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  • Unis, nous pourrions encore tout empêcher, prendre le pouvoir…

    Entretien avec Renaud Camus

    Vous avez participé à la manifestation organisée par Jour de colère dimanche dernier : quel bilan en tirez-vous ?

    Un bilan mitigé, mais moins catastrophique, après tout, que je ne l’ai craint un moment. Vers une heure et demie, dimanche, deux heures moins le quart, deux heures, et même abstraction faite du temps de cochon, j’étais persuadé que nous courions au désastre : il y avait relativement peu de monde sur la place de la Bastille, les différents groupes avaient du mal à s’agencer, l’organisation semblait laisser nettement à désirer, on voyait errer et beugler des hordes assez patibulaires.

    Finalement nous avons été assez nombreux. Les uns disent cent vingt mille, les autres trente mille. Du côté de Montparnasse, le cortège était impressionnant. Il paraît qu’il y a eu des cris « Juif, ce pays n’est pas à toi ». Je n’ai aucune raison d’en douter mais j’ai passé quatre heures à cette manifestation, moi, sans les entendre. Il faut qu’ils aient été tout de même bien marginaux. Mais le pouvoir remplaciste ne manque pas de les monter en épingle pour compromettre les adversaires du Grand Remplacement, alors que ces cris et le genre de comportement qu’ils impliquent sont en grande partie le fait de remplaçants et de leurs amis pro-palestiniens. Le répugnant travestissement dieudonniste du Chant des partisans, en revanche, mes amis et moi l’avons bel et bien entendu. Quand nous avons été confrontés à lui de trop près, nous nous sommes retirés.

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  • De quoi Bedos est-il le nom ?

    Tribune et portraits par Didier Beauregard
    « Tel père, tel fils », une belle devise pour  Guy et Nicolas Bedos. Leur programme commun pour avoir leur place au banquet du PAF, c’est simple  comme bonjour : se mettre servilement du côté du plus fort, taper sur le plus fragile tout en clamant que l’on est du côté du faible et de l’opprimé.
    Ça a  marché pour le père, ça marche aussi pour le fils.
    Flash-back sur un parcours exemplaire
    Souvenez-vous de Guy le Vieux. Les années 1960/70 : un comique ordinaire, un pied encore dans le comique troupier, un pied dans la satire. Mr Guy ne fait pas dans la dentelle et joue avec application sur les grosses ficelles et les clichés de l’époque : l’homo efféminé,  le pied-noir lourdingue, l’arabe exotique, la Marie-Chantal, le dragueur de bas étage, le macho primaire… Du bon, du gros, du lourd, du vu et du revu… pas de quoi affoler les bourgeois et jouer les rebelles. On était loin de la fine lame Desproges ou de la pétulance corrosive d’un Thierry Le Luron.
    Puis vint la tornade Coluche du milieu des seventies… Le trait acéré qui bouscule les vieux clichés rabâchés, la satire sociale à l’acide, la gouaille popu – au premier, deuxième ou troisième degré – érigée en art subversif. Bref, le talent qui fait mouche et qui fait mal.
    Qui s’intéresse encore vraiment à Guy Bedos à la fin des années 1970 ?
    Coup de bol pour lui ! La gauche gagne les élections en 1981, et voilà le père Guy, rappelant qu’il a toujours été dans le camp des « progressistes », qui se retrouve parmi les favoris de la Mitterrandie, avec un statut de pilier du PAF désormais, comme Roger Hanin, dit le Beauf, promu vedette du petit écran.
    C’est la belle époque (pour lui) des grandes messes antiracistes sur fonds  publics, des galas remplis de militants (tarifs très intéressants pour le Comité d’entreprise), des passages promotionnels à « 7/7 », une table très réputée, où, pendant des années, il aura son rond de serviette avec Harlem Désir, l’abbé Pierre et Bernard Tapie pour venir cracher sur Le Pen et les petits Français « moisis » qui n’aiment pas les étrangers. C’est facile, ça prend pas de risque et ça rapporte gros. Cela vous permet de vous pavaner tranquille dans la haute société médiatique, de vous assurer une retraite confortable pour vos vieux jours.
    On peut même servir à tout âge : on a ressorti sur les antennes Papi Bedos pour accompagner la grande offensive d’hiver du PS contre l’hydre raciste et le retour de la « Bête immonde ». La lutte à mort contre le racisme, il connaît, c’est  même la grande affaire de sa vie ; mieux encore : c’est une affaire de famille, comme traiter les femmes de « pute » ou de « salope ».
    À papa l’opération Taubira, à fiston la chasse au Dieudo
    Et voilà Nicolas le petit qui se roule dans sa propre fange, qui éructe, bave et vomit sur sa proie, obscène, scato, mégalo, il se répand sur l’écran, ivre de lui-même, fou de contentement tant il est persuadé d’être drôle et de faire œuvre de salut public à la fois.
    Plus il se soumet au Système dominant, plus, brandissant sa merguez dérisoire et sordide, comme Lancelot sa lance, il piétine son adversaire à terre, tant il sait que ce dernier, seul face à l’appareil de répression de l’État mobilisé contre lui, ne pourra lui rendre les coups.
    Quoi que l’on pense des provocations de Dieudonné, chacun comprend bien que les deux hommes ne combattent pas à armes égales. La bête est blessée, il est juste là pour l’achever et la dépecer sans risque. Dans sa fureur purificatrice, le roquet le plus féroce du PAF depuis l’éloignement de Stéphane Guillon, encouragé par le ricanement aigrelet de Ruquier-le-faux-cul, ne réalise pas bien qu’il joue à front renversé, qu’il sort malgré lui des chemins bien balisés de la bienpensance médiatique sans risque. Il caricature, tel un franchouillard de bas étage qui voterait Front Nat (quelle horreur !), le jeune de banlieue comme un wesh wesh débile, ignare et violent. Le racisme des beaux quartiers à fleur de peau, le mépris de la différence qui nous enrichit, le dédain de la violence des « stigmatisés » qui nous interpelle… tout ça dégage des relents « nauséabonds » qui rappellent les « heures les plus sombres de notre histoire ».
    Attention à ne pas perturber l’entendement d’un Bedos Senior que l’on peut imaginer à moitié assoupi devant son écran en train d’essayer de comprendre où va son digne héritier.
    De son temps c’était simple, l’abruti c’était le Blanc (surtout populaire) et le sympa tous les autres. Et voilà que le fiston dézingue un Noir et stigmatise un Beur. Dans quel monde vit-on ? Et pourquoi pas, tant qu’on y est, la mère Fourest qui glisse une quenelle à BHL ?
    Décidément, tout fout le camp !
    L’affaire Dieudonné décidément les rend fous, ils en perdent les repères qui assurent leur tranquillité prospère depuis des décennies. Hélas oui, les jeunes des « quartiers populaires » ont l’épiderme sensible et la réaction peu encline aux nuances.
    Voilà donc Nicolas le Preux pris dans la tourmente d’un tsunami de réactions haineuses qui menacent de lui faire la peau, lui casser la gueule ou pire encore. Pas facile, de nos jours, d’être le bouffon de la cour ! Du temps de papa, les beaufs dociles de la France d’en bas baissaient la tête et poussaient même souvent la complaisance jusqu’à rigoler des crachats qu’ils recevaient. Paraîtrait même que les petits Blancs commenceraient à montrer les dents. Décidément, tout fout le camp !
    Voilà donc Nicolas le Piteux, déstabilisé, piégé dans une guerre de tranchées alors qu’il pensait aller à la chasse aux perdreaux entre gens de bonne compagnie. Il pleurniche qu’on l’a mal compris, qu’y a pas moins raciste que lui  et qu’il adore les « djeunes ». Il en appelle même au code d’honneur et réclame un duel au soleil avec son adversaire pour montrer à tous l’évidente supériorité de sa dialectique.
    On connaît la musique : « Retenez-moi ou je fais un malheur ! ».  Une prise de risque absolument nulle – il peut aussi bien lancer un défi au poing à Mike Tyson – il n’y a aucune chance que les deux adversaires croisent le fer.
    Trop tard, donc, le masque du mépris, de la haine et du racisme est plaqué sur le visage lisse du bobo de bonne lignée, le « fils à son papa » risque de regretter son exubérance exterminatrice. Le retour de boomerang de sa merguez vengeresse destinée au fondement de Dieudonné, ce n’est pas forcément dans la figure qu’il le prendra.
    Didier Beauregard, 24/01/2014
    http://www.polemia.com/de-quoi-bedos-est-il-le-nom/

  • manif pour tous, le travail de la police en civil Invalides les incidents programmés

  • “Avec Valls, c’est l’invasion !” La campagne du Bloc Identitaire

    PARIS (NOVOpress) - Le Bloc Identitaire vient de lancer une nouvelle campagne sur le thème “Plus de régularisations, plus de naturalisations, moins d’expulsions : AVEC VALLS C’EST L’INVASION !”

    La campagne est justifiée par “trois statistiques édifiantes :
    - Augmentation du nombre de régularisations de clandestins en 2013 de 30% par rapport à 2012.
    - Augmentation du nombre de naturalisations, avec un objectif annuel fixé par Manuel Valls à 100 000 naturalisations (contre 46 000 en 2012). 
    - Diminution sensible du nombre d’expulsions sur 2013, selon un rapport de la Police aux Frontières.”

    Ceci amène le BI à dénoncer “la mise en place par Manuel Valls et l’Etat socialiste d’une véritable substitution de population, à des fins idéologiques et électorales.”

    Pour cette campagne le Bloc Identitaire a édité des autocollants (image en Une) et des affiches disponibles sur son  site internet.

    "Avec Valls, c'est l'invasion !" La campagne du Bloc Identitaire

    http://fr.novopress.info/

  • Les pervers veulent pervertir les enfants dès leur plus jeune age

    Chers amis,

    Depuis quelques jours et suite à la circulation de sms entre parents d’élèves, le ministère de l’Éducation nationale communique pour dénoncer une soi-disante rumeur concernant l’enseignement de la « théorie du genre » à l’école.

    Si le contenu de certains sms, notamment ceux relatés par les médias, est excessif et caricatural, cela ne signifie pas, contrairement à ce que prétend la communication du ministère, que rien n’est vrai.Les parents ont malheureusement plusieurs raisons de se montrer vigilants.

    En prétendant que la théorie du genre n’existe pas, le gouvernement ment

    Depuis presque un an, l’Observatoire de la théorie du genre analyse et surveille la politique menée par le gouvernement en faveur de la reconnaissance et de la promotion du concept « d’identité de genre ».

    On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux Droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la Justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

    Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme :
    •Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.
    •L’expérimentation de crèches neutres, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
    •La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
    La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et de l’identité de genre, en affirmant sur ses supports pédagogiques : « que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
    •La diffusion dans le cadre du programme « Ecole et cinéma » du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçon.
    •Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres « non-genrés » comme « Papa porte une robe ».

    Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter.

    Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. Il refuse, par exemple, de communiquer la liste des établissements expérimentant le programme « ABCD égalité » ; il exclut les parents des évaluations de ce dispositif et dans certaines académies, il interdit aux enseignants et aux directeurs d’établissement de répondre aux légitimes questions des parents, les renvoyant vers les inspecteurs académiques.

    Dans ces conditions, l’Observatoire de la théorie du genre appelle les parents à la vigilance et à poursuivre la mobilisation.

    Nous devons nous remobiliser

    Le ministère de l’Education nationale a annoncé qu’il comptait généraliser dès la rentrée 2014, le dispositif « ABCD égalité » à l’ensemble du territoire, après un simulacre d’évaluation.

    Ensemble, nous pouvons faire reculer Vincent Peillon. Je vous invite à signer et à faire signer la pétition adressée à Vincent Peillon pour demander la fin de l’expérimentation du programme « ABCD égalité ».
    La grande manifestation nationale du 2 février à Paris et à Lyon
    contre la politique « famillophobe » doit être également l’occasion de faire entendre notre refus de l’enseignement de la théorie du genre à l’école.

    Nous devons remobiliser autour de nous. Pour cela, nous avons besoin de votre aide. Diffusez notre pétition à vos amis.

    Par ailleurs, si vous le pouvez, merci également de nous adresser un don, même modeste, pour nous aider à financer l’impression des pétitions, des affiches, ainsi que l’organisation de conférences d’information.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/les-pervers-veulent-pervertir-les-enfants-des-leur-plus-jeune-age_98186.html#more-98186

  • Manifs pour tous le dimanche 2 février

     

    Nouvelle manifestation de La Manif Pour Tous :

    Tous à Paris le dimanche 2 février !

    Contre la familiphobie, les familles se mobilisent !

     

    Paris, Bruxelles, Madrid, Rome… La Manif pour Tous a fait des émules en Europe.

    Projet de loi Famille, fabrication d’enfant sans père (PMA pour couple de femmes), mères porteuses, diffusion de l’idéologie du genre à l’école, réduction du congé parental, fiscalité contre les familles (fin de la conjugalité de l’impôt, baisse du quotient familial…) : il est temps de mettre un terme à tous ces projets LGBT et anti-famille que prépare le gouvernement dans la foulée de la loi Taubira (mariage et adoption pour les couples de même sexe) dont LMPT demande toujours l’abrogation (sans rétroactivité).

    Après les manifestations nationales 2013 (13 janvier, 24 mars et 26 mai), La Manif Pour Tous invite tous les citoyens à revenir à Paris dimanche 2 février pour défendre les familles qui sont aujourd’hui attaquées. « Nous nous sommes engagés à ne rien lâcher. Nous tenons notre parole en reprenant le chemin des pavés le 2 février » souligne Albéric Dumont, étudiant et Coordinateur Général de La Manif Pour Tous. « Cette manifestation est très attendue par nos sympathisants. Nos équipes locales sont d’ores et déjà en marche pour organiser la logistique, les trains spéciaux et les centaines de cars pour permettre au maximum de citoyens d’être présents pour défendre les familles et les enfants » poursuit-il. [...]

    La suite sur La Manif pour tous

  • Yann Galut, une synthèse…

    Le 19e rapport annuel de la  Fondation Abbé Pierre, publié ce vendredi, est un indicateur parmi  d’autres des conséquences des politiques menées  par les différents gouvernements UMPS, et notamment de la poursuite à haut débit d’une immigration incontrôlée. Selon les données du logiciel Parifar -Programme d’analyse des flux et indicateurs statistiques d’activité- citées par Le Figaro  la semaine dernière, Manuel Valls arrive à faire pire dans ce domaine que MM. Sarkozy, Hortefeux et Guéant. Ainsi,  le nombre de clandestins renvoyés dans leur pays d’origine a encore baissé pour s’établir à une moyenne de 1750 expulsions mensuelles en 2013 sur le territoire métropolitain (- 23% en un an); les régularisations du statut des immigrés hors-la-loi, progressent a contrario fortement pour s’établir à environ 46.000 en 2013 (+28%). Parallèlement M. Valls s’était aussi félicité il ya quelques mois de la hausse de 14% (de juin 2012 à juillet 2013) du nombre des naturalisations…

     Une politique laxiste qui n’est pas pour rien dans les difficultés sociales et économiques rencontrées par nos compatriotes mais aussi par les immigrés déjà présents sur notre sol. Selon la Fondation Abbé Pierre, « 3,5 millions de personnes sont mal logées ou sans abri, et plus largement près de 10 millions sont concernées par la crise du logement ».Elle estime également que « plus d’1,7 million de ménages sont en attente d’un logement social, que 3,8 millions sont en situation de précarité énergétique (chiffres 2006), que 70.000 propriétaires sont en situation d’impayés (2006), et que plus de 91.000 ménages sont menacés d’expulsion (chiffres 2009-2011)».

     D’autre part,  selon une étude LH2 pour CA Com sur le pouvoir d’achat publiée hier, 31% des Français déclarent avoir des revenus insuffisants pour finir la fin du mois, en hausse de 8 points sur six mois. 63% se disent  inquiets de basculer un jour dans la précarité – dont 76% des ouvriers, 69% des salariés du privé et 69% des femmes…. Enfin près de huit français sur dix (78%) disent ressentir  l’augmentation de la pression fiscale.

     C’est dans ce climat que le député socialiste Yann Galut tente à son  niveau sa petite diversion politicienne en sortant un petit «Guide anti-FN». Rien de nouveau sous le soleil  dans cette tentative  de mettre en forme  les saillies anti patriotiques qui avaient meublé une partie de l’UDT du PS à La Rochelle fin août dernier.

     Cet opuscule que M. Galut a supervisé (?),  au vu de ce que ce dernier en laisse transparaître dans la presse, s’annonce comme un bel enfilage de poncifs, et de prévisions catastrophistes en cas d’application du programme du  FN, notamment dans le domaine économique. Peu importe que la voie euromondialiste suivie  par le  PS entraîne notre pays sur la voie d’une paupérisation accélérée et du déclin. Peu importe que l’alternative portée par l’opposition nationale  s’inspire des travaux d’économistes et de Prix Nobel éminents. Dans sa volonté de dresser un portrait apocalyptique, le PS ne s’embarrasse pas de détails. Nous savons aussi que ce type d’ouvrages n’a pour utilité que les annonces médiatiques dont il bénéficie puisque personne ne le lira au delà du cercle de quelques permanents  et adhérents  socialistes.

     Il est vrai que le Mouvement national est une obsession chez Yann Galut, fondateur en janvier  2013, avec le sénateur  Patricia Schillinger, d’un mini club au sein du Parti socialiste appelé la « Gauche Forte » (sic) .

     Ancien de SOS racisme, permanent un temps de la très trotskisante Fédération indépendante et démocratique lycéenne (Fidl) puis secrétaire général d’une Fédération internationale de SOS Racisme du même tonneau en 1992, M. Galut est prêt à bien des concessions dans le cadre de sa sinécure confortable qui lui permet de lutter contre la « Bête ». Opposé en 2005 à la constitution  européenne, il ne quitta pas pour autant un PS qui contribua à l’imposer aux Français, en cheville  avec l’UMP, en 2008. C’est beau les convictions…

     C’est au nom de celles-ci certainement qu’il demanda  dans une lettre adressée au chef de l’Etat qu’  un « hommage national » soit rendu à l’indigent Stéphane Hessel, icône en carton pâte des alter-mondialistes et des petits esprits.

     Un citoyen Galut qui déclarait sur le Lab d’Europe 1 en début d’année qu’ « Il n’y a pas de Français de souche, ça n’existe pas ». Ce qui ne l’empêche pas de se  méfier des gaulois et de leurs mauvaises pulsions, lui  qui adhère certainement aux vœux du cercle de réflexion du PS Terra Nova. C’est cette structure qui conseille aux dirigeants du PS de jouer la carte des minorités ethniques, sexuelles, religieuses etc., pour contrer dans les urnes un peuple Français qui se tourne vers le FN et/ou multiplie les  stratégies d’évitements quand il le peut,  pour ne pas subir la merveilleuse société arc-en-ciel dont rêve nos élites…

     Ayant au moins cette forme de cohérence là, il est donc normal que le citoyen Galut ait  aussi demandé en novembre 2012 l’interdiction de  CIVITAS au motif que la manifestation de celle-ci avait été victime de provocations des Femen. Ce gang de profanatrices d’églises  hystériques, hébergé en France avec la bénédiction  de M. Valls  ne  semble pas le gêner outre mesure…

     Autant dire que quand M. Galut explique dans Le Point que  « le combat contre le FN », « adversaire principal », «a toujours eu lieu sur le terrain des valeurs»,  il permet de juger de la réalité bien inquiétante de celles de son parti. Quand il affirme pareillement  le souhait des bobos de la rue de Solferino de «reprendre (au Front National) l’électorat populaire»,  il rend perceptible l’aveuglement d’un PS qui est totalement coupé des aspirations de notre peuple.

     Un aplomb qui ne cache pas une certaine panique, celle d’un Parti socialiste qui voit aussi  des Français issus de l’immigration ouvrir les yeux. Notamment constate Bruno Gollnisch, sur les mensonges et l’instrumentalisation cynique, écœurante, dont ils ont été victimes de la part du PS et de ses petits marquis poudrés de l’antiracisme. En témoigne sa charge,  dans ce même entretien, contre Farida Belghoul, «une ancienne de la marche des Beurs» qui a commis le crime de s’élever  contre «l’apprentissage de la théorie du genre à l’école». Autant dire que quand M. Galut nous dit son attachement aux valeurs du PS, nous sommes bien obligés de le croire…

    http://gollnisch.com/2014/01/31/yann-galut-synthese/

  • Manuel Valls, le faux dur

    Portrait au vitriol de Valeurs Actuelles :

    V"Il combat Dieudonné mais pas les délinquants. Les automobilistes mais pas les gangs de l’Est. Les Veilleurs mais pas les Femen. En vingt mois au ministère de l’Intérieur, Manuel Valls a plus soigné sa popularité que renforcé la sécurité des Français. Portrait-vérité d’un tigre de papier passé maître dans l’art de la dissimulation. [..]"

    Michel Janva