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  • Maeva Anissa ose critiquer l'avortement : elle est lynchée pour sa liberté d'expression

    Maeva Anissa est notamment chroniqueuse sur NRJ12. Hier, sur son compte Twitter (suivi quand même par 228 000 abonnés), elle a jeté un pavé dans la mare :

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    Evidemment, le lobby de l'avortement a avalé cela de travers et il s'en est suivi un lynchage en public, y compris par Gilles Clavreul, chargé de mission auprès du secrétaire général du ministère de l'intérieur. Maeva Anissa a notamment rétorqué :

    "Hey j'ai le droit d'avoir un avis ? Une vie ? Une liberté sans que des matons du net viennent me casser la tête ???? MOI JE CONNAIS DES FILLES QUI AVORTENT 5 fois par mois !!!!!".

    Et non, pour les hystériques de l'"avortement, il est interdit d'avoir un avis critique sur l'avortement. Alors ils essaient de la faire virer de NRJ12. Réponse de Maeva :

    Et elle a un courage certain que l'on aimerait voir plus souvent :

  • LES FINANCIERS ET LES MÉDIAS CACHENT LES VÉRITÉS ÉCONOMIQUES AUX FRANÇAIS

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    Mathilde Lemoine, chef économiste du groupe Edmond de Rothschild, nous avoue, dans Le Figaro du samedi 23 décembre, « qu’il y a un décalage entre la sphère financière et la réalité économique ». Elle reconnaît que le niveau de la dette privée des ménages et des entreprises, deux fois plus important que celui du PIB, peut devenir insoutenable si les taux remontent brusquement.

    La BCE (Banque centrale européenne) se contredit. Elle pratique une politique de taux bas et non conventionnelle d’achat de dettes d’entreprises françaises (29 % du total de ses achats, contre 25 % pour les entreprise allemandes) afin de faciliter leur accès aux marchés financiers, mais elle dérègle les prix du marché des actifs financiers comme dans une économie administrée. Elle émet en même temps des signaux contradictoires en imposant aux grandes banques, par le biais du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF), de limiter leurs crédits et leur exposition à la dette de certains grands groupes.

    La BCE cherche, aujourd’hui, à tempérer l’appétit des entreprises pour la dette et celui des banques pour le crédit. La BCE cherche donc d’un côté à relancer l’économie par la politique de l’assouplissement quantitatif, mais donne des directives en sens contraire au HCSF.

    Alors que la dette publique française a atteint le niveau astronomique de 2.230 milliards d’euros au troisième trimestre 2017, qui serait insoutenable si les taux d’intérêt remontaient, les médias nous rassurent en nous rappelant que le coupon actuel n’est que de 0,7 % en 2017 et ne sera que 1,85 % en 2018 pour les obligations à dix ans. Quid si c’est, demain, 6 % et 15 % après-demain ? On nous rassure faussement en nous disant que les fonds propres des entreprises financières et non financières ont augmenté respectivement de 5,6 % en et 5,3 % en 2017, ce qui ne change rien au problème fondamental de l’insuffisance des capitaux propres.

    Les médias économiques évoquent aussi un argument impressionnant pour le néophyte en nous rappelant que, selon l’INSEE, le patrimoine économique national détenu par les ménages, les entreprises et les institutions publiques atteignait 14.023 milliards d’euros en 2016, soit 7,7 fois le produit intérieur net tricolore, et 6,5 fois le niveau d’endettement.

    Aux États-Unis, même scénario. Le Dow Jones flirte avec 2.500 points et le NASDAQ est proche des 7.000 points. Wall Street s’est adjugé 35 % de hausse en quatorze mois sans raison valable, si ce n’est l’augmentation de la masse monétaire, mais on nous rassure avec la réforme fiscale de Trump qui va propulser les bénéfices par action d’environ 10 %, oubliant qu’elle va augmenter la dette publique des États-Unis. La réalité, c’est que les valeurs américaines se payent en moyenne environ dix-huit fois les bénéfices attendus pour 2018 – du jamais-vu depuis la bulle des années 2000.

    De plus, aucun journaliste des médias traditionnels n’ose écrire que les totaux des bilans des quatre grandes banques américaines représentent 44,5 % du PIB des États-Unis et que les totaux des bilans des quatre banques françaises représentent trois fois le PIB de la France. Aucun journaliste français ne nous écrit que l’endettement des banques françaises est encore plus démentiel que celui des États-Unis. Les quatre grandes banques françaises ont des capitaux propres insuffisants, un effet de levier moyen de 25,53, c’est-à-dire 25,53 euros de dettes pour un euro de capital engagé (de 21,92 pour le Crédit agricole à 31,41 pour la Société générale).

    L’effet de levier de Lehman Brothers au moment de sa chute, le 15 septembre 2008, était de 31. Celui des banques américaines, aujourd’hui, n’est que de 11,63, une des rares nouvelles rassurantes en provenance des États-Unis. Au royaume des aveugles les borgnes sont rois.

    La vérité, c’est que la sphère financière et les médias ne nous parlent que de surchauffe et d’hirondelles qui font le printemps, alors que les clignotants sont au rouge avec une croissance économique artificielle, instable et fragile.

    http://bvoltaire.com/financiers-medias-cachent-verites-economiques-aux-francais/

  • La gabegie hospitalière française, par Francis Bergeron

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    9015-20171223.jpgLa nouvelle est tombée alors que personne ne s’y attendait vraiment : le secteur hospitalier public, qui avait perdu 460 millions d’euros en 2016, s’attend à perdre cette année 1,5 milliard d’euros, alors que chacun pariait sur une stagnation voire un reflux des pertes.

    Le budget annuel du secteur hospitalier étant de 200 milliards, cette perte de 1,5 milliard n’en représente qu’une fraction assez modeste. Mais à y regarder de plus près, la situation est sérieuse, car elle traduit une tendance lourde. Les charges des hôpitaux sont en augmentation de 3 % par an, alors que le budget, principalement constitué de dotations publiques, n’augmentera que de 2,3 %. Cela signifie tout simplement que ce déficit, qui a triplé en un an, pourrait tripler chaque année. Si rien n’est fait, c’est notre système de santé tout entier qui s’effondrera. Or ledit système se veut la vitrine de l’exception française, l’héritage de 1945.

    La gauche, qui a avalé tant de couleuvres ces derniers mois, n’acceptera jamais une réforme de fond. On peut donc s’attendre à une remobilisation sur le thème, toujours populaire, de la défense de la santé, si le gouvernement se lance dans la réforme de fond impérative. Mais si Macron ne fait rien ou se contente d’un replâtrage, c’est tout son discours, toute l’approche « experte » de son équipe qui en sortira discréditée. Et l’appel au renflouement permanent de ce secteur risquerait en outre de contribuer à un étouffement de la reprise.

    De quoi souffre le secteur de la santé, énorme pilier du secteur public ? De plusieurs maux qui méritent d’être rappelés ici. Il y a d’abord et avant tout l’empilement des réformes. Le diagnostic sur l’état de santé… de notre système de santé, tous les gouvernements successifs l’ont fait, depuis une trentaine d’années. Mais il faut bien reconnaître qu’ont souvent été casés à la tête du ministère de la Santé, sous des gouvernements de gauche ou de droite, d’ailleurs, les pires politiciens de la Ve République. Il suffit de les nommer. Jack Ralite ! Bernard Kouchner ! Simone Veil ! Martine Aubry ! Roselyne Bachelot ! Marisol Touraine !

    La fin de l’avortement gratuit ?

    Chacun d’eux a voulu « sa » réforme. Mais à la réformite aigüe s’est ajouté le manque de continuité. Des mesures catégorielles non financées étaient annoncées, et sont à présent portées comme des boulets.

    Une réforme de fond du système de santé doit être portée par de vrais experts et s’inscrire dans la durée. Il faut en finir avec les mesures catégorielles, avec les 35 heures à l’hôpital, avec l’accès aux soins gratuit pour les clandestins, avec la prise en charge de l’avortement. Mais vous voyez que l’on touche là à de terribles tabous. On a du mal à penser qu’une Agnès Buzyn (l’actuelle nouvelle ministre de la Santé) aura les reins assez solides pour mener une telle réforme. Et malgré les nécessités financières, ne parions pas trop sur la fin du remboursement des avortements, quand on sait que madame Buzyn est l’ex-belle fille de Simone Veil.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

  • Afin que l’or de l’aurore réponde à l’or du couchant

    Proche de Laurent Wauquiez,  Brice Hortefeux – visé actuellement par une polémique que Bruno Gollnisch a jugé ridicule au regard  des« extravagantes  rémunérations de certains fonctionnaires devenus patrons d’entreprises du CAC 40» – a rappelé son opposition au Front National.  Dimanche dernier,  il a  a tenu  le  discours classique  qui est celui de la droite libérale depuis quelques années :    « Notre ambition, c’est bien sûr de convaincre les électeurs du Front National qui sont souvent de bonne foi (monsieur est trop bon!, NDLR) et qui ne sont pas des sous-citoyens (ouf!, NDLR) de leur démontrer, leur rappeler, leur expliquer que voter Front National, c’est aller dans une impasse. »« Le Front National ne gagne jamais. Il n’a jamais eu de majorité législative, jamais gagné de région, de département, jamais gagné, et de très loin, la campagne présidentielle. » Sur boulevard voltaire, Nicolas Gauthier soulignait assez cruellement mais très factuellement que M. Hortefeux n’était pas  forcément « l’homme le mieux placé pour donner des leçons de gagne.  Car si l’on résume, le RPR/UMP/LR, tous nains et pieds-bots confondus, combien d’Austerlitz et de pont d’Arcole ?» Fin novembre,  sur la  chaîne I24, l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy  réaffirmait  son refus de toute alliance  entre LR et le  FN, même conjoncturelle, dans le cadre de cogestions  à l’échelle locale. Et ce,  du fait des « différences de fond », et « surtout parce que  que ce serait une drôle d’idée que de supposer que nous voudrions passer des alliances,  de vouloir s’allier  avec une famille (le FN, NDLR) qui n’a qu’un seul espoir  c’est de nous voir disparaître. S’allier avec quelqu’un qui veut notre disparition ce serait très original, il y aurait un côté masochiste ce qui n’est pas notre cas.  »

    Par charité, nous n’allons pas égrener à Brice  Hortefeux  la très longue liste des  déclarations émanant de sa famille politique souhaitant l’éradication du FN, et prônant  l’alliance  avec la gauche, voire  avec la gauche  de la gauche,  pour l’éliminer des compétitions électorales et du  paysage politique.  Ni même les sondages récurrents indiquant que les sympathisants de LR sont très nombreux à être  favorables à un rapprochement entre la droite et l’opposition nationale, notamment au niveau municipal. La question  centrale  est de savoir  si le périls mortels qui menacent notre pays sont véritablement intégrés par cette droite là qui semble uniquement  obsédée par ses petits intérêts boutiquiers et  son désir ne pas trop heurter  la gauche et une oligarchie  transnationale. Est-il  si difficile de comprendre que ce qui aiguille le combat du FN ce n’est pas la volonté mesquine , petit-bras, dérisoire,  de remplacer LR  mais l’impérieuse et vitale nécessité d’empêcher  la disparition de la France que nous aimons?

    En cette période de Noël, fête de l’invincible espérance, fête par excellence  de la famille, des enfants,  du devenir,  à quelques jours de la célébration de la Nativité – période du solstice d’hiver où  déjà l’Europe pré-chrétienne fêtait les graines invisibles et le combat contre l’obscurité -,  que  l’on soit chrétien ou non, chacun ressent plus profondément peut-être, la nature du combat proprement métaphysique  qui se joue entre eux et nous.  D’un côté les tenants de l‘hiver intégral,  de la glaciation marchande, massifiante,  des  ténèbres mondialistes. De l’autre  ceux qui défendent les libertés d’un monde différenciée, les porteurs de la  flamme de l’espérance,  de la renaissance, de  la résistance patriotique.

    Il y a plus de vingt ans déjà,  en, 1996, à l’occasion d’un colloque du Conseil scientifique du FN sur Les origines de la France« fille aînée d’Athènes et de Rome, fleuron de l’histoire humaine »,« née à l’aube du Moyen-âge de l’union subtile du vieux fonds indo-européen et du christianisme »,  Jean-Marie Le Pen, soulignait  que « constater que nous traversons une époque de décadence, de crise profonde est une évidence. »  Mais « aller à contre courant  de la marée des idées molles équivaut à être  mis au ban de la société politico-médiatique. » « Etre fier d’être français  revendiquer haut et fort son appartenance à cette nation à nulle autre pareille, défendre son identité est assimilé à du racisme. » Une « ruse dialectique sans grande finesse », mais toujours utilisée par une   droite et une gauche qui au nom de l’idéologie hors-sol  dite  antiraciste , refusent dans les faits  tout arrêt  des pompes aspirantes d’une l’immigration-invasion qui  menace notre peuple dans son existence, dans sa substance même. C’est pourquoi, comme l’a rappelé Bruno Gollnisch, il s’agit là du problème numéro un pour notre avenir en tant que nation libre, sûre, prospère  et indépendante.

     De manière toute aussi problématique, « l’Occident a sombré dans le matérialisme absolu. celui-ci peut bien, à l’instar de Janus, avoir deux visages intitulés tour à tour libéralisme ou socialisme, il n’en demeure pas moins que l’absence de morale, l’extinction de toute mémoire, le refus de respecter l’ordre naturel des choses conduisent lhomme sur la voie de l‘Ubris, c’est-à-dire de la démesure, cet aveuglement de l’homme qui  le conduit  à sa perte et qui constituait aux yeux des Grecs le défaut majeur de toute civilisation en dégénérescence (…).  Sur le mode des romans de Mac Luhanou d’Orwell se met en place une société où les  hommes ne seront plus que des numéros, une société où les hommes seront seulement destinés à consommer, surveillés sans relâche, épiés et dénoncés au moindre faux pas par l’insupportable police de le pensée. »

    C’est ce monde gris que nous rejetons, fort de la certitude qui est la nôtre que la France est une réalité  tant au niveau physique, que spirituel et philosophique. Le congrès de refondation du Front National voulue par Marine sera l’occasion de  réaffirmer  aussi auprès des nos compatriotes,  qui devront se déterminer dans leurs choix politiques sur des clivages simples,  nos valeurs, d’affiner, de peaufiner, d’exposer  nos grands axes programmatiques. Il s’agit pour les hommes et les femmes de l’opposition nationale  de répondre aux grands défis, aux grands dangers mais aussi aux formidables opportunités pour le triomphe de nos idées que nous offre la période historique que nous traversons.

    En ce début de troisième millénaire, en cette année qui s’annonce, le FN doit être «  le porteur des prémisses d’une possible et nécessaire renaissance. Réaction saine d’un corps affaibli il se révèle comme une certaine manière de voir le monde dans sa réalité crue, dans sa globalité, sans fard, sans tabous, sans dogmes. Il est aussi et surtout une manière de se comporter dans le monde. L’idéal vers lequel il tend est celui de l’honnête homme nourri d’humanisme et pétri par une éducation aussi longue que notre mémoire, une paidéia au sens premier du terme. Cet homme n’est ni nouveau, ni ancien. Il est d’aujourd’hui et de toujours. » 

    Assumer notre héritage, le transmettre à nos enfants, ne rien renier, ne rien  abdiquer  de nos libertés, de nos souverainetés, affirmer tranquillement notre destin, poursuivre opiniâtrement  notre longue marche vers le pouvoir … et gagner, gagner enfin!  La tâche est  immense, ô combien difficile mais  exaltante. Tous nos compatriotes y sont conviés.

    Joyeux Noël à tous.  Beaucoup  auront la chance de le passer dans la joie et l’abondance mais n’oublions pas dans nos pensées et par nos actes en cette période de fêtes  les millions de Français  frappés par le malheur, la pauvreté, souvent victimes des  politiques  des inquisiteurs et des donneurs de leçons des partis du Système.

    https://gollnisch.com/2017/12/22/afin-lor-de-laurore-reponde-a-lor-couchant/

  • Canada- La militante pro-vie Mary Wagner a passé Noël en prison

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    Canada- La militante pro-vie Mary Wagner a passé Noël en prison. Elle avait été arrêtée le 8 décembre, ainsi qu’une autre militante pro-vie. Leur crime ? Elles sont entrées avec des roses à la main dans un centre pratiquant l’avortement et ont parlé avec des femmes enceintes en essayant de les persuader de donner la vie à l’enfant qu’elles portent en leur ventre.

    Lors d’une audience, vendredi dernier, Mary Wagner avait demandé d’être remise en liberté pour Noël, s’engageant à revenir pour son procès.

    Au juge Howard Chisvin, de la Cour de justice de l’Ontario, elle avait expliqué calmement : « J’ai simplement essayé de défendre les enfants à naître. »

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    Mais le juge a refusé de mettre fin à la détention préventive. Sauf si Mary Wagner payait une caution de 500 dollars et s’engageait à rester à l’écart de toute clinique ou centre pratiquant l’avortement. 

    Mary Wagner n’a pas voulu se soumettre à ces conditions et restera donc en prison jusqu’au jugement.

    Linda Gibbons, qui a déjà passé 11 ans en prison pour son témoignage pro-vie à l’extérieur des centres d’avortement de Toronto, a également systématiquement refusé de signer des conditions qui la forcent à rester à l’écart des centres d’avortement.

    Catholique fervente, Mary Wagner a elle déjà passé au total quatre ans et huit mois derrière les barreaux pour ses tentatives pacifiques de sauver les bébés à naître de l’avortement.

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    Dans une lettre écrite prison et adressée à ses partisans, Mary Wagner raconte qu’elle a assisté à la messe le matin du jour où elle a été arrêtée, en la solennité de la fête de l’Immaculée Conception de la Vierge Marie.

    La prochaine comparution de Mary Wagner devant le tribunal est prévue le 4 janvier 2018.

    http://www.medias-presse.info/canada-la-militante-pro-vie-mary-wagner-a-passe-noel-en-prison/85327/