Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 19

  • « À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a plus en France de chef de parti digne de ce nom »

    Entretien avec Alain de Benoist

    Autrefois, les partis politiques étaient synonymes d’espoir, de changement, voire de grand chambardement. Aujourd’hui, plus personne ne semble croire à leur capacité à changer le cours des choses. Comment expliquer ce désamour ?

    Sous la Révolution, les partis politiques, assimilés à des « factions », étaient regardés comme un « mal temporaire » (Robespierre). Au sens moderne, ils n’apparaissent qu’au XIXe siècle, voire au début du XXe (en France, le premier parti est le Parti radical, né en 1901). L’article 4 de la Constitution de 1958 dispose que « les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage », ce qui ne veut pas dire grand-chose. À la fois par dégoût de la politique en général et en raison du constat que, dans la démocratie parlementaire, les représentants ne représentent plus rien, les citoyens ont massivement déserté les partis (dont le financement dépend désormais des subventions publiques), tout comme ils ont déserté les églises et les syndicats. Les partis sont en outre discrédités : il n’y a plus aujourd’hui que 9 % des Français pour leur faire confiance (sondage CEVIPOF, janvier 2015).
    La politique était autrefois à la fois un métier et une vocation (« ein Beruf », disait Max Weber). Aujourd’hui, la médiocrité de la classe politique tient au fait qu’elle n’attire plus un personnel de qualité : les individus doués se tournent vers d’autres professions, socialement plus gratifiantes et financièrement mieux payées. Même s’ils restent la voie d’accès privilégiée aux fonctions politiques et continuent de monopoliser l’accès aux responsabilités électives (on fait carrière en politique en échangeant des services avec un parti), les partis ont également évolué, et dans la pire direction.
    Les partis veulent rassembler, tandis que les idées divisent. C’est pour cette raison qu’aucun intellectuel digne de ce nom ne peut se sentir à l’aise dans un parti. C’est aussi pourquoi, dans tous les partis, l’idéologique a très tôt cédé la place au programmatique, qui a ensuite été remplacé par le communicationnel : effets d’annonce, petites phrases, commentaires des sondages, pression des réseaux sociaux, agenda dicté par des exigences médiatiques qui se succèdent en « temps zéro », entretenant ainsi le culte de l’instant. Nous n’avons plus maintenant que des partis à l’américaine, c’est-à-dire des écuries présidentielles qui n’existent vraiment qu’à l’approche des échéances électorales. Comme l’a écrit Marcel Gauchet, « le parti ayant vocation, à la fois à dégager une représentation politique, à définir un corpus idéologique et à encadrer les forces sociales, est une figure du passé ». Il en va de même des engagements politiques de type « sacerdotal ».
    Peut-on sérieusement imaginer qu’un parti politique, quel qu’il soit, puisse aujourd’hui faire changer démocratiquement la société ? En ce domaine, les lobbies et autres groupes financiers ne sont-ils pas finalement plus performants ?
    On sait depuis longtemps qu’aucun parti politique ne peut être vraiment démocratique, en raison de la « loi d’airain des oligarchies » si bien décrite par Roberto Michels, qui a pour effet de diviser tout parti en une minorité dirigeante et une majorité dirigée, créant ainsi une bureaucratie de dirigeants professionnels coupés du peuple : « L’organisation est la source d’où naît la domination des élus sur les électeurs, des mandataires sur les mandants, des délégués sur ceux qui les délèguent » (Les partis politiques. Essai sur les tendances oligarchiques des démocraties, 1911). Cette bureaucratisation des partis explique la surreprésentation en leur sein de certaines catégories sociales, qui se recrutent par copinage et par cooptation : fonctionnaires, anciens élèves de l’ENA, anciens attachés ministériels et parlementaires, qui n’ont jamais vraiment connu la vie réelle (nombre de candidats socialistes issus de la classe ouvrière aux dernières élections : zéro).
    À l’exception de Marine Le Pen, il n’y a d’ailleurs plus en France de chef de parti digne de ce nom : Harlem Désir ou Cambadélis n’ont évidemment pas remplacé Jean Jaurès, Pierre Laurent n’est pas vraiment Georges Marchais, Nicolas Sarkozy n’est qu’un caractériel, comme Manuel Valls (l’un dans le genre ludion, l’autre dans le style ténébreux). François Hollande reste, lui, un personnage inintelligible.
    La grande Simone Weil avait publié en 1940 une Note sur la suppression générale des partis politiques . Son jugement était-il prémonitoire ? Conserve-t-il une quelconque pertinence ?
    Dans ce texte, réédité en 2006 aux Éditions Climats, Simone Weil décrivait les partis politiques comme des « machines à fabriquer de la passion collective » et des organisations « totalitaires en germe et en aspiration », et prônait en effet leur suppression. Mais elle ne disait pas par quoi l’on pourrait les remplacer. Ni comment on pourrait empêcher les gens de se regrouper au sein d’une quelconque association pour faire de la politique ensemble.
    Son propos n’en reste pas moins très actuel quand elle écrivait que « l’unique fin de tout parti politique est sa propre croissance, et cela sans aucune limite », observait qu’il n’y a pas grande différence entre l’attachement à un parti ou l’attachement à une Église, l’un et l’autre nourrissant une même attitude partisane (« l’opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s’est substituée à l’obligation de la pensée »), ou exprimait le vœu que « le peuple ait à exprimer son vouloir à l’égard des problèmes de la vie publique, et non pas à faire seulement un choix de personnes ». Mais qui lit encore Simone Weil ?

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EukAukAklFLdUtXgTz.shtml

  • Le néo-négationnisme en temps réel du génocide chrétien – au nom de la Shoah

    Un génocide est en cours, appuyé sur une théorie du génocide, basée sur une partie des textes sacrés de l’islam : le génocide des chrétiens d’Orient. Certains ne veulent pas que le public occidental le comprenne.

    « “Nous sommes venus pour tuer et nous faire tuer.” C’est ce qu’ils criaient », raconte une femme, rescapée du massacre de l’université de Garissa au Kenya (RFI, 4/4/2015).

    Les chebab criaient donc la parole du dieu de Mahomet : « Le musulman tue et il est tué », Coran, sourate 9. Cette parole est enseignée à des enfants ici en France.

    Un génocide est en cours, appuyé sur une théorie du génocide, basée sur une partie des textes sacrés de l’islam : le génocide des chrétiens d’Orient. Certains ne veulent pas que le public occidental le comprenne. Et par une forme de cynisme insupportable, c’est au nom de la Shoah que ces « néo-négationnistes » nient ou occultent le génocide en cours des chrétiens d’Orient, et le projet de génocide des juifs du monde entier, voulus par les musulmans les plus proches de la pensée de Mahomet.

    Au nom de la Shoah, ils persécutent les donneurs d’alerte, s’alarmant des livres musulmans où des propos similaires à ceux de Mein Kampf sont tenus.

    Lire la suite

  • Une trentaine de chrétiens assassinés par les islamistes

    L'Etat islamique a publié ce dimanche une nouvelle vidéo montrantl'assassinat d'une trentaine d'hommes, présentés comme des chrétiens éthiopiens. Cette vidéo de 29 minutes, publiée sur des sites jihadistes, montre un groupe d'au moins 12 hommes égorgés sur une plage et un autre groupe de 16 autres tués par balles dans une zone désertique. Ils sont présentés comme des membres "de l'Eglise éthiopienne ennemie" par la vidéo.

    Les 12 hommes, vêtus de combinaisons oranges, sont amenés sur la plage avant d'être couchés au sol et décapités au couteau. Parallèlement, dans une zone désertique, 16 hommes vêtus de combinaisons noires sont abattus à bout portant.

    Michel Janva

  • Alcatel-Lucent : l’autre suicide français

    Nokia a annoncé ce mercredi le rachat de son concurrent Alcatel-Lucent. Pour Jean-Philippe Tanguy et Nicolas Dupont-Aignan, cette fusion plombe l’espoir d’une rapide réindustrialisation française.

     

    « Nos chefs, au milieu de beaucoup de contradictions, ont prétendu, avant tout, renouveler, en 1940, la guerre de 1915-1918. Les Allemands faisaient celle de 1940 »— Marc Bloch, L’Étrange Défaite.

    Les pillages se suivent et se ressemblent… La razzia boursière de Nokia sur le fleuron français des télécoms, Alcatel-Lucent, annonce le chant du cygne de la mascarade industrielle de François Hollande.

    La France parle, le reste du monde agit. Il est loin le temps où Arnaud Montebourg prêtait sa verve à François Hollande pour prétendre relancer l’industrie française. On nous avait pourtant promis des grands projets et du patriotisme, un véritable changement de modèle en lieu et place du désastre de « l’économie sans usine » du croquemort Serge Tchuruk, ancien patron… d’Alcatel.

    Las, les faits parlent pour eux. L’alternance socialiste n’a fait qu’allonger la litanie des champions industriels français bradés à l’étranger. Après l’acier d’Arcelor, l’aluminium de Pechiney, la chimie de Rhodia, c’est l’électricien Alstom, le cimentier Lafarge et maintenant le champion des télécoms Alcatel. Ce pillage systématique est aggravé par les pertes de contrôle de la France sur d’autres fleurons comme Peugeot ou par l’inaction suicidaire de l’État sur Areva dans la filière nucléaire.

    En réalité rien n’a changé ici quand tout a changé ailleurs, notamment aux États-Unis. Par une ironie aussi tragique que révoltante, les projets de Nokia font suite au succès industriel atteint la semaine passée par le bourreau d’Alstom, l’américain General Electric : en seulement sept années, le conglomérat s’est débarrassé de toutes ses activités financières pour redevenir un géant d’une industrie de pointe relocalisée sur le sol national. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Alcatel-Lucent-l-autre-suicide

  • Communiqué : 100 millions pour rien !

    Communiqué de la Dissidence Française

    Évènement ! Manuel Valls a décidé de « débloquer 100 millions d’euros sur trois ans » !

    Mais 100 millions pour quoi ?

    Pour rééquiper nos armées, nos forces de police ou de gendarmerie, dont le matériel vétuste nuit depuis trop longtemps à l’accomplissement de leurs missions essentielles et menace leurs capacités opérationnelles ? Ou pour financer une diminution de cette pression fiscale qui étrangle ménages et entreprises, et paralyse l’activité économique de notre pays ? Ou encore pour lutter efficacement contre l’immigration de masse en procédant aux expulsions immédiates des milliers de clandestins qui, à Calais comme ailleurs, menacent la tranquillité et la sécurité des Français ? Ou alors, pour financer la construction de nouvelles places de prisons et permettre ainsi l’application réelle des peines infligées à des criminels, notamment multirécidivistes ?

    Pas du tout ! Tous ces sujets n’intéressent pas Manuel Valls ! Ce qui intéresse Manuel Valls, c’est le racisme et l’antisémitisme. Surtout l’antisémitisme. L’éternel attaché à Israël s’est donc servi dans les caisses, et compte lancer une grande « campagne contre le racisme et l’antisémitisme », aux frais du contribuable bien évidemment. 100 millions d’euros pour une campagne de pub et pour accroitre la censure sur internet, voilà qui ravira nos militaires en OPEX qui peinent à s’approvisionner en munitions, et qui ravira tout autant les salariés de Florange qui attendent toujours les résultats concrets des promesses de Hollande en 2012.

    Une fois encore, la preuve est faite que l’État Français est pris en otage par cette république des partis, des loges et des lobbies qui ne représente qu’elle-même et qui précipite notre pays vers l’abîme, n’ayant même pas la décence de dissimuler ses honteuses tractations clientélistes…

    Compte-tenu du caractère dramatique de la situation de notre pays, la Dissidence Française poursuivra son action, et appelle désormais l’ensemble des fonctionnaires au sein des ministères et des préfectures à la désobéissance civile, à la grève du zèle, et ce afin de paralyser les administrations, de déstabiliser ce gouvernement antinational, et de préparer ainsi le coup de force qui vient…

    L’Histoire, ça se brusque !

    Vincent Vauclin, Coordinateur National

    Nicolas Roch, Secrétaire Général

    La Dissidence Française

  • Traité transatlantique : Mythes et réalités sur les tribunaux d’arbitrage privés

    C’est sans conteste le meilleur argument des opposants au traité transatlantique Tafta/TTIP, qui organisent samedi 18 avril une mobilisation mondiale contre la négociation en cours entre les États-Unis et l’Union européenne : l’intégration au futur accord de l’ISDS, un mécanisme d’arbitrage privé qui menacerait de détruire toutes les règlementations environnementales, sociales ou sanitaires dans le seul but de préserver les profits des multinationales.

    Au cœur d’une intense bataille diplomatique et politique au sein de l’UE depuis plusieurs mois, l’investor-state dispute settlement (mécanisme de règlement des différends investisseurs-États) s’attire toutes les critiques : on le tient responsable d’avoir permis à Philip Morris d’empêcher la mise en place du paquet neutre de cigarette en Australie, à Veolia d’avoir contesté la mise en place d’un salaire minimal en Égypte, à Lone Pine d’avoir attaqué l’interdiction du gaz de schiste au Québec et même à Vattenfall de s’opposer à la sortie du nucléaire en Allemagne.

    C’est à dire de remettre en cause sur le terrain judiciaire des décisions démocratiques prises par les gouvernements selon la volonté des peuples. De purs mensonges, selon les défenseurs de l’ISDS, qui dénoncent une entreprise de désinformation sur un mécanisme indispensable dans un contexte de mondialisation.

    En bref : comment marche l’ISDS

    Plusieurs milliers de traités d’investissement bilatéraux et multilatéraux contiennent un mécanisme d’ISDS, qui peuvent différer d’un contexte à l’autre. Si le futur traité transatlantique en intégrait un, voilà comment cela pourrait fonctionner : un investisseur américain (généralement une multinationale) qui exerce une activité sur le territoire français (ou de toute autre pays européen) pourrait attaquer l’État français devant un tribunal arbitral pour obtenir une compensation s’il s’estimait lésé par une décision française.

    Pour avoir gain de cause, il devrait prouver que la France a enfreint certaines dispositions du traité transatlantique. Trois arbitres seraient amenés à trancher, selon la formule la plus répandue : un nommé par l’investisseur, un par la France, tandis que le troisième devrait faire l’objet d’un consensus entre les deux parties ou, à défaut, être nommé par le président. A l’issue de la sentence, si la France était condamnée à indemniser l’investisseur, elle n’aurait aucune possibilité d’appel, et serait contrainte de s’exécuter.

    1. Les multinationales peuvent-elles vraiment remettre en question une décision politique ?

    Oui, mais indirectement. Contrairement à ce que l’on entend souvent, les tribunaux ISDS n’ont généralement pas le pouvoir formel d’« annuler » des décisions politiques comme une « super-cour » internationale. Ils doivent se contenter de juger en « responsabilité », c’est à dire qu’ils peuvent containdre un État à verser une compensation financière à une entreprise s’ils estiment que celui-ci a brisé ses engagements internationaux.

    Cette réalité se retrouve dans le cas opposant Vattenfall au gouvernement allemand : en déposant sa plainte en 2012, le géant suédois de l’énergie a assuré qu’elle « ne remet[tait] pas en question la décision allemande de sortie progressive du nucléaire », mais cherchait par le biais de cette procédure à « recevoir une compensation pour la perte financière subie » par la fermeture de ses deux centrales nucléaires.

    A l’inverse, dans sa plainte de 2011 contre le gouvernement australien, le cigarettier Philip Morris a réclamé non seulement une réparation financière, mais également une suspension ou un retrait pur et simple de la loi imposant le paquet neutre sur les cigarettes votée quelques semaines plus tôt. Une possibilité visiblement ouverte par le traité Hong-Kong-Australie qu’elle a invoqué pour déposer plainte, mais qui est clairement proscrite dans les traités négociés par les États-Unis et l’Union européenne ces dernières années.

    Toutefois, il ne faut pas perdre de vue un effet indirect de l’ISDS sur les politiques publiques : le « chilling effect », ou « effet dissuasif ». Considérant le risque du recours en arbitrage, certains gouvernements peuvent être amenés à s’auto-censurer dans leurs choix politiques pour limiter les risques d’être attaqués en arbitrage et de devoir régler plusieurs millions, voire milliards d’euros d’amende (sans compter les très onéreux frais de procédure).

    C’est exactement ce qu’il s’est produit dans les années 1990, quand le gouvernement canadien a voulu instaurer le paquet neutre pour lutter contre le tabagisme, avant d’y renoncer. Parmi les raisons qui présidèrent à cette reculade figure en bonne place la menace d’un ISDS brandie par le cigarettier américain R.J. Reynolds Tobacco dans une lettre envoyée aux parlementaires canadiens. Aujourd’hui encore, la Nouvelle-Zélande a décidé de suspendre la mise en place du paquet neutre jusqu’à la décision arbitrale dans l’affaire Philip Morris/Australie.

    Lire la suite

  • EELV: Emmanuelle Cosse demande aux écolos pro-gouvernement de "cesser leur comportement nuisible"

    A EELV, l'union n'est pas pour tout de suite. Le bureau exécutif d'Europe Ecologie-les Verts a demandé aux parlementaires écologistes, dont certains ont des initiatives "qui altèrent" le mouvement écologiste, de "cesser leur comportement nuisible", dans un texte voté cette semaine. Ce texte, adopté par 10 voix contre 3 mardi, a été envoyé par la secrétaire nationale du parti Emmanuelle Cosse aux députés, sénateurs et eurodéputés.

    Si personne n'est nommément cité, cette prise de position intervient alors que le parti est en désaccord sur la participation au gouvernement en cas d'éventuel remaniement, et que des parlementaires écologistes pro-gouvernement comme François de Rugy, Denis Baupin, Jean-Vincent Placé ont tenu les deux week-end derniers, rencontres et rapprochements avec des formations comme le Front démocrate, qui souhaite une maison des forces progressistes avec le PS, le PRG, Cap 21...

    "Contradiction totale"

    "La dernière période a vu se multiplier des prises de position publiques à propos de l’avenir et de la stratégie d’Europe Ecologie–Les Verts. Certaines de ces déclarations sont effectuées en contradiction totale avec les positions arrêtées par les instances de notre mouvement", stipule le texte, que l''AFP s'est procuré et publié dans Le Monde (article abonnés) daté du dimanche 19 avril. 

    "Les positions collectives de notre mouvement indiquent la nécessité d’un changement de cap dans les politiques menées par le gouvernement compatible avec nos valeurs écologistes, pour envisager un nouveau contrat de majorité incluant la participation gouvernementale de EELV", poursuit-il.

    Le bureau exécutif (BE) rappelle en aussi qu'il a "la responsabilité de veiller à réguler les initiatives individuelles qui altèrent l'image de notre mouvement" et fixe une "ligne claire". Condamnant des "interventions publiques" récentes, il demande "à l’ensemble des personnes concernées de cesser immédiatement leur comportement nuisible pour l’ensemble de notre mouvement".

    Il invite également "l’ensemble des membres d’EELV à récuser les tentatives de déstabilisation du Parti, d’où qu’elles viennent et tout particulièrement à ne pas participer à des réunions dont les organisateurs affirment leurs intentions en la matière". Alors que se profilent, en décembre, les régionales, le BE "rappelle que les régions sont les seules à pouvoir décider de leur stratégie" pour ce scrutin et que selon le règlement intérieur, le BE peut "suspendre en urgence des adhérent-es". Un séminaire est proposé entre le BE et les parlementaires.

    Le HuffPost avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EukAuklpuEhxHvNLOK.shtml

  • Immigration massive : Le déferlement, c’est maintenant

    Source : Boulevard Voltaire – « Le déferlement, c’est maintenant »

    Les chiffres annoncés, dont on peut se demander s’ils ne sont pas minorés tant ils sont effarants, font état de 11.000 Africains subsahariens qui ont débarqué en Italie depuis le 1er avril, dont 6.500 les 12 et 13 avril, arrivés sur… 2 bateaux de toute sorte.

    Nos députés socialistes, écolos, d’extrême gauche, mais aussi, souvent hélas, de droite (UMP-UDI), ne cessent de voter des lois sociétales qui, peu à peu, bouleversent des usages ancestraux. Mais quid du danger extrême promis par les fous d’Allah ? Celui d’une invasion de l’Europe par 500.000 musulmans, 500.000 solides gaillards si l’on en croit les photos des bateaux du Camp des saints. Un demi-million d’hommes envoyés dans nos pays, nos villes, nos villages, nos campagnes, bien sûr par la misère qui règne chez eux mais aussi, et peut-être, surtout sur injonction de l’État islamique.

    Ils arrivent par bateaux bondés, de la barque au cargo rouillé, sur les côtes italiennes les plus proches de la Libye, là où leur a été annoncé qu’ils ne risquaient rien d’autre qu’une noyade éventuelle, et que les portes de la riche Europe leur étaient grandes ouvertes. Promesse leur a été faite qu’ils y bénéficieront d’une aide sociale sans commune mesure avec leur salaire de misère, des meilleurs soins médicaux prodigués gratuitement et avec largesse, le cas échéant d’appartements ou d’une chambre d’hôtel plus confortable que leur case, d’un travail au noir (ou au black, comme vous voudrez) leur assurant un salaire décent et la possibilité d’envoyer de précieux euros à leur famille et, surtout – cerise sur le gâteau -, les imams du coin, ceux qui leur auront été recommandés, continueront leur endoctrinement pour que leur foi devienne une arme redoutable..

    Et un beau jour, parmi ce demi-million de migrants, badaboum… Un attentat par-ci, un assassinat par-là, et l’État islamique pourra additionner ses victoires sur les mécréants.

    J’exagère sûrement… Mais je lis déjà que la haine du chrétien s’est exprimée avant même d’arriver à bon port ! Selon la préfecture de Palerme, 15 migrants musulmans viennent d’être arrêtés pour avoir jeté par-dessus bord, au beau milieu de la Méditerranée, 12 « vrais » migrants qui se disaient chrétiens. L’horreur dans l’horreur !

    Les chiffres annoncés, dont on peut se demander s’ils ne sont pas minorés tant ils sont effarants, font état de 11.000 Africains subsahariens qui ont débarqué en Italie depuis le 1er avril, dont 6.500 les 12 et 13 avril, arrivés sur… 2 bateaux de toute sorte. 400 Africains n’auraient jamais atteint la côte et se seraient noyés dans le naufrage de leur bateau de pêche où ils s’étaient entassés à 550 !

    Le Grand Remplacement n’est pas loin, n’est-ce pas, M. Renaud Camus, car ce déferlement proprement ahurissant va s’amplifier avec la belle saison et une mer plus clémente. 
Les Italiens commencent à demander des comptes à l’Europe. L’Europe qui a l’air de se moquer de cette invasion. L’Europe incapable de refermer ses frontière et qui ne veut pas avouer l’échec de Frontex. La France qui ne proteste même pas, qui ne prend aucune mesure préventive. La France politique beaucoup plus passionnée par le feuilleton Le Pen ou les gesticulations de son gouvernement. La France dont l’aide généreuse fait le bonheur des passeurs qui encouragent tous ces hommes à tenter leur chance au pays de cocagne, et des islamistes trop heureux de trouver des supplétifs à bon compte. 

Et pendant ce temps-là, M. Boubakeur réclame 2.500 mosquées supplémentaires. Et pendant ce temps-là, ceux qui hélas s’accrochent au pouvoir font voter à tout va, par une Assemblée nationale aux trois quarts vide, des lois insensées que le bon peuple de France aura beaucoup de mal à révoquer lorsqu’il reprendra les rênes de la maison France.

    Floris de Bonneville  http://fr.novopress.info/