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  • Répression contre SOS Tout-Petits

    SOS Tout-Petits m'informe :

    "A Paris, le Préfet de Police a notifié, le vendredi 15 novembre à 20h40, l'interdiction du rassemblement de prière prévu par SOS Tout-Petits ce jour, samedi 16 novembre 2013, à 10h30. Le Dr Dor et une dizaine de personnes ont été embarqués par les forces de l’ordre."

  • Contribuables, à vos poches : deux ou trois choses que vous ne lirez pas ailleurs …

    Il ne suffit pas de crier contre les impôts. Il faut dire que la maitrise de la dépense publique passe par des changements profonds : la remise en cause de la mondialisation, l’arrêt de l’immigration, la mise à la diète des collectivités locales et la fin du clientélisme social et sociétal. Rediffusion d’un éditorial de Polémia d’octobre 2012.
    En 2012, le montant de la dette publique française approche 90% du produit intérieur brut. Pire : près du quart des dépenses annuelles de l’Etat est financé par l’emprunt. Ceci peut d’autant moins durer que le Parlement français vient de ratifier à une large majorité PS/UMP le Traité budgétaire européen, un traité d’ailleurs signé par le précédent gouvernement. La hausse des impôts prévue au budget 2013 est dans la droite ligne de ce texte.
    Certes, un gouvernement UMP n’aurait pas adopté exactement le même dispositif fiscal. Mais sa marge de manœuvre pour conduire une politique différente aurait été étroite. En matière de fiscalité, il n’y a guère d’autres solutions que de faire payer les gros bataillons, c’est-à-dire les classes moyennes et les classes moyennes inférieures. Et, pour leur faire accepter ce sacrifice, comment éviter de surtaxer un peu plus les plus riches (qui ont d’ailleurs de larges possibilités d’ « optimisation fiscale ») ?
    Bien sûr, beaucoup objectent, non sans raison, qu’il aurait mieux valu baisser les dépenses qu’augmenter les impôts. Or, en 2013, les dépenses de l’Etat continueront, contrairement à ce qui est annoncé, à augmenter (374 milliards d’euros au lieu de 368, soit +1,6%).
    Pour comprendre pourquoi, il faut distinguer deux types de dépenses :
        – les dépenses limitatives, dans lesquelles il est possible de couper, ce qui se fait d’ailleurs : pour l’armée, par exemple, pour les investissements de transports ou pour les dépenses de fonctionnement des administrations ;
        – et les dépenses évaluatives, qui dépendent de l’accès de particuliers à des droits préalablement définis. Ce sont précisément ces dépenses-là qui augmentent pour quatre raisons : le vieillissement de la population (inéluctable), la mise en œuvre de lois sociales UMP d’autant plus « généreuses » qu’elles n’étaient pas financées (sur le handicap et la dépendance), la montée du chômage, conséquence du libre-échange et de la récession, et la poursuite de l’immigration.
    Dans ces conditions, il faut bien que l’Etat mette la main à la poche pour équilibrer les budgets sociaux et locaux, et aussi pour financer le Revenu social d’activité (RSA), la Couverture médicale universelle (CMU) et la CMU complémentaire, l’Aide médicale d’Etat (AME) et les hébergements d’urgence. Toutes dépenses qui progresseront en 2012 (*).
    On peut aussi observer que les collectivités territoriales représentent un formidable gisement d’économies potentielles. Mais aucun gouvernement ne se hasarde à les chercher car les maires de grandes villes, les présidents de conseils généraux et régionaux siègent au Sénat et à l’Assemblée nationale et défendent leurs intérêts becs et ongles, indépendamment de leur couleur politique. Quand ce sont les bénéficiaires directs des dépenses qui les votent on peut difficilement s’attendre à des économies !
    Parisot : l’incendiaire qui crie au feu !
    Or de cela l’opinion n’est guère informée. Les milieux d’affaires râlent contre les impôts mais contribuent, par leurs choix en faveur du libre-échange, des délocalisations et de l’immigration, à entraîner une hausse des dépenses. Quand la présidente du MEDEF, Madame Parisot, dénonce l’excès des charges alors qu’elle milite pour le libre-échange intégral et l’immigration, elle se conduit comme un incendiaire qui crie au feu. Les dirigeants d’entreprise, notamment de PME et TPE, devraient être conscients du mal que leur font ceux qui parlent en leur nom.
    Les think-tanks libéraux, à l’exception notable de Contribuables associés (et parfois de l’IFRAP), s’acharnent sur la critique des dépenses régaliennes mais gardent un silence prudent sur le secteur social et surtout sur l’immigration (dans l’espoir d’être invités dans les médias) : or, les hausses de dépenses en matière sociale, scolaire, sécuritaire ou judiciaire et pour partie sanitaires sont liées à l’immigration. Il est vain de déplorer les effets de phénomènes dont on chérit les causes.
    Propriétés de la superclasse mondiale (banques et multinationales), les grands médias ne posent pas davantage les vrais problèmes. Bien au contraire : ce sont eux qui imposent une chape de plomb.
    Voilà pourquoi les impôts augmenteront en 2013. Et encore plus en 2014 car la récession économique creusera à nouveau le déficit budgétaire et qu’il faudra bien combler le trou supplémentaire ainsi créé…
    La France (et l’Europe) ne sortiront de cette spirale mortifère qu’en changeant de paradigmes dominants. Au bord du gouffre ?
    http://www.polemia.com/contribuables-a-vos-poches-deux-ou-trois-choses-que-vous-ne-lirez-pas-ailleurs/
    (*) Officiellement le budget ne distingue pas clairement « dépenses évaluatives » et « dépenses limitatives ». La présentation budgétaire distingue « croissance zéro volume » de « croissance zéro valeur ». Dans les faits les dépenses sociales sont généralement classées initialement dans le « zéro volume » (stabilité mais sans l’érosion de l’inflation) avant d’être révisées en hausse par les lois de finances rectificatives (LFR).
    * Cet article a été initialement publié le 16/10/2012, avec pour chapô originel : “Pour les chefs d’entreprise et la droite libérale l’affaire est entendue : les socialistes arrivent, les socialistes aiment les impôts, les impôts augmentent. C’est court, c’est simple, mais c’est insuffisant ! Car si Sarkozy avait été réélu et si l’UMP avait gagné les élections législatives, les impôts augmenteraient dans les mêmes proportions”. Lequel constituant la seule modification apportée.

  • Que c’est-il réellement passé le 11 novembre à Paris ?

     Voilà qui dédouanera les patriotes des mensonges de Manuel Valls.

  • Hollande invalidé pour fraude fiscale : c’est possible !…

    AFFAIRE KEMLIN-TRIERWEILER

    Sur cette affaire chacun peut constater le grand silence dans la presse. Pourtant un événement vient juste de se produire mercredi 13 novembre. Vous avez dit presse indépendante ?...
    Hollande a-t-il trop tiré sur la corde et s’est-il senti intouchable ? La fraude aux impôts, commence en général par une petite sous-estimation, un oubli. Souvent ça passe. Alors c’est tentant de recommencer, et de fil en aiguille on sous-estime encore plus, on optimise encore plus, on joue avec la règle on dépasse la ligne jaune et ça passe, et dans un bel élan on est en grande infraction et ça ne passe plus.
    Tous les scandales politiques se passent comme cela. Une petite entorse exceptionnelle qui passe une fois, et comme elle est passée, l’exception devient l’habitude et l’habitude frauduleuse devient la règle. Est-ce qui s’est passé pour François Hollande ? Certainement !¢
     
    Et puis si vous avez quelques souvenirs d’actualités passée vous pesez les tenants et aboutissants.
    Vous vous souvenez certainement qu’en 2007, des accusations de sous-estimation flagrante de patrimoine du couple que formait Hollande et Royal défrayait déjà la chronique. Le canard enchaîné en avait fait ses choux gras.
    Déjà dans cette affaire de l’époque, les deux dirigeants socialistes avaient publié à l’occasion de la présidentielle leur patrimoine commun.
    Il était apparu une sous-estimation notoire de leur propriété de Mougin. « Un records de sous-évaluation immobilière », poursuivait Le Canard. Six professionnels immobiliers contactés par le Canard avaient estimé de cette propriété relevait de l’aimable plaisanterie.
    Le Monde, qui a mandaté une expertise contradictoire de son côté auprès de neuf agences immobilières de Mougins, affichait un prix médian de cette maison de plus de 120 m² à 540.000 euros « sans la piscine, le terrain et la vue ». Soit le double de l’estimation du couple.
    À cela s’ajoutait une habitation commune d’une valeur de 270.000 euros, deux à trois fois moins que le prix du marché. L’appartement familial de Boulogne-Billancourt, dont Ségolène Royal et François Hollande possèdent les deux tiers via une SCI, ne vaudrait pas les 750.000 euros affichés mais « autour de 1,2 million ».
    Cette affaire démontrait déjà un tempérament dissimulateur d’impôts de François Hollande. La médiatisation et sa séparation ont certainement sur le coup mis un frein à l’exagération fiscale. Et Hollande s’en ai en fait plutôt bien sorti et n’a pas eu à justifier devant un juge ses écarts.
    Mais chassez le naturel, il revient au galop dit un proverbe. La minoration de patrimoine est trop visible ? Alors il a osé l’année de son élection jouer avec le feu de la déclaration frauduleuse, mais pas trop visible. La dernière fois cela c’était bien passé.
    Sauf que un certain Xavier Kemlin…
    Mais qui c’est celui-là ???
    Xavier Kemlin est un homme extrêmement déterminé !
    C’est un habitué de la lecture de la justice. Il s’en prend à ceux qui confondent leur portefeuille avec celui de l’entreprise ou l’institution dans laquelle ils sont employés. Xavier Kemlin est l’arrière-petit fils de Geoffroy Guichard le fondateur du groupe de distribution Casino, Il n’aime pas ceux qui trichent avec l’argent des autres.
    En 2010 il s’est porté partie civile procès Kerviel. Il a demandé à ce que le secrétaire général de l’Autorité des marchés financiers (AMF) de l’époque soit cité comme témoin. Il a exigé qu’au procès, le secrétaire général de l’AMF, nullement habilité par la loi ou les règlements s’explique sur son attitude suspecte, de venir directement auprès du conseil d’administration de la Société générale le dimanche 20 janvier suivant la découverte des positions prises par Jérôme Kerviel, rompant son devoir d’intégrité et de déontologie.
    À ce même procès il a fait comparaître Daniel Bouton, ex-PDG de la société Générale au procès. À ses yeux la Société Générale est aussi coupable que Kerviel. Xavier Kemlin fut le seul actionnaire présent au procès de la Société Générale. Il a reproché le mépris du PDG de l’époque qui n’a pas fait le déplacement à ce procès alors que la Générale était partie prenante. Il a fait l’effort de venir pendant trois semaines pour comprendre point par point les fraudes de Kerviel. Pour lui le capitaine d’un navire est responsable de la conduite de ses équipages. Il est bien là pour les salaires, les bonus, les stocks options, les parachutes dorés et sa retraite chapeau à 700 000 euros… Les Français et les salariés qui ont perdu leur épargne, les clients, tous ont le droit de savoir et de demander des comptes à ce PDG.
    Après le procès de Jérôme Kerviel, il a demandé que les traders passent quelques mois en agence pour connaître les problèmes de chèques impayés de Mme Micht et les difficultés de fin de mois des entreprises pour établir les paies au lieu de vivent dans le virtuel. On ne sait pas à date si cette formation est au cursus maintenant. Mais vu de l’extérieur sa proposition ne semble pas incongrue.
    En 2011, il a planté sa tente en toile sur la pelouse à Évry, devant le siège social de Carrefour pour faire valoir ses droits de 110 parts sociales de Carrefour.
    Proche de ses sous et du terrain il a décidé de jouer son rôle d’actionnaire. Il a demandé rien de moins que la démission du conseil d’administration au nom de la majorité silencieuse face à la minorité financière ».
    Il estime l’actionnaire responsable. Il a obtenu à force de pression et d’indignation l’intérêt d’un autre actionnaire puissant, Éric Knight, gérant du fonds américain à son nom, Knight Vinke. Quelques semaines après on apprenait la démission de Lars Olofsson, président directeur général de Carrefour, groupe de 365 000 personnes présent sur plusieurs continents.
    C’est en Avril dernier que Xavier Kemlin se pose la question sur la licité des privilèges de Valérie Trierweiler. Kemlin se demande également à quel titre Trierweiler, qui n’est dépositaire d’aucune autorité publique, a recruté, dès le 20 mai 2012, une équipe permanente de six « experts » payée par le contribuable, et chargée de sa correspondance, des interviews et de sa communication.
    Xavier Kemlin sait qu’il n’obtiendra rien de la presse, principalement des journalistes Français doctrinaires et majoritaires. Ces derniers sélectionnés par affinité politique sortent tous des 2 principales écoles de journalisme Française, qui sont les sièges sociaux de l’endoctrinement politique gauchiste.
    Il sait le précédent, que les journalistes Français ont déjà protégé leurs idoles sur le sujet pendant des années. Mazarine Pingeot, la fille cachée de François Mitterrand, profitait du détournement de l’argent public, avec la complicité passive de ces derniers alors que tous étaient au courant. L’issue est bouchée. Chacun peut le constater par lui-même, cette affaire est commencée depuis déjà un moment, mais jamais cet homme n’a été interrogé par Fogiel, Apatie ou Bourdin. Pas plus par les journaux TV de 20H et cette affaire ne fait que quelques lignes discrètes dans les journaux.
    Il sait aussi qu’en France la justice est de gauche. Dans le monde feutré des juges, ils affichent ostensiblement leurs préférences politiques sur des murs (souvenez-vous aussi du « mur des cons »), qu’aucun ne montera au créneau de lui même et ne déclenchera d’hostilité devant Hollande. Hollande fait partie du mur des intouchables celui de gauche, pas celui des cons.
    Xavier Kemlin est une personne tenace et acharnée, La plainte portée contre le couple présidentiel est recevable. Il vient d’être reçu par le Pôle économique et financier du TGI de Paris, le 13 novembre 2013.
    Après une première plainte étouffée par la bienveillante pression de la justice de gauche de notre pays, Xavier Kemlin a récidivé mais cette fois-ci avec constitution de partie civile auprès du doyen des juges d’instruction au Tribunal de Grande Instance de Paris.
    Il a été reçu avant-hier le 13 novembre. Si la justice fait son travail et qu’elle agit comme pour le commun des Français, Valérie Trierweiler sera placée au moins sous le statut de témoin assistée, soit carrément mise en examen.
    Soit la justice s’enfonce encore et il classe l’affaire sous la pression de son environnement. Mais alors il prend le risque de devoir se justifier plus tard par quel moyen de pression il a succombé. Voire un nouvel épisode de Xavier Kemlin.
    Xavier Kemlin a porté plainte contre Valérie Trierweiler pour détournement de fond public. Par ricochet immédiat François Hollande est pris dans un piège infernal.
    Il n’existe qu’une solution pour éviter la sanction, voire la prison pour Valérie Trierweiler, c’est qu’elle se déclare officiellement en couple avec François Hollande. Si elle se déclare « en couple », il est concevable que l’état finance ses dépenses.
    Mais cela a une conséquence importante. Si Valérie Trierweiler est en couple avec François Hollande, François Hollande a commis une Fraude fiscale. La loi oblige les couple a remplir communément les revenus ISF, ce qu’il n’a pas fait pour ne pas payer L’ISF, l’Impôt Sur la Fortune.
    La loi est claire. Politicien à vie, législateur sur l’ISF comme ancien député, François Hollande ne peut ignorer les lois sur l’ISF.
    S’il n’y a pas pression sur les juges, François Hollande ne finira pas son mandat et sera destitué de sa fonction pour fraude fiscale, ou Valérie Trierweiler sera condamnée pour détournement de fond public et ira rejoindre en prison Gérard Dallongeville.¢
    Avec LeQuidamPost-Posté par Xavier Kemlin
  • [Vannes] Café politique du 19 novembre 2013

    Un Café Politique est organisé le Mardi 19 Novembre prochain, à 20 heures, à l’étage du Restaurant Gambetta de Vannes, sur le thème :

    "Cote de Popularité au plus bas, ras le bol populaire : l’Autorité d’un gouvernement peut elle devenir illégitime ?"

    Ce thème sera développé par M. Gilles Simon, Docteur en Sciences Politiques à Rennes I, puis un échange pourra être mis en place avec l’intervenant.

    Pour toute participation, une simple consommation vous est demandée.

  • Colère noire pour marée de la même couleur...

    l y a onze ans, le Prestige, un pétrolier libérien battant pavillon du Bahamas avec un équipage roumain et philippin dirigé par des officiers grecs, avec 77.000 tonnes de fuel dans ses soutes, se brisait en mer après avoir dérivé durant six jours : 3.000 kilomètres de côtes françaises, espagnoles et portugaises allaient alors en souffrir les conséquences, et plusieurs centaines de milliers d’oiseaux, de dauphins, de phoques mourir, englués dans ce mazout visqueux qui s’échouait sur les plages de l’Europe atlantique. La mondialisation et la cupidité avaient encore conjointement frappé, au grand dam des habitants du littoral et de l’environnement…
    Onze ans après la catastrophe, le tribunal espagnol chargé de juger l’affaire d’un « naufrage annoncé » (au regard de l’état du pétrolier et des avertissements émis par l’ancien capitaine du bateau qui avait, justement et prudemment, abandonné son poste de capitaine du Prestige trois mois avant le drame) a acquitté les trois accusés qui, à bien y regarder, paraissent être plus des lampistes que les véritables coupables de ce désastre : ceux qui auraient dû être jugés, c’est-à-dire l’armateur grec, l’affréteur russe, sans oublier la société de classification états-unienne qui a délivré le certificat d’aptitude à la navigation sans beaucoup de discernement, ne le seront jamais, semble-t-il…
    Ce jugement est, lui aussi, une véritable catastrophe car il peut laisser croire que souiller les mers et les côtes n’est, après tout, pas si grave, en tout cas aux yeux de la Justice… Il est certain que ce verdict clément ne passera pas inaperçu chez les armateurs et dans les sociétés pétrolières !
    La France se devrait de réagir et, non seulement de faire connaître son mécontentement face à ce jugement, mais de prendre des initiatives fortes pour éloigner les navires suspects de ses côtes, voire leur interdire l’entrée dans ses eaux territoriales, mais aussi pour accélérer la mise en place dans chaque pays de l’Union européenne, comme cela l’avait été évoqué au plus fort de l’émotion suscitée par la marée noire, de « ports refuges » susceptibles d’accueillir des navires en détresse et d’éviter qu’ils ne sombrent au large avec les conséquences que l’on sait. Mais, là encore, l’Union Européenne n’est guère motivée, freinée par les pressions des armateurs et de certains pays du sud de l’Europe, et tout simplement par sa propre logique libérale qui privilégie les affaires et le libre échange au souci environnemental…
    A cette heure et à ma connaissance, le gouvernement de la République n’a pas officiellement réagi, ou pas assez fort pour qu’on l’entende… Tout un (triste) symbole !

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1102:colere-noire-pour-maree-de-la-meme-couleur&catid=47:2013&Itemid=58

  • Une « haute autorité pour la transparence de la vie publique » qui coûte cher aux contribuables

    Conséquence de l’affaire Cahuzac, la « Haute autorité pour la transparence de la vie publique » remplacera la Commission pour la transparence financière de la vie politique dont les moyens étaient paraît-il trop limités.

    Cette Haute autorité pour la transparence de la vie publique aura pour mission de contrôler les déclarations de patrimoine et d’intérêts des responsables politiques ainsi que des dirigeants des principales entreprises publiques.

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  • La gestion de la crise syrienne par la diplomatie française défie toutes les logiques

    RBernard Squarcini, l'ancien patron de la DCRI, vient de publier un ouvrage dans lequel les autorités françaises actuelles en prennent pour leur grade. Extrait :

     

    "Depuis l’arrivée de Laurent Fabius au Quai d’Orsay, tous les ponts ont été coupés avec Damas parce que Paris mise sur la chute du régime. Calcul hasardeux ! Non seulement Bachar al-Assad est toujours là, mais il est ressorti renforcé de la crise diplomatique internationale déclenchée par l’usage d’armes chimiques lors d’une bataille dans la région de Damas le 21 août 2013, avec un soutien russe. La gestion de la crise syrienne par la diplomatie française défie toutes les logiques sans que l’on comprenne très bien à quelle motivation répond notre diplomatie, et surtout, au bénéfice de quels intérêts !"

    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/