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  • Nadine Morano sur la même ligne politique que Valérie Pécresse

    Nadine Morano sur la même ligne politique que Valérie Pécresse

    Nadine Morano pourrait se voir qualifiée, comme Macron, d’adepte du “en même temps”. Ses propos ce matin sur BFM partent effectivement dans tous les sens et ont le mérite de plaire à peu près à tout le monde. Les plus à droite retiendront sa défense courageuse des policiers et des forces de sécurité face aux insultes de Yann Moix, les plus souverainistes retiendront sa défense de Viktor Orban et de sa politique migratoire.

    Ce qui est plus inquiétant, c’est qu’elle annonce que la position de LR pour les européennes est arrêtée et qu’elle considère qu’il  :

    n’y a pas de différend entre Valérie Pecresse et nousIl n’y a que des divisions artificielles.”

    Le traitement de l’immigration de masse serait donc un sujet annexe. En effet, voici par exemple la réaction de Valérie Pécresselundi 17 septembre suite au vote de Nadine Morano au parlement européen :

    “Viktor Orban réduit les libertés du peuple hongrois, de la presse, de l’université, de l’indépendance de la justice. C’est une question de droits de l’homme, de démocratie. Il est dans l’ADN de ma famille politique de voter les sanctions contre la Hongrie. Je l’aurais fait et je trouve injustifiable qu’une majorité de députés les Républicains au parlement européen ne l’ait pas fait

    Enfin, en bonne élève de Nicolas Sarkozy qui s’est assis sur le référendum français de 2005 et a foulé du pied la démocratie, elle déclare sans aucune honte qu’elle :

    aimerait que le Royaume-Uni refasse un autre referendum en faisant un vrai débat sur les conséquences du Brexit. Je suis sûre que le peuple britannique changerait d’avis

    N’importe quel observateur politique pourrait lui confirmer que le débat a eu lieu. Non vraiment, LR n’a pas changé…

    https://www.lesalonbeige.fr/nadine-morano-ne-fait-de-difference-entre-laurent-wauquiez-et-valerie-pecresse/

  • Le Mirage des valeurs de la République, par Bernard Gantois

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    Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ Le Mirage des valeurs de la République : voici un petit essai (par le format) que tous les animaux politiques, y compris et surtout ceux de notre mouvance, devraient avoir comme livre de chevet, ce qui leur éviterait de débiter force solennelles sornettes. Car ces valeurs sans cesse ressassées reposent sur un vide abyssal.

    Polytechnicien et ingénieur des Ponts et Chaussées ayant effectué toute sa carrière à la RATP, Bernard Gantois est donc issu de la « société civile », ce qui ne l’empêche pas d’être féru d’histoire – comme en témoigne sa Saga des Louis (qui gouvernèrent la France), également publiée par Via Romana – et de sémantique. C’est justement cette passion, couplée avec sa formation hautement technicienne, qui l’a convaincu que les fameuses valeurs dont on nous tympanise relèvent non seulement du mythe mais, plus grave encore, du « mirage ». Par essence inatteignable et souvent mortifère.

    Le flou artistique organisé par les lois

    Selon le Littré de 1872-1877, « valeur » peut en effet prendre « quatorze sens possibles », dont un seul « se réfère au “prix que l’on attache à une chose intellectuelle ou morale” sans que rien n’indique la nature de la “chose” ni surtout que le “prix” soir plus qu’une appréciation strictement personnelle, donc sans aucun caractère ni intérêt général ». Quant au terme « République », respublica, il est tout aussi vague puisque le Littré le définit comme « en général, toute espèce de gouvernement ». La République (oligarchique) de Venise, la République démocratique du Congo ou celle du Kampuchéa des Khmers rouges étant ainsi mises dans le même couffin que la République parlementaire d’Islande, premier Etat à s’être, dès l’an 930 de notre ère, doté d’un Parlement, l’Althing qui siège toujours — après une interruption de 1800 à 1944.
    Un flou artistique en quelque sorte programmé par Jean-Jacques Rousseau, « grand prêtre des Lumières, esprit fondateur de la Révolution et de notre République actuelle », qui écrit dans Le Contrat social « J’appelle donc république tout état régi par des lois, sous quelque forme d’administration que ce puisse être ; car alors seulement l’intérêt public gouverne. »

    Au-delà du vœu pieux, qu’est-ce que cela veut dire ? Rien, comme le souligne Bernard Gantois quand il évoque l’article 16, pilier de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 prescrivant la nécessité de la « garantie des droits » pour qu’une société soit constitutionnellement créée : « Comme les droits sont pratiquement tous soumis à une Loi essentiellement variable au gré de la volonté générale [dûment orientée et conditionnée, ajouterons-nous], cet article n’affirme rien d’autre que l’instabilité de principe de toute constitution dans les régime(s) sous-tendu(s) par la déclaration de 1789. Et, de fait, les constitutions se sont succédé en rafale pendant deux siècles et demi, sans compter leurs révisions multiples pendant leur période de validité. » Ainsi, loin de garantir la pérennité, « l’article 16 de la déclaration des droits de l’homme est la clé de voûte de l’instabilité du régime républicain à la française ».

    La fraternité selon Jacques Attali

     Le triptyque Liberté-Egalité-Fraternité est-il plus solide ? Avec la même précision, qui n’exclut pas la causticité, Bernard Gantois dissèque ces notions ambitieuses mais vidées de toute réalité par des rafales de lois « essentiellement variables ».

    Que reste-t-il de la liberté quand il suffit de catégoriser une population ou une opinion pour leur  interdire tout droit d’expression, d’ailleurs strictement limité par tout un arsenal législatif ?
    Que reste-t-il de l’égalité quand, au nom de la discrimination positive, les indigènes de ce pays sont sacrifiés ?
    Que reste-t-il de la fraternité, forme subvertie de la charité, quand l’Autre, le plus lointain possible, est systématiquement préféré au frère de sang ?

    Et ces interrogations essentielles ne sont pas rhétoriques. Ainsi, la notion de race étant désormais expressément interdite par la Constitution, le grand ancêtre Jules Ferry devrait être ostracisé à l’égal d’un Alexis Carrel, lui qui professait qu’« il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures », un « droit, parce qu’il y a un devoir pour elles… Le devoir de civiliser les races inférieures ».

    Et preuve que la fraternité nationale est elle aussi un mythe, c’est en toute impunité que Jacques Attali, gourou de la République et mentor d’Emmanuel Macron qui lui doit largement son accession à l’Elysée, a pu écrire en 2003 que puisque « dès qu’il dépasse 60/65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et coûte alors cher à la société », cela n’est supportable qu’« à condition de rendre les vieux [sic] solvables et de créer ainsi un marché » (1). Mais mieux vaudrait encore, selon lui, faire de l’euthanasie « un des instruments essentiels de nos sociétés dans tous les cas de figure ». Et, de crainte de n’avoir pas été compris, Attali (polytechnicien comme notre auteur, qui le cite longuement) de répéter au terme de son argumentation : « L’euthanasie deviendra un instrument essentiel de gouvernement ».

    Egalement auteur d’un Dictionnaire amoureux du Judaïsme (Plon-Fayard, 2009), qu’eût fait l’ancien conseiller spécial de Mitterrand  de Mathusalem et de Lamech, patriarches bibliques pluricentenaires et donc peu rentables ? Les eût-il convaincus de mettre fin à leurs jours car « la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale c’est le suicide » ? En conséquence de quoi, « le droit au suicide direct ou indirect [resic]est donc une valeur absolue dans ce type de société ».

    Le nomadisme, voie royale vers la mondialisation

    Ce type de société est celui qu’Attali expose dans L’Homme nomade, Plon 2003, Livre de Poche 2005), « vaste fresque historique et prospective » destinée à prouver selon le prière d’insérer rédigé par Attali soi-même que l’homme, « nomade depuis ses origines », est en train « de redevenir, par la mondialisation, un nomade d’un genre nouveau ». Ce dont il faut se réjouir car «  quand elles se ferment aux nomades, aux itinérants, aux étrangers, aux mouvements de toutes sortes, les sociétés déclinent et périclitent » alors que nous avons besoin de « perspectives radicalement neuves pour l’humanité». Ainsi, à l’ancien monde succéderont « les trois forces nomades qui aspirent à le remplacer : le marché, la démocratie, la foi » — en la nouvelle religion des droits de l’homme, de « l’homme sans Dieu » disait Jean Madiran.

    Le réveil des peuples

    Voilà qui a le mérite de la clarté, et qui explique le prodigieux champignonnement d’institutions et de fondations mondialistes tels le Council of Foreign Relations, le Club Bilderberg, les agences onusiennes, l’Open Society du milliardaire judéo-hungaro-américain George Sörös ou encore les Georgia Guidestones, aussi mystérieux qu’influents qu’évoque longuement Bernard Gantois à la fin de son livre. Tous ayant pour mission de nous bombarder de concepts abstraits et de mots ronflants, mais promettant tous des lendemains qui chantent dans le village planétaire, afin de nous faire oublier nos racines et nos véritables intérêts.

    Mais les peuples sont moins abrutis que ne le pensent les mauvais bergers militant pour une gouvernance unique et globale. De la Suède à l’Italie, des Pays-Bas à la Slovaquie, les Européens commencent à rejeter massivement les mirages et les mensonges qui nous ont fait tant de mal, et le mouvement s’étend. La reconquête de la Syrie en est la preuve ainsi que ce sondage réalisé en Tunisie et qui a consterné les officines mondialistes : présenté début septembre, cette enquête réalisée par l’Afrobaromètre que subventionnent la Banque mondiale, la Fondation Bill et Melinda Gates, le Département et plusieurs ONG mondialistes a en effet révélé que si, en 2013, quelque 71 % des Tunisiens voyaient en la démocratie « le meilleur des régimes », ils n’étaient plus que 46% dans ce cas en 2017. Pis, ils ne sont plus que 61 % à rejeter un régime dictatorial,  46 % un régime militaire et 51 % à refuser le système du parti unique tant les conséquences de la tant célébrée « révolution de jasmin » ont été dévastatrices après la destitution du raïs Ben Ali.

    On n’en est certes pas encore là en Europe mais les choses pourraient s’accélérer si, nourri de citations souvent succulentes (2), le véritable catalogue des fausses valeurs et des vrais pièges qu’est Le Mirage des valeurs de la Républiqueobtenait l’audience qu’il mérite.

    Camille Galic 22/09/2018

    Bernard Gantois, Le Mirage des valeurs de la République, 236 pages, 13 euros, éditions Via Romana, septembre 2018.

    (1) Ce qui a commencé avec l’amputation des retraites et le déremboursement de nombreux médicaments décidés par Emmanuel Macron (jeune banquier prometteur coopté par Attali au sein de la Commission pour la libération de la croissance française mise en place par Nicolas Sarkozy en 2008) et le ballon d’essai sur le relèvement des droits de succession — nouvelle attaque contre la transmission —lancé avant que le même Macron ne s’avise le 17 septembre qu’il valait mieux ne pas « trop emmerder les retraités ».

    (2) Ainsi celle de l’omniscient Léon Blum, futur chef du Front populaire, dans Le Populaire du 8 novembre 1932 : « Hitler est désormais exclu du pouvoir. Il est même exclu […] de l’espérance du pouvoir. » Quelques jours plus tard, la NSDAP remportait les élections et, le 30 janvier 1933, l’exclu accédait à la Chancellerie.

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Via Romana

    https://www.polemia.com/mirage-valeurs-republique-bernard-gantois/

  • Immigration illégale et « fermeté » : les grosses ficelles de Merkel et Macron – Jean-David Cattin (Les Identitaires)

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    À l’approche des élections européennes sur fond de forts progrès des partis populistes et identitaires, Macron et Merkel, inquiets voire paniqués, se sont mis d’accord sur la stratégie à adopter : faire croire qu’ils vont faire preuve de « fermeté » en matière d’immigration illégale.

    Depuis leur rencontre le 7 septembre à Marseille les deux chefs d’État rivalisent de propos « fermes » sur l’immigration. Angela Merkel vient même de conclure avec le gouvernement algérien un accord de retour portant sur 3 à 5 000 de ses ressortissants. Une goutte d’eau dans l’océan des migrants, clandestins ou pas, installés en Allemagne depuis 2014.

    De son côté, Emmanuel Macron a lui promis des reconduites « pour celles et ceux interceptés en situation irrégulière et qui n’ont pas vocation à obtenir l’asile ». « Tout en respectant nos valeurs ». En réalité, la première année du mandat du président Macron a vu un nombre d’expulsions de clandestins exactement au même niveau que les « bonnes années ». L’immense majorité des clandestins n’est jamais inquiétée.

    Au regard de ces déclarations, de cette théâtralisation de mesures insuffisantes, l’axe de campagne des dirigeants de la France et de l’Allemagne pour les élections européennes de 2019 est cousu de fil blanc.

    Du reste, la recette commence à être connue. Dans cet article du Figaro daté du 17 octobre 2010, on pouvait déjà lire : « Angela Merkel durcit un peu plus son discours pour faire entendre sa voix dans le débat sur l’immigration qui agite son pays. Ce week-end, la chancelière a simplement et radicalement enterré le modèle d’une Allemagne multiculturelle, où pourraient cohabiter harmonieusement différentes cultures. Cette approche « Multikulti » – « nous vivons côte à côte et nous nous en réjouissons » – a « échoué, totalement échoué », a-t-elle lancé devant le congrès des Jeunesses de sa formation conservatrice. »

    Hasard ? Six scrutins régionaux se profilaient alors à l’horizon.

    Cinq ans plus tard, emporté par son sentimentalisme et son messianisme de fille de pasteur protestant, elle ouvrait grand les portes de l’Allemagne à plus d’un million de « migrants ». Voilà ce que valent les promesses de campagne d’Angela Merkel et de tous ses semblables qui n’ont la « fermeté » en bandoulière que lors des périodes électorales.

    Dorénavant, Merkel a changé de braquet et c’est d’un jour à l’autre qu’elle souffle le chaud et le froid sur la question migratoire. Quelques jours avant l’accord de retour des clandestins algériens, elle inventait des « chasses aux étrangers » suite aux meurtres de jeunes Allemands. Elle a même démis de ses fonctions le chef du renseignement intérieur qui l’avait alors contredit sur l’existence de ces prétendues chasses.

    En matière d’ « en même temps », Macron a là une concurrente de choix tout en restant le maître incontesté du genre. Le 29 août, il « endossait le rôle d’opposant principal à Salvini et Orbán ». Le 17 septembre, il plastronnait aux côtés du Chancelier conservateur autrichien promettant de la « fermeté » et des expulsions. Un Chancelier dont d’importants membres de son gouvernement sont justement des proches alliés ou admirateurs de Salvini et Orbán.

    Ce grand écart permanent saute de plus en plus aux yeux des Allemands comme des Français et de tous les Européens. La réalité rattrape à grands enjambées ceux qui voudraient se servir de la question migratoire pendant les élections pour l’oublier ensuite durant leur mandat. Elle devient le sujet central car elle est le sujet vital. Leur « en même temps » craque de tous côtés. Ces imposteurs ne peuvent plus que perdre du terrain.

    Jean-David Cattin

    Texte repris du site deLes Identitaires

    https://fr.novopress.info/212033/immigration-illegale-et-fermete-les-grosses-ficelles-de-merkel-et-macron-jean-david-cattin-les-identitaires/

  • Le comité national d’éthique dit oui à la PMA pour toutes – Journal du mardi 25 septembre 2018

    Société / Le comité national d’éthique dit oui à la PMA pour toutes
    Ce mardi matin, le comité national d’éthique a rendu son avis sur les principaux thèmes de bioéthique. Sans surprise, il a validé la procréation médicalement assistée aussi bien pour les couples de femmes que pour les femmes seules.

    Immigration / L’Aquarius prend l’eau
    Il aura défrayé la chronique tout l’été, l’Aquarius, le navire de l’association immigrationniste SOS Méditerranée continue de faire parler de lui. Alors que le Panama menace de lui retirer son pavillon, le bateau pourrait bien voir ses derniers jours arriver.

    Société / Vegan contre bouchers : ça va saigner ?

    International / L’UE veut contourner l’embargo américain sur l’Iran
    Alors que l’arrivée de Donald Trump à la tête des Etats-Unis a intensifié la mise au ban de l’Iran, l’Union Européenne envisage de créer une nouvelle entité pour continuer de commercer avec Téhéran.

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

     
  • La droite nouvelle doit sortir du politiquement correct, miser sur les classes moyennes et voir le monde tel qu’il est

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    Ligne Droite cliquez ici

    Depuis leur élection, M. Macron et les membres de la Nouvelle Gauche qu’il incarne occupent tout le champ politique de la pensée unique. Dès lors, pour construire une alternative véritable, la droite doit sortir du politiquement correct et proposer un projet de rupture avec l’idéologie mondialiste, déconstructiviste et ultralibérale du Système. Elle doit de plus reconstituer sa base électorale en s’appuyant sur les classes moyennes et populaires. Il lui faut enfin porter une vision qui prenne en compte le monde multipolaire d’aujourd’hui.

    Pour la première fois, le président est issu directement du Système et non d’un parti politique

    La situation créée par l’élection de M. Macron est tout à fait nouvelle et marque un tournant dans l’histoire politique de notre pays. Un tournant qui était au demeurant prévisible car le Système, ayant assis sa domination sur la classe politique, il était en effet logique qu’il finisse par imposer comme président un homme qui ne vienne plus d’un parti mais qui soit directement issu de son sein et donc totalement acquis à sa cause. Tel est le cas de M. Macron, pur produit de l’oligarchie et entièrement dévoué à l’idéologie du Système. Aussi, avec ses amis, occupe-t-il la totalité de l’espace du politiquement correct, ce qui veut dire que toute position conforme à la pensée unique sera nécessairement perçue comme un ralliement à la politique de Macron. Une configuration nouvelle qui devrait contraindre les partis et plus particulièrement ceux de droite à une profonde mutation.

    Macron et la Nouvelle Gauche monopolisent l’espace du politiquement correct

    Les formations de droite se retrouvent en effet dans la situation de ne plus pouvoir s’opposer à Macron sans rompre avec la pensée unique. Ainsi, par exemple, les Républicains doivent-ils faire ce choix ou prendre le risque de disparaître purement et simplement. Dans le champ du politiquement correct à l’intérieur duquel ils ont toujours voulu se cantonner, il n’y a en effet plus d’espace pour eux puisque M. Macron l’occupe en totalité.

    S’étant déjà alignée sur la pensée unique pour toutes les questions concernant l’identité et les valeurs, refusant d’encourir la diabolisation sur la question de l’immigration comme sur celle des réformes sociétales, la droite LR pouvait encore se distinguer sur la question économique avec des positions plus libérales que celles du parti socialiste. Mais Macron, en tirant les conséquences du ralliement de la gauche au mondialisme économique, occupe aussi le créneau de l’ultralibéralisme international. Dès lors, si elle reste politiquement correcte, la droite LR n’a plus rien à opposer à M. Macron.

    Quant au FN, il doit lui aussi se préoccuper de ne pas céder à la tentation d’une respectabilité proche de la pensée unique qui le normaliserait et pourrait même le neutraliser.

    Pour s’opposer, la droite nouvelle doit rompre avec la pensée unique

    Pour retrouver un espace électoral, la droite doit donc se libérer du carcan politiquement correct et proposer une véritable alternative à la politique du Système. Une alternative qui cette fois ne peut pas être symbolique et factice comme avec Sarkozy en 2007. Elle doit se traduire par des prises de position tranchées sur quatre sujets clés.

    La droite nouvelle doit notamment se prononcer pour la défense de notre identité et donc pour l’arrêt de toute nouvelle immigration. Sur la question des valeurs, elle doit être intransigeante et annoncer l’abrogation de la loi Taubira. Sur la question du mondialisme économique, elle doit préconiser une régulation des échanges aux frontières de l’Europe. Et, sur la question européenne, elle doit se faire le champion d’une nouvelle Union érigeant l’Europe en un pôle de puissance.

    L’élection de Macron a provoqué des reclassements électoraux de grande importance

    Il est par ailleurs essentiel pour une droite rénovée de faire les mêmes choix drastiques, s’agissant de sa base électorale. Car là aussi des reclassements importants se sont produits. Ainsi, par exemple, la droite LR, qui avait déjà perdu les couches populaires pour avoir refusé de prendre en compte les questions identitaires et qui avait déçu l’électorat conservateur en refusant de soutenir la Manif pour tous lors du débat sur le mariage homosexuel, vient maintenant de perdre une troisième catégorie d’électeurs, celle des Français attachés prioritairement au dynamisme économique.

    Ceux qui, en phase avec la mondialisation économique, aspirent à créer, à innover, à entreprendre et à réussir économiquement, sont aujourd’hui séduits par Macron. Il en va de même de la grande bourgeoisie : très soucieuse de préserver ses biens et de valoriser son capital et fort peu concernée par la question de l’identité et des valeurs, elle s’est, elle aussi, ralliée à Macron qui défend les intérêts de la superclasse et de tous ceux qui en dépendent ou aspirent à en faire partie.

    Force est alors de constater qu’aujourd’hui, la droite LR n’a plus de base électorale. Quant au FN, sa surenchère gauchisante pour tenter de séduire au second tour de l’élection présidentielle les électeurs de Mélenchon lui a fait perdre une fraction importante de son électorat potentiel.

    La droite nouvelle doit reconstruire sa base électorale avec les classes moyennes et populaires

    La droite nouvelle doit donc redéfinir entièrement sa base électorale. Pour cela, il lui faut tenir compte de la fragmentation de la France en trois grandes entités. L’oligarchie et les immigrés sont acquis au Système et soutiennent la Nouvelle Gauche de Macron. Mais la troisième composante de la société française, celle constituée des classes populaires et des classes moyennes et moyennes supérieures, est de son côté très réservée à l’égard du Système et très proche des idées d’une droite rénovée. Aussi est-ce en s’appuyant sur elle que la droite nouvelle devrait former sa nouvelle base électorale. Une base, qui, si elle se cristallise, représente encore dans notre pays une majorité de Français.

    La droite nouvelle doit prendre en compte le monde tel qu’il est

    Encore faut-il éviter l’erreur majeure qui consisterait à opposer à Macron un projet passéiste. Ce dernier, qui cherche à accélérer les processus mondialiste et déconstructeur actuellement en cours, prétend engager notre pays dans une voie d’avenir. Rien n’est plus faux mais, pour le contrer, il ne faut donc pas préconiser un retour au passé à la fois utopique et nostalgique comme l’a fait le Front national pendant la campagne présidentielle. En prônant, sur le plan économique et social comme sur la question européenne, le retour à la France des années cinquante, Marine Le Pen a conduit son parti à l’insuccès. Aussi la droite nouvelle doit-elle construire son projet pour l’avenir à partir des réalités du monde actuel. Elle doit apporter des réponses au choc des civilisations et à l’émergence sur la scène mondiale des grands pôles de puissance. Bref, tout en restant fidèle à ses valeurs, il lui faut proposer une vision nouvelle de la France et de l’Europe.

    La droite nouvelle dispose d’un espace politique potentiellement considérable

    Si donc la droite réagit, si elle prend en compte le monde tel qu’il est, si elle s’affranchit du politiquement correct et s’appuie sur les classes moyennes, elle peut espérer voir s’ouvrir devant elle un espace politique important. Car si M. Macron représente le Système dans son ensemble, sa légitimité repose cependant sur un électorat limité, comme le démontre d’ailleurs le score modeste qu’il a réalisé au premier tour de la présidentielle avec seulement 18 % des inscrits. Et, surtout, les idées de la droite nouvelle disposent d’une assise populaire considérable, qu’il s’agisse de la défense de notre identité et de nos valeurs ou encore de la contestation du mondialisme économique. Aussi, la droite nouvelle peut-elle devenir en quelques années une force politique capable de l’emporter lors des prochains scrutins nationaux.

    La droite nouvelle est une nécessité qui reste à concrétiser

    Reste à savoir qui incarnera cette force politique et électorale nouvelle. La logique aurait voulu que, les Républicains se trouvant dans une impasse, le FN incarne cette droite nouvelle et occupe tout l’espace politique ainsi libéré. Mais la stratégie qu’il a adoptée, le programme qui était le sien et la candidate qui le représentait ont rendu impossible ce basculement politique. Aujourd’hui, cependant, rien n’est joué. La droite nouvelle peut émerger d’une refondation du FN ou d’une rénovation de LR ou encore de l’apparition d’une force nouvelle créée de toutes pièces.

    Une chose est sûre cependant, cette droite nouvelle est nécessaire. Elle correspond à l’attente secrète des Français et, une fois au pouvoir, elle pourrait réussir un redressement spectaculaire de la France et de l’Europe.

  • L’invasion n’avance pas au hasard. Le général Gomart patron du renseignement militaire, l’explique.

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    Général Gomart

    Rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles. Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) est chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire. Le général 4 étoiles a expliqué,  en ouverture du colloque Geoint, qui s’est tenu à la Société de géographie, à Paris, les 11 et 12 septembre derniers, comment rien du trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français. 

    La DRM, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de renseignement géospatial interarmées). Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.). C’est ainsi que la DRM peut aujourd’hui présenter aux dirigeants français une situation précise de la présence des migrants subsahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des passeurs de migrants. Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en MéditerranéeEunavfor Med, lancée en mai dernier.

    Le général Gomart a ainsi pu confier lors du colloque que les militaires français ont repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte). Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent. Il les voit également préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable. (SourceLe Point 13/09/2015)

    Avant tout départ en mer les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, explique-t-il, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses immigratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…

    le Geoint est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géolocalisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques », précise le général. (Source)

    L’invasion est donc une affaire qui n’avance pas au hasard. 

    Voilà, il n’y a aucun mystère. Lorsque les passeurs vont acheter un zodiac au siège du Consulat honoraire de Bodrum, chez Madame le consul Françoise Olcay, les renseignements français le savent… Sans le reportage de France 2, le consul serait toujours en poste. Il est à noter que Madame Olcay a perdu son poste de consul,  mais qu’elle continue d’alimenter le trafic vers la France en poursuivant son commerce illégal et que les autorités françaises le savent, de même qu’elles savent que la Turquie délivre de faux passeports, que les capitaineries ferment les yeux etc. etc.

    Et si le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, comment ne pourrait-il pas le voir en Europe et plus encore en France ? Mais qui sait sur qui la surveillance s’exerce en France ? Sur les opposants à l’immigration ?

    Cette invasion est voulue.

    articles de référence:

    emiliedefresne@medias-presse.info

    http://www.medias-presse.info/linvasion-navance-pas-au-hasard-le-general-gomart-patron-du-renseignement-militaire-lexplique/38823/

  • L’inquiétude de ce qu'on appelle les territoires

    6a00d8341c715453ef022ad36d9684200c-320wi.jpgDepuis le 21 juin 2017, Jacqueline Gourault exerce d'assez imprécises fonctions de "ministre auprès du ministre de l'Intérieur". Cette sénatrice du Loir-et-Cher avait été nommée deux jours après que, le 19 juin, ses trois camarades du Modem, Marielle de Sarnez, Français Bayrou et Sylvie Goulard furent partis du gouvernement. Il s'agissait pour elle de représenter la sensibilité centriste, mais aussi, au sein du ministère en charge des collectivités locales, l'espoir de ce fameux pacte girondin qui allait être promis solennellement quelques jours plus tard, devant le Sénat en juillet, par le président nouvellement élu.

    Tout la disposait donc, dans notre système qui reste d'essence jacobine à piloter une opération de compensation pseudo-régionaliste. Aussi délicate que psychologiquement nécessaire, sa mission actuelle tend à rendre une personnalité administrative à l'Alsace laquelle s'est trouvée engloutie dans l'artificiel ensemble appelé Grand Est, par la faute de l'aberrante contre-réforme territoriale imposée par François Hollande en 2015.[1]

    La manœuvre en cours donne l'apparence d'une vague reprise du référendum alsacien saboté en 2013 par une partie de la classe politique locale. Or, si depuis 5 ans les œillères centralistes des dirigeants parisiens n'ont pas changé, le contexte financier des collectivités territoriales, lui, s'est totalement modifié sous l'effet des contraintes budgétaires.

    Ces dernières années une nouvelle pratique de l'État central consiste à reporter sur les structures locales l'effort de diminution des dépenses. Ceci pourrait, vu de loin, paraître de bon sens. Mais le mécanisme tend en fait vers l'absurde dans la mesure où l'on demande aux communes, aux circonscriptions intermédiaires, aux départements, aux régions, de rogner sur des dépenses, qui dépendent hélas de décisions centralisées, alors qu'elles ne disposent elles-mêmes d'aucune liberté quant à leurs ressources.

    Mme Gourault ose quand même déclarer qu'elle "ne sent pas la défiance des territoires"[2] (…) "Il peut y avoir, concède-t-elle, des interrogations, voire des inquiétudes, mais sur le terrain nous nous employons à répondre à toutes les préoccupations concrètes des élus locaux."

    Voilà sans doute un effet de la mode, hélas probablement passagère, des bonnes nouvelles auxquelles personne ne peut plus croire.

    Vieille entreprise de ménagement très parisienne, Le Figaro, annonçait pourtant deux jours plus tard ce 23 septembre[3] que [le président] Macron atteint son niveau le plus bas de popularité. Dans le baromètre mensuel de l'Ifop publié par Le Journal du dimanche, 70 % des personnes interrogées se disent mécontentes de son action. Passant de 34 % de citoyens et contribuables satisfaits en août à 29 % en septembre, son score apparaît comme le plus bas depuis le début du quinquennat.

    Remarquons que cette nouvelle chute de 5 points intervient alors même que l'on commence à se lasser de l'affaire Benalla et que l'on mesure encore mal en France, aussi bien l'effet des interventions de la diplomatie présidentielle dans le dossier du Brexit que la portée, difficile à évaluer, du scandale apparu autour de la vente de 36 avions Rafale en Inde et auquel personne ne comprend rien.

    Est-il donc interdit de penser que l’inquiétude de ce qu'on appelle les territoires, c'est-à-dire celle de la France profonde, entre pour beaucoup dans cette nouvelle baisse de popularité.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] cf. loi du 7 août portant sur la Nouvelle Organisation Territoriale de la République.

    [2] cf. Entretien avec Emmanuel Galiero pour le Figaro le 20 septembre.

    [3] cf. "Popularité : Emmanuel Macron atteint son niveau le plus bas" en ligne le 23, publié dans l'édition papier datée du 24.

    http://www.insolent.fr/

  • La France, 6e plus gros fardeau fiscal du monde

    L’index 2018 sur la liberté économique publiée par Héritage n’est toujours pas flatteur pour la France. Avec un taux de fardeau fiscal (tax burden en VO) de 47.3, la France est uniquement dépassée par le Tchad, la Belgique, la Suède, le Danemark et bien sûr hors-concours, la Corée du Nord avec un indice 0. A l’autre extrémité, plusieurs pays dépassent les 99 en indice : Bahreïn (99.9), l’Arabie Saoudite (99.7) et le Qatar (99.6), les Emirats Arabes Unis étant à 90.4, la Russie à 85.8, le Nigeria à 84.4, l’Indonésie à 83.7, l’Inde à 79.4, le Canada à 76.7, le Mexique à 75.7, la Turquie à 74.7, le Brésil à 70.6, la Chine à 70.4, le Japon à 67.4, le Royaume-Uni à 65.2, les Etats-Unis à 65.1, l’Australie à 63, l’Allemagne à 61.3 et l’Italie à 55.2.

    Sur le plan de la liberté économique, la France est 71e mondial, pays considéré comme « modérément libre ». 6 pays sont considérés comme « libres » (indice total supérieur à 80) : Hong-Kong, Singapour, Nouvelle-Zélande, Suisse, Australie, Irlande.

    En « pratiquement libres » (supérieur à 70), 28 pays : Estonie, Royaume-Uni, Canada, Emirats Arabes Unis, Islande, Danemark, Taïwan, Luxembourg, Suède, Géorgie, Pays-Bas, Etats-Unis, Lituanie, Chili, Ile Maurice, Malaisie, Norvège, Tchéquie, Allemagne, Finlande, Corée du Sud, Lettonie, Qatar, Japon, Israël, Autriche, Macédoine, Macao.

    En « modérément libres » (supérieur à 60), 58 pays : Botswana, Vanuatu, Roumanie, Uruguay, Rwanda, Jamaïque, Kazakhstan, Colombie, Pérou, Arménie, Pologne, Malte, Bulgarie, Chypre, Saint-Vincent-et-Grenadines, Bahreïn, Sainte-Lucie, Belgique, Thaïlande, Panama, Hongrie, Kosovo,  Costa Rica Turquie, Slovaquie, Espagne, Philippines, Jordanie, Mexique, Slovénie, Albanie, Dominique, Azerbaïdjan, Monténégro, Indonésie, Brunei, France, Portugal, Guatemala, Bahamas, Salvador, Tonga, Afrique du Sud, Kirghizistan, Italie, Serbie, Koweït, Paraguay, Ouganda, Fidji, Côte d’Ivoire, Maroc, Bhoutan, Seychelles, République Dominicaine, Samoa, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Oman, Honduras, Burkina Faso, Cap Vert.

    En « pratiquement non libre » (supérieur à 50), 63 pays : Tanzanie, Arabie Saoudite, Tunisie, Nicaragua, Cambodge, Guyana, Namibie, Nigeria, Moldavie ; Tadjikistan, Russie, Belarus, Gabon, Chine, Sri Lanka, Trinité & Tobago, Mali, Iles Salomon, Grèce, Bélize, Barbade, Guinée-Bissau, Madagascar, Bénin, Comores, Ghana, Swaziland, Haïti, Mongolie, Sénégal, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Bangladesh, Kenya, Inde, Pakistan, Zambie, Népal, Mauritanie, Myanmar, Lesotho, Sao-Tomé et Principe, Laos, Egypte, Liban, Vietnam, Ethiopie, Micronésie, Argentine, Gambie, Guinée, République Démocratique du Congo, Malawi, Cameroun, Ukraine, Sierra Leone, Ouzbékistan, Brésil, Afghanistan, Maldives, Iran, Burundi, Libéria, Kiribati.

    En « répressif » (inférieur à 50), 31 pays : Niger, Soudan, Tchad, Centrafrique, Angola, Equateur, Surinam, Timor oriental, Togo, Turkménistan, Mozambique, Djibouti, Algérie, Bolivie, Zimbabwe, guinée Equatoriale, Erythrée, Congo, Cuba, Venezuela, Corée du Nord (notons que cette dernière a un indice de … 5,8 ! )

    Non classés : Iraq, Libye, Liechtenstein, Somalie, Syrie, Yémen.

    Les atouts de la France sont le respect des droits de propriétés, la liberté des affaires, la liberté monétaire et celle du commerce. Ses points faibles : le fardeau fiscal, les dépenses gouvernementales, et la liberté du travail.

    Hriso XIEP

    http://www.medias-presse.info/la-france-6e-plus-gros-fardeau-fiscal-du-monde/98415/