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  • Le Parlement Européen impose l’idéologie du genre dans les écoles

    Communiqué d'Europe for Family :

    E"Le rapport de la socialiste Liliana Rodrigues intituléL'émancipation des jeunes filles par l'éducation dans l'Union Européennea été adopté hier, sans aucune base juridique légale et en contradiction totale avec les traités internationaux et européens [voir ici pages 18 à 20NDMJ].

    Sous un titre à priori séduisant, ce rapport porte atteinte à la liberté de pensée, à la liberté d'expression, à la vie privée. De plus, ce rapport dénie le fait que les parents sont les éducateurs de leurs enfants et veut promouvoir l’idéologie du genre dans toutes les écoles de l’Union Européenne.

    Une fois de plus est passé en séance plénière du Parlement européen un texte qui viole le principe fondamental de subsidiarité de l'Union Européenne, la Déclaration universelle des droits l'Homme et le Pacte International des Droits civils et politiques.

    Europe for Family condamne ce rapport Rodrigues, d’autant plus que de nombreux autres sujets sur l’égalité homme-femme pourraient faire l’objet d’études et de recommandations pertinentes et utiles à la construction et aux habitants de l’Europe.

    Europe for Family avait fait parvenir à la Présidence du Parlement Européen une lettre signée par 10 associations représentant une grande partie de la société civile européenne pour contester ce rapport et en avait demandé le rejet au parlement ce 8 septembre. Malgré cette lettre et plus des 160 000 signatures de citoyens européens contestant ce rapport, aucune réponse n'a été apportée."

    Michel Janva

  • Pour Le Monde, les réfugiés migrants sont une nouvelle chance pour notre économie

    Alors que l’Union Européenne apporte la preuve flagrante de son incapacité à faire face à une vague migratoire sans précédent et que les sondages montrent que les autochtones sont de moins en moins disposés à accueillir toujours plus deréfugiés , le Système a décidé de faire donner l’artillerie médiatique dans deux registres principaux : le registre compassionnel d’abord qui se sert cyniquement de la mort par noyade du petit Aylan Kurdi , intervenue à point nommé pour faire accepter les quotas de réfugiés que réclamait Mme Merkel . Le registre positif ensuite, porté principalement par le patronat, destiné à nous faire croire que les réfugiés migrants sont une nouvelle chance pour nous.

    Bref l’émotion pour le bon peuple et le calcul économique pour les bobos.

    Les quatre commandements

    Le discours oligarchique et donc médiatique relatif aux immigrants doit en effet obéir à quatre commandements  de correction politique :

    Il doit d’abord toujours être compassionnel : les immigrants sont toujours des victimes : dans leur pays d’origine et bien sûr chez nous, puisqu’ils sont en butte au « racisme » et aux « discriminations » de toutes sortes. D’ailleurs le mot immigrant ou immigré tend pour cette raison à disparaître du vocabulaire officiel au profit de celui , plus neutre , de migrant et ceux ,plus compassionnels, de réfugié ou de naufragé. Comme un rom devient par la magie des médias, un pauvre ittinérant.

    Ainsi il ne s’agit plus de faire face à un afflux incontrôlé d’immigrants qui veulent s’installer de force en Europe, mais seulement d’accueillir des réfugiés en danger. Ce qui permet de transformer l’impuissance européenne à protéger ses frontières , en vertu charitable.

    Le discours à l’égard des immigrés doit ensuite toujours être lénifiant : les immigrés sont de braves gens qui viennent chez nous à la recherche d’une vie meilleure et pour travailler . Cela se traduit dans le fameux mot d’ordre pas d’amalgame ! Par principe les immigrés notamment ceux de religion musulmane ne font jamais rien de mal. Il n’y a aucun rapport entre délinquance et immigration, comme il n’y a aucun rapport entre islam et terrorisme et comme il n’y a aucun rapport entre immigration , déficits publics et chômage . Et si une personne d’origine immigrée commet un délit ou un crime , ce qui est bien sûr extrêmement rare, ce ne peut-être que par accident ou par suite d’un coup de folie. On nous décrit alors toujours le délinquant sous les traits d’un gentil garçon, un peu paumé, jusque-là sans histoires, même s’il avait commis de menus larcinsauparavant.

    Symétriquement le discours relatif à l’immigration doit toujours culpabiliser les autochtones : les Français notamment, toujours coupables de ne jamais assez bien accueillir nos hôtes et l’Europe de vouloirfermer ses frontières ou devenir une forteresse . Les Français sont coupables de ne jamais intégrer les étrangers de façon suffisante. De ne pas les aider à vivre leurs différences. De ne jamais en accueillir assez comme viennent de nous y inviter les 222 « personnalités du monde de la culture » qui ont signé un appel en ce sens dans Télérama[1].

    Enfin le discours relatif à l’immigration doit toujours rester positif : l’immigration est bien sûr une chance pour nous , une chance pour l’Europe et pour la France . On nous explique ainsi depuis 30 ans [2] que l’immigration va doper notre démographie , qu’elle va sauver nos retraites et l’équilibre de nos régimes sociaux et qu’elle va dynamiser notre économie grâce en particulier aux nombreux talents qu’elle nous apporte. Alors que bien sûr si nous nous privions de ce formidable apport, la France ne pourrait que décliner irrémédiablement.

    Exemple pratique

    L’article que vient ainsi de signer Jean-Baptiste Jacquin dans Le Monde du 4 septembre dernier et intitulé « les migrants une chance et non un danger pour l’économie » présente un condensé saisissant de la façon dont est mise en œuvre la communication positive autour de l’immigration. Cet article donne le ton de la campagne actuellement relancée sur ce thème [3] dans les différents médias, avec un bel ensemble.

    Sans revenir en détail sur son contenu, cet article illustre les techniques de désinformation utilisées pour ce faire.

    C’est vrai puisque ce sont les experts qui nous le disent

    D’abord le recours aux fameux experts , économistes et autres chercheurs du CNRS que le journaliste cite à profusion.

    Ils ont en effet pour fonction de nous asséner la doxa : « aucun économiste n’a jamais réussi à démontrer un lien évident entre immigration et chômage et quand il y a un lien , il est positif pour le marché de l’emploi » , « la contribution des immigrés à l’économie est supérieure à ce qu’ils reçoivent en termes de prestations sociales ou de dépenses publiques » , « les économistes balayent cette crainte de voir l’immigration tirer vers le bas les salaires ou prendre des emplois » etc…

    Il s’agit du recours à l’argument d’autorité car comme Le Monde se veut un journal de référence , l’avis des prétendus experts importe. Même si le journaliste ne cite curieusement aucune référence précise et même s’il passe sous silence les analyses contraires.

    Notre journaliste se garde bien en effet de faire preuve du moindre esprit critique même lorsque ces expertstiennent des propos pour le moins étonnants , sinon loufoques . Ainsi par exemple si les réfugiés érythréens peinent à s’intégrer sur le marché du travail c’est notamment parce qu’ils … n’auraient pas eu le temps d’emporter leur diplômes avec eux . Ou bien encore l’affirmation selon laquelle « en accordant le statut de réfugié plus rapidement cela permet de passer plus vite à la phase d’intégration » : imparable !

     

    C’est vrai puisque c’est le MEDEF qui nous le dit

    Ensuite le journaliste s’empresse de donner la parole au patronat , par la bouche de L. Arnaud président de l’Oréal France et de la Commission Europe du Medef , ce qui constitue à n’en point douter , un gage de sérieux dans l’analyse de l’immigration.

    Notre expert du MEDEF affirme (le journaliste écrit qu’il tempête , sans doute pour donner plus de poids aux dires d’icelui ) qu’on ne peut pas empêcher les migrations. Mais pourquoi au fait ? Parce que pour L. Arnaud , nous sommes insupportablement riches alors que l’Afrique n’est pas assez développée .

    Vous avez compris : c’est donc encore de notre faute. Les smicards apprécieront . Mais il est vrai qu’ils ne lisent pas forcément Le Monde tous les jours.

     

    Les migrants viennent nous aider

    Par contre bien sûr , comme ils sont gentils , les réfugiés migrants vont beaucoup nous aider. C’est cette fois un chercheur du CNRS[4] que Jean-Baptiste Jacquin appelle en renfort.

    En effet , selon ce chercheur, les migrations « accélèrent la promotion sociale des natifs », car « alors que les natifs délaissent la formation et l’orientation vers les filières sans perspectives , ce sont les étrangers qui viennent répondre aux besoins du marché de l’emploi » . Au moment où les inégalités sociales augmentent , où la classe moyenne décline et où l’ascenseur social ne fonctionne plus on appréciera la profondeur de cette analyse.

    Il ne vient pas en tout cas à l’idée du journaliste qu’il pourrait au contraire se produire un effet d’éviction au dépens des natifs du fait même de l’arrivée des migrants . Ni que les « filières sans perspectives » , auraient pu devenir plus attrayantes si le patronat avait mené une politique salariale adéquate. Non il faut s’en tenir à l’antienne du MEDEF : les immigrés répondent aux besoins du « marché de l’emploi », ce qui est essentiel en effet. Surtout si l’on traduit l’expression marché de l’emploi par intérêt du patronat.

    Enfin on appréciera l’affirmation finale d’un autre expert ,cette fois de l’OCDE , selon laquelle c’est la …..rigidité du marché du travail français qui ne faciliterait pas l’intégration de nos braves migrants. Affirmation qui par un heureux hasard entre en résonnance avec le débat actuellement lancé sur l’allègement du Code du Travail.

    M.Jean-Baptiste Jacquin , on le voit, est un excellent journaliste : respectueux des lois du conformisme politiquement correct , il a bien mérité du MEDEF .

    Michel Geoffroy

     

    [1] Le 9 juillet 2015

    [2] Depuis la parution en 1985 du livre de Bernard Stasi , « l’immigration une chance pour la France »

    [3] Voir aussi l’article d’Eric le Boucher dans les Echos du 4 septembre 2015 « l’immigration sera la chance de nos économies »

    [4] Thibaud Gadjos

    http://www.polemia.com/pour-le-monde-les-refugies-migrants-sont-une-nouvelle-chance-pour-notre-economie/

  • Intervention de Bruno Gollnisch au sujet de l'immigration et de l'accueil des réfugiés en Europe

  • Les socialistes français s’alarment du risque de « déconstruction européenne »

    Crise économique, crise grecque, crise des réfugiés… La tournure que prend l’Europe inquiète les socialistes français.

     

    Pour toute une génération de dirigeants socialistes, la crise à multiples facettes que vit actuellement l’Union européenne est plus qu’un sujet d’inquiétude. Elle leur fait peur. « Nous sommes au moment où la construction européenne pourrait disparaître », a averti l’euro députée Pervenche Bérès, à l’occasion d’une table ronde consacrée à l’Europe lors de l’université d’été du PS à La Rochelle. Entre la crise économique qui sévit depuis 2008, la menace d’exclusion de la Grèce au début de l’été, la sécurité avec la montée du terrorisme et aujourd’hui le drame humanitaire des réfugiés politiques qui viennent s’échouer en Europe, les motifs d’inquiétude ne manquent pas. Avec, en possible ligne de mire, une dislocation de l’Europe politique devant tant d’enjeux qu’elle ne pourrait surmonter. « Le risque est que les générations qui vont suivre subissent la déconstruction européenne », a ajouté le député français Guillaume Bachelay.

    Refuser l’émiettement de l’Europe

    La crise grecque reste dans les esprits. Le fait que des pays, comme l’Allemagne, aient plaidé pour l’éviction de la Grèce de la zone euro est une plaie encore vive. Sans surprise, le camp socialiste ne tarit pas d’éloges pour François Hollande, qui a su maintenir une position ferme pour que la Grèce reste dans l’euro. « Si la France a joué et réussi ce rôle, ce n’est pas au nom d’une monnaie ou de l’intérêt des Grecs, de l’Europe ou de la France. C’est au nom d’une idée politique. Quand l’Europe avance, elle ne peut plus reculer. Nous avons refusé l’émiettement de l’Europe », a estimé Michel Sapin, ministre français des Finances et proche de François Hollande.

    Mais d’autres signes de l’absence de solidarité européenne préoccupent. La Grèce en a été un exemple, la crise des réfugiés en est un autre. Quand l’Allemagne annonce son intention d’accueillir 800.000 migrants, soit 1% de sa population, la décision de la Slovaquie de n’accueillir que des migrants chrétiens ou celle d’autres pays comme la Hongrie ou la Tchéquie de fermer leurs frontières pour contrer les vagues de réfugiés jette un froid.

    Lire la suite sur EuroActiv

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-socialistes-francais-s

  • Onfray sur la politique migratoire de Hollande : « bricolage et magouillage »

    Avec la crise migratoire, nous sommes en train de rencontrer l’histoire en face et pendant ce temps, François Hollande cherche à remonter dans les sondages à coups de « bricolage et magouillage », explique Michel Onfray. Le philosophe plaide aussi pour une grande politique arabe de la France, pour que notre pays ne soit plus un « caniche des États-Unis ».

    D’accord ou pas avec ses prises de position, force est de reconnaître que cet homme de gauche qui n’hésite pas à tacler son camp, à reconnaître des mérites à ses adversaires, mérite qu’on l’écoute. Michel Onfray est honnête et vise souvent juste. Pour cause de publicité intempestive au lancement de l’extrait vidéo, retrouvez son intervention au micro de LCI en cliquant ici.
    Outre les errances de Hollande, Michel Onfray pointe que la France, bouffie de « haine de soi » est en train de vivre « une espèce d’effondrement de l’histoire ». Revenant sur la question e la politique migratoire, il explique que

    De toute façon, en France, c’est interdit de penser cette question-là… Il faudrait déjà commencer par penser cette question des immigrations. Quand on dit : oui, mais, regardez, on a accueilli les Polonais, les Espagnols, les Portugais… Oui, mais c’était dans un même espace qu’était l’espace judéo-chrétien !

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  • Syrie : le djihadiste qui imposait le statut de dhimmi aux chrétiens a été tué

    Capture

    Il y a quelques jours, l’État Islamique sortait une vidéo ou un djihadiste faisait signer un document à des chrétiens. Il s’agit du « pacte de la dhimma » édicté par le calife Omar ibn al Khattab, compagnon du prophète,  qui régna de 634 à 644. En signant ce pacte les non-musulmans reconnaissent leur statut de dhimmi. Les chrétiens ont alors l’obligation de payer la Jizya (impôt obligatoire pour les mécréants), l’interdiction de faire tout prosélytisme (une construction d’une église ou d’un monastère, affichage de signes religieux, les cloches d΄une église, procession etc..)

    Le djihadiste de la vidéo se nommait Hazem Abu Rumman ( alias « Abu Qaqaa ») agé de 30 ans et de nationalité jordanienne. Il a été neutralisé dans un bombardement des forces aériennes syriennes. L’EI confirme la mort de son Emir. Justice divine ?

     

    Abu al Qaqaa

    http://www.contre-info.com/syrie-le-djihadiste-qui-imposait-le-statut-de-dhimmi-aux-chretiens-a-ete-tue#more-39189

  • L'échec de la République.

    En ce début d’année scolaire, ce ne sont pas les sujets d’actualité et parfois d’indignation qui manquent, et l’absence d’une monarchie digne de ce nom dans notre pays se fait cruellement sentir en ces heures à la fois douloureuses et incertaines : la République n’est plus, suivant l’expression terrible de Pierre Boutang, qu’un « Semble-Etat » incapable de mener une politique sur le long terme, bornée qu’elle est par l’échéance de l’élection présidentielle (2017, 2017 ! En attendant 2022…), cet horizon apparemment indépassable de l’action politicienne en France qui fait oublier toute raison et toute humilité… Triste régime qui brasse du vent quand il faudrait un grand souffle pour la nation et ses générations présentes et à venir.

    Cela ne veut pas dire que tous nos ministres sont médiocres, et il en ait même d’excellents, malgré leur étiquette social-démocrate. Mais la République, par ses principes et son exercice mêmes, entre domination oligarchique et légitimation partisane (la démocratie dite représentative…), dévalorise l’action politique et la légitimité même de celle-ci, et laisse le champ libre à une « gouvernance » qui est bien la vassalisation du politique et des Etats à l’économique et à ses grandes féodalités. On peut le regretter, et c’est mon cas, mais c’est ainsi : la République ne s’impose plus aux puissances économiques et financières, mais est devenue leur pitoyable jouet. Cela étant, est-ce seulement contemporain de MM. Hollande et Sarkozy, ou n’est-ce pas une tendance lourde des démocraties contemporaines quand elles ne sont plus ordonnées par une autorité d’Etat forte et éminemment politique ? Georges Simenon, dans son livre « Le Président » qui inspira l’excellent film éponyme de Verneuil avec Gabin et Blier dans les rôles principaux, l’avait laissé entendre de façon plutôt explicite, ce qui ne surprend guère de la part de cet écrivain un temps proche des amis du Comte de Paris…

    Le fondateur de la Cinquième République n’avait que mépris pour les Troisième et Quatrième Républiques, tellement parlementaires qu’elles en étaient impuissantes et corrompues, ce que Clemenceau, pourtant républicain radical (au sens originel du terme…) et qui ne connut pas celles postérieures aux années 30, confirmait par ses piques incessantes et désabusées sur les représentants du peuple et ses collègues députés ou ministres. Si l’Etat sembla restauré en 1958 sous la férule du général de Gaulle, cela ne dura que le temps pour les politiciens de reprendre le terrain que l’homme du 18 juin leur avait soustrait : en redevenant le régime des partis, la République, même si elle sut encore faire illusion quelques années et au-delà, en quelques occasions (sorte d’hommage du vice à la vertu, en somme…), abandonnait dans le même mouvement ce qui aurait pu lui assurer l’indépendance et l’efficacité. Plus la Cinquième République se « démonarchise », plus elle retombe dans les travers qui ont entraîné la perte des précédentes… et, plus grave encore, le malheur de la France : si le sort de la République n’est pas forcément ma préoccupation première, celui de la nation France m’importe et je m’inquiète de la voir si mal défendue face aux périls qui montent à l’horizon. Si, pour ceux qui ne le sont pas encore, il n’y a pas d’urgence à devenir royaliste (et cela n’a en somme que peu d’importance), il y a nécessité pour le pays d’instaurer au plus vite cette Monarchie active que j’appelle de mes vœux, non pour le simple décorum royal, mais parce qu’elle, selon l’heureuse formule de Thierry Maulnier, « la dernière chance de la liberté »…

    http://jean-philippechauvin.hautetfort.com/archive/2015/09/09/l-echec-de-la-republique-5682587.html

  • Sondage : Hollande éliminé dès le premier tour, Marine Le Pen à 29 %

    Notre Président décroche, vraiment.

    Une conférence de presse dans laquelle le Président a encore raté son rendez-vous et celui de la France avec l’Histoire n’aura pas réussi à faire oublier l’actualité politique de cette rentrée : notre Président décroche, vraiment : 19 %, selon le dernier sondage IFOP pour Le Figaro. Marine Le Pen est en tête, à 27-29 %, et Juppé et Sarkozy à 25 %.

    Trois enseignements : Hollande est nettement et irrémédiablement éliminé, 10 points derrière Marine Le Pen, et 6 points derrière le leader de droite ; MM. Juppé et Sarkozy, qu’ils tirent vers le centre ou vers leur droite, se neutralisent à 25 % ; et si M. Juppé est le candidat choisi, Marine Le Pen s’envole, frôlant les 30 %. De quoi faire réfléchir…

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