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Robert Ménard persiste et signe. Le maire de Béziers a souhaité comptabiliser les enfants « de confession musulmane » en se basant sur leurs prénoms, dans les établissements scolaires de sa ville. « Je sais que je n’ai pas le droit, mais on le fait », a-t-il déclaré lundi soir sur le plateau de « Mots Croisés » sur France 2.
Pour Bernard Cazeneuve, « un tel fichage est interdit par la loi. Ficher des enfants selon leur religion, c’est renvoyer aux heures les plus sombres de notre histoire » (sic). De son côté, le parquet de Béziers a annoncé avoir ouvert une enquête préliminaire pour « fichage illégal ».
Robert Ménard n’en démord pas :
Je fais le tour des écoles et je constate ce qu’il en est. Pour les aider. (…) Dans certaines écoles, il y a plus de 80 % d’enfants immigrés, presque 100 %, là vous n’intégrez plus personne ! (…) Les 2/3 des élèves en maternelle et primaire, dans le public, sont des enfants issus de l’immigration : c’est trop ! Quand vous avez une majorité de mamans qui ne parlent pas français, quand vous n’avez pas les codes de l’école, vous êtes pénalisé.
Ceux qui aujourd’hui dénoncent l’initiative de Robert Ménard sont les mêmes qui tentent, par tous les moyens, de cacher la réalité du Grand Remplacement…
Il ne fait pas bon enquêter sur les conditions d’attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar. Comme le rapporte le site deL’Equipe, des journalistes des chaînes allemandes ARD et WDR qui tournaient un documentaire intitulé «La vente du foot: Sepp Blatter et le pouvoir de la FIFA» ont été arrêtés.
La chaîne WRD a publié un communiqué pour expliquer ce qui est arrivé aux reporters. «Nous tournions avec des ouvriers à Doha et nous avons été embarqués par la police. Nous avons été relâchés après 14 heures d’interrogatoire et nous n’avions pas le droit de quitter le pays pendant cinq jours. Nos caméras, ordinateurs et téléphones ont été confisqués puis rendus au bout d’un mois. Toutes nos données avaient été effacées et le matériel endommagé», est-il écrit.
Entre les soupçons de corruption, les accusations de travail forcé sur les chantiers et la tenue de la compétition en hiver, cette Coupe du monde ne cesse d’alimenter la chronique.
Pour contrer l’avancée du désert de Gobi et lutter contre le changement climatique global, la Chine adopte un vaste plan de reforestation considéré comme le plus grand projet écologique mondial. Une véritable « grande muraille verte » qui fait de la Chine, contre toute attente, la première puissance en matière de politique de reforestation.
L’empire du milieu voit les choses en grand. Le pays le plus pollueur du monde tente de se racheter une conduite et un avenir respirable avec un projet pharaonique débuté il y a quelques années et qui, selon une récente étude, commence à porter ses fruit.
Un cordon sanitaire d’arbres d’une étendue de 4.500 km plantés en lisière du désert pour freiner son extension, voici en quoi consiste ce qui serait le plus vaste projet écologique au monde. Lutter contre la désertification semble être un enjeu majeur en Chine où chaque année, les zones arides supplantent 3600 km² de prairies.
Le phénomène, en plus de réduire la surface de terres arables précieuses pour nourrir une population de 1,3 milliards d’humains engendre de grandes tempêtes de sable jaune et favorise les inondations massives comme ce fut le cas avec le fleuve Bleu en 1998. Mais les efforts du gouvernement Chinois en matière de politique de reforestation semblent aujourd’hui s’avérer payants, du moins si l’on en croit l’étude Australienne menée parl’Université de New South Wales qui a analysé 20 ans de données satellitaires sur les émissions de gaz à la surface de la terre.
Selon le docteur Yu Liu, l’un des auteurs de l’étude en question : « L’augmentation de la végétation vient d’une combinaison chanceuse de facteurs environnementaux et économiques, ainsi que des projets de plantation massives d’arbres en Chine. L’augmentation de la végétation dans les savanes d’Australie, d’Afrique et d’Amérique du Sud est le résultat de l’augmentation des précipitations alors qu’en Russie et dans les anciens pays du bloc soviétique nous avons vu une croissance des forêts sur les terres agricoles abandonnées. La Chine est le seul pays à avoir augmenté intentionnellement sa végétation avec les projets de plantation d’arbres. »
En effet, selon l’administration des forêts de l’État, ce ne sont pas moins de 13 millions d’hectares de forêt qui ont été plantés depuis 2008. Cette croissance végétale, conjuguée à la repousse sur les terres agricoles Russes, aurait permis de compenser à hauteur de 85% les pertes en carbone de la biomasse dues à la déforestation.
Pep Canadell, co-auteur de l’étude, explique qu’il est primordial de reconnaître que la croissance végétale capture une grande quantité de nos émissions de CO² et qu’elle permet de freiner considérablement le changement climatique avant de nuancer toutefois : « Nous savons que 50% des émissions dues aux activités humaines restent dans l’atmosphère, même après que l’autre moitié a été prise en charge par la végétation terrestre et les océans ».
Cette course effrénée à la reforestation dans le but de compenser les quantités astronomiques de gaz émis dans l’atmosphère provoqués par la croissance économique Chinoise vertigineuse trouve également sa source dans l’inquiétude grandissante de la population quant aux divers épisodes de smog, cette brume épaisse constituée de polluants qui vient régulièrement assombrir les mégalopoles et dont un reportage d’une critique rare à récemment fait le buzz en Chine.
Il ne reste plus qu’à espérer que le gouvernement Chinois maintienne ce cap dans la lutte contre le réchauffement climatique et, pourquoi pas, ouvrir la voie à d’autres régions du monde, à l’instar de l’Amazonie et des provinces indonésiennes de Sumatra et Kalimantan où de grosses pertes de végétations continuent de se produire.
Pour aider la Chine à s’attaquer aux racines de ces phénomènes, de nombreux volontaires sud-coréens, comme ceux de l’ONG Future Forest, viennent participer aux plantations.
La création de cette muraille végétale s’inscrit dans un plus large plan national de reconversion des terres agricoles en espaces boisés. Baptisé « Grain-for-green » (des grains contre du vert), il prévoit de rémunérer financièrement ou par de la nourriture tous les paysans qui acceptent de planter des arbres.force et force est de reconnaître que le programme parvient à ralentir la désertification.
Les résultats obtenus seraient impressionnants, selon Luc Gnacadja, secrétaire exécutif des Nations-Unies contre la désertification (UNCCD). Un projet de grande muraille verte est également étudié par l’Union Africaine pour faire face à l’extension du désert du Sahara.
2,5 fois plus d’arbres que le reste du monde
Et ça fonctionne : quelques 56 milliards d’arbres auraient ainsi été semés, essentiellement par des particuliers, durant les dix dernières années, selon les statistiques officielles du gouvernement. La Banque Mondiale, elle, affirme que la Chine serait aujourd’hui l’un des seuls pays au monde à augmenter la taille de ses forêts.
Elles seraient passées de 16 % à 20 % du territoire depuis le lancement du programme. « La Chine plante 2,5 fois plus d’arbres chaque année que l’ensemble du reste du monde », a affirmé le prix Nobel de la paix Al Gore, connu pour son engagement contre le changement climatique.
Coups de pelle et coup de com’
Si l’objectif affiché de cette course à la reforestation est de contrebalancer les importantes quantités de gaz carboniques provoquées par le boom de l’économie chinoise, il s’agit aussi de mettre en scène la volonté écologiste du premier pollueur du monde, alors que les niveaux de pollution alarmants des mégalopoles inquiètent de plus en plus la population.
Chaque printemps, rapporte le Guardian, trois millions de membres du Parti communiste Chinois et d’employés modèles paradent à travers le pays pour y planter des arbres. En avril 2010, c’est deux millions de Chinois qui auraient accompagnés le président Hu Jintao à Pékin, pour le 26e plan volontaire de reforestation de la ville.
Il bat la campagne, à la pêche aux voix. Celui qui mène un combat contre l’immigration sait la tâche ardue, mode de scrutin oblige. Pourtant, Nigel Farage, 51 ans, leader du UKIP, UK independance party depuis 2006 a fait passer son parti de perturbateur anecdotique à une force politique qui compte et qui fait de plus en plus d’adeptes.
face à la submersion migratoire de l’Europe, le message de Nigel Farage est clair :
Nous ferons campagne pour que ce pays ait un système de points, à la façon australienne, afin de décider de qui peut s’installer dans notre pays
Soyez-en persuadée, chère Marion, vos troupes sont en ordre de bataille.
Ma chère Marion,
L’héritage d’un nom est souvent lourd à porter, celui de l’avenir de la France l’est bien plus ; le destin a voulu que vous portiez les deux en héritage.
À l’heure où les nuages sur le parti que vous représentez s’amoncellent, dopés par la haine cupide de nos médias et la nullité entérinée de nos politiques de 40 ans, le temps se fige et les grands hommes et femmes de demain vont devoir prendre position pour préserver l’avenir de la Flamme.
Il n’est pas temps de renoncer. Il n’est pas non plus dans vos gènes de transiger.
Vos adversaires les plus féroces – et, en la matière, notez que vous n’avez qu’eux chez nos politico-bien-pensants – se lèchent les babines. La belle Hermine jetterait l’éponge, choquée par la haine et les propos du patriarche et grand-père bien-aimé.
Dans un monde politique où les seuls sentiments qui transpirent sont ceux des croissants amenés le matin par garde du corps interposé aux frais de notre République, le fait qu’une élue s’émeuve et mette dans la balance électorale les battements de son cœur de femme, petite-fille, interloque. Vous souhaitez être libre de mener bataille, c’est tout à votre honneur et ils sont nombreux, ceux qui n’attendent que vous.
438 députés PS, UMP, UDI, communistes et EELV ont voté pour ce projet de loi. Dans un communiqué, Marine Le Pen a dénoncé :
"La loi Renseignement prévoit en effet de donner au Premier ministre des pouvoirs exorbitants, hors de tout cadre judiciaire,pour surveiller les citoyens au mépris des libertés publiques élémentaires, du respect de la vie privée et des droits essentiels de l’opposition politique.
Ces pouvoirs exceptionnels deviennent d’autant plus inquiétants que le Premier ministre se nomme Manuel Valls : un homme qui ne se contrôle plus et dont le comportement est constamment anti-républicain."
Ce qui se passe est très grave : même sur des faits avérés reconnus comme tels par des experts, les accusations de pédophilie sur de très jeunes enfants sont en général classées "sans suite", sauf lorsque l'auteur avoue, et la justice laisse au contact des jeunes victimes de véritables prédateurs. Un danger aggravé par les "activités périscolaires", où l'on embauche les gens sur CV, sans aucune garantie. Omerta et déni dans l'Education nationale, qui joue avec le feu et fait peu de cas de l'intégrité des enfants.
C’est mon deuxième article sur Caroline Fourest en moins d’une semaine. Ce n’est cependant pas par gourmandise. Il se trouve qu’elle fait paraître un livre ces jours-ci et qu’elle est de ceux que l’on voit partout en de telles occasions. Et une fois de plus, l’opportunité nous est offerte d’expérimenter les porte-à-faux de la gauche, les impensés de sa générosité fanatique.
amedi 2 mai, Caroline Fourest était l’invitée de Laurent Ruquier. Face à elle, Aymeric Caron campait le méchant de service, comme à son habitude. Il paraissait assez remonté contre l’invitée qui, en retour, n’a pas mâché ses mots. D’après Caroline Fourest, Aymeric Caron fait partie d’une gauche « idiote et aveugle », il fait de surcroît « les poubelles d’Internet ». Et la même d’asséner après coup : « il faut le dire quand un petit con est un petit con ». À la dernière phrase près (être chatouilleux quant à sa propre légitimité, est-ce une forme de connerie ?), on a presque envie de lui répondre que c’est l’hôpital qui se moque de la charité. Lorsque l’on passe son temps à « twitter » pour dénoncer les pensées brunâtres que l’on prête aux uns, les bondieuseries dont se rendent coupables les autres, on ne vient pas reprocher à certains d’en faire autant. Sauf à vouloir désarçonner la concurrence. En réalité, Caron et Fourest ont, comme disait l’autre, « un numéro de cirque : y’en a un qui épluche les oignons et l’autre qui pleure ».
Alors quoi, sexiste Aymeric Caron ? Certainement pas, il était tout aussi virulent et sournois face à des gens comme Zemmour, Naulleau, Dupont-Aignan ou Asselineau sans que Caroline Fourest ne s’en soit émue. Et il n’a pas épargné non plus Natacha Polony, ex-consœur, plus droitarde il est vrai. Pourquoi donc s’en est-il pris rageusement à quelqu’un qui travaille pour la même crèmerie ? Parce qu’une scission s’est opérée au sein de la gauche ces trente dernières années, scission dont Fourest et Caron témoignent dans leurs échanges. Et ce qui est particulièrement hypocrite chez Fourest, c’est qu’elle récolte aujourd’hui ce qu’elle a semé hier. Bien entendu, elle n’est pas nommément responsable de ce dont je vais faire état plus bas au sens où elle n’a rien initié ; lorsque la gauche est arrivée au pouvoir et que sa schizophrénie est devenue manifeste, Fourest, Caron, et moi-même d’ailleurs, étions encore tous trois au jardin d’enfants, elle jouant aux cowboys, nous autres à la marelle. Toutefois, elle est responsable car ses combats perpétuent le long processus de déracinement qui rend de nos jours la France incapable de faire face aux dangers qui la menacent et qu’elle couve. [....]