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  • Question angoissante posée par Libé : « Qui en veut aux arbres de la laïcité ? »

     

    RÉCIT Depuis quelques mois, des arbres plantés pour célébrer la loi de 1905 sont décapités par des activistes anonymes qui défendent une France « catholique » et ciblent la « franc-maçonnerie ».

    Depuis quelques mois, des déracineurs anonymes sévissent un peu partout en France.

     

    Leurs cibles : un ginkgo biloba par ci, un chêne vert par là. Ces arbres ont un point commun. Ils ont été plantés pour célébrer la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l’Etat. De Concarneau à Angers, en passant par Bordeaux et l’Essonne, les actes de vandalisme se multiplient. Si leurs auteurs passent pour l’instant entre les mailles des filets policiers, leurs motivations, elles, semblent claires : défense d’une France « catholique » et rejet de la « franc-maçonnerie ».

    La commune finistérienne de Concarneau a été l’une des premières cibles. En 2006, un arbre d’un an est détérioré. Il est remplacé dans la foulée par un chêne d’Amérique. « Il a grandi, s’est renforcé, explique Pierre Bleuzen, de l’amicale laïque de la ville. Du coup, c’était plus dur de le casser. Il aurait fallu y aller à la tronçonneuse. » Mais cela ne décourage pas pour autant les déracineurs bretons. En décembre 2011, les décorations ornant l’arbre sont arrachées « avec beaucoup d’énergie ». Une plainte est déposée, la préfecture saisie, sans succès… Un site régionaliste d’extrême droite, Breiz Atao, salue la détérioration : « En terre chouanne, il y a encore de l’honneur chez les Concarnois pour ne pas se laisser embrigader d’une façon aussi grossière par des nostalgiques de 1793. »

    UN TAG « FRANCE CATHOLIQUE »

    Rebelote deux ans plus tard. [...]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Question-angoissante-posee-par

  • 6 février 1934 : 80 ans après, l’Action française bouge encore

     

    Avec un effort louable d’information et une bonne dose de ... désinformation...

    Où l’on y apprend que l’AF « promeut le retour aux provinces de l’Ancien Régime, avec leurs parlements régionaux. » Même Maurras, en 1898, dans L’Idée de Décentralisation, juge déjà les anciennes provinces dépassées ! Et le retour au carrosses, aussi ?

     

    « Je t’emmerde ! » La dernière saillie de Manuel Valls a beaucoup fait parler d’elle, dans la presse et les couloirs du Palais-Bourbon. Le ministre de l’intérieur répondait au député UMP Pierre Lellouche qui lui reprochait d’avoir fait un parallèle entre la situation actuelle et celle de l’Europe d’avant-guerre. Dans une interview au JDD, Manuel Valls dénonçait alors une fronde d’« anti-républicains » et un climat comparable a celui des années 30, de la part d’une partie de la droite qu’il qualifiait de « réactionnaire ». Cette polémique a éclaté deux jours avant la commémoration des 80 ans d’un événement historique un peu oublié : le 6 février 1934.

    (Photo : D.R.)Ce jour-là, dans un contexte de crise politique et économique, auquel il faut ajouter un très fort anti-parlementarisme, environ trente mille anciens combattants et membres de ligues d’extrême droite, rassemblés place de la Concorde, tentent de marcher sur l’Assemblée nationale. La répression policière qui s’ensuit fera 15 morts et 2.000 blessés. La « crise du 6 février 1934 », comme on l’appelle encore, entraînera la chute du gouvernement Daladier et marquera longtemps aussi bien l’imaginaire collectif que l’histoire politique française. [...]

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  • Gender : Eric Zemmour répond à ses contradicteurs

  • Strasbourg, nouveau faubourg d’Istanbul ?

    Le dossier de la nouvelle mosquée de Millî Görüş poursuit tranquillement son cours...

     
     

    « Une faculté de théologie islamique, un lycée en prévision, de nouvelles mosquées… les projets de la communauté d’origine turque à Strasbourg, forte de 15 à 20.000 personnes, sont nombreux », apprend-on ces jours-ci sur le site Rue 89 de Strasbourg. Véritable mine d’informations sur la Turquie, Rue 89 salue entre autres, béat d’admiration, « le projet de construire une nouvelle mosquée, plus grande, plus belle et digne d’accueillir la plus importante communauté d’origine turque de France ». Une demande de permis de construire a même été déposée en ce sens en décembre dernier par une association qui dépend du mouvement Millî Görüş (« Voie nationale religieuse »).

    Débouté à Mulhouse, Millî Görüş remet le couvert à Strasbourg où l’on semble ignorer ses attaches extrémistes que l’on connaît pourtant bien outre-Rhin.

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  • Quand Laurent Fabius ment ouvertement sur l'attaque au gaz attribuée à Bachar Al Assad en Syrie

  • Révélation sur un mensonge : Najat Belkacem aura-t-elle l'honneur de démissionner ?

     

    C'est une bombe que révèle l'hebdomadaire Valeurs Actuelles ce soir :

    V"Après avoir menti aux Français sur la théorie du genre à l’école, Najat Vallaud-Belkacem, ministre déléguée des Droits des femmes, tente désespérément de se raccrocher aux branches en faisant signer aux partenaires sociaux, une tribune rédigée…par son propre cabinet !

    [...] Il est proposé à des organisations de plusieurs sensibilités (CFDT, FO, CGT, CFTC, Medef entre autres), de cosigner un texte, défendant les ABCD de l'égalité. Les ABCD, très critiqués depuis le succès de La Manif Pour Tous du dimanche 2 février, ont pour but d'inculquer aux enfants la théorie du genre, de manière déguisée. [...]

    Valeurs actuelles a pu consulter ce document. Il ressort de son étude que ce texte n’est pas l’œuvre des partenaires sociaux, mais qu’il a été rédigé par un proche conseiller de la ministre : Thierry Breton, chargé de l'égalité professionnelle à son cabinet. En outre, la dernière relecture du texte a été supervisée par Jérôme Teillard, directeur adjoint du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem !"

    Voici ce texte de propagande :

    "« Nous ne ferons pas l’égalité dans l’emploi sans un apprentissage de l’égalité à l’école ! »

    NIl n’est pas habituel pour nous de prendre la plume sur une question dont beaucoup nous considère éloignés, celle de l’éducation à l’égalité à l’école.
    Notre attachement à l’Ecole de la République est celui de tous les citoyennes et citoyens de ce pays. L’école est le lieu des apprentissages ; c’est aussi le creuset où se fonde le « vivre ensemble » indispensable à la cohésion sociale, où se transmettent les valeurs auxquelles nous sommes tous  attachés, la liberté, l’égalité, la fraternité.
    Et, soyons clairs, la transmission d’une culture de l’égalité ne peut se faire, aujourd’hui comme hier, sans aborder la question de l’égalité entre les filles et les garçons, l’égalité entre les femmes et les hommes.
    Ce n’est évidemment pas une question de théorie. C’est une nécessité démocratique mais c’est aussi un impératif pour lutter et annuler des inégalités professionnelles.
    En tant que responsables d’organisations syndicales et d’organisation patronales, nous sommes mobilisés pour réduire les inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes qui perdurent sur le marché du travail. Par le dialogue social, sous l’impulsion de la loi, nos organisations s’engagent pour supprimer les écarts de salaire, les différenciations injustifiées de parcours professionnels, pour lutter contre des représentations dépassées qui renvoient femmes et hommes à des activités hiérarchisées et enferment encore trop souvent les femmes entre plafond et parois de verre.
    L’égalité sur le marché du travail ne se fera pas de manière isolée. Elle est complémentaire et solidaire d’un progrès de toute la société, d’une société dans laquelle les responsabilités entre femmes et hommes sont mieux partagées.
    C’est à la société dans son ensemble de se mobiliser. Et l’Ecole joue évidemment un rôle fondamental. Inutile de croire qu’un jour nous pourrons supprimer les écarts de salaire et le plafond de verre, si l’apprentissage de l’égalité ne commence pas dès le plus jeune âge. Inutile d’imaginer que nous pourrions faire la mixité des métiers si nous ne donnons pas confiance à nos enfants, si nous ne leur expliquons pas que tous les horizons professionnels sont possibles, que tous les métiers sont ouverts, que toutes les responsabilités peuvent être assumées, à égalité.
    Parce que nous voulons réussir l’égalité professionnelle, parce que la transmission d’une culture de l’égalité dès le plus jeune âge est une nécessité et qu’elle contribuera à la compétitivité de notre économie, nous soutenons l’esprit et la démarche des ABCD de l’égalité."
  • Théorie du genre – La vidéo du défi lancé par Civitas à Vincent Peillon déjà vue par plus de 100.000 Français

  • Manifestation pour la dissolution des femen : ce sera place Vauban

    ACommuniqué de l'Agrif :

    " Pour des raisons absolument pas crédibles, la préfecture de police de Paris est revenue sur l’attribution de l’esplanade des Invalides pour notre manifestation. Elle nous a fait d’autres propositions totalement inacceptables pour des raisons évidentes. Elle nous a finalement accordé la place Vauban avec promesse d’un élargissement d’horaires permettant à partir de 18h une dispersion qu’elle s’engage à pouvoir se faire sans difficulté. L’Agrif appelle donc tous les manifestants à se rassembler devant sa tribune dès 14h 45 ce samedi 8 février, place Vauban."

    Ce sera une manifestation statique ponctuée de discours.

    Concernant la demande de retrait du timbre FEMEN, vous pouvez rejoindre la page Facebook dédiée.

    Michel Janva

  • Quelle forme prendra la révolte du pays réel ?

    Certains en rêvent, d’autres font mine de s’en inquiéter pour mieux organiser la répression. Et si c’était le retour des années 30 ? Et si un nouveau 6 février était dans l’air ? N’en avons-nous pas tous les ingrédients ?

    Crise économique, incapacité des gouvernements successifs à la juguler, surdité du pays légal, corruption des élites de droite comme de gauche… Mais faut-il le souhaiter ? Ne l’oublions pas, le 6 février fut un échec, ou l’aurait été, plutôt, si un objectif bien défini lui avait été assigné. Or, tel ne fut pas le cas. Ce qui, évidemment, ne retire rien au sacrifice de ceux qui sont tombés, cette nuit-là, « contre les voleurs et le régime abject ».

    L’histoire ne se répète pas, et ces manifestations qui se succèdent contre Hollande et le pouvoir socialiste, ce « dégoût » maintenant assumé des Français pour leur classe politique dans son ensemble, qu’a révélé la dernière enquête du CEVIPOF, n’ont ni ligues puissantes pour leur donner une traduction politique ni même trouvé encore de mot d’ordre pour cristalliser la colère autre qu’un « Hollande dégage ! », fourre-tout de tous les mécontentements. [...]

    François Marcilhac - La suite sur Boulevard Voltaire (article publié le 6 février 2014)

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quelle-forme-prendra-la-revolte-du