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Lutte contre les discriminations : une action décisive du gouvernement
Pour lutter contre les discriminations, le gouvernement a décidé de créer... un site internet (un peu comme pour lutter contre les attentats et les prises d'otages...). C'est très amusant, chacun peut créer son image avec le hashtag#apriori.
Par exemple, sur la discriminations à l'encontre des profanations, voilà ce que l'on peut faire :
Vous voulez aussi vous amuser ? C'est par ici.
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Vae Victis - Hors la loi
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I Media S2e23 - Campagne médiatique contre un journaliste catholique
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Les Grande Batailles Du Passé : 1410 Grunwald-Tannenberg
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Gaz de schiste, les lobbies contre-attaquent
Depuis des années, les lobbyistes, hommes de main des industriels, jouent dans l’ombre des parties qui sacrifient la santé publique aux intérêts financiers. Vache folle, sang contaminé, amiante : dans ces scandales sanitaires retentissants, ils ont manipulé l’opinion et les politiques en toute impunité.
Aujourd’hui, leur nouveau terrain de jeu, c’est les gaz de schiste, dont la France a interdit l’exploitation en 2011. Depuis, les lobbyistes du secteur n’ont qu’un objectif : convaincre les politiques de faire marche arrière. Pour cela, ils noyautent les organes du pouvoir, s’appuient sur des hauts fonctionnaires, s’entourent de scientifiques complaisants, fournissent des études partisanes et bernent les médias.
France – 2014 http://fortune.fdesouche.com/
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L'Économie aux risques du regard historique
Face au grand assaut de la sottise contemporaine, certains rares auteurs décriés nous apprennent quand même pas mal de choses et on les consulte avec intérêt. Le mot plaisir serait sans doute excessif, car il évoque une préoccupation commune, qui relève hélas plutôt de la douleur, s'agissant du déclin de la France. Leurs adversaires, autruches ne voulant pas voir la réalité ou cherchant à la maquiller, ont inventé à ce sujet le terme de "déclinisme". Le suffixe semble suggérer qu'ils sont des partisans du phénomène, ou, au moins des spécialistes se complaisant dans leur observation.
Encore ce 8 septembre Nicolas Baverez, l'un des plus percutants d'entre eux intervenait ainsi sur Radio Classique pour y développer des analyses économiques qui paraissent fort justes, dénonçant les erreurs dans lesquelles à nouveau s'engouffre à nouveau notre lamentable président.
On se demande pourquoi, cependant, cet intervenant, trop rare et si pertinent dans les domaines économiques et juridiques qu'il connaît si bien, et qui exerce en ville, si ma mémoire est bonne, la profession d'avocat à la cour, est présenté pour "historien". Rien dans son propos ne s'attache pourtant à la connaissance proprement "historique".
De cette discipline, au rebours des sciences expérimentales, de cette "science des faits qui ne répètent pas" disait Paul Valéry, les enseignements mériteraient d'être tirés. À partir des événements du passé, quand on les a explorés, avec prudence sans doute car ils ne réapparaissent jamais vraiment à l'identique, on peut retirer d'importantes leçons.
De manière discrète mais forte elle nous écarte de ce que Milton Friedman appelle le "modèle naïf", lequel nous incite à croire que "ce qui s'est passé récemment se reproduira constamment". Trop de gens parlant des faits économiques sous l'influence de ce modèle naïf, le regard historique se révèle indispensable.
Sous le regard de l'Histoire, le déclin de la France remonte bien avant l'avènement de gens comme Giscard, Chirac ou Hollande, si négatifs que soient leurs bilans.
Ainsi a-t-on évoqué ces jours derniers, autour du 1er septembre, au gré du 300e centenaire de la mort de Louis XIV (1638-1715), son règne interminable et monumental, le plus long de l'Histoire, au cours duquel le royaume s'est agrandi de territoires "d'étranger effectif" semant hélas le germe des antagonismes futurs.
Or, si l'on peut à bon droit considérer le XVIIe siècle comme le Grand Siècle de la France, on ne doit pas oublier qu'il a connu trois règnes et deux régences, et que les grands auteurs littéraires doivent au moins autant aux temps de Louis XIII et de Mazarin qu'à cette période de lent déclin où la Cour fut installée et le pouvoir centralisé à Versailles, officiellement à partir de 1682.
La grande continuité de l'époque tient certes au régime monarchique. Sans celui-ci, sans la maison de Bourbon, l'éclosion d'une forte civilisation française n'aurait sans doute pas été possible. Mais plutôt que par les souverains eux-mêmes elle fut impulsée par une suite quasi providentielle des grands ministres : successivement Sully, (de 1596 à 1611), puis Richelieu (de 1624 à 1642) puis Mazarin (de 1642 à 1661) puis Colbert (de 1661 à 1683).
Le gouvernement personnel de Louis XIV n'est brillant que pendant 22 ans, grâce à la gestion de Colbert, ce qui fait décrier au stupide duc de Saint-Simon, seulement talentueux en littérature ce qu'il appelle un "règne de vile bourgeoisie". Colbert mourant en 1683, l'entente avec l'Angleterre étant rompue à partir de 1688, par le soutien de la France aux prétendants stuartistes, aucun budget du royaume ne sera plus en équilibre pendant 30 ans. Le roi ne l'ignore pas en 1715 qui reconnaît lui-même avoir"trop aimé la guerre et les bâtiments".
Si l'on compare les deux royaumes de France et d'Angleterre, cette dernière connut aussi une véritable catastrophe en 1776 avec sa défaite face aux colonies insurgées d'Amérique. La situation de ses finances est à ce moment devenue désastreuse. Contrairement à une idée reçue, le Royaume Uni était alors plus endetté que la France de Louis XVI. (1)⇓
On ne doit pas tenir pour fortuite la publication, en cette même année 1776, de "La Richesse des nations" par Adam Smith car c'est bien la doctrine et la forme de pensée qu'inaugure ce livre qui assurera sur 20 ans la reconstruction de la puissance britannique. La principale force qui permettra la victoire sur Napoléon, le triomphe de Wellington était surnommée d'abord la "cavalerie de Saint-Georges" qui financera les coalitions.
Cette notion est évidemment détestée par nos bons esprits, vérité délibérément tenue pour odieuse dans un pays comme la France. (1)⇓
Cela n'empêche que, de tout temps, les peuples sensés moissonnent avant que leurs armées ne partent en campagne.
Chancelier de l'échiquier en 1782 à l'âge de 23 ans puis principal ministre après l'élection en 1783, William Pitt le Jeune se récalami de la doctrine d'Adam Smith. Il voulait la paix et n'entra dans la guerre européenne, déclenchée par les révolutionnaires français, qu'en janvier 1793, après qu'a été connue à Londres la mort de Louis XVI. Il est lui-même mort en 1806, trop tôt donc pour voir la victoire anglaise de 1815, à la préparation de laquelle il avait tant contribué.
Car c'est d'abord la richesse des nations qui, n'en épaisse aux lecteurs de Saint-Simon, et à beaucoup d'artistes et de spirituels que j'ai tant aimés, que j'aime encore d'ailleurs, ce sont bien les "ères de vile bourgeoisie" qui assurent la puissance, la liberté et le bonheur des peuples. Telle est du moins ma conviction.
JG Malliarakis
Apostilles
- Lire à ce sujet Florin Aftalion "L'Économie de la révolution française" coll. Pluriel/Hachette, réédité aux Belles Letttes ce qui infirme largement la thèse de l'endettement de l'Ancien Régime comme cause essentielle de la révolution française.⇑
- où l'on retient Marignan pour la date significative du règne de François Ier au lieu de s'intéresser aux innombrables conséquences de la bataille, moins glorieuse, de Pavie.⇑
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L'antiracisme : une arme au service de l'oligarchie
Dans l’histoire, les oligarchies se sont toujours opposées au peuple sur le thème du déracinement. Il importe que l’homme soit une matière première mobile pour l’économie et toute racine est considérée comme une contrainte, que ce soit pour un empereur multinational comme celui des Perses de l’Antiquité, que ce soit pour un dictateur moderne à la Staline ou que ce soit pour des oligarques marchands.
Antiracisme et culte de l’argent
Dans notre monde actuel, suite aux excès du matérialisme nazi, l’antiracisme est devenu la base idéologique sur laquelle l’oligarchie espère fonder son autorité. L’antiracisme forme un couple indissociable avec le culte de l’argent car la seule discrimination autorisée dans un monde matérialiste est précisément celle de l’argent. Si vous fondez un club de Blancs exclusifs se retrouvant entre eux (ou un club de Noirs, d’ailleurs, mais c’est moins grave car ils sont une « minorité »), la réprobation, voire la loi s’abattra sur vous et vous serez « puni » ! Mais si vous fondez un club dont la seule condition d’admission est de payer 1.000 voire 5.000 euros par mois, cela ne posera aucun problème aux bonnes consciences officielles. Seul l’argent a le droit de discriminer les hommes.
L’antiracisme, cœur de l’idéologie du déracinement
L’antiracisme est le cœur de l’idéologie du déracinement et de ce que Heidegger appelle « la destruction de la Terre », c’est-à-dire la destruction de la base sur laquelle se fonde un habitat humain spécifiquement humain. Le racisme n’est pas la réponse à l’antiracisme car il se meut dans la même sphère du matérialisme : l’homme est une chose au service de la volonté de puissance et doit donc être traité comme une matière première interchangeable. La seule variante est que le racisme espère obtenir l’interchangeabilité des hommes par l’homogénéité biologique obligatoire alors que l’antiracisme espère obtenir l’interchangeabilité grâce au mélange obligatoire. Dans les deux cas figure le mot « obligatoire » car le matérialisme du Gestell (mot de Heidegger pour désigner le système qui arraisonne les hommes à l’utilitarisme) est en fait autoritaire et destructeur des libertés. On le voit bien, le racisme comme l’antiracisme obligatoires, lorsqu’ils sont au pouvoir, étouffent les libertés, à commencer par la liberté d’expression malmenée en France par les lois Gayssot et consorts.
Religion de l’ego et religion des droits de l’homme
Antiracisme comme socle et culte de l’argent comme idéal (comme « ciel », dirait Heidegger), le système oligarchique s’oppose aussi à la divinité et à l’humanité. Il s’oppose à la Divinité car la religion est un marqueur ethnique puissant et gêne la volonté de transformer les hommes en matière première interchangeable. Le Gestell divinise l’ego humain car en flattant l’ego des citoyens on peut arriver à les manipuler. C’est ce qu’ont fait les faux prophètes (ouvrage d’Yvan Blot à paraître chez Jean Picollec prochainement) : Voltaire dit aux hommes : soyez votre Dieu ! Rousseau, soyez votre Roi ! Marx, soyez votre patron ! Freud, soyez Don Juan ! La religion de l’ego pompeusement baptisée religion des droits de l’homme a pour but de permettre à l’oligarchie de manipuler les hommes en leur retirant tout sens du sacré.
La dictature molle : le contrôle des âmes par les médias
Dès lors, l’homme devient, comme l’écrit Heidegger, un « animal technicisé », un être qui profite de la technique pour satisfaire ses instincts animaux (pas seulement sexuels, il y a aussi la volonté de puissance, par exemple). Sois heureux et tais-toi : tu seras interdit de référendum et d’initiative populaire, tu devras voter pour des hommes choisis par des oligarques que sont les bosses des partis, tu auras une liberté d’expression limitée (censure si tes idées gênent et prison et amende si le juge te juge arbitrairement raciste). Le régime n’est démocratique qu’en façade. Sa réalité est celle d’une oligarchie qui pratique une dictature molle (on recourt le moins possible à la contrainte physique mais on veut s’assurer par les médias le contrôle des âmes).
L’oligarchie antiraciste est antiraciste comme l’URSS était une démocratie « populaire » : le mot « antiraciste » comme le mot « populaire » sont là pour indiquer qu’on a affaire à une notion taboue : on n’a pas le droit de remettre en cause le pouvoir PARCE QUE il est « populaire » ou « antiraciste ». Par contre, donner la parole au peuple comporte un risque de « populisme » (de remise en cause du pouvoir oligarchique), donc de « racisme » supposé, ce qui permet de verrouiller le système politique en toute bonne conscience.
Grégariser en déculturant
Enfin, quatrième caractéristique de l’oligarchie antiraciste : elle veut grégariser à tout prix les hommes et en faire des masses incultes donc manipulables. Inculte ne veut pas dire sans savoir. On veut bien des jeunes spécialisés pour servir l’économie sans broncher. Mais il faut absolument essayer de leur retirer la faculté de juger et pour cela s’attaquer à la culture générale. Le marxisme a servi cet objectif en traitant la culture générale de bourgeoise et créatrice d’inégalités. Mais le système oligarchique marchand exècre aussi la culture générale qui risque de former des hommes libres, des « personnalités ». On ne forme alors plus que des spécialistes, des rouages pour le système au pouvoir : anglais et informatique d’abord !
On obtient en utilisant les schémas en croix de Heidegger pour approcher l’être du système le schéma suivant :
Culte de l’argent
_
Ego divinisé _ oligarchie_ masse grégaire
_Antiracisme
Sur ce schéma, on voit bien que le socle du pouvoir oligarchique est l’antiracisme, lequel à la limite n’a plus grand-chose à voir avec la race puisqu’on parlera de racisme anti-jeunes ou anti-vieux ou anti-féminin ou anti-ouvrier, etc.
L’argent, idéal du système
L’idéal du système est incarné par l’argent qui se substitue aux autres formes d’idéaux ; la religion est évacuée au profit du culte de l’ego et l’humanisme classique, qui forme des citoyens libres, est détruit au profit d’une formation technique de spécialistes appelés à devenir des rouages du système. L’aliénation, pour reprendre un mot juste, une fois n’est pas coutume, du marxisme, est alors à son comble. L’idéal est que le citoyen dénationalisé, consommateur matérialiste et interchangeable, aime le régime dans lequel il vit, accepte de ne pas être associé au pouvoir sinon par des simulacres (élections contrôlées étroitement par les chefs de parti) et s’agite au jour le jour, comme l’écrivait Tocqueville dans un écrit prophétique, pour « se procurer de petits et vulgaires plaisirs ». Quant aux oligarques, ils se réservent les plaisirs les plus grands, ceux qui satisfont leur volonté de puissance. C’est ainsi que sur la base de l’antiracisme (faux nez finalement de l’égalitarisme totalitaire), l’oligarchie contrôle les âmes de ceux qu’elle a le culot de nommer encore « citoyens » alors qu’ils sont des sujets, mieux encore, des objets manipulés par le système utilitariste et matérialiste du Gestell. Sans trop de contraintes physiques, le système réussit ainsi à faire de l’homme libre un « animal technicisé », à détruire l’humanisme édifié au cours des siècles en Occident par la synthèse du christianisme et de l’héroïsme antique. Le système est à sa façon totalitaire, même si les formes les plus brutales et primitives du totalitarisme ont aujourd’hui disparu de nos contrées.
Yvan Blot 16/10/2010
Note de la rédaction : « L’immigration de masse est une absurdité dans un pays avec 4 millions de chômeurs et il est très difficile de la justifier avec des arguments rationnels. L’oligarchie en tire cependant bénéfice. Tout propos qui attente au dogme immigrationniste est donc immédiatement sorti du champ du débat pour être frappé d’anathème. L’oligarchie finance notamment pour cela une myriade de micro-associations dites antiracistes dont les indignations sont complaisamment relayées par son appareil médiatique. » (Commentaire sur Le Monde .fr, à propos de l’affaire Guerlain, 25/10/2010)
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L’antisémitisme, une œuvre d’art ?
Une fois de plus, un « artiste » a décidé d’exploiter le cadre du château de Versailles pour exposer son œuvre, avec la bénédiction du conservateur et du ministre de la Culture, disposant de ce bien commun historique et artistique comme s’il était le leur.
Livrant son travail aux regards depuis le 9 juin, Anish Kapoor, l’« artiste », n’a pas pour objectif de mettre en valeur l’imposante et magnifique création d’André Le Nôtre, Louis Le Vau, Jules Hardouin-Mansart et Charles Le Brun, mais de la souiller. Ce n’est pas nous qui le disons, c’est lui : il a intitulé son œuvre « Dirty Corner » que l’on peut traduire par « le coin sale, crasseux, malpropre ». C’est là que se situe une immonde sculpture, une sorte de vulve géante et béante délicatement intitulée « le vagin de la reine ».Évidemment, une telle provocation visant ce joyau architectural, mais plus encore la reine de France a suscité protestations, dégoût et colère. Cette dernière s’est manifestée par des graffitis et dégradations une première fois au début, puis une seconde, il y a quelques jours, laquelle s’est accompagnée d’inscriptions antisémites : « le 2e viol de la nation française par l’activiste juif déviant », « SS sacrifice sanglant ». Manuel Valls a fait part de son « écœurement devant cette alliance de l’infâme et de la réaction », l’infâme étant seulement les textes, le répugnant « vagin de la reine » n’étant pas pour lui une infamie.
Généralement, ce genre d’écrits est promptement effacé. Mais, cette fois, ce ne sera pas le cas, car Anish Kapoor lui-même s’y oppose. Il a déclaré avec emphase : « Désormais, ces mots infamants font partie de mon œuvre, la dépassent, la stigmatisent au nom de nos principes universels. “Dirty Corner” restera donc ainsi. »Le problème est que son « œuvre » avec slogans antisémites intégrés est présentée aux visiteurs, or, les articles 24, 32 et 33 de la loi du 29 juillet 1881 interdisent et punissent tout propos public de haine, injure, diffamation, incitation à la haine et discrimination. Dieudonné, un artiste aussi, l’a appris à ses dépens. On n’a pas reconnu dans ses sketches une dimension artistique absolutoire qui l’aurait dispensé de poursuites. C’est pourtant ce qui est accordé à l’insulteur de la reine, car ni le Mrap, ni la LICRA n’ont demandé que soient effacés ces textes. À ce sujet, Nicolas Hervieu, juriste au Centre de recherches et d’études sur les droits fondamentaux, a déclaré à Libération : « Je vois mal un juge dénier à Kapoor son droit à décider de l’avenir de son œuvre. Il s’agit d’une réappropriation artistique : par sa démarche, l’artiste change la signification et la portée de ces propos. »
Par la grâce de « l’artiste » et de sa parole magique, les injures antisémites deviennent donc anti antisémites. Les visiteurs du château de Versailles devront donc comprendre qu’elles sont, malgré une apparence trompeuse, le fer de lance de la lutte contre l’antisémitisme. Pour leur éviter de tomber dans un abîme de perplexité, nous leur conseillons de s’épargner cette épreuve en allant directement à la Galerie des Glaces.
Guy Rouvrais
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JT du Vendredi 11 Septembre 2015