Parce que sa petite sauterie provençale avec Assa Traoré a fait l’objet d’un article publié dans Valeurs actuelles, le « journaliste » Taha Bouhafs a piqué une colère sur Twitter, arguant d’une violation de sa vie privée qui lui aurait valu un déferlement d’insultes.
C’est son droit de défendre sa vie privée, sauf que, pour rédiger leur article, les journalistes de Valeurs actuelles n’ont pas envoyé un paparazzi pister les vacanciers, ce sont eux-mêmes qui ont partagé leur villégiature sur Instagram. Le magazine conservateur n’a donc fait qu’exploiter une information publique.