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  • Comment naissent les dictatures

    6a00d8341c715453ef0240a4ffd150200d-320wiEn verve en ce 27 avril, le vieux journal gauchisant Libé, si sournoisement complaisant depuis 2017, comme la plupart des médias subventionnaires, n'en peut visiblement plus avec l'adolescent imberbe de l'Élysée et son gouvernement chaotique.

    Citons quelques articles de tête dans son édition du jour :

    • Déconfinement : trouver la sortie du labyrinthe : incertitudes sur l’efficacité des mesures prévues pour l’après-11 mai, divergences et revirements chez les politiques et scientifiques, défiance des Français… Le gouvernement, qui dévoile son plan mardi, s’attend à recevoir des coups.

    • Tâche périlleuse pour Jean Castex, homme de terrain apprécié : le maire de Prades, ancien de la Cour des comptes et des cabinets de Xavier Bertrand, a été chargé de gérer le déconfinement…

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  • Attaque islamiste contre deux policiers à Colombes : le coronavirus n’est pas le seul danger en France, l’aurait-on oublié ?

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    Il paraît que le symptôme pathognomonique du covid19 est la perte du goût et de l’odorat. On constate, de toute évidence, que cet étrange virus fait perdre aussi l’ouïe et la vue. Comme si tous les Français avaient la tête plongée dans un bain de liquide hydroalcoolique. Aucune autre actualité ne les atteint. La tuerie de Romans-sur-Isère est passée pour ainsi dire inaperçue. Les émeutes en banlieues n’ont fait l’objet que de quelques entrefilets dans les journaux. Il est donc peu probable que les deux motards de la police nationale intentionnellement renversés, à l’arrêt, à Colombes lundi après-midi — l’un d’eux est gravement blessé et en coma artificiel – émeuvent les foules.

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  • Le gouvernement par la peur a de beaux jours devant lui, à moins que….

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    Par Dominique Muselet

    Comme chacun sait, les sentiments se divisent en deux catégories, les positifs et les négatifs. Les deux ont leur utilité et d’une certaine manière se complètent. Les sentiments positifs, l’amour (agapé), la gratitude, l’admiration, engendrent une forme de symbiose qui nous permet d’acquérir les qualités de ceux envers qui nous les éprouvons. Les sentiments négatifs nous alertent sur ce qui ne va pas, en nous ou à l’extérieur. Ainsi l’envie nous indique que nous souhaiterions jouir de ce que nous envions, mais que nous ne nous sentons pas capables ou dignes de l’obtenir. La peur, quant à elle, nous signale un danger. Cependant, le danger peut être imaginaire, il faut alors, sans paniquer, faire appel à notre jugement pour s’assurer de sa réalité.

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  • Immortalité, égalité, liberté : fin des illusions !

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    Le délire transhumaniste de l’homme immortel, augmenté, prolongé, remplacé pièce par pièce, se fait plus discret face au retour de la mort dans une société qui s’évertuait à l’oublier. La mort arrive en moyenne plus tard, la médecine peut en reculer la date, mais elle demeure tellement inéluctable qu’on permet même au médecin d’en adoucir la venue, sinon de la précipiter. Le lien statistique évident entre l’âge des malades et le risque mortel introduit une inégalité naturelle qu’on avait tendance à oublier dans les idéologies obsédées par la non-discrimination.

    Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades que l’on va soigner et ceux pour lesquels on choisit d’arrêter les thérapeutiques actives. Cette inégalité n’est, d’ailleurs, pas la seule qui apparaît crûment dans la parenthèse désenchantée que nous vivons. Le choix du médecin, de l’hôpital, du traitement, le lieu où l’on est confiné, les obligations professionnelles ou encore les conséquences sociales de la cessation d’une activité créent de nombreuses variations sur le thème du confinement égal pour tous. Faut-il ajouter que l’État n’est manifestement pas capable de le faire appliquer à tous et partout !

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  • Coronavirus : en faire ou pas tout un fromage !

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    La chronique de Philippe Randa

    En France, et même s’il ne fait pas forcément l’unanimité, il y a un sujet avec lequel on ne plaisante pas : nos fromages ! C’est donc une partie de notre Patrimoine que l’on aurait juré être pour le moins sacrée ! Et pourtant…

    Qu’y eût crû que l’épidémie de Coronavirus aurait sur ce secteur aussi une conséquence pour la moins inattendue : les appellations du Bleu d’Auvergne, du Comté, du Saint-Nectaire et de la Fourme d’Ambert vont être modifiées (Arrêté du 17 avril 2020 publié au JO du ministre de l’économie et des finances et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation).

    En février 2016, lors d’une réunion consacrée à l’agriculture et à la ruralité, Nicolas Sarkozy en appelait dans une déclaration aux accents des plus identitaires, à se battre pour nos appellations (entre autres celles des fromages) : « C’est la bataille de notre savoir-faire, c’est la bataille de notre identité, c’est la bataille de notre histoire, c’est la bataille de nos terroirs. Et si nous cédons là, nous cèderons sur tout. »

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  • Covid-19 : les dessous de la rage anti-Raoult, par Ivan Rioufol

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    Une autre épidémie gagne une partie du corps scientifique et médical : la rage anti-Raoult. Elle a déjà contaminé aussi quelques intellectuels lucides, à commencer par Alain Finkielkraut. Le professeur marseillais, spécialiste mondialement reconnu en infectiologie et microbiologie, est devenu un repoussoir “populiste” pour le nouveau Parti de l’Ordre Sanitaire et ses milices. Celles-ci, qui recrutent leurs sicaires sur les réseaux sociaux, sont prêtes à dresser les listes de ceux qui ne respectent pas le confinement ou qui affichent leur indiscipline face aux interdits du sanitairement correct. Nombreux sont les brocanteurs de morale qui, une fois de plus, révèlent leur vocation de petits flics. C’est ainsi également que Raoult vient d’être indirectement épinglé par le conseil national de l’Ordre des médecins.

    Ce dernier a, le 23 avril, dénoncé les “protocoles de recherches cliniques illégaux“, en visant plus particulièrement le traitement à base de chloroquine proposé par le professeur contre le Covid-19. Dans le même temps l’Armée reconnaissait, après des preuves dévoilées sur l’internet, avoir commandé à la Chine, par précaution, des stocks de chloroquine. Cela fait trois mois que le professeur Didier Raoult propose une solution contre le Covid. Il se heurte à la loi des normes et à des querelles de chapelle. En 1985, avec l’apparition du sida, Laurent Fabius, premier ministre, avait refusé d’agréer le test américain Abbott dans l‘attente d‘un test Pasteur en cours de préparation. Six mois avaient été perdus. 200 personnes avaient été contaminées chaque mois. Va-t-on vers un autre scandale sanitaire ?

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  • Michel Onfray : “Il nous faut opposer un Front Populaire au Front Populicide qui méprise, néglige et passe par-dessus le peuple”, par Nicolas Clément.

    Source : https://www.valeursactuelles.com/

    Le 12 avril, Michel Onfray et Stéphane Simon annonçaient la création de leur nouvelle revue de combat : Front Populaire. A travers ce média, le philosophe engagé entend organiser la convergence des souverainismes de gauche et de droite, tout en donnant une voix à l'ensemble du spectre contestataire de la société civile. Son objectif : imaginer “un avenir souverainiste, aux antipodes du rêve anti-social et anti-civilisationnel de Jupiter…” Entretien.

    Valeurs actuelles. Quand vous est venue l’idée de créer cette nouvelle “machine de guerre pour la plèbe” ?
    Michel
     Onfray. Le pouvoir m’a évincé de France-Culture où mon cours d’université populaire a été retransmis avec de véritables succès d’audience pendant une quinzaine d’années. Le maire de Caen LR, compatible avec Macron, s’est étonnement mis dans la situation d’être incapable de me trouver une salle pour que je puisse y donner mon cours pendant deux années, je lui avais laissé le choix du jour et de l’heure … L’université de Caen a convoqué un conseil d’administration pour voter massivement contre moi : ils ont refusé de me   louer la salle trois mille euros par séance – quatorze étaient prévues chaque année…- sous prétexte que les contenus de mes cours n’étaient pas scientifiques ! Le patron du Zénith, où j’ai une année donné mon séminaire en quatorze séances sur sept jours, a empoché 15.000 euros afin de payer une publicité de l’événement qu’il n’a jamais faite – ce que j’ai rendu public et qui n’a ému personne, pas plus d’ailleurs qu’avec les autres informations… Je me suis donc trouvé à la rue.

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  • Halte à l’hypocrisie des juges et des media : le racisme est très différent de ce que l’on dit !

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    Bernard Plouvier

    Une vidéo prise à Paris, ces dernières heures, aurait ému les milieux immigrationistes, dans laquelle un policier aurait émis - le conditionnel est de rigueur quand l’on connaît la virtuosité de certains truqueurs - des propos « racistes ».

    Si la chose était avérée, ce serait regrettable : toute manifestation de racisme est une stupidité, en plus de tomber sous le coup de la loi – du moins théoriquement, car certains propos racistes sont occultés par nos talentueux hommes et femmes des media et nos remarquables juristes.

    En l’occurrence, la « victime » serait un honorable voleur issu d’Afrique, opérant au sein d’une bande, qui se serait jeté dans la Seine pour échapper aux policiers puis aurait hurlé quand on l’a repêché... et les hurlements ne témoignent pas obligatoirement de « mauvais traitements », à moins de qualifier ainsi des gestes visant à éviter une noyade.

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  • Avec Jean Raspail, suivre d’abord ses propres pas

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    Les romans de Raspail sont indémodables. Récemment, Albin Michel a eu la bonne idée de rééditer deux incontournables de son oeuvre : Les Pikkendorff et L’Anneau du pêcheur.

    Avec Sylvain Tesson, Jean Raspail partage le goût des chemins de traverse. Ces deux écrivains de Marine aiment à sillonner ces « chemins noirs », pistes en pointillés sur les cartes d'état-major. À Tesson les flèches des cathédrales, l'immense Asie, le Baïkal, le retour de la Bérézina et les routes cachées de la France profonde. À Raspail, les vastes Amériques, d'un bout à l'autre, les rapides québécois et les glaces filégiennes, mais aussi les confins imaginaires d'une Europe chevaleresque.

    On voudrait parfois faire de Raspail un écrivain à thèse, le réduisant au Camp des saints. Ce serait oublier qu'il est d'abord un explorateur le voyage précède la plume. Le premier inspire l'autre, la seconde accompagne le premier et le fait vivre pour toujours. Il est de multiples façons de voyager. Dans l'espace bien sûr, mais aussi dans le temps et dans l'imaginaire, au royaume des allégories, de la tenue, de l'attitude, du panache.

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