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  • L’immigration massive est un mythe…puisqu’ils obtiennent tous la nationalité française

    L’immigration massive est un mythe…puisqu’ils obtiennent tous la nationalité française

    Voici une tribune intéressante suite à la mise en cause par Clément Viktorovitch de Charlotte d’Ornellas, qui avait osé évoqué l’immigration massive “qui n’existe pas” (voir la vidéo dans l’article en lien ici https://www.breizh-info.com/2018/09/24/102727/sy-diallo-benalla-dembele-limmigration-massive-est-un-mythe-tribune-libre) :

    “Le « Docteur en sciences politiques », Clément Viktorovitch l’affirme haut et fort, comme bon nombre de ses collègues « de gôche » et « chercheurs à l’université en lutte » : l’immigration massive est un mythe. Les chiffres le prouveraient même, renvoie-t-il à la journaliste Charlotte d’Ornellas dans un débat de la semaine dernière sur Cnews. Mais puisqu’on vous le dit ! Sur les 200 000 immigrés qui rentrent en France chaque année, ce sont des étudiants Erasmus majoritairement, et Européens avec cela, ou des familles de Français qui rentrent en France… ouf, nous voilà soulagés.

    L’immigration massive est un mythe, une légende, une fake news ! C’est d’ailleurs ce que chacun peut constater, sans être chercheur rat de laboratoire, lorsqu’il s’offre une escapade dans les quartiers nord de Paris, ou bien en Seine Saint-Denis. Non non, on vous le dit, la France n’a pas changé de visage ! Tous ces Africains que vous voyez de plus en plus nombreux dans les grandes villes, et même maintenant dans les villes moyennes ou à la campagne, ils n’existent pas. Vous vous trompez. Vous frisez le fake news ! (…)

    L’immigration massive est un mythe. D’ailleurs, en 1984 dans l’équipe de France de football avait exactement la même composition ethnique que l’équipe championne du monde de 2018. Dembele, Pogba, Kanté, Sissoko, Platini, Giresse, Lacombe, même combat !

    L’immigration massive est un mythe. Un mensonge. D’ailleurs, cette semaine, les médias évoquaient un certain Monsieur Benallabras droit du Président de la République française, mais aussi une dénommée Hapsatou Sy, guerrière de la diversité des prénoms, défendue sur les réseaux sociaux notamment par une certaine Rokhaya Diallo, pourfendeuse de la blanchitude. L’immigration massive est un mythe. Un si gros mensonge qu’on vous explique à longueur d’année sur le service public qu’il n’y a pas assez de diversité à la télévision, aux postes dits à hautes responsabilités. Qu’à poste égal, il faut embaucher des gens dont les noms ne sentent pas « la vieille France rance ».  Le pire, c’est qu’à force de le répéter, certains commencent à y croire, à s’y habituer (…)

    Non, il n’y a pas d’immigration massive, puisque depuis 40 ans, ceux qui arrivent ici — sans que l’on ait réellement pu les recenser faute de statistiques ethniques autorisées — obtiennent rapidement la Carte nationale d’Identité.

    Une carte plastifiée et siglée RF qui fait de vous un homme nouveau, c’est la magie appliquée à la République française. Et voici que trente ans plus tard, Hapsatou et Omar Sy, Rokhaya Diallo, N’Golo Kante, Ousmane Dembele, Zinedine Zidane, Alexandre « Maroine » Benalla, Mamoudou Gassama, et des millions d’autres individus initialement originaires d’Afrique, sont eux aussi Français. Il n’y a donc pas d’immigration massive, puisqu’ils sont Français, et leurs enfants le seront aussi, vous comprenez ?

    Et pour ceux qui arrivent aujourd’hui, nouveau processus. Bateau, passeurs, ONG, intervention présidentielle, vagabondage, pauvreté, misère, campements de fortune, manipulations associatives, bonne conscience de gauche, gymnase, demande d’asile, papier, asile rejeté, papier quand même après mobilisation, travail, ou pas, et carte d’identité, et tout le monde il est Français !

    Finalement là-dedans, le fautif, ce n’est pas celui qui, par aveuglement (15 ans de scolarité obligatoire dans l’Éducation nationale, ça crève les yeux), militantisme, ou par haine de soi, explique qu’il n’y a pas plus d’immigrés en France qu’il y a cent ans (tout en disant ensuite que l’immigration est une chance pour la France). Pas celui qui nous explique que tout est merveilleux, hormis le racisme et la montée du populisme en Europe qui l’inquiète.

    Non, les fautifs là dedans, ce sont tous ceux qui, trouille mortelle oblige, se refusent à dire que la France, appartient à un continent, à une civilisation, majoritairement de race (tient, on a supprimé ce mot de la constitution puisque l’immigration est un mythe…) blanche. Et que ce pays majoritairement blanc pourrait ne plus l’être dans 50 ou 100 ans, comme au Royaume-Uni, en raison des vagues successives d’immigration (qui n’existent pas bien entendu) et de carte plastifiée attribuées massivement. Et que ce n’est pas raciste de le dire, comme il n’est pas plus raciste ou malsain de préférer vivre majoritairement (le mot est important) avec ses semblables.

    D’ailleurs si le droitard était courageux et se rebellait un petit peu, sans s’excuser sans cesse, son interlocuteur « de gôche » aurait sans doute du mal à argumenter face à la question de savoir pourquoi elle ne respecte pas la carte scolaire et met ses enfants dans le privé… par exemple ! Les « droatards trouillards » se sentent néanmoins plus courageux quand ils évoquent « les racines chrétiennes » de l’Europe. Mais sa blancheur majoritaire, ça leur fait peur. Alors que pour le moment, dans ce pays, on ne va pas en prison (pas encore) ni en centre de rééducation, pour avoir énoncé ces vérités (…)

    Sans changement urgent de logiciel de la part de ceux qui croient niaisement que la France et l’Europe seraient encore la France et l’Europe avec des populations blanches minoritaires, la partie est pliée.

    En attendant, vous êtes des horribles populistes d’extrême droite et il n’y a pas d’immigration massive ! C’est bien compris ?”

    https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-massive-est-un-mythe-puisquils-obtiennent-tous-la-nationalite-francaise/

  • Paris et Alger à couteaux tirés

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    Par M. M'Hamed Hamrouch du journal en ligne marocain le 360

    On lira cette analyse [21.09] avec le plus grand intérêt. Elle est naturellement menée selon le point de vue marocain. Mais l'inquiétude extrême qu'elle reflète pour la région, la situation algérienne qu'elle décrit et les menaces que contient cette situation qu'elle signale avec vigueur, concernent aussi la France, pour toutes sortes de raisons très évidentes. Elle aussi est menacée ! LFAR   

    2790593621.jpgL’ancien ambassadeur de France à Alger, Bernard Bajolet, également ex-patron du renseignement extérieur français (DGSE), sonne la charge contre un régime algérien moribond. Décryptage.

    « Le président Bouteflika, avec tout le respect que j’éprouve pour lui, est maintenu en vie artificiellement. Et rien ne changera dans cette période de transition ». Le constat est sans appel et, tenez-vous bien !, il a été dressé par l'ex-patron de la DGSE (de 2013 à 2017). 

    Dans une interview au quotidienLe Figaro, Bernard Bajolet, (photo)également ancien ambassadeur de France en Algérie (2006-2008), insinue que le pronostic vital du régime algérien moribond est engagé. Lisez bien que c’est le régime algérien qui « est maintenu « en vie artificielle », Abdelaziz Bouteflika et ce régime ne faisant qu’un seul corps et la maladie de ce dernier implique forcément celle de la nomenclature qui ne doit sa survie qu’à la force de la poigne qu’elle continue de resserrer autour du peuple algérien frère, au nom d’une certaine « légitimité historique » !  « La nomenclature algérienne, issue ou héritière de la guerre d’Algérie, a toujours besoin de se légitimer en exploitant les sentiments à l’égard de l’ancienne puissance coloniale », charge l’ancien patron du renseignement français. 

    Une charge (officieuse) d’une crudité inédite et qui démontre à quel point Paris est agacée par ce régime-voyou, que ses apparatchiks octogénaires tentent, bon an mal an, de maintenir sous perfusion, tout comme Bouteflika qu’ils veulent introniser à vie à la tête de l’Etat algérien, ou ce qu’il en reste, dans le seul but de préserver leurs intérêts, au détriment d'un peuple livré en pâture à l'incurie et en proie à la voracité des hommes en uniforme. 

    La charge de l'ancien patron de la DGSE intervient quelques jours après une vive passe d’armes entre Paris et Alger, qui a ordonné, mercredi dernier, la levée du service de sécurité en faction devant les édifices diplomatiques français en Algérie, dont l'ambassade, les consulats, à l'exception des écoles. Une mesure de rétorsion qui fait suite au refus des autorités françaises de mettre en place une garde statique au niveau de la résidence de « son excellence monsieur l'ambassadeur d'Algérie à Paris, Abdelkader Mesdoua » ! 

    Pour préserver l’intérêt de ce diplomate, le régime algérien est prêt à sacrifier ceux, bien plus importants, de tout un peuple !  Il suffit que l’un des hommes liges de « Fakhamatohou » le Raïs soit inquiété, pour que tout l’appareil de l’Etat, en déliquescence avancée, sonne l’hallali et rue dans les brancards ! 

    L’expérience a démontré que rien ne vaut « Fakhamatohou Monsieur Bouteflika », qui veut battre des records de longévité au pouvoir, pas même l’avenir de son peuple, à plus forte raison celui, commun, des peuples de la région, que ce régime veut séparer, notamment les peuples marocain et algérien frères, en verrouillant systématiquement les frontières, entretenant à coups de milliards de dollars piqués dans « la gamelle du pauvre » citoyen algérien, une entité séparatiste nommée « RASD » et qui n’a d’existence que le nom ! 

    N’est-il pas temps pour ce tant attendu sursaut de conscience collectif du danger que représente ce régime despotique, qui ne peut continuer d’hypothéquer impunément le droit d’une région à la paix, à la stabilité, à un avenir meilleur ? Jusqu’où peut-on laisser ce régime-voyou jouer avec la sécurité d’une région qui a déjà fort à faire avec le péril terroriste, les mafias de la drogue et de la traite des êtres humains ?

    Les rapports de ce régime biberonné à la haine ne sont pas tendus qu’avec la France, ils le sont aussi avec le Maroc, la Tunisie, la Libye, le Mali, le Niger… Alger entretient des relations exécrables avec tout le monde ! A-t-elle raison contre tous ? Qu’attend donc le monde pour sauver l’Algérie et la région de ce régime assassin ?   

    M'Hamed Hamrouch

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • S’estimant humiliée, Theresa May n’exclut pas un Brexit sans accord

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    De retour de Salzburg où se tenaient des négociations entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni à propos du Brexit, le Prremier ministre britannique n’a pas caché sa déception, suite au rejet du « plan de Chequers » pourtant difficilement négocié avec son parti. A six mois de la date butoir que se sont fixés les protagonistes pour la mise en place du Brexit, aucun accord n’a été trouvé. La pierre d’achoppement semble bien être la résurgence d’une frontière entre l’Ulster et l’Irlande que l’Union Européenne veut éviter en proposant le maintien de l’Irlande du Nord dans l’Union. Un démembrement inacceptable pour Londres qui refuse une situation même provisoire dans laquelle le régime douanier serait différent en l’Irlande du Nord et dans le reste du pays.

    Et quels étaient les principaux axes du plan de Chequers ?

    Le gouvernement de Theresa May proposait de créer une zone de libre-échange encadrée par un ensemble de règles communes pour les biens et les produits agro-alimentaires. Le plan proposait aussi le maintien de normes communes entre l’Union Européenne et le Royaume-Uni, l’abandon des politiques communes en matière d’agriculture et de pèche, et l’abandon de la libre circulation des personnes afin de pouvoir reprendre le contrôle de sa politique migratoire.

    Mais quelle issue politique est possible pour sortir de cette impasse ?

    Les partisans d’un second référendum se mobilisent. Après le maire de Londres Sadiq Khan, les anciens premiers ministres Tony Blair et John Major souhaitent une nouvelle consultation populaire qui éviterait un divorce avec l’Union Européenne jugé désordonné et coûteux. Mais seul le parti libéral-démocrate de Vince Cable s’est prononcé clairement pour cette solution qui recueille pourtant officieusement l’approbation d’un certain nombre de chefs d’Etat européens, dont le Premier ministre maltais Joseph Muscat qui s’est publiquement exprimé sur la question. Mais pour le moment Theresa May y est fermement opposée.

    https://fr.novopress.info/212025/sestimant-humiliee-theresa-may-nexclut-pas-un-brexit-sans-accord/

  • Aujourd’hui, en France, certains semblent assez nostalgiques de ce modèle de liberté à la soviétique… Très peu pour moi !

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    Entretien avec Philippe Randa

    Propos recueillis par Guirec Sèvres, publiés sur le site Synthèse nationale

    Une pétition, initiée par Hapsatou Sy, demande l’interdiction d’Éric Zemmour dans les médias ; il lui avait reproché que son prénom était une insulte à la France… C’est votre avis ?

    Prénommer son enfant « Ivan », « Giovanni », « Donald », « Luigi », « Kevin », « Érika » serait alors tout autant une « insulte »… Sans oublier « Éric », prénom scandinave (du germain aina qui signifie « unique, total » et de rik qui signifie « roi »)… Cela en fait des insultes, dites donc ! Moi-même, je suis d’ailleurs une double insulte au pays où je suis né, puisque mon véritable prénom composé est Philippe-André, deux prénoms d’origine grecque tous les deux… De plus, un enfant n’est jamais responsable de ce choix, ce sont ses parents. Le « mal » (selon Zemmour) étant donc fait, il est aussi inutile qu’assez déplacé de l’utiliser comme argument.

    Éric Zemmour considère que le prénom est important lorsqu’on veut s’intégrer, s’assimiler à un peuple… Vous ne partagez pas cet avis ?

    Si, bien sûr… mais son argument d’y voir selon les cas une « insulte » ne tient pas. C’est une formule choc qui a fait le buzz… Reste à savoir si c’était voulu ou non. Le « buzz », c’est comme le crime : à qui profite-t-il ? Peut-être à tous, en l’occurrence… Au journaliste polémiste dont le dernier livre paru Destin français est la 6e meilleure vente du Top 20 GFK/Livres Hebdo dès la semaine de sa sortie (semaine de l’émission, heureux hasard !)… à la chroniqueuse Hapsatou Sy, parfaite inconnue soudainement très connue… ou encore à l’émission Salut les Terriens ! dont on parle beaucoup à cette occasion… Thierry Ardisson a, certes, censuré ce passage de son émission, ce qui le met à l’abri d’éventuelles suites judiciaires… mais il s’est tout de même immédiatement retrouvé diffusé par les bons soins de Hapsatou Sy… D’ordinaire, on méprise ce qu’on considère comme des insultes ou on les cache tant que faire se peut ; il est plus inhabituel qu’on soit le propre artisan de leur diffusion.

    Ne nous dîtes pas que vous avez signé la pétition, tout de même…

    Si, bien sûr… mais pas celle exigeant l’interdiction d’antenne d’Éric Zemmour, celle pour qu’il puisse continuer à s’exprimer librement. Et qu’on puisse tout aussi librement le contredire sans l’insulter. J’ai récemment rappelé dans un billet pour le quotidien Présent, cette histoire qui faisait beaucoup rire dans les années quatre-vingt du siècle dernier : on croyait alors l’URSS au faîte de sa puissance (le régime soviétique s’écroulera début des années quatre-vingt-dix) ; un Américain et un Russe s’entretenaient de la liberté dans leurs pays respectifs. Le premier affirmait qu’aux USA, on pouvait librement dire de son président qu’il était un imbécile. Ce à quoi le Russe rétorquait que la même liberté existait dans son pays : on pouvait parfaitement dire que le président américain était un imbécile, assurait-il !

    Aujourd’hui, en France, certains semblent assez nostalgiques de ce modèle de liberté à la soviétique… Très peu pour moi !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Migrants : l’Union européenne frappe les États membres au portefeuille !

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    « Dans de nombreux pays, le Fonds européen de développement régional (FEDER) et le Fonds de cohésion représentent au moins 50 % des investissements publics ; sans cet appui, les États membres concernés n’auraient pas la capacité financière de [les] réaliser », notait avec jubilation la Commission européenne dans sa proposition de règlement relative au FEDER et au Fonds de cohésion pour 2021-2027.

    Constater que les fonds européens pèsent lourdement dans les budgets des États membres d’Europe orientale relève de l’évidence, puisque selon un rapport de KPMG (2016), ils en avaient retiré 175,89 milliards d’euros entre 2007 et 2013, correspondant à 14,8 % du PIB annuel de la région. La rénovation d’infrastructures locales, de la gare de Wrocław en Pologne au complexe de ski Planica Nordic Center en Slovénie, en témoigne amplement. Un coup de pouce bienvenu, qui suffit à expliquer la course à l’adhésion parmi les États des Balkans qui profitent déjà, en vertu de leur statut d’États candidats ou « potentiellement candidats », d’un certain nombre de largesses.

    De là à transformer ces instruments en moyens de pression, il n’y avait qu’un pas, allègrement franchi par une Commission rarement étouffée par des scrupules démocratiques.

    Le tour de passe-passe relève du jeu d’enfant : il suffira de considérer l’accueil des migrants comme un critère d’allocation des financements de la politique de cohésion. D’ailleurs, les propositions de règlements sur le FEDER et le Fonds de cohésion (article 2.1) ainsi que sur le Fonds social européen (articles 4.1 et 7.3) couchent noir sur blanc des objectifs spécifiques en la matière. Pour ce dernier, qui consacre déjà une part importante de ses missions aux « groupes vulnérables », est fixé un pourcentage minimal de 25 % des ressources en gestion partagée allouées au volet « inclusion sociale », qui concerne notamment les migrants.

    Le tout sera désormais couronné par le semestre européen, dispositif de surveillance au travers duquel l’Union européenne tance régulièrement les États sur un éventail toujours plus vaste de politiques. Dans ses recommandations à la France du 23 mai 2018, elle semblait préconiser ainsi, à mots couverts, le recours à la discrimination positive à l’emploi en faveur des populations « issues de l’immigration ».

    Après la menace de mort politique infligée à la Hongrie, la Commission agite donc le chiffon rouge des rétorsions financières : avec cette nouvelle mouture, la Pologne verrait son allocation de la politique de cohésion fondre de 23 % et la Hongrie de 24 %.

    Or, en dépit des dénégations appuyées de la Commission, qui arguait de la « bonne santé économique » des pays de l’Est, il ne s’agit ni plus ni moins que de punir le groupe de Visegrád pour son opposition sur la question migratoire. Et si, pour ces pays, le carrosse européen risque donc de se transformer définitivement en citrouille, c’est l’ensemble des États membres qui doit s’émouvoir de cette dérive antidémocratique qui bafoue la volonté des peuples.

    Dominique Bilde

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Les reportages d’ERTV – Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac font le point sur le nationalisme français

    arton52079-f9d9c.jpgLe 4 juin 2018, Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac comparaissaient à la 12ème chambre correctionnelle du TGI de Lyon pour « reconstitution de ligue dissoute ». L’occasion pour les reporters d’ERTV d’interroger ces militants de longue date à propos de la situation du nationalisme en France. 

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-reportages-d-ERTV-Yvan-Benedetti-et-Alexandre-Gabriac-font-le-point-sur-le-nationalisme-52079.html 

     

  • Zoom : Le général Martinez, un volontaire pour la France

  • Jean-Yves Le Gallou : « Macron, c’est le président des Autres ! »

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    Sur Radio Courtoisie, Jean-Yves Le Gallou a tenu à rappeler qu’Emmanuel Macron n’était pas le président des Français mais plutôt celui des « Autres ».
    Un terme lumineux employé pour la première fois par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples, qui sera en conférence le 2 octobre prochain à Paris sur le thème : La stratégie du chaos, arme de la super-classe mondiale.

     https://www.polemia.com/jean-yves-le-gallou-macron-president-autres/

  • Plus de 2 millions de spectateurs ont regardé des jeunes filles qui font le choix de garder leur enfant

    Plus de 2 millions de spectateurs ont regardé des jeunes filles qui font le choix de garder leur enfant

    Sur M6, Zone Interdite se penchait sur ces adolescentes qui tombent enceintes et qui décident de poursuivre leur grossesse. L’équipe d’Ophélie Meunier s’est intéressé au choix d’une vie : 2 208 000 téléspectateurs étaient devant la sixième chaîne, soit 10,5% de part de marché.

    Une des jeunes filles a décidé de garder (et donc de sauver) son enfant après “un premier avortement traumatisant à 16 ans”.

    En France, 30000 adolescentes sont enceintes chaque année et un tiers d’entre elles mènent leur grossesse à terme.

    Qu’est-ce qui pousse ces jeunes filles à devenir mères aujourd’hui ? Souvent la seule solution qu’on leur donne, c’est d’avorter.

    Revoir l’émission.