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  • Afrique du Sud : les populations noires locales s’en prennent aux immigrés africains

    Le président sud-africain Jacob Zuma a annulé samedi un voyage à l’étranger après une nouvelle nuit de violences perpétrées par des casseurs et pilleurs, qui ont contraint la police à muscler sa présence sur le terrain.

    En trois semaines, les violences, qui ont éclaté avant Pâques à Durban dans la province natale du chef de l’Etat, ont fait au moins six morts et 5.000 déplacés.

    Terrorisés, des Éthiopiens préfèrent se cacher. Ils dénoncent les populations noires locales qui s’en prennent à eux de manière très violentes :

    Ils nous tuent avec de l’essence et du feu. Je ne sais pas d’où vient cette barbarie.

    5 000 immigrés africains auraient déjà décidé de prendre la fuite sur les 2 millions établis en Afrique du sud. Embauchés à bas coût, ils sont accusés de voler le travail de la population locale.

    Un manifestant déclare :

    Ils nous fatiguent. Ils doivent partir. Et on leur montre qu’on ne veut pas d’eux !

    Mais que font les héritiers de Mandela ? Nous sommes bien loin des bienfaits de la société multiculturelle vantée par les dirigeants du monde…

    http://fr.novopress.info/

  • La mairie de Paris renomme les rues : "chasse aux sorcières", "guerre des mémoires, " révisionnisme", "impasse intellectuelle"

    L'analyse de Dimitri Casali ne fait aucun cadeau à l'idéologie gauchiste et à l'ignorance crasse : 

    "La bêtise, le dogmatisme et surtout l’ignorance de nos édiles parisiens n'ont pas de limite. Deux de ses élus socialistes, Monsieur Christophe Girard, maire du IVe arrondissement, et Madame Karen Taïeb, conseillère de Paris, se sont récemment couverts de honte avec l’affaire de la plaque commémorative du compositeur Henri Dutilleux. Ce triste épisode est révélateur de la guerre des mémoires et du révisionnisme qui ronge la société française. 

    Depuis plus d’une dizaine d’années, la Mairie de Paris s’est fait une spécialité : réviser les noms de rue, plaques et autres noms d’établissement selon les critères de la bien-pensance et du politiquement correct. Cette « chasse aux sorcières » traduit les obsessions, les phobies dont souffre la société et explique la grave crise d’identité que nous traversons actuellement. 

    Ce nouveau révisionnisme s’inscrit dans la lignée du rapport du conseiller d’Etat, Thierry Tuot, commandé par le gouvernement Ayrault qui demandait que l’on débaptise les rues et les places de nos villages pour les renommer « en écho avec l'histoire des migrations ». 

    Rappelons brièvement l’affaire du grand compositeur Henri Dutilleux, mort en 2013 dans le 4e arrondissement de Paris. Il était question d’apposer une plaque commémorative sur son ancien domicile. Le Comité d’histoire de la Ville de Paris s’y est opposé  pour « faits de collaboration avec le régime de Vichy ». Dutilleux, collabo avec les Nazis, il ne manquait plus que cela !Sous le prétexte d’avoir écrit la musique d’un film obscur, Forces sur le stade, réalisé par Marcel Martin en 1942 en direction des patrons d'usines pour les inciter à construire des terrains de sport près des lieux de travail des ouvriers, le voici voué aux gémonies.Alors que la vérité historique est l’exacte opposée. Henri Dutilleux s’est engagé dès 1942 dans un réseau actif de résistance. Membre du Front National des musiciens, il a mis en musique de nombreux textes clandestins en 1944. Puis aux  côtés de Lucie et Raymond Aubrac, il a été membre du comité d'honneur du musée de la Résistance nationale (MRN). Mais le voilà banni parce qu’il a osé faire son métier durant les années sombres de l’Occupation. Christophe Girard, le maire mondain du 4ème arrondissement de Paris, approuve le verdict de son comité  et « tient à noter des faits de collaboration avec le régime de Vichy ». Son dernier tweet (bien peu courageux et retiré le 17 mars…) enfonce le clou en comparant la position de Dutilleux à celle de Céline …«Je ne fais que suivre les recommandations du Comité d’histoire de la Ville. L-F Céline est un grand écrivain mais…». Les points d’exclamations du responsable de l’ignominie sont éloquents…Anne Hidalgo renchérit en affirmant que « le temps n'est pas opportun… »

    Le  lynchage  de la mémoire du grand compositeur soulève un tollé général. Jack Lang lui-même, déclare: «On est abasourdi par ce mélange d’incompétence et de veulerie ! » (...)

    Triste équipe que celle de Madame Hidalgo et de ces personnes sensées représenter la «culture» à Paris, mais qui, au fond, la méprisent. On savait déjà qu'elle n'aimait pas la musique classique avec la remise en cause récemment d'une partie du financement des conservatoires de musique jugés trop élitistes. Christophe Girard, tout puissant adjoint de Bertrand Delanoë de 2001 à 2012, conseiller régional d'Île-de-France depuis 2010, a passé dix ans aux affaires culturelles tout en cumulant, parallèlement à ses fonctions municipales, celle de directeur de la stratégie mode du groupe LVMH. Dix années qui sonnent creux. « Autant nommer Rika Zaraï ministre de la Santé », avait ricané son protecteur, Pierre Bergé. Dix années où l’on préfère subventionner l'opération Paris-Plage - 600 000 euros de crédits culture engloutis - les Nuits Blanches ou la Techno parade… plutôt que la culture dite « classique ». Mais voilà pas grand monde n'ose contester, l’important n'est-il pas que les électeurs bobos soient satisfaits.

    L'attitude de Monsieur Girard comme de Madame Taïeb, dénotent autant la bêtise de l’inculture qu’une ignorance sectaire et idéologique. Le compositeur Henri Dutilleux comparable à Olivier Messiaen et Pierre Boulez, héritier de Ravel et de Debussy a fait rayonner la musique française. Ses œuvres sont joués dans le monde entier, c'est ce qui rend ridicule la décision de la Mairie. Refuser d'accrocher sa plaque commémorative, alors que Pablo Picasso, Jean-Paul Sartre ont, avec l’avec l’aval des Nazis, abondamment exposé, publié et fait jouer des pièces de théâtre dans le Paris occupé de 1940 à 1944. Alors que nous trouvons des plaques et des rues  Maurice Thorez (secrétaire général du PCF qui a déserté en 1940), et des rues Staline (à Essômes-sur-Marne), et des avenues Lénine à Nanterre ou à Arcueil,  toutes ces icônes de la supposée « gauche » intellectuelle ? (...)

    Le problème de Dutilleux est probablement qu'il n'était ni socialiste, ni communiste... Qu’auraient fait Girard, Delanoë et Hidalgo sous l'occupation ? Tous ces politiciens ignorants oublient que la majorité de la population n'était ni résistante, ni «collabo» mais « attentiste ». Voilà où nous conduit le quasi abandon des grands enseignements de l’Histoire, la baisse générale du niveau de culture de nos hommes politiques. Car la damnatio memoriae de Dutilleux en rappelle d'autres... (...)

    L’Histoire, une fois écrite, ne s’efface pas. L’Histoire, on doit l’assumer. C’est autant glorieux qu’honteux. C’est l’Histoire ! Plutôt que de débaptiser : instruire et éduquer sont de meilleures options. Pour pouvoir assumer sereinement et lucidement le passé et tout le passé, laissons donc nos plaques, nos enseignes, nos noms de rues, nos pierres qui sont nos héritages. « De Clovis au Comité de salut public, j’assume tout », disait Napoléon. Lui qui a beau être le Français le plus populaire au monde et n’a pas la moindre place, avenue ou même impasse à son nom d’empereur dans Paris".

    Lahire

  • Chrétiens jetés à la mer : politiciens et prélats excusent les assassins musulmans

    Sale affaire, pour le lobby immigrationniste italien, que l’arrestation de quinze clandestins africains, inculpés d’« homicide multiple, aggravé par la haine religieuse »pour avoir jeté à la mer douze de leurs congénères, au seul motif qu’ils étaient chrétiens. Voilà qui risquerait de contrarier des décennies d’efforts acharnés pour convaincre les autochtones d’accueillir toujours plus de « pauvres réfugiés » et autres « frères migrants ».

    Aussi les propagandistes en chef de l’immigration en Italie, laïcs et ecclésiastiques, se sont-ils précipités pour édulcorer les événements. Laura Boldrini, présidente ultra-immigrationniste de la Chambre des députés – qui s’était signalée en ricanant ostensiblement à l’évocation des victimes de Kabobo, le tueur anti-Blancs de Milan –, a sorti tous les clichés de la novlangue technocratique. « Il fauta-t-elle déclaré,comprendre les dimensions du problème et ne pas simplifier. Le problème doit être abordé de manière lucide et il faut comprendre que les simplifications n’aident pas à la compréhension du phénomène. »

    Chrétiens jetés à la mer : politiciens et prélats excusent les assassins musulmansConcrètement, selon Mme Boldrini, « il y a toujours des niveaux de violence sur ces embarcations, des personnes qui veulent l’emporter sur les autres » – bref, pas de quoi fouetter un chat et, surtout, rien à voir avec l’Islam. « Je ne crois pas, a-t-elle ricané,que ces personnes aient eu une discussion théologique à bord ».

    Même déni chez Mgr Giancarlo Perego, directeur général de la Fondation « Migrantes », créée par la Conférence épiscopale italienne pour l’accueil des immigrés. Ce n’est qu’un « épisode de désespoir »a-t-il expliqué sur Radio Vatican,« un triste épisode dans lequel il ne faut pas exaspérer la haine religieuse. Il souligne tout le désespoir des migrants dont chacun cherche à sauver sa peau dans un petit espace ».

    Interrogé par la Repubblica, le prélat a tenu le même discours. « La tragédie de la nuit du 14 avril, comme tant d’autres tragédies de la mer, n’est qu’un terrible drame du désespoir et de la misère humaine. Je n’insisterais pas sur la circonstance de la haine religieuse ».

    Mgr Perego a même profité de l’occasion pour exiger, au nom du pape François, que l’Italie accueille encore plus de clandestins, surtout dans les régions du Nord : il a explicitement dénoncé la Vénétie comme manquant à son « devoir d’accueil ». La même obligation vaut, selon lui, pour toute l’Europe. « N’oublions pas, que sur les 170.000 personnes qui ont débarqué en Italie l’année dernière, deux sur trois ont continué leur chemin vers d’autres pays européens. Il est vrai que, sur les 28 pays européens, seulement cinq, aujourd’hui, ont une politique très forte d’accueil pour les demandeurs d’asile : l’Allemagne, l’Italie, la Suède, le Danemark et en particulier la France ».

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    http://fr.novopress.info/

  • Les Hellènes en Mer du Nord

    Germ350_B23757-9_U1D.gifAprès bien des tâtonnements, confinant à l’archéologie-fiction, l’itinéraire de l’expédition grecque de Pythéas en Mer du Nord, autour des Iles Britanniques et le long des côtes norvégiennes vient d’être reconstitué par une équipe de chercheurs de la « Technische Universität Berlin ». La tradition des hellénistes rapporte, en effet, que Pythéas a quitté Massalia (Marseille), vers 330 avant J. C., pour cingler vers le nord et atteindre, dit-on, la mystérieuse île de Thulé, que les Anciens considéraient comme l’extrémité septentrionale du monde. C’est ici que les spéculations allaient bon train : cette île de Thulé était-elle l’Islande, la Norvège (prise erronément pour une île), les Shetlands, les Orcades ou les Féroé ?

    L’équipe des chercheurs berlinois s’est concentrée sur l’étude des longitudes et latitudes et sur tous les éléments issus des textes antiques et signalant une durée de voyage, une distance évaluée par les marins de Massalia. L’équipe pluridisciplinaire, comptant des mathématiciens, des spécialistes de la géodésie et des historiens de l’antiquité, a pu finalement décrypter, grâce à tout un éventail de technologies modernes, ce que fut le trajet accompli par Pythéas et ses compagnons.

    Le résultat est aussi intéressant que révolutionnaire. Après avoir contourné la péninsule ibérique par cabotage, Pythéas a traversé la Manche de Brest aux Cornouailles, pour poursuivre sa route, toujours par cabotage, le long de la face occidentale de la Grande-Bretagne, jusqu’aux Shetlands. De là, il a pris le risque de s’aventurer en haute mer, poussé par les vents, pour arriver en Norvège dans le Fjord de Trondheim. D’après les sources antiques, ce voyage des Shetlands à Trondheim, la Thulé des Grecs anciens, aurait duré six jours (soit 90 km par journée de trajet). Cette durée paraît réaliste, d’autant plus que cela correspond à la journée quasi boréale que décrit Pythéas : « le soleil, là-bas, ne prend que deux à trois heures de repos ». Tel est effectivement le cas, en été, dans la région de Trondheim. 

    On suppose que Pythéas a entrepris son expédition vers le nord pour le compte des marchands grecs de Massalia, afin de repérer des sites où se procurer de l’étain (Cornouailles) ou de l’ambre (que l’on trouve partout dans la région baltique et le long des côtes danoises de la Mer du Nord), deux matières jugées utiles ou précieuses dans l’antiquité et introuvables dans le bassin méditerranéen.  

    (source : « Der Spiegel », n°32/2010, p. 109).

    Les résultats obtenus par l’équipe berlinoise peuvent se lire dans un ouvrage paru auprès d’un prestigieux éditeur scientifique :

    - A. KLEINEBERG, C. MARX, E. KNOBLOCH, D. LELGEMANN, Germania und die Insel Thule,Wissenschaftliche Buchgesellschaft, Darmstadt, 176 p., 29,90 euro.

    http://vouloir.hautetfort.com/archive/2015/03/30/les-hellenes-en-mer-du-nord-5593604.html

  • La peine de mort existe bien pour les innocents

    Parce que nous sommes, soi-disant, civilisés, on s’offusque dès qu’il est question de rétablir la peine de mort pour éliminer des meurtriers.

    Parce que nous sommes, soi-disant, civilisés, on s’offusque dès qu’il est question de rétablir la peine de mort pour éliminer des meurtriers.

    Et pourtant, n’aurait-il pas fallu la peine de mort pour cet assassin de quatre personnes qui vient d’être condamné à perpétuité, avec une période incompressible de 22 ans ? La peine de mort pour ce Polonais, jugé irrécupérable par les psychiatres, violeur et meurtrier de Chloé, une fillette de 9 ans, ma petite-fille, votre petite-fille qui, ainsi, serait encore en vie ?

    Ils ont donné la mort et la donneront encore puisqu’on leur accorde le droit de vivre dans nos pays civilisés.

    Ont-ils mérité la peine de mort, ces centaines de migrants qui, depuis des mois, nourrissent la Méditerranée ? 400 avant hier, 41 hier, encore des dizaines demain, et combien dans les années à venir ?

    Plus de cinq cent mille vont arriver, enfin, ceux qui ne périront pas en mer.

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  • Politique militaire de la France au Sahel : la logique de la Défense Cofinoga

    Spécialiste des questions stratégiques, Pierre Lellouche, 63 ans, est délégué général de l'UMP en charge de la politique étrangère. Député de Paris, il a été secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, puis au Commerce extérieur. Interrogé par Jean-Dominique Merchet dans l'Opinion, il estime que la France, en soutenant une politique militaire et solitaire au long cours au Sahel, risque à la longue de s'y ensabler. Il souligne l'incohérence d'une politique de défense qui n'alloue pas les budgets suffisants aux buts recherchés :

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    Pierre Lellouche : «Une Françafrique bottée, pleine de bonne conscience socialiste, mais dont les bottes sont trouées»

    [...]"L’armée française a été conçue, et donc financée, comme une armée d’intervention rapide, pas comme une force d’occupation. Lui faire jouer ce rôle est à la fois dangereux, au plan politique, car nous finirons par passer pour une force d’occupation, et intenable financièrement. Aujourd’hui, l’impasse budgétaire est flagrante, même si le ministère de la Défense invente des solutions invraisemblables pour boucler ses fins de mois, comme les sociétés de projet (SdP) pour louer des matériels que nous n’avons plus les moyens de nous payer. C’est la logique de la Défense Cofinoga ! On sait bien qu’avec le coût du crédit et de l’assurance, la facture sera plus élevée à la fin.[...]

    La leçon est claire : nous sommes engagés dans quelque chose que nous ne finançons pas. Cette improvisation stratégique et financière est irresponsable.[...]

    Il faut intervenir rapidement lorsque nos intérêts sont directement menacés et sortir aussi vite, mais s’interdire toute présence permanente. C’est aux Africains de trouver eux-mêmes les solutions à leurs problèmes régionaux. Dans un contexte marqué par la confessionnalisation des conflits, on voit, en Afrique et au Moyen-Orient, que les frontières coloniales ont beaucoup de mal à se maintenir. Je pense que nous entrons dans la deuxième phase de la décolonisation. Nous ne pouvons plus régler les problèmes dans ces zones avec une politique de la canonnière, comme au temps de la colonne Marchand. Nous ne devons pas installer ces pays dans la dépendance vis-à-vis des anciennes puissances tutélaires. Je crains que la militarisation de la politique de la France en Afrique et au Moyen-Orient ne conduise à un enlisement périlleux et solitaire."[...]

    Marie Bethanie

  • [Paris] Cortège traditionnel de Jeanne d'Arc [Bande Annonce]

     

    Chaque année depuis un siècle, l’Action Française rend hommage à celle qui, par la Divine Providence, a sauvé la France alors que tout semblait perdu.

    Rejoignez-nous le 10 MAI 2015 à 10h Place de l’Opera - 75009 Paris

     

  • Profanation du cimetière de Castres : festival de novlangue, encore un “déséquilibré” musulman

    A Castres, ce sont des tombes chrétiennes qui ont été profanées (215 tombes). Dans ces conditions, la majorité des médias a préféré parler de tombes« dégradées »  ou « vandalisées ». Il en est de même de François Hollande. Le terme« profané » est réservé aux tombes juives et musulmanes, les seules jugées sacrées. Comme l’explique Madame Léridon, directrice de l’information de l’AFP : « On pèse les mots. »

    La procureure‑adjointe a déclaré « N’avoir vu aucune connotation à caractère religieux ou racial ».

    Pourtant, de nombreuses croix ont été cassées ou jetées à terre. « Ce sont clairement des atteintes aux symboles de la foi chrétienne. », a déclaré le maire de Castres.

    Le suspect interpellé était en djellaba et récitait des prières musulmanes ! Mais, selon la procureure adjointe, « étant dans un état délirant inaccessible à la communication, le suspect a été hospitalisé d’office ». Bon sang, mais c’est bien sûr, encore un « déséquilibré ».

    http://fr.novopress.info/185938/profanation-du-cimetiere-castres-festival-novlangue-encore-desequilibre-musulman/