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  • La ville de Paris choquée de l’enseignement de la morale catholique dans un établissement…catholique

    La mairie de Paris a pondu un communiqué délirant (nous mettons en gras les pires passages), et écœurant d’hypocrisie (les républicains passant leur temps à bourrer le crâne des enfants avec leur fausse morale à l’école, par les associations ou par les médias) :

    « C’est avec la plus grande stupéfaction que nous apprenons les propos auxquels auraient été exposés des élèves du lycée privé Gerson, dans le 16e arrondissement. [la pilule c'est mal et l'avortement est un meurtre : morale catholique de base - NDCI)
     
    Le lycée reconnait avoir fait intervenir sans contrôle, auprès de jeunes élèves, l’association Alliance Vita, proche du mouvement Opus Dei. Les propos contre la contraception et l’avortement qui auraient été proférés hier par cette association au sein du Lycée ont manifestement pour but de manipuler les consciences des jeunes élèves
     
    Nous dénonçons fermement ces propos qui soumettent les élèves parisiens à une guerre idéologique d’un autre temps.

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  • Le 11 mai à Paris pour honorer Ste Jeanne d’Arc et St Louis, parce que « la résistance n’est pas que réaction »

    Un communiqué de Civitas appelle « toutes les forces de la résistance nationale » à participer le 11 mai prochain à 14h30 au défilé en hommage à Sainte Jeanne d’Arc et Saint Louis. Une belle occasion de rassemblement.

    Jeanne d'Arc 2014

    La résistance n’est pas que réaction !

    Dénoncer, combattre puis renverser un système tyrannique qui impose des lois iniques ; ce sont bien autant d’étapes nécessaires.

    Mais il faut aussi être en mesure de présenter une société alternative et offrir des modèles positifs de chefs, des références historiques à commémorer, des héros à vénérer, des saints à prier.

    Saint Louis et Sainte Jeanne d’Arc sont tout cela à la fois. Ils incarnent la force juste et vertueuse mise au service de Dieu et de la patrie française.

    Voilà pourquoi Civitas appelle toutes les forces de la résistance nationale à participer le 11 mai prochain au défilé en hommage à Sainte Jeanne d’Arc et Saint Louis.

    Rendez-vous à 14h30. Drapeaux nationaux, drapeaux locaux et drapeaux frappés du blason de Sainte Jeanne d’Arc seront à l’honneur.

    Venez nombreux honorer avec panache ces grandes figures de la vraie France aux antipodes de la république maçonnique et décadente, vassale d’un mondialisme destructeur.

    Alain Escada, président de Civitas

  • Avortement : les sénateurs vont-ils prendre en compte la détresse de l’enfant en gestation et rétablir la liberté d’expression ?

    Communiqué de la Fondation Lejeune :

    "A l’occasion du débat sur l’IVG demain au Sénat, la Fondation Jérôme Lejeune appelle les sénateurs à se montrer plus éveillés que les députés ou le gouvernement en janvier, sur la réalité de l’avortement pour l’enfant et la nature de l’opposition à l’avortement qui en découle.

    Le Sénat débattra demain, jeudi 17 avril, en deuxième lecture, du projet de loi pour l’égalité entre les femmes et les hommes dont certains articles relatifs à l’avortement suppriment la notion de détresse et étendent le délit d’entrave à l’information.

    La Fondation Jérôme Lejeune s’émeut de l’absence d’un réel débat démocratiquepour traiter sereinement un sujet de fond. Elle dénonce la mise au silence forcé des organisations civiles et citoyennes qui informent sur l’avortement, ses conséquences et ses alternatives.

    La Fondation Jérôme Lejeune n’est ni passéiste ni isolée en la matière. Elle s’inscrit au contraire dans les mouvements de réveil des consciences, de prise en compte de la valeur et de la réalité de la vie humaine qui émergent partout dans le monde et qui doivent se faire entendre.

    Ainsi, alors que la France s’enfonce dans la chosification de l’enfant à naître, la Commission européenne recevait la semaine dernière une délégation de l’initiative citoyenne ONE OF US appelant l’Europe à ne pas soutenir les activités qui détruisent des embryons humains. Cette initiative de 1,7 million de signatures (homologuées par la commission européenne), pétition officielle la plus importante dans l’histoire des instances européennes, a reçu vendredi dernier le soutien renouvelé du Pape François. Celui-ci vient de rappeler que l’avortement, comme l’infanticide, sont des « crimes abominables». Il appelle à s’opposer« le plus fermement possible à tout attentat direct à la vie, surtout celle qui est innocente et sans défense, et l’enfant à naître dans le sein maternel est l’innocent par définition».

    La réalité de l’avortement pour l’enfant en gestation, l’autorité morale du pape au plan international, et l’ampleur du mouvement ONE OF US pour le respect de la vie humaine, devraient être de nature à encourager les responsables politiques français à se poser les bonnes questions, à se dégager de l’idéologie, et à replacer l’enjeu du début de la vie sur le terrain du bien commun dont ils ont la charge.

    Pour Jean-Marie le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune :

    «Une société ne progresse pas lorsqu’elle fait glisser l’élimination de ses enfants à naître d’une exception tolérée à un droit revendiqué ; elle dérive socialement, juridiquement, anthropologiquement. La Fondation Jérôme Lejeune – un des porte-paroles et acteurs du succès de ONE OF US en France - en appelle à la responsabilité du législateur : nier la dignité de l’enfant à naître depuis sa conception, c’est rompre avec l’éthique, les droits fondamentaux et la réalité. Le fait que ce débat se tienne alors qu’une commission de l’Assemblée nationale vient de voter un changement de statut des animaux en dit long sur l’invraisemblable inversion des valeurs. »

    Michel Janva

  • Catholiques, ces insoumis

    Couverture Figaro Magazine 18-19 avril 2014Le Figaro Magazine du week-end de Pâques (18 et 19 avril) publie undossier de 12 pages sur l’engagement des jeunes catholiques aujourd’hui (« les insoumis »), les débats au sein de l’épiscopat français sur les questions de société, et la canonisation de Jean-Paul II. Articles de Jean-Marie Guénois, Jean Sévillia et Raphaël Stainville.

    Michel Janva

     
  • Les manifestations ou les laboratoires humains pour la police

    Depuis celui de Seattle en 1999, les sommets internationaux comme l’OTAN, le G8 ou le G20 font face à des nouvelles formes d’oppositions et de contre-attaques menées par des mouvements anticapitalistes et révolutionnaires majoritairement blancs et issus des couches favorisées des classes populaires. Les polices du monde occidental y expérimentent de nouvelles méthodes de contrôle des foules susceptibles de contrer ces attaques en provoquant des situations médiatiquement payantes. 

         A Strasbourg, à l’occasion du 21e sommet de l’Otan, en 2009, l’Etat français reprend officiellement sa place au commandement intégré de cette organisation interimpérialiste. Pour l’occasion, le ministère de l’Intérieur organise, selon ses mots, « la plus grande opération de sécurité menée sur le territoire français » – estimée à 110 millions d’euros, dont 60 millions sont investis par la France. Près de 9 000 policiers et gendarmes français sont mobilisés aux côtés de 14 000 policiers allemands. 

         Les 2 et 3 avril 2012, la police tente d’appliquer contre une manifestation de militants anti-impérialistes un dispositif de répression calqué sur le modèle antiémeute conçu pour les quartiers populaires. Elle bloque, deux jours de suite, des cortèges d’activistes anti-Otan au milieu du Neuhof, une cité particulièrement ségrégée en périphérie de la ville. La police ferme les routes et boucle le quartier pour y encager les manifestants. Elle tente de procéder à un contrôle d’identité général et retient le cortège et les habitants encerclés en déployant des gardes mobiles et des CRS. Lorsque la tension lui semble favorable, la police ordonne la dispersion, gaze et charge les activistes et les habitants réunis aux pieds des bâtiments. Elle lance des grenades lacrymogènes, des grenades de désencerclement et tire au flash-ball sur quiconque reste dans le quartier. Chaque jour, des habitants et des manifestants se solidarisent face à la brutalité policière. Tandis que des unités poursuivent les manifestants dans toute la zone bouclée, des habitants surveillent les mouvements de police, transportent des activistes en scooter, d’autres soutiennent les barricades improvisées, des familles ouvrent leurs portes pour abriter les anti-Otan pourchassés, d’autres apportent de l’eau. Le premier jour, l’antenne du commissariat local est saccagée. Les deux-roues réquisitionnés aux habitants par la police sont récupérés et redistribués. La police se lance ensuite dans une battue à travers la forêt pour traquer et capturer les activistes qui s’enfuient. Elle tire, gaze et tabasse ceux qu’elle réussit à rattraper, d’une façon très proche de ce qu’elle inflige d’ordinaire aux damnés intérieurs. Elle procède à 300 arrestations. 

         La police emploie des mécaniques de violence modulables et rationalisées selon le caractère plus ou moins sacrifiable des corps à soumettre. 

         C’est ce qu’explique en 2010 Hubert Weigel, directeur central des CRS : « Ces nouvelles tactiques ont aussi été imaginées par rapport aux importants services d’ordre qui seront mis en place dans certains points du territoire français, à l’occasion de manifestations telles que les réunions du G8 et du G20, en 2011. » Mais « cette formation est surtout destinée à contrer les éruptions de violences urbaines, comme celles par lesquelles nous nous sommes laissés surprendre, voire déborder, à Villiers-le-Bel (Val d’Oise), par exemple » confie un officier de CRS. 

         A travers le renforcement général de l’appareil policier, des formes de violence réservées aux indésirables, aux misérables et aux insoumis sont reconverties pour soumettre les couches supérieures et/ou non ségrégées des classes dominées. La garde à vue, par exemple, est désormais employée régulièrement pour des mauvais conducteurs. Elle implique un certain nombre de violences secondaires : serrer fort les menottes sur les os, cogner la tête de la proie qui s’est débattue contre le véhicule pour l’y faire entrer, attacher le gardé à vue au pied d’un banc, plié durant plusieurs heures, lui faire subir des agressions symboliques (menaces, injures, brimades), le livrer à des tortures blanches comme le refus de lui donner l’heure, lui interdire de parler, lui refuser l’accès aux toilettes, le priver de lumière ou au contraire braquer en permanence un projecteur dans la cellule ou qui que ce soit, plus fouilles et mises à nu en cas de transfert au dépôt. 

         La police conserve certaines techniques d’exception pour les indésirables. Emmanuel Blanchard repère ainsi un « répertoire d’actions de la rafle » opérationnel dans les années 1930, qui se perpétue dans les années 1950 et se maintient encore au début du XXIe siècle. Il est caractérisé par « un investissement massif de quartiers populaires par des agents en tenue, par leur apparence et leur indésirabilité politique et social, préalables à un enfermement sans décision judiciaire, voire à un éloignement selon des modalités administratives ou extra-légales. » 

         Depuis la fin des années 2000, des formes de rafles répondant à cette définition émergent pour soumettre les luttes radicales des couches non ségrégées. La loi sur les « bandes » de mars 2010 favorise ce processus. Le 28 mars 2010, une manifestation déposée en préfecture et autorisée à défiler aux abords de la prison de la Santé, est ciblée pour son caractère anticarcéral. La centaine de personnes présentes est arrêtée dans son ensemble, sans avoir commis aucun acte délictueux, sous prétexte qu’un participant était masqué. L’application du concept de décèlement précoce – forgé par l’idéologie sécuritaire pour justifier la répression de suspects sans qu’ils passent à l’acte – permet d’employer occasionnellement contre des militants appartenant aux franges supérieures des classes populaires certaines techniques infligées quotidiennement aux damnés de l’intérieur. Comme si la police réservée à ceux-ci influençait celle appliquée aux perquisitions avec fracas, aux rafles et aux incarcérations, aux techniques de contention et à l’emploi des armes sublétales, mais de manière exceptionnelle et contenue en comparaison de ce qui est devenu la règle dans les enclaves de ségrégation. A Tarnac, le 11 novembre 2008, la police débarque à grands renforts de journalistes embarqués pour mettre en scène la perquisition et l’arrestation de militants révolutionnaires issus des couches privilégiées. Une partie d’entre eux est incarcérée pendant plusieurs mois au prétexte qu’ils auraient tenté de faire ralentir un train, participé à l’écriture d’un ouvrage jugé subversif et à des luttes collectives mettant en cause radicalement l’ordre social, économique et politique. 

         A Toulouse, le 14 novembre 2012, des unités d’élite de la gendarmerie (unités de recherche et d’intervention) opèrent sept perquisitions avec fracas dans des lieux d’habitation. Ils défoncent les portes, mettent en joue les habitants, leur appliquent des techniques d’immobilisation au sol puis contrôlent les papiers d’identité et font disparaître sans explication une dizaine de personnes. Ils capturent aussi une famille privée de droits. Les personnes arrêtées sont accusées d’avoir jeté des excréments et d’avoir peint des slogans dans un établissement de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) à Labège au début de juillet 2011. Selon les tracts laissés sur les lieux de l’action, il s’agissait de dénoncer la participation de la PJJ à la répression policière des révoltes dans l’établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM) de Lavaure en mai 2011. Des ERIS (unités commandos spécialisées pour soumettre les émeutes en prison) avaient alors été envoyées pour mater les adolescents incarcérés, essentiellement des damnés de l’intérieur. L’action collective menée contre la PJJ est traitée par les services antiterroristes. Suite à la rafle de novembre, quatre personnes sont mises en détention préventive pendant près de trois mois. A leur libération, des contrôles judiciaires sont appliqués aux présumés terroristes. Conjugués aux écoutes téléphoniques et aux surveillances politiques, ces dispositifs établissent un autre système de violence symbolique qui tente de paralyser la vie sociale. Cette extension de dispositifs d’exception sert à mettre en garde les fractions radicalisées des couches privilégiées en menaçant de les traiter comme l’Etat traite les damnés intérieurs. 

    Mathieu Rigouste, La domination policière

    http://www.oragesdacier.info/2014/04/les-manifestations-ou-les-laboratoires.html

  • Force Vie versus FN... Ou quand les fondamentaux s’invitent dans le débat européen

    Les dernières positions du FN font réagir et alerter Christine Boutin au nom des candidats Force Vie

    « Derrière la dédiabolisation du FN mode « Bleu Marine », il y a un abandon des fondamentaux sur la vie et la dignité humaine. Une succession d’incohérences et d’ambiguïtés… »

    Le Front National mode « Bleu Marine » veut faire croire aux français qu’il peut défendre la famille, la nation, le patriotisme, et donc une juste économie, sans tenir l’exigence première de la défense de la vie et de la primauté de la dignité de toute personne humaine. C’est une incohérence qu’il faut dénoncer.

    Le refus de Marine Le Pen de prendre part aux grandes manifestations du Printemps dernier pour défendre le mariage comme union d’un homme et d’une femme en est l’aveu le plus flagrant. Cette absence et son silence ambigus sont un criant rejet des principes non négociables que sont la protection de la vie de sa conception à la mort naturelle, la liberté d’éducation, la défense de la famille traditionnelle.

    Voulue par Marine Le Pen, la rupture avec le socle historique sur lequel a pu s’appuyer nombre de votes FN est consommée. Elle est une postmoderne sans profondeur, entourée de technocrates ambitieux, transgressifs en nombre grandissant, qui ont rallié culturellement la pensée unique. Cette mutation explique d’ailleurs la relative dédiabolisation du FN dans la sphère médiatique.

    Par ses ambiguïtés flagrantes sur la défense du mariage, sur la protection de toute personne humaine en début ou fin de vie, sur la définition de la laïcité devenue pour eux laïcisme, Marine Le Pen et Florian Philippot, contrairement à quelques trop rares personnalités de ce parti, épousent les travers qu’ils ne cessent pourtant de dénoncer dans une nouvelle incohérence.

    Au niveau européen, le Front National des Jeunes a noué des alliances avec des partis qui sont souvent soumis aux revendications des lobbies LGBT. C’est par exemple le cas avec le « Vlaams Belang » belge qui justifie par sa détestation de l’Islam la promotion de dérives sexuelles. De surcroit, le Front National siège dans le même groupe qu’un parti ayant fait tomber l’objection de conscience aux Pays-Bas : une ambiguïté de plus annonçant que demain le FN s’alignera sur un PS cherchant à remettre en cause la clause de conscience des médecins après l’avoir refusé aux maires face à l’imposition du mariage pour tous.

    Les prétentions du FN à faire croire que la nation, la protection des travailleurs, le patriotisme décomplexé, thèmes affichés et surlignés, peuvent s’affranchir du combat premier pour la dignité de toute personne humaine sont vaines. Ne pas défendre de tels principes, c’est entrer comme l’a fait et le fera le FN « Bleu Marine » dans un système partisan prêt à toutes les compromissions sur les principes fondamentaux. Sans défense de la Vie, Nation et Patriotisme disparaitront. Sans reconnaissance et défense de l’humanité dans ce qu’elle a de plus sacré, aucun parti politique ne pourra être sérieux dans ses propositions. C’est cette impasse qui rend le « logiciel » des UMP, PS et FN obsolète.

    Élus, les députés Force Vie porteront à Bruxelles une vision cohérente basée sur des principes clairs. Parce que seul le respect intégral de la vie dans toutes ses dimensions permettra d’éviter la crise de civilisation qu’on nous prépare. Sans cela, on poursuivra les mêmes illusions vouées aux mêmes terribles échecs.

    Pour ces élections européennes, Force Vie présente toutes les garanties de cohérences intellectuelles pour un vrai vote de conviction le 25 mai prochain.

    Force Vie

    NDLR : TOUT CELA EST LOIN D’ÊTRE FAUX, ET NOUS L’AVONS ASSEZ RÉPÉTÉ. EN REVANCHE L’ENGAGEMENT EUROPÉEN DE FORCE VIE, FIDÈLE AU PRÉTENDU MESSAGE DES PÈRES FONDATEURS DU MACHIN BRUXELLOIS N’EST PAS LÀ NON PLUS POUR NOUS RASSURER. ENCORE UNE FOIS, SEULE L’ACTION FRANÇAISE SEMBLE CONCILIER TOUTES LES EXIGENCES DE L’INTÉRÊT NATIONAL ET DE LA SAUVEGARDE DE LA SOCIÉTÉ !

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Force-Vie-versus-FN-Ou-quand-les