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  • Formation et militantisme : Clermont Ferrand, La Rochelle, Toulouse...

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/28/formation-militantisme-clermont-ferrand-la-rochelle-toulouse-6185459.html

  • Laurent Obertone : « Les jeunes musulmans sont bien plus radicaux que ne l’étaient leurs aînés »

    http://www.fdesouche.com/1285499-laurent-obertone-les-jeunes-musulmans-sont-bien-plus-radicaux-que-ne-letaient-leurs-aines

  • Al Baghdadi est-il encore mort ? – Journal du lundi 28 octobre 2019

     

    Al Baghdadi est-il encore mort ?

    Le calife Abou Bakr al-Baghdadi serait mort ! Le chef de l’organisation Etat Islamique, traqué par des forces armées étasuniennes aurait actionné une ceinture explosive. Ce n’est pas la première fois que l’individu est censé être mort… une mort qui ne changera finalement pas vraiment la donne.

    Policiers, pompiers : cibles de choix

    Alors que le gouvernement appelle à la reconquête républicaine des zones de non-droit, les guet-apens contre les policiers et les pompiers se multiplient dans les banlieues parisiennes. Un phénomène devenu quasi-quotidien qui enflamme un peu plus des quartiers totalement hors-de-contrôle.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/al-baghdadi-est-il-encore-mort-journal-du-lundi-28-octobre-2019

  • Le Bien Commun n°12 de Novembre 2019 bientot disponible

    Le numéro 12 sort le 1er Novembre et il est encore très riche !

    En plus des chroniques habituelles , vous pourrez retrouver un dossier spécial Municipales , de nombreux articles sur les Gilets Jaunes, des interventions de Michel Grunewald, Xavier Martin ou encore Pierre de Meuse !

    Faites connaître notre journal , partagez cette Une !

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/27/le-bien-commun-n-12-de-novembre-2019-bientot-disponible-6185587.html

  • Une guerre de conquête, à peine voilée…

    Tout pour « la voilée et son fils », Rien pour les victimes de ceux qui partagent la même idéologie qu’elle…
    Julien Odoul, président du groupe RN au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, avait demandé à ce qu’une femme parmi le public, dans cette enceinte retire son voile…
     Et c’est le scandale du siècle, lourdement médiatisé !
    Et pourtant cela aurait été si simple de le faire (ou à défaut de quitter la salle) ; sous la Présidence de l’Assemblée Nationale de Laurent Fabius un prêtre et une religieuse n’avaient-ils pas dû respectivement retirer leur croix et leur voile pour pouvoir s’asseoir dans l’hémicycle !
    Mais cette jeune femme n’a pas voulu obtempérer aux injonctions du Président du Groupe, d’où le tohu-bohu qui en a résulté avec indignations et pleurs d’enfant.
    Apparemment, comme l’a fait judicieusement remarquer l’écrivaine, journaliste franco-marocaine Zineb El Rhazaoui : « Cette femme (la maman voilée) préfère faire pleurer son enfant qu’enlever son voile, garder son voile est plus important pour elle que les larmes de son enfant ».
    Par ailleurs des photos grossies montrent le sourire béat de la donzelle au moment de l’esclandre, enfin passons…
    L’affaire aurait pu en rester là, mais que nenni : une première plainte contre le vilain monsieur a été déposée auprès du parquet de Dijon afin de réclamer des poursuites pour « des violences commises en réunion par personnes dépositaires de l’autorité publique sur mineur et majeur à caractère racial » ; rien que cela !
    Mais pour bien enfoncer le clou une deuxième plainte doit également être activée auprès de la justice pour « provocation publique à la haine raciale par des élus ».
    L’avocate de la plaignante ayant déclaré : « Ce n’est pas qu’une question de laïcité mais de racisme… (en effet) Ma cliente a été humiliée, son image a été diffusée partout, elle est très marquée et son fils voit un psychologue » ; et depuis cet esclandre, Fatima E., la victime a confié avoir « peur de tout, j’ai des frissons et je tremble. Sincèrement ils ont détruit ma vie ».
    Un certain nombre de remarques s’imposent à ce stade :
    Aurait-elle eu peur des foudres de son mari, pour insoumission, si elle avait retiré son voile ?
    Alors que de nombreuses femmes luttent, dans le monde musulman, pour s’émanciper de ce marqueur identitaire de déni d’égalité et de défi à la fraternité, en risquant leur vie…
    « Quand je vois un voile, s’écrie Zined El Razaoui, je ne peux pas m’empêcher de penser aux iraniennes qui s’immolent pour pouvoir enlever cette prison, aux afghanes qui se font tirer dessus si elles ne le portent pas, aux jeunes filles dans les banlieues françaises ».
    Les pleurnicheries d’un gamin à cause d’un voile non retiré par sa mère valent apparemment plus, médiatiquement parlant, qu’à titre d’exemple, la détresse des enfants du couple de policiers égorgés par des islamistes adorateurs du Coran et de la sunna, comme elle !
    Là encore Zined El Razaoui est extrêmement pertinente quand elle proclame : « Je pense aux orphelins des attentats de la préfecture de police de Paris dont personne ne parle, qu’on a complètement évincé du débat pour parler d’un gamin avec une histoire de voile et de victimisation ».
    Je veux rappeler à tous ceux qui se réfugient derrière l’expression miraculeuse du « Pas d’amalgame » qu’il est temps de prendre officiellement position pour dénoncer les atrocités commises au nom d’un islam, soit disant radical, et s’en dissocient définitivement.
    Si l’Islam, après ses crimes atroces et lâches sur des innocents depuis des années (remontons au 5 juillet 1962 à Oran) en vient à mettre le feu en Europe et que nous nous trouvions face à face comme l’a dit un précédent ministre de l’intérieur, ne croyons surtout pas qu’il y aura des modérés pour nous venir en aide.
    Alors, les musulmans de France montreront le vrai visage de l’Islam.
    Patrick VERRO – VPF Ile de France
    source

  • Frémissements populistes au Portugal

    2753234785.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Le 6 octobre 2019 se tenaient des élections législatives au Portugal. Au cours des jours précédant ce scrutin, la grosse presse cosmopolite ne cessa pas de vanter la clique politicienne locale.

    Bien qu’arrivée en tête aux élections de 2015, la droite modérée qui se désigne « sociale-démocrate », bel aveu de modération avancée, est incapable de s’entendre au point de laisser le pouvoir aux forces de gauche. Le Parti socialiste d’Antonio Costa négocie âprement avec son ennemi historique, le Parti communiste, et avec le Bloc de gauche, une sorte de condensé lusophone de Mélenchon et de Besancenot. Costa constitue un gouvernement socialiste homogène qui bénéficie du soutien parlementaire des communistes et des gauchistes. Cette alliance inédite n’empêche pas le Portugal d’appliquer une politique économique décidée par la troïka FMI – BCE – Commission de Bruxelles. La violence économique de l’austérité néo-libérale s’édulcore seulement de mesures progressistes d’ordre sociétal.

    La médiacratie hexagonale s’extasie surtout de l’absence de tout signe de populisme. Le discours national-identitaire n’est guère audible dans l’opinion portugaise malgré une immigration croissante due à la conjonction de deux phénomènes : l’installation de plus en plus fréquente de ressortissants d’anciennes colonies ultra-marines et l’arrivée des retraités francophones et anglophones. Leur présence favorise la hausse rapide des prix de l’immobilier aux dépens des Portugais eux-mêmes.

    Les résultats électoraux voient le vote socialiste croître de 4,3 points et remporter vingt sièges supplémentaires. Antonio Costa est sûr de retrouver son poste de Premier ministre. Le Bloc de gauche garde ses dix-neuf sièges tandis que la Coalition démocratique unitaire, un regroupement de diverses formations dont les communistes et les Verts, n’en a plus que douze, soit cinq de moins. L’alliance gouvernementale est reconduite avec une préférence – implicite – accordée au Bloc de gauche.

    La politique sociétaliste de Costa suscite cependant une forte défiance populaire. Outre une abstention élevée (46,5 %), le mouvement environnementaliste et proto-animaliste de centre-gauche Personnes – Animaux – Nature s’emparent de trois autres sièges, soit un total de quatre élus. Mouvement de droite nationale, le Parti national rénovateur ne recueille que 15 272 suffrages (0,3 %), une perte de 0,2 point. Cet échec cuisant s’explique par le (modeste) succès de CHEGA !.

    Fondé le 9 avril 2019, CHEGA !, c’est-à-dire « ASSEZ ! », est dirigé par un professeur de droit de 36 ans, André Ventura. Il entre au Parlement avec 66 442 voix (1,30 %). Cet ancien adhérent du Parti social-démocrate entend importer au Portugal les méthodes du voisin espagnol Vox et, lusophonie oblige, l’activisme du président brésilien Jair Bolsonaro. CHEGA ! ne verse pas dans l’euroscepticisme et pencherait plutôt vers l’Alliance des conservateurs et réformateurs européensdorénavant dominée par le PiS polonais. Hostile à l’islam et au mariage gay, ce jeune parti politique promeut une ligne nationale-libérale conservatrice. Il s’affiche libéral en économie, nationaliste sur le plan culturel et conservateur dans le domaine sociétal. À l’instar de Vox, il se déclare irréprochable sur certains sujets supposés controversés et prend par conséquent bien soin de ne pas être confondu avec le RN français, la Lega italienne et l’AfD allemande.

    Par cette élection surprise, l’illusion d’une Lusitanie préservée de tout affreux populisme, se dissipe enfin. Faut-il y voir une conséquence indirecte de la polémique de l’été ? En août dernier, le maire socialiste de Santa Comba Dao, Leonel Gouveia, proposa l’édification d’un musée, ou plutôt d’un centre d’étude et d’interprétation du régime de l’enfant de la commune, Antonio Salazar, le président du Conseil de l’« État nouveau » (1933 – 1974). Le 11 septembre suivant, à l’initiative du groupe communiste, le Parlement vota grâce à l’abstention d’une « droite » toujours aussi pleutre, une condamnation de ce projet qui offenserait la mémoire des « victimes » du salazarisme.

    André Ventura est bien seul. Et alors ? Pendant près de vingt-huit ans, Jair Bolsonaro fut un député fédéral isolé et méprisé. En dépit d’un changement fréquent d’étiquette partisane, cet isolement politique le préserva des compromissions politicardes. Le président de CHEGA ! a-t-il commencé une longue marche qui en fera un jour le Bolsonaro du Portugal et de la Vieille Europe ?

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°144, mise en ligne sur TVLibertés, le 21 octobre 2019.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Main arrachée pendant les gilets jaunes : le parquet général de Bordeaux relance l’affaire

    Le parquet de Bordeaux avait classé sans suite la plainte de ce jeune Bayonnais, qui a perdu une main dans une manifestation à Bordeaux. L’affaire est relancée

    Le parquet général de Bordeaux ordonne une information judiciaire pour « mutilation volontaire », dans le cas d’Antoine Boudinet. Ce jeune homme originaire de Bayonne, avait eu la main droite arrachée, le 8 décembre 2018, en marge d’une manifestation des gilets jaunes à Bordeaux.

    En cause: les grenades lacrymogènes GLI F4. Dans un premier temps, le parquet de Bordeaux avait classé sans suite la plainte d’Antoine Boudinet. Le procureur général Vincent Lesclous balaie cette décision et relance l’affaire.

    Sud Ouest

    https://www.tvlibertes.com/actus/main-arrachee-pendant-les-gilets-jaunes-le-parquet-general-de-bordeaux-relance-laffaire

  • Identité obligatoire pour obtenir les aides sociales.

    Avec mes amis du Parti VOX à Séville, le verre de l'amitié dans un café où sont réunis l'étoile de David, le Coran et la Croix du Christ

    Le parti VOX, qui occupe actuellement 24 sièges à l’Assemblée Nationale, est très préoccupé par le déroulement des prochaines élections législatives du mois de novembre en Espagne.

    En effet, les sondages proposent le PSOE (Socialistes) comme le prochain vainqueur de ces élections mais dans l’impossibilité de gouverner sans alliance et qui s’est vu proposer l’appui du parti « Ciudadanos » d’Alberto Rivièra, en perte de vitesse justement à cause ce renversement de direction vers la gauche, depuis la dislocation du parti d'extrême gauche « Podemos », principal soutien des socialistes, d’une part à cause de sa position favorable à l’indépendance de la Catalogne et, d’autre part, par la scission occasionnée par le départ de son secrétaire général qui a fondé son propre parti « Mas Pays », refusant de prononcer le mot « Mas Espana », ce qui est très explicite.

    Le « Parti Popular », seule opposition, pour le moment, aux socialistes devrait améliorer son pourcentage et inquiéter justement le PSOE et la crainte du parti VOX est que nombre d’électeurs qui leur seraient favorables décident, justement pour aider le PP, à lui apporter momentanément leurs voix.

    Malgré cette crainte justifiée, il est plus que probable que VOX obtiendra un pourcentage en progression sur les dernières élections, si l’on tient compte de l’intérêt qu’il provoque parmi les citoyens espagnols soucieux de l’avenir de leur pays, actuellement sérieusement menacé par l’insécurité due à une invasion incontrôlée.

    Le gouvernement régional d’Andalousie vient d’approuver, mercredi dernier, une proposition d’accord avec le ministère de l’Intérieur lancée par le parti VOX qui, pour la première fois, avec 12 élus, participe aux décisions de ce gouvernement régional qui durant plus de trente années fut aux mains des socialistes.

    Cette proposition afin que les plus de 40.000 migrants clandestins illégaux, qui se font soigner gratuitement dans les hôpitaux de la région andalouse, soient répertoriés officiellement dans un fichier national.

    Immédiatement cette proposition a soulevé le tollé des 125 organisations de défenses des droits de l’homme (l’APDHA) qui estiment qu’une telle mesure constituerait une attaque flagrante contre les droits fondamentaux des migrants et qu’ils la contesteront en justice.

    Depuis quand les migrants clandestins et illégaux auraient-ils des droits fondamentaux ? Ces droits qui sont réservés aux demandeurs d’asile par exemple.

    Que ces migrants clandestins soient soignés dans les hôpitaux d’Andalousie est tout à fait compréhensible mais à la condition qu’ils puissent justifier de leur identité, de leur provenance et de leur âge or, et pour des raisons parfaitement compréhensibles, ces migrants illégaux se débarrassent de leurs papiers d’identité dès leur arrivée en Europe et cela pour des raisons évidentes : ne pas pouvoir être expulsé puisque sont ignorés les pays de provenance ou d’origine, mais également pour pouvoir se faire identifier comme « mineurs », afin de bénéficier de toutes les mesures prescrites dans un tel cas, alors qu’un grand nombre sont en réalité des « majeurs ».

    L’application d’une telle mesure autoriserait, si la nécessité se faisait sentir, de permettre une expulsion légale pour la plus grande majorité d’entre eux .

    L’Espagne n’est pas le seul pays concerné, tous les pays européens, y compris bien entendu la France, se trouvent confronter à une situation identique.

    Il est absolument urgent, dans l’intérêt même des véritables demandeurs d’asile, d’exiger la preuve de l’identité, de l’origine et de l’âge, de tous les migrants présents sur notre sol et de refuser l’attribution de toutes les aides sociales et autres à tous ceux qui ne peuvent justifier d’une identité réelle.

    http://magoturf.over-blog.com/2019/10/identite-obligatoire-pour-obtenir-les-aides-sociales.html

  • Michel Maffesoli : « Nos politiques sont élus par 10 % de la population, d’où les soulèvements ! »

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    À l’occasion de la sortie de son livre La Faillite des élites et de l’anniversaire du mouvement des gilets jaunes, grand entretien avec le sociologue . À écouter pour prendre du recul, comprendre les révoltes mais aussi discerner l’avènement d’un nouveau monde.

    https://www.bvoltaire.fr/michel-maffesoli-nos-politiques-sont-elus-par-10-de-la-population-dou-les-soulevements/