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  • La famille est clairement victime d’agressions de la part des lobbies

    Le secrétaire général de la Conférence des évêques italiens, Mgr Nunzio Galantino, a déclaré que l'idéologie du genre est une « boulette empoisonnée ». Il a dénoncé les risques de colonisation idéologique.

    Il a accusé la politique et l’administration publique italiennes de « faire trop souvent diversion ». Ainsi, l’introduction dans les écoles de l'idéologie du genre qui « renverse l’alphabet humain », fait partie de ces diversions. Aujourd’hui, on tend à faire passer les droits individuels avant le bien commun.

    Le secrétaire de la Conférence épiscopale italienne s’est par ailleurs prononcécontre les unions civiles entre personnes de même sexe, proposées par le maire de Rome Ignazio Marino. Encore une diversion, a-t-il dit, alors que la capitale italienne est dans un état évident de délabrement et que les besoins de la population sont nombreux. Qu’il suffise de penser aux nombreux nids-de-poule qui rendent la circulation périlleuse pour comprendre que le mariage LGBT est une diversion. Selon Mgr Galantino, la famille est clairement victime d’agressions de la part des lobbies. 

    Michel Janva

  • Les chrétiens du Niger portent la croix de Charlie Hebdo

    L'Observatoire de la Christianophobie :

    "Très intéressant reportage africain sur les communautés chrétiennes du Niger après le choc terrible qu’elles ont subi. Des déclarations peu diffusées en France et des images inédites, certaines montrant les résultats des violences contre les églises catholiques et protestantes de Niamey. Un document à voir et à méditer."

     

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le vrai taux de chômage en France, c’est 19,2% !

    Sans (bonne) surprise, les chiffres du chômage en France en 2014 sont mauvais. Les plus mauvais de toute l’histoire de notre pays. Un record en forme de signal d’alarme qui doit nous pousser à innover pour permettre aux 5,5 millions de personnes sans emploi de retrouver un job.

    Le vrai taux de chômage en France, c’est 19,2%. Si l’on rapporte le nombre total de chômeurs à la population active, c’est bien ce taux que l’on obtient. Rendons-nous compte que 5,5 millions de personnes sur un total de 28,6 millions de personnes en âge de travailler (dans les statistiques françaises cela veut dire dès 16 ans) ne travaillent pas, en France.

    Et face à cela, que fait-on ? Rien. Rien de nouveau en tout cas. Pour lutter contre le chômage, on ressort – quoiqu’on en dise – les mêmes recettes : contrats aidés, allègement de charges, formation, apprentissage… De ce point de vue là, il est effectivement juste de dire que nous avons tout essayé. Plus exactement, nous avons essayé tout ce que nous avons déjà maintes et maintes fois mis en place, relancé, rebaptisé, musclé, réorienté et que sais-je encore.

    Grands plans nationaux… inefficaces

    En revanche, nous n’avons pas, pour ne pas dire jamais, innové dans ce domaine. Nous avons très peu expérimenté de nouvelles solutions, tenté de nouvelles approches. A chaque fois, nous avons répondu à ce problème par de grands plans nationaux qui ont fait la preuve de leur inefficacité.

    Le diagnostic non plus n’est pas toujours bon. Si les problèmes pointés existent, les solutions pour les résoudre tapent à côté. Prenons le manque de mobilité des Français, souvent pointé du doigt. Qui regarde concrètement ce qui se passe quand une personne veut rapidement s’implanter dans une région ?

    Qui a compris que la réglementation immobilière rend ce transfert extrêmement coûteux en temps (3 mois minimum de délais avant de pouvoir vendre une maison) et donc en argent (prêt relais…). Qui a compris que sur les populations fragiles, le fait de changer de territoires signifie aussi perdre l’avantage d’un réseau de solidarité informel auquel il n’aura plus accès en cas de coup dur ?

    La bataille de l’emploi, un sujet local

    Ces deux points, pour ne citer qu’eux, montrent bien que la bataille de l’emploi n’est pas un sujet national mais local. La lutte contre le chômage est un sujet qui doit se traiter au niveau des territoires pour éradiquer ce fléau qui mine la France.

    Il faut redonner la main aux bassins d’emploi pour tenter, expérimenter de nouvelles choses et inventer de nouvelles manières de remettre au travail nos 5,5 millions de chômeurs. Vous en doutez ? Allez voir ce qui se passe à Vitré en Bretagne, Rodez dans l’Aveyron ou aux Herbiers en Vendée. Là, le plein-emploi est presque une réalité.

    L’Usine Nouvelle

    http://fortune.fdesouche.com/373417-le-vrai-taux-de-chomage-en-france-cest-192

  • Un jour, un texte ! La guerre, les Français par Charles Péguy (1)

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. » Georges Bernanos, La France contre les robots.

    Notre premier ministre a déclaré que la France est en guerre. Mais l'ennemi est chez nous, au sein même de la population française. Il ne s'agit plus d'envoyer des professionnels, formés et aguerris combattre loin de nos terres, mais de se battre contre un ennemi sournois et impitoyable, qui use pour ses attaques de toutes nos libertés et des droits des citoyens français. Avant de faire une telle déclaration, encore eût-il fallu cultiver au sein du peuple français les valeurs qui font la force morale des nations. Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui : la guerre, les Français par Charles Péguy (1)

    Dieu et les français

    « Tels sont nos Français, dit Dieu. Ils ne sont pas sans défauts. Il s'en faut. Ils ont même beaucoup de défauts.

    Ils ont plus de défauts que les autres.

    Mais avec tous leurs défauts je les aime encore mieux que tous les autres avec censément moins de défauts.

    Je les aime comme ils sont. Il n'y a que moi, dit Dieu, qui suis sans défaut.

    Nos Français sont comme tout le monde, dit Dieu. Peu de saints, beaucoup de pécheurs.

    Un saint, trois pécheurs. Et trente pécheurs. Et trois cents pécheurs. Et plus.

    Mais j'aime mieux un saint qui a des défauts qu'un pécheur qui n'en a pas. Non, je veux dire :

    J'aime mieux un saint qui a des défauts qu'un neutre qui n'en a pas.

    Or ces Français, comme ils sont, ce sont mes meilleurs serviteurs.

    Ils ont été, ils seront toujours mes meilleurs soldats dans la croisade.

    Or il y aura toujours la croisade.

    Enfin ils me plaisent. C'est tout dire. Ils ont du bon et du mauvais.

    Ils ont du pour et du contre. Je connais l'homme.

    Je sais trop ce qu'il faut demander à l'homme.

    Et surtout ce qu'il ne faut pas lui demander.

    O mon peuple français, dit Dieu, tu es le seul qui ne fasse point des contorsions.

    Ni des contorsions de raideur, ni des contorsions de mollesse.

    Et dans ton péché même tu fais moins de contorsions.

    Que les autres n'en font dans leurs exercices.

    Quand tu pries, agenouillé tu as le buste droit.

    Et les jambes bien jointes bien droites au ras du sol.

    Et les pieds bien joints.

    Et les deux mains bien jointes bien appliquées bien droites.

    Et les deux regards des deux yeux bien parallèlement montant droit au ciel.

    O seul peuple qui regarde en face.

    Et qui regardes en face la fortune et l'épreuve.

    Et le péché même.

    Et qui moi-même me regarde en face.

    Et quand tu es couché sur la pierre des tombeaux.

    L'homme et la femme se tiennent bien droits l'un à côté de l'autre.

    Sans raideur et sans aucune contorsion.

    Bien couchés droits l'un à côté de l'autre sans faute.

    Sans manque et sans erreur.

    Bien pareils. Bien parallèlement.

    Les mains jointes, les corps joints et séparés parallèles.

    Les regards joints.

    Les destinées jointes. Joints dans le jugement et dans l'éternité.

    Et le noble lévrier bien aux pieds.

    Peuple, le seul qui pries et le seul qui pleure sans contorsion.

    Le seul qui ne verse que des larmes décentes.

    Et des larmes perpendiculaires.

    Le seul qui ne fasse monter que des prières décentes.

    Et des prières et des vœux perpendiculaires.

    Peuple, les peuples de la terre te disent léger parce que tu es un peuple prompt.

    Les peuples pharisiens te disent léger parce que tu es un peuple vite.

    Tu es arrivé avant que les autres soient partis.

    Mais moi je t'ai pesé, dit Dieu, et je ne t'ai point trouvé léger.

    O peuple inventeur de la cathédrale, je ne t'ai point trouvé léger en foi.

    O peuple inventeur de la croisade je ne t'ai point trouvé léger en charité.

    Quant à l'espérance, il vaut mieux ne pas en parler, il n'y en a que pour eux.

    C'est embêtant, dit Dieu, quand il n'y aura plus ces Français,

    Il y a des choses que je fais, il n'y aura plus personne pour les comprendre. »

    Charles PEGUY,
    mort au champ d'honneur le 5 septembre 1914.

    Extrait de : « Le mystère des Saints Innocents »

    Lois Spalwer http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Demis Roussos : « Les gouvernements sont des employés de lobbies, ce sont eux qui décident des crises et des guerres »

    Demis Roussos, décédé à 68 ans le 25 janvier 2015, revient lors de l’entretien video ci-dessous sur sa vision de la politique.

    À 2 min 14, il se rend gravement coupable d’une vision complotiste du monde en déclarant :

    « C’est une chanson politique par rapport aux groupes internationaux qui nous gouvernent, parce que la Terre est gouvernée par des groupes, par des clubs et par des lobbies. On croit que c’est le gouvernement qui gouverne un pays, alors que c’est pas eux ; le gouvernement ce sont tout simplement des employés de ces grands groupes. Et ces grands groupes, ils font le plan de quand est-ce qu’il y aura une crise, quand est-ce qu’il y aura une guerre, etc. Et nous, on paye la note… »

    Qu’attendent le CRIF et la LICRA pour déterrer son cadavre et le juger pour ses propos abjects faisant l’apologie du terrorisme ?

    Source