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  • Abroger la loi Taubira est possible

    Guillaume Drago, docteur en droit, agrégé des Facultés de droit et professeur de droit public à l’Université Panthéon-Assas Paris II et président de l’Institut Famille & République. Il explique à la Nef pourquoi il est possible d'abroger la loi Taubira :

    FIC108090HAB33"Notre objectif est double : d’abord convaincre les politiques que l’on peut revenir sur la loi Taubira, que cela est possible juridiquement ; ensuite proposer nos services de juristes spécialistes (...)

    Le Conseil constitutionnel a considéré que le « mariage homosexuel » ne relevait pas d’une problématique constitutionnelle, qu’il n’y avait pas, en droit français, de principe constitutionnel qui imposerait le mariage homme-femme. Donc, ce que le législateur a fait, un autre législateur peut très bien le défaire. Il n’y a pas d’effet « cliquet » qui interdirait de revenir sur une loi qui n’a pas de fondement constitutionnel. Certes, les choses ne sont pas si simples car, en cas d’abrogation de la loi Taubira, il faudra conserver les droits acquis par la loi du 17 mai 2013. On ne peut « démarier » les gens. Et le Conseil constitutionnel a énoncé une liberté constitutionnelle du mariage. Sur le plan européen, la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme, encore en juillet 2014, laisse une marge d’appréciation aux États pour définir les règles du mariage. Là encore, il faut rester attentif sur le plan de la non-discrimination et préserver les droits acquis. En cas de rejet d’une loi d’abrogation par le Conseil constitutionnel, la seule voie pour aboutir à poser les fondements d’un mariage homme-femme est celle de la constitutionnalisation de son principe. Il faudra alors rassembler une large majorité de parlementaires ou faire appel aux Français par un référendum (...)

    Mais ne nous faisons pas d’illusions sur la classe politique de notre pays : elle n’abrogera la loi Taubira que sous la forte pression de ceux qui veulent défendre une conception équilibrée de la famille homme-femme et de la défense de l’intérêt supérieur de l’enfant. La mobilisation populaire doit demeurer forte et constante, y compris après 2017 (...)

    Ce qui me frappe, c’est que les intellectuels chrétiens sont conscients de ces enjeux mais que les responsables des grands cultes, en France, sont tétanisés par ces questions, à part quelques individualités remarquables. Leur position institutionnelle les rend aveugles et timorés sur ces enjeux. Or, ils ont une responsabilité morale vis-à-vis des croyants et plus largement une responsabilité historique dans notre pays pour défendre la famille, en prêchant à temps et à contretemps, comme le dit l’Écriture, pour cette cause essentielle à la vie de notre nation. Responsables religieux, réveillez-vous !"

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « L’extrême gauche est aujourd’hui le vecteur principal de l’antisémitisme ! »

    Entretien avec G.-W. Goldnadel

    Avocat et essayiste.

    Président de Avocats sans frontières.

    Des membres du NPA ont agressé deux personnes de confession juive lors d’un collage le 3 mai. Dans le même temps, on apprend que la plaque d’Ilan Halimi, victime de la barbarie et de l’antisémitisme, a été dégradée à Bagneux. Que pensez-vous de ces deux événements ? Faut-il les lier ?

    J’ignore si les deux phénomènes sont liés. Ce que je sais et que je répète inlassablement, c’est que l’extrême gauche est aujourd’hui le vecteur principal de l’antisémitisme actuel. L’antisémitisme gauchisant n’a rien de nouveau. Jules Guesde avait pris position contre Dreyfus, par détestation de la bourgeoisie. Aujourd’hui, l’antisionisme islamophile fait bon ménage avec la concupiscence avec laquelle les mouvements trotskistes regardent un lumpenprolétariat à embrigader dans les banlieues. Ces idiots utiles ne comprennent même pas qu’ils n’ont plus suffisamment de magistère intellectuel pour séduire les islamistes qui les utilisent. Cet antisémitisme est d’autant plus virulent qu’il ne fait l’objet d’aucune contestation morale, politique et médiatique véritable par une prétendue élite toujours sous influence gauchisante, qui demeure obsédée par une extrême droite qui a modéré sa judéophobie historique, au grand dam de ceux qui frissonnent avec nostalgie dans le souvenir des petits matins bruns. Pour ne parler que du NPA, celui-ci n’a eu à encourir aucune sanction, en dépit du fait qu’il avait maintenu sa participation à des manifestations pro-palestiniennes radicales qui avaient débouché, comme prévu, sur des violences antijuives inédites.

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  • Bordure protectrice : « L’idée de base était : si vous repérez quelqu’un, tirez (…) Qu’il constitue ou non une menace immédiate n’était pas le sujet »

    Leur récit, cru et dérangeant, éclaire d’une lumière froide les coulisses de l’opération «Bordure protectrice». Plus de soixante militaires israéliens déployés l’été dernier dans la bande de Gaza, simples soldats ou officiers, ont raconté «leur» guerre à l’ONG Breaking the silence. Ces témoignages, livrés sous couvert de l’anonymat et publiés lundi matin, retracent les circonstances dans lesquelles un incessant déluge de feu a été projeté par Tsahal contre des quartiers résidentiels, apparemment pour se protéger d’un ennemi insaisissable. Plus de 2200 Palestiniens ainsi que 72 Israéliens ont été tués durant ces 51 jours de guerre. «Les règles d’engagement transmises aux soldats sont les plus permissives jamais portées à notre connaissance», affirment les responsables de Breaking the silence, qui dénoncent «une politique de tirs indiscriminés» et accusent l’armée d’avoir agi en violation de son propre Code d’éthique.

    A en croire la majorité des dizaines de conscrits et de réservistes interrogés par l’ONG, la principale consigne diffusée à la veille de l’incursion fut de ne jamais hésiter à ouvrir le feu pour réduire le risque auxquels ils allaient être exposés. La distinction entre civils et combattants, au cœur des règles de droit international en temps de guerre, aurait ainsi été partiellement abolie. «L’idée de base était: si vous repérez quelqu’un, tirez», raconte un sergent-chef de l’infanterie israélienne, qui fut déployé dans le nord de l’enclave. «Qu’il constitue ou non une menace immédiate n’était pas le sujet», ajoute-t-il, avant de préciser: «Si vous tuez quelqu’un à Gaza, ce n’est pas une catastrophe ». Un autre militaire, affecté à une unité de blindés engagée à Deir el-Balah, complète: « Les ordres étaient: Dès que vous voyez quelqu’un autour de vous, disons dans un rayon de zéro à deux-cents mètres, il est mort. On devait partir du principe que tout individu évoluant dans notre zone d’opération ne pouvait pas être un civil. »

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    http://www.contre-info.com/

  • Fabrice Luchini et le bateau ivre de l'Éducation nationale

    Pendant que nos gouvernants dépouillent les programmes des grands auteurs, Fabrice Luchini fait un triomphe au théâtre des Mathurins en disant Rimbaud, Baudelaire, Proust et Labiche.
    Entre un spectacle d'improvisation et une baignade dans un «milieu aquatique standardisé» Manuel Valls et Najat Vallaud-Belkacem devraient aller faire un tour au Théâtre des Mathurins. Depuis des semaines, chaque soir plus de quatre cents personnes se pressent pour entendre un homme seul en scène dire Rimbaud et Labiche, Céline et Proust. Les réservations sont closes jusqu'au mois d'octobre et les demandes de prolongation se succèdent. S'ils parviennent à éteindre leur iPhone, à s'asseoir pendant deux heures ils écouteront un ancien garçon coiffeur qui, par les mots, déploie des paysages, écrit des silences, fixe des vertiges. Fabrice Luchini leur rappellera qu'il a quitté l'école à 14 ans mais que l'aventure de son existence est née d'une découverte : une langue plus vive que le courant d'une onde pure. La Fontaine, Baudelaire, Pascal, Cioran et une pléiade innombrable ont aiguisé son esprit, nourri sa méditation, et fécondé une passion dévorante. Depuis il a fait sienne la maxime de Molière : «plaire et instruire».
    Dira-t-il que c'était mieux avant ? C'est tout le contraire. Le spectacle commence par une charge de Paul Valéry (nous sommes dans les années 1930) contre l'école qui force les enfants à ânonner Racine en se débarrassant de ce qui en fait la beauté : les assonances, le rythme, la chair du verbe. Valéry cependant ne conseille pas de remplacer les humanités par l'interdisciplinarité ou les travaux en groupe sur le tri sélectif et le développement durable. Il plaide plutôt pour une véritable éducation au goût, aux nuances, à la beauté. Ce trésor mal exploité par nos anciens prend désormais la poussière dans les caves du ministère. En troisième, les programmes de lecture piochent dans les rentrées littéraires les plus récentes, et l'étude approfondie de Bajazet sera bientôt considérée comme humiliante pour l'élément en voie d'apprentissage, cette chose fragile que nous appelions autrefois l'élève. Les disciples de Bourdieu verront dans le succès de Fabrice Luchini une preuve supplémentaire de la reproduction des élites. 
    Les tenants du «tout est culture» refuseront malgré tout d'établir une hiérarchie entre le savoureux «Cours… Asterixsme» de Jamel Debbouze et les Illuminationsde Rimbaud. Ceux qui, en entendant le comédien, sentiront battre en eux le cœur de La Fontaine ou de Baudelaire, se désoleront d'un gigantesque gâchis. Comment une succession de chefs-d'œuvre peuvent ainsi être laissés à l'abandon ? Pourquoi refuser de les faire connaître aux Français venus d'ailleurs à qui l'on ne donne qu'une équipe de football pour se sentir des nôtres ? Augustin d'Humières professeur en Seine-et-Marne et auteur de Homère et Shakespeare en banlieue (Grasset) le répète suffisamment : le génie souffle où il veut. Dans les quartiers chics comme dans les cités. Luchini raconte qu'il a eu l'idée de ce spectacle après avoir récité Le Bateau ivre dans un taxi. Son chauffeur lui aurait lâché : «C'est magnifique, mais je n'ai rien compris.» «Moi, non plus, lui a répondu le comédien, mais là n'est pas l'important.» L'important en effet était de faire vibrer quelques minutes les êtres et les choses. Rappeler aux hommes qu'ils ont en eux ce que les uns nomment l'esprit, les autres l'âme. Que la culture n'est ni un ornement, ni un snobisme, mais l'oxygène de l'intelligence et du cœur.
    Manuel Valls affirme dans une interview au mensuel L'Œil, que la culture est constitutive de la gauche. Il faudrait lui rappeler qu'elle est tout sauf le fruit de l'improvisation. «Il n'y a pas de génération spontanée» dit en substance Roland Barthes quand il parle des poètes. Rimbaud savait le latin et le grec à 14 ans. Il connaissait suffisamment Hugo et Musset pour les mépriser à 16 et jugeait à 17 Baudelaire «un peu mesquin» dans sa forme. Le feu de son génie monte cependant de braises anciennes, celle du travail, de l'effort, de la discipline, de la sélection. Ces vertus que Luchini a éprouvées aux côtés de ses maîtres Jean-Laurent Cochet ou Michel Bouquet. Depuis, l'élève est devenu l'un des leurs et donne à son tour ce qu'il a reçu. Quand il improvise, c'est prodigieux. Il n'est pas professeur, le Théâtre des Mathurins n'est pas une salle de classe, mais toutes les générations viennent y chercher ce que le pédagogisme s'acharne à enfouir et peut-être même à détruire: leur héritage. 
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  • Les subventions délirantes de la région lorraine

    Nous apprenons, par Thierry Gourlot (responsable du groupe FN à la région Lorraine), les délirantes subventions qui sont distribuées par le Conseil régional avec l’argent des contribuables (il en est certainement de même dans les autres régions) :

    « – 2 500 euros à une école d’arts martiaux pour un projet intitulé : « J’apprends à me défendre (1re année) » dont le but, c’est écrit noir sur blanc sur le document en notre possession, est de « favoriser le développement de la pratique des sports de combat pour les mères de familles d’origine étrangère » !

    – 4 000 euros en faveur du Printemps algérien de Villerupt – commune de Meurthe-et-Moselle et non du Constantinois –, une « manifestation intercommunale valorisant le patrimoine culturel, artistique et artisanal, ainsi que les us et coutumes de l’ensemble des ethnies formant l’Algérie » ! Quel rapport avec la Lorraine ? Mystère.

    – 10 000 euros ont été accordés à un centre culturel turc basé à Metz pour rémunérer un « ombudsman ». Un quoi ?
    L’ombudsman, qui est un mot suédois, désigne une sorte de médiateur qui intervient pour régler les litiges entre le citoyen et l’Etat. Il semblerait qu’entre les Turcs et l’administration française, il y avait des différends à éclaircir, qui nécessitaient l’intervention d’une tierce personne.

    – le même centre culturel a encore bénéficié de 10 000 autres euros l’action « Pour l’émancipation des femmes par l’expression ». On n’est pas certains qu’il s’agisse du développement de l’expression de langue française.

    – 4 000 euros versés à l’Association meusienne pour l’accueil des travailleurs migrants (Amatrami) pour une opération de « soundpainting ». Le soundpainting, explique l’Amatrami, est « le langage gestuel permettant la composition spontanée et pluridisciplinaire de création artistique collective ». »

    Source

    http://www.contre-info.com/les-subventions-delirantes-de-la-region-lorraine#more-37767

  • Si un maire ne donne QUE 3000€ à une association LGBT, il est "homophobe"

    Lu ici :

    "Jeudi soir dernier lors du conseil municipal, l'association Couleurs Gaies dénonçait le manque d'implication de Dominique Gros (PS), maire de Metz, et de la majorité municipale en faveur de la lutte contre l'homophobie. C'est bâillonnés que certains membres de l'association ont manifesté leur colère pendant le conseil municipal. "Nous souhaitons que la ville de Metz s'engage plus en matière de lutte contre l'homophobie" a déclaré aujourd'hui le président de l'association sur les réseaux sociaux.

    "Sans soutien logistique" ni "soutien politique" de la part de la ville de Metz, l'association Couleurs Gaies pointe également du doigt le manque de soutien financier de la part de la municipalité. En effet, la ville de Nancy a versé 10 000€ à une association similaire en 2015, alors que Couleurs Gaies n'a été bénéficiaire que de 3 000€. "La ville de Metz n'est pas du tout à la hauteur dans le domaine de la lutte contre l'homophobie", réitère Mathieu Gatipon-Bachette, président de l'association."

    Nourrir-Loger-Blanchir les militants LGBT sur les deniers de l'Etat, c'est certainement une valeur de la République.

    Michel Janva

  • Ce qu'on nous prépare en vue de 2017

    Les récentes manœuvres médiatiques semblent vouloir franchir une étape supplémentaire dans l'anticipation. On nous bassinait jusqu’à ces derniers jours avec les éventuelles primaires de 2016 : tout se passe maintenant comme si la campagne en vue du deuxième tour de 2017 était déjà commencée.

    Depuis plusieurs mois pourtant l'évocation des primaires en vue de 2017, puis de ces élections présidentielles elles-mêmes, ne manquait pas d'irriter. De plus en plus nombreux, en effet, sont les Français pour lesquels il existe des problèmes malheureusement plus urgents.

     Aujourd’hui on dirait que tout est construit dans le paysage médiatique pour nous préparer à un deuxième tour. On préempte ainsi l'hypothèse qu'il se réduirait à un affrontement entre le front national et le parti socialiste, c'est-à-dire malheureusement pile ou face d'un même discours étatiste. Et on imagine, peut-être à tort, de quel côté la pièce tombera.

    Le concepteur de cette manipulation n'a pas besoin d'être nommé. Ne doutons pas que les bureaux qui collaborent à son ouvrage ont créé des emplois… eux... à nos frais.

    Car on ne droit pas oublier le seul métier qu'ait jamais exercé l'actuel chef de l'État. Il fit ses premières armes au cours du règne de Mitterrand, en tant que manipulateur médiatique. La fameuse affaire, un peu oubliée, où il prête, en 1983, sa voix aux faux-Caton vrai-Bercoff le démontre suffisamment. (1)⇓

    Jamais par conséquent l'adage selon lequel "à quoi pense un élu ? il pense à être réélu !" n'a été plus intensément vérifié.

    Dans ce contexte, il lui semble essentiel d'utiliser, sur son clavier, la touche "peuple de gauche" avec l'option "union au second tour."

    Or, il reste pour cela, dans les logiciels du parti socialiste, un rouage essentiel qui repose sur les bureaucraties syndicales.

    On devrait observer à cet égard comment "on" s'est employé à présenter le défilé du premier mai, en présentant comme une catastrophe la prétendue "bouderie" de FO et de la CFDT ne participant pas à la désastreuse mascarade "unitaire" de la CGT. (1)⇓

    Déjà en 2014 et en 2013, la CGT et la CFDT avaient fêté séparément le 1er mai. Leur dernier défilé commun remonte à 2012 : c'était avant le second tour de l’élection présidentielle. Les deux centrales souhaitaient alors la victoire du candidat de la gauche et de l'extrême-gauche, unies pour cette circonstance.

    Il est vrai qu'on n'emploie plus le terme d'extrême gauche, surtout pas pour désigner le parti communiste, tout au plus le ministère de l'Intérieur utilisera-t-il cette étiquette pour parler des trotskistes, de Besancenot ou de la remplaçante de Laguillier dont j'ai oublié le nom.

    Dans la perspective d'un second tour de 2017 où le candidat Hollande souhaite apparaître comme l'homme de "la gauche", il est ainsi devenu important, sinon essentiel, de compter sur l'appui des syndicats, un peu comme aux États-Unis ou en Grande-Bretagne où les syndicats se mobilisent pour le parti démocrate ou le parti travailliste sans que, d'ailleurs, désormais les doctrinaires sachent trop pourquoi. Un défilé unitaire le 1er mai en 2016 et en tout cas en 2017 est donc dans la perspective du pouvoir, et quel que soit alors l'adversaire on le dira contaminé par les "thèses", d'un parti qui n'a jamais publié la moindre "thèse" mais auquel on prête généreusement des "théories" qu'il n'a jamais énoncées.

    Et la contamination supposée s'étendra bien sûr à n'importe quel candidat supposé "de droite", acceptant ou recherchant les voix des Français, voix réputées de seconde zone et que l'on persiste à diaboliser… Ne soyons dupes, par conséquent, d'aucune de ces manœuvres.

    JG Malliarakis      

    Apostilles

    1.  Écoutons, par exemple jusqu'au bout, pour ceux qui ne le connaîtrait pas ou l'auraient oublié le petit récit de cette aventure… 
    2.  cf. Dans la Chronique des événements courants de l'Institut d'Histoire sociale"1er mai La CGT, Le Monde et la (dés)information "

    http://www.insolent.fr/