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  • 6 et 7 septembre 2014 : deuxièmes journées identitaires Ouest et Île-de-France

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    Les 6 et 7 septembre 2014 auront lieu les deuxièmes journées identitaires Ouest et Île-de-France, dans la région du Mans (Sarthe). Placées sous le thème “Retrouvons notre mémoire pour préparer la victoire”, ces journées compteront plusieurs conférences et animations. Vous pouvez déjà noter la présence de Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire ; Jean-Yves Le Gallou, ancien député européen, président de la Fondation Polemia ; Jean-David Cattin, directeur de l’Université d’été Identitaire ; Martin Sellner, dirigeant de Identitäre Bewegung Österreich, les identitaires autrichiens; et de nombreux autres intervenants…

    Dimanche 7 septembre aura lieu une table-ronde de la réinformation et de la contre-culture. De nombreux stands sont prévus. De la bière locale sera disponible à la vente. Au programme samedi soir : soirée cochon grillé.

    PAF : 25 euros. Possibilité de couchage sur place (5 euros supplémentaires).

    Renseignements et inscription : maine@bloc-identitaire.com

  • Affaire Tangorre : quand la gauche défend les violeurs

    Lu dans Minute :

    "Luc Tangorre est un violeur en série. Dans les années 1980, il fut pourtant la coqueluche des intellos de gauche. Pour eux, Tangorre était à la pénétration ce que le capitaine Dreyfus avait été à la trahison : un innocent injustement condamné. De fait,condamné une première fois en 1983, Tangorre fut gracié par le président Mitterrand. Sitôt sorti de prison, il a récidivé. Et là, ce dimanche 10 août, sur une plage du Graudu-Roi, une gamine de 12 ans l’a identifié comme son agresseur…"

    En mai 1983, il avait été reconnu coupable de 4 viols, une tentative et six attentats à la pudeur. L'avocat des victimes était alors Me Gilbert Collard. Condamné à une peine de 15 ans de prison, il est défendu par la gauche. Pierre Vidal-Naquet voit une erreur judiciaire. Le 28 décembre 1983, dans le journal « Le Monde », il publie une tribune « Pour Tangorre ». Ce n’est pas le « J’accuse » d’Emile Zola, c’est le « J’abuse » de Vidal-Naquet :

    « L’affaire Tangorre, c’est l’affaire Dreyfus de monsieur tout-le-monde. N’importe qui, comme Tangorre, est susceptible d’être arrêté dans la rue parce qu’il a une tête qui ressemble à un vague portrait-robot et peut tomber entre les pattes de l’appareil judiciaire. »

    Vidal-Naquet mobilise son frère, l’avocat François Vidal-Naquet (qui de vient le défenseur du violeur), l’intello mitterrandien Jean-Denis Bredin et l’écrivain Gilles Perrault. Se joignent des artistes, les écrivains Marguerite Duras et Françoise Sagan, Georgina Dufoix (alors ministre des Affaires sociales), Albin Chalandon (qui sera ministre de la Justice du gouvernement Chirac en 1986 !), Dominique Baudis (qui vient d’être élu maire de Toulouse), et même l’actuel maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin. Mitterrand finira donc pas gracier le violeur, qui récidive aussitôt. De nouveau condamné, il sort de prison en 2000 au lieu de 2006. La justice est trop bonne. Il vient de re-récidiver.

    Michel Janva

  • Le FN demande la suppression de l’aide médicale d’état (AME)

  • Ebola ne menace pas l'Europe et l'Amérique du Nord

    Par La Voix de la Russie | La fièvre Ebola ne menace pas l’Amérique du Nord, affirment les scientifiques américains, dont les ouvrages sont publiés dans la revue Annals of Internal Medicine.

     Les chercheurs sont venus à cette conclusion après avoir examiné l'histoire de la maladie, ainsi qu’en traçant la propagation du virus au cours de la dernière épidémie de masse. Ils croient que le virus Ebola ne menace pas les pays ayant des systèmes de soins de santé développés, y compris parce qu'il n'y a pas de chauves-souris qui sont les vecteurs. Ainsi, l’Amérique du Nord et l’Europe sont hors de danger.

    Selon l'OMS, le nombre de victimes du virus Ebola depuis mars 2010 a atteint 1145 personnes.

    http://french.ruvr.ru/news/2014_08_19/Ebola-ne-menace-pas-lEurope-et-lAmerique-du-Nord-8486/

  • Libye : le fils du colonel Kadhafi pourrait rétablir la paix

    C’est du moins l’opinion deBernard Lugan.

    Lu sur son blog : Au moment où le parlement libyen appelle à une intervention étrangère « pour protéger les civils », nous pouvons lire dans le quotidien Le Monde en date du 12 août 2014 un titre insolite: « La transition en Libye est un échec, il faut la repenser ».
    Que s’est-il donc passé pour que la « bible des bien-pensants », ce point oméga du conformisme intellectuel français, se laisse ainsi aller à une telle constatation après avoir soutenu avec une arrogante indécence l’intervention militaire contre le colonel Kadhafi, cause directe de la situation actuelle ?

    Le but de la guerre calamiteuse décidée par Nicolas Sarkozy était officiellement l’établissement d’un Etat de droit à la place d’un régime dictatorial. Après le lynchage du colonel Kadhafi par les islamo-mafieux de Misrata, un processus démocratique fut imposé aux nouveaux maîtres du pays. Il se mit en place à travers plusieurs élections et par la rédaction d’une Constitution. Les observateurs, à commencer par les journalistes du Monde, louèrent alors ces « avancées démocratiques », preuve de la « maturité politique » des « démocrates » libyens. La « guerre du droit » ayant été gagnée, accompagné de BHL, Nicolas Sarkozy alla ensuite sur place goûter aux félicités triomphales du « libérateur »…

    Le résultat de ces illusions, de cet aveuglement, de ce décalage entre l’idéologie et la réalité, de cet abîme existant entre les spasmes émotionnels et les intérêts nationaux français, est aujourd’hui tragiquement observable. Les dernières structures étatiques libyennes achèvent en effet de se dissoudre dans des affrontements aux formes multiples s’expliquant d’abord par des logiques tribales. Sur ces dernières viennent, ici ou là, se greffer avec opportunisme des groupuscules islamistes soutenus par le Qatar et la Turquie.

    Un retour au réel s’impose donc afin de tenter de sortir la Libye de l’impasse. Or, ce réel tient en quatre points:

    1) La Libye n’a jamais existé comme Etat de facture occidentale.
    2) Le colonel Kadhafi avait réussi à établir une réelle stabilité en se plaçant au centre, à la jonction, des deux grandes confédérations tribales de Cyrénaïque et de Tripolitaine.
    3) Son assassinat a fait que, ayant perdu leur « point d’engrenage », ces deux confédérations se sont tournées sur elles-mêmes dans une logique d’affrontements tribaux régionaux ayant pour but la conquête du pouvoir dans chacune des deux grandes régions du pays éclatées en cités-milices aux intérêts tribalo-centrés.
    4) La clé de la stabilité libyenne passe par la reconstitution du système d’alliances tribales mis en place par le colonel Kadhafi. Or, les responsables politiques libyens ne sont pas en mesure de mener cette politique car ils sont tous sont ethno-géographiquement liés par leurs origines.

    Le seul qui, dans l’état actuel de la complexe situation libyenne pourrait jouer ce rôle de rassembleur-catalyseur est Seif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi. Actuellement détenu avec des égards par les miliciens berbères de Zenten qui constituent le fer de lance des forces anti-islamistes en Tripolitaine, il est soutenu par les Warfallah, la principale tribu de Tripolitaine, par les tribus de la région de Syrte, par sa propre tribu et il pourrait l’être également par les Barasa, la tribu royale de Cyrénaïque, sa mère étant Barasa. Autour de lui pourrait être refondée l’alchimie politico-tribale, le pacte social tribal de Libye.

    Mais pour cela il importe que la CPI, perçue en Afrique comme un instrument du néocolonialisme « occidental », lève le mandat d’arrêt de circonstance lancé contre lui.

    http://www.contre-info.com/libye-le-fils-du-colonel-kadhafi-pourrait-retablir-la-paix#more-34129

  • Le dialogue avec les musulmans ne peut pas être poursuivi à tout prix

    Mgr Luigi Negri, Archevêque de Ferrare-Comacchio, a déclaré (traduction de Benoît-et-moi) :

    "L'exposition sur la maison de votre Evêque, maison de tout notre peuple chrétien de Ferrare-Comacchio, de la marque représentant l'initiale du mot «Nassarah» (Nazaréen), le terme par lequel le Coran identifie les disciples de Jésus de Nazareth - qui a été imposée par les milices de l'autoproclamé Califat de Bagdad aux infidèles-chrétiens, pour lesquels il n'y a pas de place dans l'Etat Islamique de l'Irak à moins qu'ils se convertissent, se soumettent à un impôt spécial, subissent la dévastation de leurs lieux de culte et la confiscation de leurs biens - entend dire publiquement que l'archidiocèse de Ferrare-Comacchio se sent une seule chose avec nos frères et sœurs qui portent dans leur corps et dans leur âme les blessures de la passion et la mort du Seigneur.

    Tandis que nous nous préparons à la journée de prière (décrétée par la CEI pour le 15 août), pour que la paix revienne - il vaudrait mieux dire: pour que le Seigneur Jésus-Christ fasse un miracle, pour lequel, humainement parlant, on n'entrevoit aucune possibilité, même minime - je voudrais que vale pour tout le diocèse ce que le pape François a maintes fois invoqué, à savoir qu'il ne s'agisse pas seulement de "dire" des prières, mais de prier avec la totalité de sa vie et de son intelligence du cœur. Puisse la prière être surtout une demande de pardon adressée à Lui parce que notre vie de chrétiens occidentaux est gravement coupable, dans le sens de la responsabilité envers ce qui se passe. 

    Cette responsabilité s'exprime à travers un ingénuité pour le moins pathologique. On doit parler de dialogue, certes oui, mais on ne peut et on ne doit le faire que s'il porte en lui la conscience de notre propre identité et de la complexité de l'interlocuteur en question. Dans tous les cas, le dialogue ne peut pas être poursuivi à tout prix et ne peut absolument pas représenter une forme de démission de la présence chrétienne au Moyen-Orient.

    Nous devrions tous vouloir être là avec eux, pour renforcer la présence y compris numérique de chrétiens dans les lieux où depuis deux mille ans, l'Eglise et les chrétiens sont présents et persécutés. Prions afin que le Seigneur nous rende capable d'instaurer et de poursuivre un dialogue intelligent et pas une capitulation sans condition, et prions aussi afin que le Seigneur nous concède de contribuer de manière positive non seulement à arrêter la fuite de milliers et milliers de nos frères et sœurs, coupables seulement d'être chrétiens comme les premiers martyrs, mais, autant que possible, de renforcer leur présence que nous ne pouvons pas ne pas considérer comme une contribution essentielle au Bien Commun de l'humanité toute entière. C'est la manière authentique de prier pour la paix qui est un don du Christ ressuscité: «Que la paix soit avec vous». 

    Tout le reste finit par n'être que discours creux. L'Église n'a pas besoin de discours creux et, que je sache, Dieu non plus."

    Le Salon Beige

  • Avortement : un sondage ravageur aux États-Unis

    Le groupe Naral (National Abortion Rights Action League) est l’organisation la plus engagée de toute l’Amérique du Nord en faveur de l’avortement. Son véritable nom est NARAL pro-choice America.

    Ce groupe de pression a organisé son propre sondage pour savoir comment l’avortement était perçu actuellement aux États-Unis. Il avait engagé ses propres sondeurs et établi un questionnaire fort orienté. On imagine…A sa grande stupéfaction la réponse était la suivante. Seulement « 23 pour cent des personnes interrogées ont dit qu’elles pensaient que l’avortement est moralement correct. » Le sondage de NARAL était plus que mauvais pour ce groupe pro-avortement dans la mesure où 45 % des Américains se sont personnellement déclarés opposés à l’avortement et un autre quart des sondés ont déclaré que l’avortement devrait être illégal. Globalement 70 % des personnes interrogées étaient opposés à l’avortement. (Lifenews, 18/08/2014)

    Ces chiffres ne tombent pas du ciel. Sondage après sondage le nombre de partisans de l’avortement en Amérique subit une érosion absolument constante.

    Parallèlement Planned Parenthood, l’équivalent de notre Planning « familial » est en train de perdre pied. Il apparaît que le terme de « pro-choice » (pro-choix) n’est absolument plus porteur. La présidente Cécile Richards a eu une comparaison qui parût tout à fait déplacée : elle a rapproché l’avortement mettant fin à la vie d‘un enfant à une simple coloscopie (examen du gros intestin) qui elle permet de sauver la vie d’un homme. Faire de la pub pour l’IVG avec un thème pareil aussi déplacé ? Pas évident. 

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  • Des chrétiens persécutés par les musulmans dans les centres d'accueil en Europe

    Extrait d'un article traduit par Benoît-et-moi :

    "Que se passe-t-il quand un exilé de foi chrétienne, demandeur d'asile en Allemagne, se retrouve dans un centre d'accueil, où se trouvent des réfugiés de toutes les religions? Qu'il devient automatiquement une cible. Et donc une victime, contrainte de subir les attaques, abus, harcèlements et agressions - et pas seulement verbales - de ses «collègues» musulmans. Lesquels ont en commun le sort, mais pas le traitement.

    C'est ce que dénonce en termes non équivoques, l'Observatoire Intolerance and Discrimination against Christians in Europe recueillant le témoignages d'un Syrien, Christian Toni (un nom d'emprunt, bien sûr, l'anonymat lui ayant été recommandé pour pour des raisons évidentes de sécurité): «Tout a commencé avec mon fils - se souvient-il - Ils lui ont dit: "Vous êtes chrétiens, des infidèles. Vous mangez du porc, nous ne jouons pas avec toi" ». Son compatriote, Farid (autre nom d'emprunt) lui fait écho: "Nous gardions les enfants sous contrôle de jour comme de nuit. Souvent, ils les battaient. Nous avions peur de perdre notre calme et de réagir à la provocation, mais en fin de compte, cela aurait seulement causé encore plus de problèmes». Souvent, leurs familles subissaient les assauts des musulmans, qui étaient hébergé avec eux au Centre d'accueil.

    Encore plus déprimant, le cas d'une famille de réfugiés irakiens, soumis à une action pure et simple demobbing (violence psychologique) dans une structure similaire, en Bavière. Au jardin d'enfants, leur fils a été battu par un Syrien musulman. Puis des menaces de mort leur sont parvenues, répétées pendant plusieurs mois: « Ma femme était enceinte - a dit le chef de la famille - et n'en pouvions plus, de supporter cette situation» . [...]"

    Le Salon Beige