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  • Marisol Touraine a fait un stage à la « Manif pour Tous »… Voilà le tiers payant pour tous…

    La nouvelle loi « Santé » présentée au conseil des ministres le 18 juin par Marisol Touraine sera débattue lors de la rentrée parlementaire en septembre.

    Sa principale mesure glace d’effroi ce qui reste de médecins dans le corps médical : le tiers payant pour tous à partir de 2017. La mesure va mettre l’ensemble du corps médical sous la coupe des Caisses d’Assurance, car « qui paie commande ».

    C’est donc la fonctionnarisation complète – et à la soviétique – du système de soins qui sera ainsi réalisée. Après la suppression de nombreuses maternités, les « restructurations » des hôpitaux publics soumis à des impératifs économiques plus ou moins justifiés – mis en route par Sarkozy et sa loi HPST – ( la suppression des Urgences à l’Hotel Dieu à Paris, non encore réalisée car les résistances sont vigoureuses, en est un bon exemple) – voici le médecin « de famille « à ma botte » !

    La fameuse relation médecin-malade dont tout le monde se gargarise, basée sur la confiance réciproque, va voler en éclats car elle est matérialisée par l’indépendance du médecin ( notamment vis à vis de sa hiérarchie) et par les honoraires.

    Certes, on trouvera toujours des médecins serbes, roumains, tunisiens ou pakistanais, pour remplir les papiers. Mais les malades eux n’auront plus – comme bientôt les Parisiens avec l’Hôtel Dieu – qu’à aller se faire soigner :

     » à Joinville le Pont ! pon-pon… »

    Docteur Luc Perrel 

  • La civilisation arabo-musulmane est un mythe

    Numérisation du Livre de Kells, produit autour de l’an 800 (témoignage de la Renaissance carolingienne) et conservé au Trinity College de Dublin en Irlande :

    Chateau

    Articles apparentés sur Le Monarchomaque :
    • Le soleil d’Allah brille sur l’Occident ? (1) 
    • Pour en finir avec Averoès (2)
    • L’Occident ne doit pas ses savoirs à la civilisation islamique (3)
    En 1998, le Ministre des Affaires étrangères britannique déclarait que « les racines de notre culture ne sont pas seulement grecques ou romaine, mais aussi islamiques. L’art, la science et la philosophie islamiques ont contribué à faire de nous ce que nous sommes et à modeler notre pensée. » Le ministre évoquait aussi « la dette de nos cultures envers l’Islam », qui a « posé les fondations intellectuelles de vastes pans de la civilisation occidentale ». En 2003, le Président de la République française renchérissait en disant que « les racines de l’Europe autant musulmanes que chrétiennes ».

    L’idée de plus en plus souvent admise et même enseignée à l’école est que l’humanité doit beaucoup à l’Islam concernant sa contribution dans les sciences, les arts et la culture. Rendons à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu. Cet article apporte des clarifications quant à certaines découvertes et avancées souvent attribuées par erreur à l’Islam.
    Spiritualité de l’Islam
    Les Arabes et les musulmans sont apparus sur la scène du monde en 630 apr. J.-C. quand les armées de Mahomet ont commencé leur conquête du Moyen-Orient : il s’agissait d’une conquête militaire, utilisant la force, et non d’une entreprise de missionnaires. Elle avait été autorisée par une déclaration de guerre sainte contre les « infidèles » que les musulmans pouvaient convertir et assimiler de force. Très peu de communautés indigènes du Moyen-Orient ont survécu à ces invasions, comme cela a été le cas des Assyriens, des Juifs, des Arméniens et des Coptes d’Égypte.
    Par la conquête du Moyen-Orient, les Arabes ont placé ces communautés sous un système de dhimmitude, où elles ont été considérées en tant que minorités religieuses ayant le droit de s’autogérer (chrétiens, juifs et zoroastriens). Ces communautés ont dû payer un impôt (appelé une Jizzya en arabe) qui était, en fait, une pénalité pour être non-musulman, et qui se montait, en général, à 80 % en période de tolérance et jusqu’à 150 % en période d’oppression. Cet impôt avait été conçu pour forcer ces communautés à se convertir à l’Islam.
    Architecture en terre d’Islam
    On nous dit : « Les architectes musulmans ont conçu des bâtiments qui défiaient la gravité. »
    Les lignes de l’architecture arabe comprennent de nombreux dômes, arches et voûtes. Les progrès scientifiques nécessaires à ces réalisations sont fréquemment attribués aux Arabes. Pourtant, cette percée architecturale, fondamentale pour employer une forme parabolique au lieu d’une forme sphérique dans ses structures, a été faite par les Assyriens, plus de 1 300 ans plus tôt, comme en attestent les traces archéologiques.
    Un exemple frappant : l’Église Sainte-Sophie de Constantinople a été inaugurée en 537. Elle se caractérise par une gigantesque coupole haute de 56 mètres et de 32 mètres de diamètre. Elle fut transformée en mosquée en 1453. Plusieurs architectes turcs furent exécutés pour n’avoir pas réussi à égaler Sainte-Sophie.
    Le plus grand architecte ottoman, Koca Mimar Sinan (1491-1588), un janissaire (chrétien d’origine, converti de force à l’islam pour devenir soldat d’élite), écrit dans ses mémoires : « Les architectes de quelque importance en pays chrétiens se prétendent bien supérieurs aux musulmans, parce que ceux-ci n’ont jamais rien réalisé qui puisse se comparer à la coupole de Sainte-Sophie. Grâce à l’aide du Tout-Puissant et à la faveur du Sultan, j’ai néanmoins réussi à bâtir, pour la mosquée du Sultan Selim une coupole dépassant celle de Sainte-Sophie de quatre aunes pour le diamètre et de six pour la hauteur. » En réalité, il se trompait (volontairement ?) dans ses dimensions. De plus, il avait atteint ce résultat en insérant d’inesthétiques barres de fer horizontales dans le creux des arcades des demi-coupoles latérales, afin de neutraliser les poussées latérales provoquées par la grande coupole. La mosquée de Sélim à Edirne, jamais surpassée ultérieurement par un architecte musulman, fut terminée en 1575, plus d’un millénaire après Sainte-Sophie ! Il fallut deux fois plus de temps pour la construire que pour terminer son modèle.
    Mathématiciens arabes
    On nous dit : « Ses mathématiciens ont crée l’algèbre et les algorithmes qui allaient permettre la fabrication des ordinateurs et la création du cryptage. »
    Les bases fondamentales des mathématiques modernes ont été établies, non pas des centaines, mais des milliers d’années avant l’islam, par les Assyriens et les Babyloniens qui connaissaient déjà le concept de zéro, le théorème de Pythagore, ainsi que de nombreux autres développements que les Arabo-musulmans se sont appropriés (voir History of Babylonian Mathematics, Neugebauer).
    D’autres part, la mathématique indienne se manifeste brillamment dès le 5e siècle avec Aryabhata, premier grand mathématicien et astronome indien et apparaît indépendante de celle des grecs. Un autre mathématicien indien, Brahmagupta est sans doute le premier, dans des calculs commerciaux, à user des nombres négatifs. Il emploie les chiffres décimaux (graphisme très proche de nos chiffres actuels dits « arabes ») et principalement le zéro dont l’apparition est un pas de géant en algèbre.
    L’Inde subira les invasions musulmanes et les arabes adopteront les travaux des mathématiciens indiens. C’est ainsi que ces travaux indiens en mathématique, que les musulmans se sont appropriés, nous seront transmis par les Arabes (Maures) lors de leurs occupation de l’Espagne.
    L’ouvrage A History of Mathematics de Victor J. Katz (Addison-Wesley Educational Publishers, 1999) supporte les affirmations précédentes.
    Les Arabes présentent Mohamed Ibn Khwarizmi (813-840) comme l’inventeur de l’informatique. En fait, cet homme n’était pas arabe mais perse. Ses écrits ne contenaient aucun chiffre, toutes les équations étaient exprimées avec des mots ! La seule chose qu’on lui doit c’est quelques termes reliés aux mathématiques tels qu’« algorithme » et « algèbre ». Cependant, les principaux développements de l’algorithme avaient été fait par Euclide onze siècles auparavant. Tant qu’à l’algèbre, le grec Diophante en est le père véritable et a vécu six siècles plus tôt.
    Savants arabes
    On nous dit : « Ses docteurs examinèrent le corps humain et trouvèrent de nouveaux remèdes à des maladies. »
    Une écrasante majorité de ces savants et docteurs (97 %) étaient des Assyriens qui, dès le 4e siècle, ont commencé la traduction systématique des connaissances grecques. Ils se concentrèrent d’abord sur le travail religieux, puis se sont rapidement intéressés à la science, à la philosophie et à la médecine. Socrate, Platon, Aristote, Galien et beaucoup d’autres ont été traduits en assyrien, puis de l’assyrien en arabe. Ce sont ces traductions arabes que les Maures ont apporté en Espagne, et que les Espagnols ont traduit en latin et répandu à travers l’Europe. Ces connaissances, ajoutée a l’apport de connaissances grecque survenu après 1453 et la prise de Constantinople par les Turcs provoqua la renaissance européenne lorsque beaucoup de Byzantins chrétiens, gardiens du savoir grec, se réfugièrent en Europe occidentale pour fuir le joug turco-islamique.
    Dans le domaine de la philosophie, l’Assyrien Jod d’Édesse a développé une théorie de physique de l’Univers, en langue assyrienne, qui a rivalisé avec celle d’Aristote. Elle cherchait à remplacer la matière par des forces (une théorie qui anticipait quelques idées de mécanique quantique, comme la création et la destruction spontanées de matière qui a lieu dans un vide quantique).
    Une des plus grandes réalisations assyriennes du 4e siècle fut la création de la première université du monde, l’École de Nisibis, qui avait trois départements, théologie, philosophie et médecine, et qui devint un aimant et un centre de développement au Moyen-Orient. Les statuts d’École de Nisibis, qui ont été préservés, devinrent plus tard le modèle sur lequel la première université italienne fut crée (voir The Statutes of the School of Nisibis, Arthur Voobus).
    Au 6e siècle, les Assyriens avaient commencé à exporter à Byzance leurs propres travaux sur les sciences, la philosophie et la médecine. Dans le domaine de la médecine, la famille assyrienne Bakhteesho a produit neuf générations de médecins, et fondé la grande école médicale de Gundeshapur (Iran actuel). Aussi en médecine, le manuel d’ophtalmologie écrit par l’Assyrien Hunay Ibn-Ishaq vers 950, resta la source d’autorité sur le sujet jusqu’en 1800.
    Notons qu’Ibn-Ishaq a aussi traduit en arabe les Éléments d’Euclide. Exemple typique de personne que les apologistes occidentaux attribuent, plus par ignorance que par volonté délibérée de propagande, aux arabo-musulmans, alors que c’était un assyrien chrétien nestorien, ni arabe ni musulman donc. C’est par la connaissance historique que l’on peut répondre aux mensonges.
    Quand les Arabes et les musulmans se répandirent à travers le Moyen-Orient en 630, ils rencontrèrent 600 ans de civilisation assyrienne chrétienne, avec un riche héritage, une culture très évoluée, et des institutions d’enseignement avancées. C’est cette civilisation qui devint la fondation de la soit-disant civilisation arabe.
    Astronomes arabes
    On nous dit : « Ses astronomes ont regardé dans les cieux, nommé les étoiles, et préparé la route pour le voyage spatial et l’exploration. »
    C’est un peu mélodramatique. En fait, ces astronomes n’étaient pas arabes mais Chaldéens et Babyloniens (au sud de l’Iraq actuel) qui depuis des millénaires étaient connus comme astronomes et astrologues (ces deux domaines ne se séparèrent clairement que des siècles plus tard) et qui furent arabisés et islamisés par la force.
    Science & Islam
    On fait un grand cas d’Umar Khayyam, qui n’est certainement pas un produit de l’Islam puiqu’il a sérieusement remis en cause certains préceptes de cette religion dans ces écrits, ce qui lui vaudra d’être qualifié d’imposteur par ses correligionnaires !
    On parle aussi souvent d’Al-Khuwarizmi. Celui-ci est reconnu comme scientifique persan, rien ne prouve qu’il était vraiment musulman. On connait ses travaux mais on ne sait rien sur le personnage !
    On classe habituellement Abu’l-Walid Muhammad ibn Rushd parmi les grandes figures de l’Islam médiéval ; penchons-nous sur les relations qu’il entretenait avec les autorités religieuses (via Wikipédia) :
    Son ouverture d’esprit et sa modernité déplaisent aux autorités musulmanes de l’époque qui l’exilent comme hérétique et ordonnent que ses livres soient brûlés. Il demeura profondément méconnu jusqu’au 13e siècle où son importance fut cependant minimisée. Ce n’est qu’actuellement que les historiens de la philosophie reconnaissent son importance.
    On ne peut pas dire que l’Islam ait favorisé le travail de ces scientifiques dont il tente actuellement de s’approprier les travaux !
    Voici au passage la démolition de deux des famaux « miracles du Coran » :
    • Sept cieux solides… [Le Coran et la science](4)
    • The Myth of the Expansion of the Universe in the Quran [Tangle](5)
    Les Arabes, vecteurs du patrimoine
    On nous dit : « Quand d’autres nations avaient peur des grandes idées, cette civilisation s’en accommodait, et les gardait en vie. Quand les censeurs menacèrent de rayer les connaissances des civilisations passées, cette civilisation garda le savoir en vie, et le passa aux autres. »
    Cette question va au cœur de ce que représente la civilisation arabo-islamique. Une recherche intitulée Comment la Science grecque est passée aux Arabes (6)(Evans O’Leary, éditions Routledge & Kegan Paul, Londres, 1949), énumère les traducteurs principaux de la science grecque. Des 22 intellectuels listés, 20 étaient des Assyriens, 1 était Persan et 1 Arabe. La conclusion la plus saillante qui peut être tirée du livre d’O’Leary est que les Assyriens jouèrent un rôle significatif dans la formation de du monde islamique via le corpus de connaissances grecques. La religion musulmane elle-même a été significativement modelée par les Assyriens et les Juifs (voir Nestorian Influence on Islam and Hagarism : the Making of the Islamic World) (7).
    Islam, religion de tolérance
    On nous dit : « Au cours de l’histoire, l’Islam a prouvé être une civilisation plus tolérante que le Christianisme. Par exemple, les Ottomans ont acceuillis sous leurs ailes les Juifs d’Espagne lorsque ceux-ci ont été chassés du pays par ses souverains catholiques. »
    Si les Turcs ont favorisés l’immigration juive dans leur empire, c’est car ces Juifs en question payaient, comme déjà mentionné, une taxe spéciale, très bénéfique pour les autorités mahométanes. Ainsi, au cours de l’histoire de l’Islam, les musulmans ont souvent été minoritaires dans de larges régions du Califat, ou les non-musulmans tiraient la richesse de la terre à la sueur de leur front, richesse qui était très vite récoltée par le pouvoir islamique.
    Poètes arabes
    On nous dit : « Ses écrivains créèrent des milliers d’histoires. Des histoires de courage, de romance et de magie. Ses poètes écrivirent sur l’amour, alors que d’autres avant eux avaient trop peur de penser à de telles choses. »
    Il y a très peu de littérature en langue arabe provenant de cette période : le Coran est le seul morceau littéraire significatif, tandis que la production littéraire des Assyriens et des Juifs était très vaste : en volume, la 3ème production des écrits chrétiens de cette époque, après le latin et le grec, a été produite par les Assyriens en langue assyrienne (dite aussi syriaque).
    L’incendie de la somptueuse bibliotèque d’Alexandrie au Moyen-Âge par les musulmans demontre l’intérêt de ces derniers pour l’art de l’écriture.
    Une dette occidentale ?
    Malgré les évidences historiques et archéologiques, il y a une forte tendance à surestimer la dette de la civilisation occidentale vis-à-vis de l’Islam. Cette interprétation de l’histoire résulte des recommandations (1968) par « l’Académie de Recherche Islamique » qui a recommandé la publication de la mise en évidence de la civilisation islamique par rapport à la civilisation occidentale.
    La première vague de conquête islamique a englouti les terres chrétiennes jusqu’au nord-est de l’Arménie, l’Afrique du Nord, l’Espagne, la France jusqu’à Poitiers et — il n’en aurait pas fallut beaucoup plus — l’Italie jusqu’aux Alpes. Elle a débordé la Perse et atteint l’Indus. Les musulmans ont ainsi été en contact avec les civilisations les plus prestigieuses. Cependant, le sentiment de supériorité des Bédouins conquérants mais rudimentaires a été mis à rude épreuve quand leurs conquêtes ont révélé des civilisations brillantes, ce qui les a menés à renforcer l’humiliation constante des Dhimmis.
    L’un des principes de base de l’Islam est enraciné dans le dogme de perfection de l’Oumma (ensemble des musulmans du monde), perfection qui la lie à l’obligation sacrée de diriger le monde entier. Tout emprunt à une autre civilisation est interdit, puisque la perfection n’emprunte pas de l’imperfection sans s’abîmer elle-même.
    Les musulmans sont donc engagés dans une campagne de destruction et d’appropriation des cultures et des communautés, des identités et des idées. Partout où les arabo-musulmans ont rencontrés une civilisation non-musulmane, ils ont tentés de la détruire (comme le montre l’exemple de la destruction des grandes statues bouddhistes centenaires en Afghanistan, ou de celle de Persépolis en Iran par l’Ayatollah Khomeyni). C’est un modèle de comportement qui s’est inlassablement reproduit, depuis l’arrivée de l’Islam, il y a 1400 ans, et qui est amplement décrit dans les sources historiques.
    Par exemple, les livres d’« histoire » arabes du Moyen-Orient enseignent que les Assyriens étaient arabes, un fait qu’aucun chercheur sérieux ne soutiendrait, et qu’aucun Assyrien en vie n’accepterait. Les Assyriens établirent Ninive, l’une des grandes villes assyriennes, plus de trois millénaires avant que les Arabes ne viennent dans la région. Même le mot « arabe » est un mot assyrien, signifiant « gens de l’Ouest » (la première référence écrite aux Arabes est due au roi assyrien Sennachérib, vers -700, où il parle de conquérir les « ma’rabayeh »… voir The Might That Was Assyria, par H.W.F. Saggs).
    Même en Amérique du Nord cette politique d’arabisation continue. Le 27 octobre 2001 une coalition de sept organisations a envoyé une lettre officielle à l’Institut arabo-américain pour lui demander d’arrêter d’identifier les Assyriens et les Maronites comme des Arabes, ce qu’il faisait délibérément.
    Si la culture « étrangère » ne peut être détruite, alors elle est vampirisée, et les historiens révisionnistes disent que cette culture est et était arabe, comme c’est le cas de la plupart des « réalisations arabes » mentionnées dans cet essai.
    La civilisation arabo-islamique n’est pas une force progressive, c’est est une force régressive. Ladite civilisation islamique dont on vante la réputation n’était pas un accomplissement d’Arabes ou de musulmans, c’était un accomplissement assyrien que les Arabes se sont appropriés et qu’ils ont plus tard perdu quand ils ont épuisé la source de vitalité intellectuelle qui l’avait propulsé, par la conversion obligatoire des Assyriens à l’Islam.
    La communauté chrétienne syriaque a vu sa population fondre. Lorsque cette communauté a diminué au-dessous du seuil critique, elle a cessé de produire la force intellectuelle motrice de la civilisation islamique. C’est alors que le prétendu « âge d’or de l’Islam » s’est terminé.
    Depuis plus de 1400 ans et encore actuellement, il y a des minorités et des nations qui luttent pour leur survie dans le monde musulman, au Moyen-Orient (Juifs, Coptes, Assyriens, Arméniens, Araméens), en Afrique (Sud-Soudanais, Éthiopiens, Nigérians), en Asie (Zoroastriens, Bahaïs). Ces populations se battent contre l’impérialisme arabe et le totalitarisme islamique, qui tentent d’éliminer toutes autres cultures, religions et civilisations. Devant la désinformation actuelle, il importe à chacun de faire son propre travail de recherche et de garder son esprit critique.

     

    Notes :

    (1) http://monarchomaque.org/2011/04/05/hunke/

    (2) http://monarchomaque.org/2010/09/09/averroes/ 

    (3) http://monarchomaque.org/2009/12/08/mt-st-michel/

    (4) http://daruc.pagesperso-orange.fr/divers/islam4.htm

    (5) http://www.godtube.com/watch/?v=6LWLNNNX

    (6) http://www.aina.org/books/hgsptta.htm

    (7) http://fr.scribd.com/doc/27096936/Hagarism-The-Making-of-the-Islamic-World

    Sources :

    • Sciences "arabes" : non à l’impérialisme culturel [Kabyles.net]http://www.kabyles.com/spip.php?page=article&id_article=1665

    • Les "racines islamiques" de la civilisation occidentale [FNB]http://www.fnb.to/FNB/Article/Bastion_64/RacinesIslamiques.html

    Source : 

    monarchomaque :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EupFuEkVVVYNsnSnVJ.shtml

  • Dans son journal de bord, Jean-Marie Le Pen revient sur les derniers événements et la « fournée »

    Dans son premier journal de bord depuis la polémique du mot « fournée », le président d’honneur du Front National Jean-Marie Le Pen revient sur les derniers événements: 

  • Sondage Ipsos : un Français sur cinq croirait à l’existence des Illuminati

    Un Français sur cinq croit à l’existence de cette société secrète et est convaincu que ses membres « tirent les ficelles de l’économie mondiale », selon un sondage Ipsos pour Fleuve Editions, révélé mercredi 18 juin par Le Parisien.
    Le quotidien trouve d’ailleurs cela « préoccupant »… Mais pour qui ?

    La société secrète des Illuminati, appelée originellement « illuminés de Bavière » est censée avoir été dissoute fin XVIIIe par le gouvernement bavarois, ce qui a toujours été contesté, notamment par l’abbé Barruel qui dans ses fameuses mémoires, lui prête un rôle fondamental dans la Révolution française.

    Le quotidien explique que « les adeptes de la théorie du complot sont persuadés que depuis sa disparition, en 1789, elle a basculé dans la clandestinité ».

    Le thème des Illuminati est en quelque sorte devenu à la mode après avoir fait l’objet d’un roman de l’écrivain scandaleux Dan Brown, en 2000.

    « Peu de spécialistes pensaient que le phénomène Illuminati avait pris une telle ampleur, souligne Le ParisienLa Miviludes, mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires [elle-même dirigée par des franc-maçons...-NDCI], estimait ainsi récemment qu’un ‘mouvement de fond’ était en train d’émerger, mais sans pouvoir le quantifier. »

    L’étude exclusive Ipsos pour Fleuve Editions a été réalisée en mai 2014 sur un panel de 1 500 individus de 15 à 65 ans.

    http://www.contre-info.com/

  • 22 juin 1633 : procès de Galilée.

    La sentence est rendue au couvent dominicain de Santa-Maria, ce jour là. L'affaire devient avant même la révolution un exemple de désinformation pour discréditer l'Eglise catholique et montrer que la science et la foi sont incompatibles. Qu'enseigne-t-on à l'école sur le sujet ? Jean Sévillia dans son livreHistoriquement incorrect, (Ed. de la loupe, page 96 à 129) rappelle ce qu'écrivait Arthur Koestler dans Les somnambules en 1961 :

    « Galilée n'a pas inventé le télescope. Ni le microscope, ni le thermomètre. Ni l'horloge à balancier. Il n'a pas découvert la loi d'inertie ; ni le parallélogramme de forces ou de mouvements ; ni les taches du soleil. Il n'a apporté aucune contribution à l'astronomie théorique, il n'a pas laissé tomber de poids du haut de la tour de Pise, il n'a pas démontré la vérité du système de Copernic. Il n'a pas été torturé par l'Inquisition, il n'a point langui dans ses cachots, il n'a pas dit « Eppur si muove »(*), il n'a pas été un martyr de la science. »

    (*)« et pourtant elle tourne » phrase apocryphe de l'italien Giuseppe Baretti écrite à Londres en 1757, selon Jean Sévillia

    En fait au XVème siècle Nicolas Copernic, prêtre polonais scientifique important énonce une théorie sans la prouver : le mouvement des planètes s'expliquerait mieux s'il était ordonné autour du soleil plutôt que de la terre. Il construit un modèle mathématique, l'héliocentrisme. Ses travaux sont très bien accueillis à Rome Seul Luther le traite de fou. D'ailleurs, tous les réformés s'opposent à ses travaux ! Et pourtant, c'est l'Eglise catholique qui se voit intenter un procès d'obscurantisme ! Pendant plus de cent ans, c'est l'Eglise qui défend les scientifiques contre les adversaires de l'héliocentrisme !Elle va même jusqu'à protéger les scientifiques protestants comme l'allemand Johannes Kepler, qui trouve refuge chez les Jésuites après des découvertes complémentaires à la théorie de Copernic. Alors pourquoi la condamnation de Galilée ?

    En 1609, il s'attribue la découverte d'un opticien hollandais ; mais le plus grave est que malgré la protection du cardinal Barberini, futur pape, tous ses écrits sont polémistes. Il ne démontre rien, il affirme et mais ses adversaires au défis de prouver qu'il a tord. Selon Jean Sévillia, son caractère hautain et méprisant est pour beaucoup dans sa condamnation.

    Par deux fois l'Inquisition affirment qu'elle ne trouve pas d'hérésie dans les écrits de Galilée (1615). Ses détracteurs s'attaquent alors aux écrits de Copernic et à une époque où tout le monde croit que la terre est le centre du soleil, l'Eglise demande simplement à Galilée de présenter ses écrits non comme la vérité mais comme une théorie puisque ni Copernic, ni lui ne sont capable de prouver ce qu'ils ont avancé. Les cardinaux qui le protègent lui demandent aussi de ne pas mélanger les saintes écritures à ses écrits.

    Il accepte et tient sa promesse pendant 7 ans. Pendant cette période non seulement il n'apporte aucune preuve à ses théories mais se met à dos les jésuites qu'il ridiculise sur le sujet du déplacement des comètes alors que ce sont eux, en la personne du père Grassi, astronome du romain, qui ont raison :

    « Vous n'y pouvez rien, il a été donné à moi seul, de découvrir tous les nouveaux phénomènes du ciel, et rien aux autres. » (*)

    (*)Jean Sévillia Historiquement incorrect, (Ed. de la loupe, page 113)

    En 1624 son protecteur le cardinal Barberini est élu pape. Galilée lui expose un projet de livre comparant les différents systèmes : Ptolémée, Copernic, Kepler. Le pape l'encourage en lui conseillant de les présentés tous les trois comme des théories et surtout de ne pas y mêler la religion.

    Le livre terminé Galilée demande l'imprimatur au Saint Office ; ce dont il n'a pas besoin pour un livre scientifique. Il l'obtient moyennant quelques modifications et rajout qu'il accepte. L'imprimatur signifie que le livre doit être imprimé à Rome. Il le fait imprimer à Florence et en profite pour le faire paraître avec l'imprimatur mais en ayant totalement changé le texte.

    L'inquisition se saisie bientôt du sujet et, malgré l'amitié que le pape lui accorde toujours. Galilée passe en jugement. Les règles juridiques sont grandement adoucies à la demande du Saint-Père. Le jugement tombe et lui reproche son manque d'obéissance et son mensonge, mais aussi l'absence de preuve dans ce qu'il présente comme la vérité et non une hypothèse. L'utilisation des Ecritures dans ses écrits le fait condamner aussi pour hérésie formelle.

    Jean Sévillia note que la sentence du 22 juin est modérée : interdiction d'enseigner et de se livrer à l'interprétation des écritures, mise à l'index de son livre le Dialogue, une peine de prison sans durée fixé (il sera assigné à résidence chez l'ambassadeur de Florence 5 mois !) et la récitation hebdomadaire pendant 7ans des psaumes de la pénitence. C'est d'ailleurs sa fille aînée religieuse qui le fera à sa place !

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les petits monstres

    « Tu n’envisages tout de même pas de sortir avec nous habillé comme cela ? ». Noémie avait frémi de surprise et de colère en voyant apparaître Etham, son fils de 7 ans, qu’elle venait d’appeler pour la promenade familiale dominicale. Elle n’en croyait pas ses yeux et agitait la tête de gauche à droite dans une expression d’incompréhension et d’accablement mêlés. Pour un peu elle en aurait fait tomber son Télérama sur la moquette à boucles épaisses couleur « ventre de taupe » du salon. Dans l’encablure de la porte, stoppé net dans l’élan qui le conduisait aux bras de sa mère, le gamin était déjà aux bords des larmes. Vêtu d’une salopette, d’une chemise bleue à carreaux et d’une paire de baskets à scratch, Etham hésitait entre fureur et sanglots, tremblotant de tout son petit être frustré de l’affection attendue. 

         « Ha, ne commence pas à pleurer, je t’ai dit cent fois de ne pas prendre les affaires de ta sœur ! Remonte vite et va mettre la robe que Mum t’a préparée ! » 

         « Mum », c’était quand même moins plouc que « maman ». Bien sûr, cela restait encore assez largement hétéro-normé, encore confiné dans le dualisme périmé du père/mère, mais elle n’était toutefois pas mécontente d’avoir réussi à imposer ces anglicismes « Mum » et « Dad » qui lui semblaient moins agressivement archaïques. 

         « Dad », d’ailleurs, entra à son tour dans la pièce et interrogea du regard Noémie sur la raison de son courroux. 

         « Je te jure, ce projet parental finira par me rendre folle ! », s’exclama-t-elle pour toute réponse. André insista donc : 

         « Qu’est-ce qu’il a encore fait ? » 

         « Il voulait sortir avec une salopette de sa sœur ! Tu imagines ce qu’auraient dit les voisins s’ils avaient ça ? », hurla presque Noémie, comme terrorisée par la perspective. 

         Soucieux d’apaiser le trouble de sa compagne-partenaire, André engagea alors une stratégie de détournement en déclarant : 

         « Oh, eux, ils n’ont pas grand-chose à dire, hier encore j’ai surpris leur petite dernière en train de jouer avec un poupon dans le jardin. Elle s’amusait à le changer, tu imagines ! Dans le genre formatage domestico-sexué, on peut difficilement faire pire ! » 

         Mais l’argument ne porta qu’à moitié car l’aîné des voisins, lui, avait fait son coming out il y a un peu plus d’un an et vivait depuis lors avec un immigré clandestin gabonais en attente d’une opération de changement de sexe, ce qui conférait à l’ensemble de la famille une inattaquable respectabilité et même une sorte d’autorité morale sur tout le quartier. 

    Les fesses douloureuses 

    Noémie souffrait, sans vouloir jamais le formuler, de ne pas se sentir totalement au niveau de cette rude concurrence. Elle sentait bien, malgré ses efforts incessants, toutes les scléroses, les vétustés et les anachronismes qui encombraient encore son organisation familiale : Etham qui avait abandonné la gymnastique rythmique pour le football (« Dad » ayant cédé après des nuits entières de larmes et une dramaturgie digne d’une sorte de Billy Elliott inversé...), les grands-parents qui s’acharnaient à offrir des opuscules fascistes à leurs petits-enfants (Cendrillon, La belle au bois dormant, Le Prince Eric... toutes les saloperies occidentalo-machistes y passaient) et elle-même qui, encore entravée par des vestiges de son éducation étriquée et obscurantiste, n’avait pas pu retenir un léger haut-le-cœur en assistant à la séance obligatoire de projection de La vie d’Adèle, organisée par l’école primaire de son fils. Le broutage de minou en gros plan au Ce2, à sa grande honte, elle avait encore quelques difficultés à intégrer toute la portée pédagogico-citoyenne de la chose... 

         Pourtant, elle avait fait de considérables progrès, grâce notamment à ses abonnements à Technikart et Libé, et sentait bien que, sans être arrivée à la totale plénitude de la libération de la libération de tous les carcans hérités, elle s’était largement avancée sur la voie de l’interchangeable et de l’indéfini, vers le monde merveilleux où chacun n’est déterminé que par ses désirs de l’instant. 

         Le plus dur finalement avait été de faire accepter par André le fait de se laisser sodomiser en levrette, avec l’aide d’un godemichet-ceinture, afin de rompre définitivement avec l’oppression machiste de la pénétration hétérosexuelle unilatérale qui imprégnait leurs relations intimes depuis trop d’années. Dorénavant, il avait régulièrement les fesses douloureuses, mais pouvait au moins regarder, les voisins dans les yeux. 

    Xavier Eman pour Eléments n°151

    http://www.oragesdacier.info/

  • Pour la vice-présidente PS d’Ile-de-France, dénoncer la corruption c’est faire le jeu du FN…

    Vice-présidente de la région Ile-de-France, l’apparatchik socialiste Michèle Sabban a vu fleurir cette semaine de nombreux articles l’accusant d’occuper un logement social…

    Ce vendredi 20 juin, via un communiqué, l’élue se défend. L’argument-choc de cette étrangère face à ces graves accusations ?

    « Avec de telles pratiques, l’audience de demain se retrouvera dans les urnes avec un Front national encore plus présent, encore plus puissant. »

    Chacun ses critères de moralité, de nos jours…

    http://www.contre-info.com/

  • Il arrive que les enseignants votent à 80% pour Mélenchon

    Dans une interview au Telegraph, François Fillon affirme que les universités françaises sont des «foyers de marxisme». Chantal Delsol déclare au Figarovox : 

    "Ce n'est pas caricatural de le dire comme cela. Il ne s'agit pas de toutes les universités, bien sûr. Les choses ont beaucoup changé depuis vingt ans. Néanmoins on peut dire que les foyers de marxisme sont là, et aussi d'ailleurs dans les lycées - où il arrive que les enseignants votent à 80% pour Mélenchon ! Cela traduit, à mon sens, à quel point les enseignants vivent dans un monde tout à fait abstrait, loin des réalités vivantes, en raison à la fois de leur statut et de la persistance de leurs vieux rêves idéologiques, dont ils n'ont souvent pas vu passer (ou pas voulu voir passer) la débâcle.

    Avant la chute du mur de Berlin, la majorité des intellectuels français étaient marxistes. Cette influence a-t-elle perduré après la chute du mur? Vous-même, en avez-vous été témoin?

    Oui on peut dire que jusqu'à la fin des années 90, 95% des intellectuels français étaient marxistes, marxisants ou marxiens d'une façon ou de l'autre, avec toutes les nuances qu'on connaît. Mon vieux maître Julien Freund est mort marginalisé de s'être proclamé anti-marxiste. Ces intellectuels ont attendu que le système s'écroule pour se poser des questions - ce qui n'est pas à leur honneur. Mais plus encore: j'ai vu des intellectuels français, avec lesquels je me rendais en Pologne au début des années 90, se jeter sur les Polonais en leur demandant comment ils allaient concrétiser enfin le marxisme démocratique - les Polonais les regardaient avec un tel mépris que j'en étais honteuse pour la France."

    Michel Janva

  • En pleine Coupe du Monde, qui parle du procès du CE d’EDF ?

    Il aura quand même fallu douze ans pour qu’un juge opiniâtre arrive à mettre ces braves gens dans un box d’accusés...   

    Saviez-vous que même en grève, un train peut en cacher un autre ?  Et même mieux, qu’un ballon de foot peut cacher un palais de justice ?

    On en a la preuve en ce moment avec le procès de la Caisse centrale d’activités sociales d’EDF-GDF, impliquant son ancien directeur, une douzaine d’autres personnes ejusdem farinae, la CGT, sa Fédération des mines et de l’énergie, L’Humanité, la Voix ouvrière, une sénatrice. Ce joli monde doit répondre d’abus de confiance, recel et complicité au préjudice de la CCAS, le tout au profit de diverses têtes de l’hydre communiste ou organismes commensaux. « Je te passe Marcel, tu me payes de la pub’ dans mon journal, tu me rends Mohamed, et je te refile six gros bras pour les séquestrations de patrons… » Et chez ces damnés de la terre, on ne joue pas avec des billets de Monopoly : 400 millions d’euros de budget annuel !

    Contrairement à la règle commune qui veut que les fonds pour les œuvres sociales des entreprises soit prélevées sur la masse salariale (1,59 % par exemple pour la fonction publique hospitalière), c’est sur le chiffre d’affaires des ventes de gaz et d’électricité que le CCAS lui, prélève 1%. A côté de ça, l’Euromillion, c’est une  tombola de collège !

    Lire la suite