Bernard Antony
http://www.bernard-antony.com/2014/04/etre-de-droite-de-conviction-cest-ce.html
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Bernard Antony
http://www.bernard-antony.com/2014/04/etre-de-droite-de-conviction-cest-ce.html
Comme les hirondelles qui font le printemps, les Sentinelles sont revenus à Lyon, capitale de la Résistance, lundi 14. Quelques tweets dans le week-end auront suffi pour qu’ils se retrouvent une quinzaine à veiller debout. Comme toujours aucun mot d’ordre, mais la volonté de quelques uns de venir chaque soir, de 18 h à minuit, en soutien tangible et visible aux sentinelles de Paris.
“On ne peut pas se téléporter place Vendôme, confie un veilleur, alors on vient ici, on se sent quand même avec eux”.
Lundi, tout s’est passé gentiment. Une bonne soirée pour les policiers en faction, qui ont pu dîner et passer la soirée dans leurs cars... L’ancien palais de Justice de Lyon (resté Cour d’Appel et d’Assises), surnommé “les 24 colonnes” est un cadre splendide. Les sentinelles tournent le dos au quai de Saône, maissont visibles des milliers de voitures qui passent. Elles lient conversation avec toutes sortes de touristes et de fêtards, car le Vieux Lyon est un peu le Boul’Mich local. Les Sentinelles lyonnaises semblent déterminées à rejoindre chaque soir leur “vieux palais”. Certains comptent et recomptent les colonnes, d’autres améliorent leur score au 2048, d’autres encore lisent sur leur tablette. Et que lisent-ils ? Le Salon Beige bien sûr !
On se doute que cet espace de liberté et d’information alternative que constitue internet pose un problème à l’Oligarchie et qu’il risque d’être remis en cause.
C’est toutefois avec inquiétude que l’on assiste à la mise en place progressive de la censure d’internet, avec par exemple les dernières demandes du CSA.
Vu sur numerama :
« Le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) a publié lundi son rapport annuel 2013 (.pdf), dans lequel l’autorité administrative confirme sa demande de ne plus réguler uniquement la télévision et la radio, ou leurs déclinaisons « à la demande », mais bien tout le web audiovisuel en France. Et surtout de créer un label « Site de Confiance » que les logiciels de contrôle parental et de filtrage auraient l’obligation de respecter pour s’assurer que la censure du web est effective — voir à ce sujet nos explications sur le mécanisme redoutable qui attend les internautes. [...]
Ainsi, les « services audiovisuels numériques » serait entendus comme « les services de communication au public par voie électronique mettant à disposition du public ou d’une catégorie de public des contenus audiovisuels ou sonores« . En clair, ce sont tous les sites qui diffusent des vidéos ou des podcasts audio, y compris les sites de vidéos personnelles comme YouTube ou Dailymotion, ou les services d’hébergement de musique comme Deezer ou SoundCloud. Ce ne sont plus seulement les vidéos professionnelles qui seront soumises à la régulation du CSA, mais aussi vos vidéos personnelles.
Toujours très flou dans ses demandes, le CSA se contente de proposer que ses règles soient appliquées « selon des modalités adaptées à la nature des services audiovisuels numériques« .
Un pouvoir de mise à mort
Sur le fond, le CSA demande à appliquer son pouvoir de censure dans de nombreux domaines, dont il dresse la liste. Il s’agit de domaines à tiroirs, dont l’application risque d’être extrêmement large et soumise à aucun contrôle démocratique.
Tout d’abord, l’ensemble des services, qu’ils signent on non une convention avec le CSA, risqueront des sanctions en cas de manquements à :
A écouter l’ancien vice-président du SAC, l’association tenait plus du camp scout que du repaire de patibulaires !
« J’ai un tempérament qui, de toute façon, ne me porte ni aux regrets ni au retour en arrière. Quand une page est tournée, elle est tournée » La était bigrement longue à « tourner ». Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire peut difficilement renier son appartenance au SAC, le trop fameux Service d’action civique. Il en fut, de 1962 à 1965, le chargé de mission régional pour les Bouches-du-Rhône, le Var et les Alpes-Maritimes, avant d’en devenir le vice-président jusqu’à son départ en 1969. Pasqua s’est toujours évertuer à donner cette police parallèle une version plus proche de la « Bibliothèque rose » que de la série noire qu’elle fut.
Devant la commission d’enquête parlementaire constituée en 1981-82 pour faire la lumière sur les activités de gros bras, il n’a pas jugé nécessaire de rendre des comptes à la nation. Contre toute évidence, le président fraîchement élu du groupe RPR au Sénat s’est appliqué à dresser du service d’ordre du parti gaulliste l’image d’une association de très sympathiques bénévoles, une joyeuse meute de scouts un peu turbulents, en aucun cas une bande de sévères malfrats.
Non, il n’a « jamais vu de gens rémunérés » comme ce journaliste venu témoigner qu’en juin 1968 on lui a proposé « un salaire de 400 à 500 F par jour, ce qui n’est pas si mal pour un chômeur ». Charlie, lui, n’a croisé que « des gens qui étaient, pour la plupart d’entre eux, de condition modeste, et qui, par-dessus le marché, payaient de leur argent la colle, l’essence, etc. » Bref de « vrais militants » comme il les aime.
Non, le SAC n’avait pas d’autre but que de « soutenir inconditionnellement l’action du général de Gaulle ». Tel était du moins le sens de son engagement. S’ils étaient organisés dans une association distincte de l’UNR, c’est simplement qu’ils « ne voulaient pas, pour autant, militer dans un parti politique ». Un point de vue partagé par Paul Comiti, ancien garde du corps de De Gaulle et président du SAC de 1960 à 1969 : « Quand le Général est revenu, nous avons préféré nous adresser directement au bon Dieu, sans passer par ses curés. » Le SAC n’était pas un refuge pour truands, c’était quasiment, à entendre Charlie et ses amis, les demoiselles de la Légion d’honneur. « On n’a jamais accepté aucun adhérent sans qu’il soit parrainé et présenté », assure-t-il. Un extrait de casier judiciaire était même exigé. Etc.
Charlie le poète n’a pas son pareil pour se retricoter un passé digne de son ambition présente. A-t-il participé à la fondation du SAC ? « Je n’ai jamais été membre fondateur du SAC, répond-il à la commission. Si je l’avais été, je le dirais. Je n’aurais aucune raison de le cacher. »
Trois ans plus tôt, dans un entretien à « L’Aurore » (13 février 1979), il ne le cachait pas : « Oui, j’ai été l’un des créateurs du SAC, affirmait-il alors avec le même aplomb. Je n’en ai pas honte. »
Au gré des réponses qu’ils visent à marquer la distance qu’il prétend avoir prise avec le SAC, l’ancien vice-président dresse néanmoins un tableau de son ancien mouvement un peu différent de l’image d’Epinal qu’il tente de maintenir. Comment juge-t-il Gérard Kappé, qui lui a succédé à la tête du SAC de Marseille ? « Un peu fou. » Et René Tiné, le secrétaire général de 1962 à 1968, le seul dirigeant à ne pas le lâcher quand il est poussé vers la sortie en 1969 ? « Il n’avait pas tout à fait les qualités pour tenir le poste qu’il occupait. » Et Georges Seigneuret, le responsable parisien du SAC à partir de 1967 ? « Avec des moyens, lui aussi, limités. » Etc. D’où cette conclusion amusée du rapporteur Louis Odru : « On a découvert au SAC qu’il y avait des fous, des mythomanes, des gens sans intelligence, des ‘gros bras’. Des intellectuels, on n’en a pas trouvé beaucoup ».
La commission n’en a pas moins conclu que « le SAC n’a jamais cessé d’être une association accueillante pour les ‘malfrats’ et les truands en mal d’impunité. » Charlie niait avoir fréquenté des enfants de chœur comme le gentil Mathieu Mattéi, patron du bar « Le Gobelet » et du SAC à Grenoble, abattu en juin 1968 de deux balles dans le dos, dix-sept mois avant que sa belle ne se fasse pincer à Cannes avec 50 kilos d’héroïne dans le double fond du coffre de sa Lancia. Ou affirmait n’avoir vu le délicieux Charly Lascorz que « deux fois dans [sa] vie en mai 1968 », le futur carambouilleur de l’Etec ne lui ayant « pas fait » de toute façon « une impression fabuleuse »... Il reconnaissait toutefois que « les mouvements politiques, (...) cela attire les fadas, les aigrefins, du moins quand on est au pouvoir ». Fataliste, il ajoutait simplement un « on n’y peut rien » en guise d’excuse. Et, prémonitoire, il mettait en garde ses interlocuteurs socialistes qui venaient d’arriver au pouvoir : « Vous verrez, si vous restez suffisamment de temps au pouvoir, vous allez l’expérimenter. »
Entre 1962 et 1969, à l’époque où Charlie exerce des responsabilités officielles à sa direction, la chronique judiciaire du SAC aura connu 81 faits délictueux recouvrant à peu près tous les aspects de l’activité délinquante de droit commun. Certains ont défrayé la chronique : le meurtre du commissaire Galibert, abattu par Christian David, un gangster membre du SAC, qu’il venait cueillir en février 1966. Pris en charge par la bande marseillaise des Guérini, Christian David parviendra à gagner l’Amérique du Sud. Ou encore, en juillet 1969, l’affaire Padovani, du nom de ce responsable de la section aixoise du SAC depuis 1967, qui, pour hériter du château de Puyricard, confie à un petit malfrat de ses connaissances le soin de tuer la gouvernante des lieux, qui s’opposait à son projet. Autre affaire embarrassante : le 19 octobre 1969, la police découvre près de Niolon, dans les Bouches-du-Rhône, le cadavre d’un homme au casier à rallonge. L’enquête permettra de démanteler une bande de malfrats auteurs de plusieurs assassinats, d’attaques à main armée et de cambriolages. La plupart étaient membres du SAC au moment des faits. Selon certaines informations de presse reprises dans le rapport de la commission d’enquête parlementaire sur le SAC, ils « auraient participé, en juin 1968, à la campagne électorale de Charles Pasqua » à Clichy-Levallois.
Devant cette commission, le journaliste Roger Colombani, qui a longtemps couvert la vie politique marseillaise, dans les années 80, a estimé à « une quarantaine » les « truands notoires » de cette ville « fichés comme appartenant au SAC ou supposés l’être ». Selon lui, les liens du caïd du milieu marseillais (les Guérini, Francisci, Renucci) avec les milieux gaullistes remontaient aux origines du RPF, auquel ils avaient adhéré sans hésitation, avant de participer « de façon extrêmement discrète, et uniquement par lieutenants interposés, à l’organisation du SAC dans la région marseillaise ». On n’y peut rien.
Charlie a-t-il exclu du SAC le 4 octobre 1969 ? Certains l’affirment, rappelant que Jacques Foccart, la tête pensante de l’organisation, lui reprochait ses « amis » marseillais trop « voyants », à un moment où l’Elysée venait de décider de faire le ménage. Charlie, pour sa part, soutient mordicus avoir démissionné. Il ne pouvait « accepter aucune collaboration d’aucune sorte avec Pierre Debizet », nommé le 3 octobre 1969 secrétaire général par Jacques Foccart. Pasqua et ses amis, qui avaient accueilli à bras ouverts tant de soldats perdus de l’OAS, reprochaient à l’ancien dirigeant du service d’ordre du RPF et président fondateur du SAC de décembre 1959 à février 1960 de s’être opposé à la politique algérienne du Général. Dans une lettre-circulaire, Debizet avait inventé les membres du SAC à voter « non » au référendum du 8 janvier 1961 sur l’autodétermination de l’Algérie.
Retournant le handicap en avantage, Charlie le démissionnaire dira plus tard que le retrait politique du Général ôtait au SAC toute raison d’existence. Agé de 42 ans, élu député UDR des Hauts-de-Seine depuis juin 1968, il en aurait eu assez, selon son expression, de passer pour un « boy-scout attardé ».
Ça donne une idée de ses camarades de meute !
Les dossiers du canard, n° 61, Môssieu Pasqua, sa vie, son œuvre et ses ambitions
http://www.oragesdacier.info/2014/04/pasqua-et-le-service-daction-civique.html
En lançant une "opération antiterroriste" à Slaviansk, les autorités de Kiev ont en réalité entamé une guerre contre leur propre peuple, ce qui pourrait être classé comme un crime contre l'humanité, a estimé dimanche le rédacteur en chef de la revue russe "Défense nationale" Igor Korotchenko.
"Tout ce que se passe actuellement à Slaviansk, démontre que le régime de Kiev a lancé une guerre contre son propre peuple (…). L'opération antiterroriste ne peut être menée que contre les terroristes, alors qu'à Slaviansk il y a des actions des habitants qui revendiquent simplement leur droit de décider du sort de la terre qu'ils habitent. A Slaviansk, une opération de forces de l'ordre est lancée contre la population pacifique, impliquant des unités spéciales, des blindés et des hélicoptères de combat", a indiqué à RIA Novosti M.Korotchenko.
L'expert a estimé que les responsables qui dirigent l'opération, à savoir le chef du Service de la sécurité ukrainien Valentin Nalivaïtchenko et le ministre ukrainien de l'Intérieur Arsen Avakov, étaient en train de commettre "un crime contre l'humanité" et de ce fait devaient être traduits devant la justice internationale.
"Il faut obtenir que Nalivaïtchenko et Avakov soient traduits devant la Cour pénale internationale de La Haye. Pour cela, il est extrêmement important d'enregistrer par documents les crimes commis par eux sur le territoire de l'Ukraine de l'Est. A cette fin, une commission internationale devrait être formée sans délai qui procéderait d'urgence à enquêter sur les événements à Slaviansk", a souligné l'expert russe.
Le quartier Barbès, dans le XVIIIème arrondissement de Paris, est bien connu : il s’agit d’un laboratoire grandeur nature du Grand Remplacement en cours. Ses boutiques halal, ses prières de rue, ses coiffeurs avec emplacement réservé pour les femmes voilées, ses trafics à ciel ouvert… Si les Parisiens connaissent bien cette destination exotique, un certain nombre d’entre eux ont toutefois pu être surpris — et cela à juste titre — d’y découvrir des tracts et des affiches pour une campagne électorale algérienne. En effet, alors que l’élection présidentielle mobilise les énergies à Alger, les portraits d’Ali Benflis et d’Abdelaziz Bouteflika s’affichent aussi dans les rues de Paris.
Quel silence assourdissant de la part des autorités publiques, des médias et des politiques, mis à part, peut-être, la réaction du député UMP Éric Ciotti qui a écrit sur son compte Twitter : « Je m’étonne du silence du gouvernement et du préfet de police face aux différentes publicités électorales algériennes en plein Paris [...] Ces tracts et affiches électoraux pour les élections présidentielles algériennes n’ont pas leur place dans notre capitale. » Une simple déclaration non suivie d’effet, car la règle est de tout faire pour ne pas froisser un électorat potentiel, même si celui-ci se sent aussi concerné par des élections en Algérie…
La publicité et l’affichage sont très réglementés pour les élections françaises. Mais personne ne trouve donc rien à redire lorsqu’il s’agit d’un affichage sauvage, qui plus est pour des élections étrangères. Les Parisiens ont pu, par exemple, admirer une affiche géante du candidat Ali Benflis déployée sur la façade d’un immeuble du quartier Barbès. Mais les partisans d’Ali Benflis sont allés bien plus loin en collant des affiches jusque sur les murs de l’église Notre-Dame-Réconciliatrice qui se trouve à l’angle de la rue de la Fontaine-au-Roi. Que des Algériens s’amusent à transformer un lieu de culte catholique en panneau électoral pour un candidat musulman, en plein Paris, ne semble pas déranger les propagandistes du vivre ensemble. Ils préfèrent certainement réserver leur discours d’indignation pour les actes qui touchent les mosquées.
Cette campagne électorale algérienne en plein Barbès n’est pas sans rappeler l’ambiance particulière qui règne dans ce quartier les jours où l’équipe de football d’Algérie joue un match. Les façades d’immeubles sont décorées aux couleurs algériennes même quand l’équipe de France joue le même jour. Les défilés exubérants de ces « supporters » constituent, chaque fois, une véritable démonstration de force étrangère. Il ne faut donc pas grand-chose — un rendez-vous électoral, une rencontre sportive — pour réveiller l’instinct patriote de ces populations et ainsi donner le sentiment désagréable qu’une partie du XVIIIème arrondissement de Paris a déjà été annexée à l’Algérie. Mais il y a un léger problème. Ici, c’est Paris et pas l’Algérie.
Fabrice Robert
http://fr.novopress.info/162969/quartier-barbes-t-il-ete-annexe-lalgerie-fabrice-robert/#more-162969
Que sont-ils devenus ? Où se trouve leur dernière demeure ? Qui aura le courage d’honorer leur mémoire ?
Après les élections de demain, l’Algérie poursuivra avec le même Président et notre Président de la République, François Hollande, conforté par le gouvernement de Valls, rendra un vibrant hommage à cette très large réélection de Bouteflika.
Bien entendu, il ne sera surtout pas question des plus de 3.000 enlèvements, disparitions et exécutions survenus après le cessez-le-feu du 19 mars 1962 !
Pas question, non plus, d’évoquer les 1.380 civils et militaires retenus prisonniers avant cette date et qui ne nous ont pas été remis comme cela était convenu dans les « accords d’Évian », pas plus que les dizaines de milliers d’Algériens qui ont servi dans l’armée française et dont le choix était limité : soit le ralliement, soit l’exécution.
Bien entend, et surtout, il ne sera nullement question d’exiger une quelconque repentance du gouvernement algérien. D’ailleurs, ce n’est pas cette repentance algérienne qui nous préoccupe, mais plutôt la repentance des gouvernements successifs de la France qui, de par leur silence et avec la complicité des médias, nous imposent une « omerta » qui nous couvre de honte.
Dans certains cas, des parents nous ont fait part que certains des professeurs en charge de leurs enfants exercent des représailles directement sur eux suite à leur absence à l’occasion de la JRE. Ces attitudes tout simplement scandaleuses, illégales et parfois même pénalement répréhensibles ne doivent certainement pas rester sans réaction de votre part.
Il est absolument intolérable pour un adulte, de surcroît lorsqu’il est en charge de l’éducation de votre enfant, de profiter de la naïveté et de l’innocence de votre enfant, inconscient du désaccord qui vous oppose.
Non seulement les sanctions possibles sur un enfant sont strictement limitées, mais leur application exceptionnelle doit résulter d’un comportement de l’enfant et non pas de la mobilisation d’un parent en faveur de la JRE ! [...]
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