nation qui serait étrangère à tout nationalisme est une construction abstraite sans validation empirique ». Parfois irritant, voire décevant, mais finalement toujours intelligent : du Taguieff.

    François Marcilhac

    - 1 – L’AF n° 2903 du 19 février 2015. 
    - 2 – L’AF n° 2891 du 1er août 2014.

    Pierre-André Taguieff, La Revanche du nationalisme – Néopopulistes et xénophobes à l’assaut de l’Europe, Presses universitaires de France, mars 2015, 310 pages, 19 euros.

    L’Action Française

  • NKM pire que Jack Lang ?

    Nathalie Kosciusko-Morizet, toujours à l’affut d’une excentricité, veut « préserver la diversité artistique libre et indépendante qui a fait l’âme (d’un) quartier », à Belleville, dans le XXe arrondissement de Paris. Une de ses ruelles, dénommée Dénoyez, est en effet « devenue touristique depuis une dizaine d’années grâce aux graffitis colorés qui ornent ses murs », rapporte Le Parisien.

    Un projet de construction de logements sociaux et d’une crèche mettrait en effet en péril « l’âme du quartier »…

    Ah ! le graffiti, que Jack Lang, Ministre de la culture, avait en son temps considéré comme de l’Art pour l’inviter en 1991 dans une institution culturelle d’importance à Nantes… puis qu’il avait accueilli l’année suivante au musée des Monuments français.

    En 2013, NKM avait déjà fait le buzz, comme on dit, en s’émerveillant dans un entretien au magazine Elle d’« un lieu de charme à la fois anonyme et familier… » : elle parlait alors du métro où il lui arrivait de « … faire des rencontres incroyables (et où il y aurait) des moments de grâce. »

    La presse s’était alors gaussé comme il se doit de la candidate UMP à la Mairie de Paris… De même avec sa photo, à la même époque, où on la voyait « cloper », en blouson de cuir et tignasse au vent, en compagnie de SDF… Photo où elle ne distinguait guère de la faune des laissés-pour-compte de la société.

    Quant aux électeurs, ils n’avaient pas manqués de lui offrir la veste électorale qu’elle méritait, tandis que nombre de facétieux camarades de son parti la surnommait alors « La Folle de l’UMP ».

    On se demande pourquoi !

    Philippe Randa  (paru dans le quotidien Présent)

    (Philippe.randa@present.fr)

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EuFkEuupuuXUHvrveo.shtml

  • Nicolas Sarkozy est un bon petit militant de l'UMP

    Il ne va pas jusqu'à faire du porte à porte dans les HLM pour convaincre de voter UMP. Non, il reçoit Madeleine dans son bureau pour la convaincre de voter à nouveau UMP alors qu'elle avait annoncé à la télévision en mars 2013 qu'elle allait voter FN :

    "Soucieux de rendre concret ce combat pour la reconquête de l'électorat frontisteNicolas Sarkozy s'est entretenu avec elle dans son bureau. Ainsi, comme le rapporte RTL ce jeudi, le président de l'UMP a reçu l'auditrice au siège du parti pendant une demi-heure. «Je me suis préparée depuis quelques jours, j'espère que ça se passera bien. Je ne suis pas prête pour le moment à revoter pour lui mais s'il fait des ouvertures sympathiques et s'il me convainc pourquoi pas», confiait-elle à la station avant de rencontrer le chef de l'État, citant notamment «l'identité française, l'immigration et la sécurité».

    «Moi j'ai été très heureux de recevoir Madeleine, on a bien parlé», a quant à lui jugé l'intéressé (...) tandis qu'il s'apprêtait certainement à évoquer les millions d'électeurs du Front national parmi lesquels figurent une importante part de «déçus» de l'UMP. Et que Nicolas Sarkozy s'est déjà dit prêt à «aller chercher un par un». "

    A raison d'une personne par jour, Nicolas Sarkozy devrait gagner 200 à 300 électeurs en un an. D'ici 2017, cela va être juste... Comme le dit François Hollande, le monde n'est pas facile, il n'est pas gentil.

    Philippe Carhon

  • Luc Ferry: « la guerre de Vendée c’est le Ier grand génocide en Europe, il y a eu 500 000 morts » (Vidéo)

    Luc Ferry: « la guerre de Vendée c’est le Ier grand génocide en Europe, il y a eu 500 000 morts »

    Se prononçant contre l’intervention en Syrie, Luc Ferry, ex ministre de l’Éducation nationale dans les gouvernements de Jean-Pierre Raffarin (sous Jacques Chirac), déclare le 18 mai 2015 sur ITélé:

    « – Quand nous avons fait, nous, notre révolution française, vous savez la guerre de Vendée ça a pas été beau, c’est le premier grand génocide dans l’histoire de l’Europe, y a eu 500 000 morts. On prenait les mômes par les quatre bras…

    – génocide ? interroge le journaliste

    – Génocide, bien sûr, bien évidemment, Pierre Chaunu a absolument raison!Plus aucun historien ne le conteste aujourd’hui! On prenait les gamins par les bras, par les jambes, on leur cassait la tête sur les murs des châteaux, on jetait les gens sur des halebardes, enfin tout ça était absolument abominable, sans compter le vandalisme dont on parlait tout-à-l’heure… »

    La thèse du génocide vendéen a été défendue par Reynald Sécher devant un jury dont faisait partie Pierre Chaunu. 

    http://www.medias-presse.info/luc-ferry-la-guerre-de-vendee-cest-le-ier-grand-genocide-en-europe-il-y-a-eu-500-000-morts-video/31674

  • Etat Islamique: l'Irak demande l'aide de Moscou

    Le Premier ministre irakien Haider al-Abadi s'est rendu aujourd'hui à Moscou pour demander une aide militaire russe face aux jihadistes du groupe Etat islamique (EI) qui vient de s'emparer de Ramadi, une ville stratégique à moins de 100 km de la capitale Bagdad.

    M. Abadi, à la tête d'une délégation importante, doit rencontrer demain le président russe Vladimir Poutine pour faire le point sur "les relations entre les deux pays, la coopération en matière de sécurité et le soutien russe aux forces de sécurité irakiennes pour combattre le terrorisme", a indiqué le bureau du Premier ministre.

    Cette visite d'une journée intervient alors que l'armée irakienne, aidée de milices chiites, prépare une contre-offensive pour reprendre Ramadi, chef-lieu de la province majoritairement sunnite d'Al-Anbar (ouest) tombée dimanche aux mains de l'EI.

    Les Etats-Unis, qui dirigent une campagne aérienne internationale contre l'EI pour aider l'armée irakienne, ont dit procéder à un "réexamen" de leur stratégie en Irak après la chute de Ramadi.
    L'an dernier, l'Irak avait reçu de la Russie une première livraison d'avions de combat Sukhoi pour l'aider face aux jihadistes de l'EI qui se sont emparés de larges pans du territoire.

    Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFkkuVluuvzoumTmb.shtml