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  • Recours du FN contre les mosquées de Suresnes et Courbevoie


    I
    Deux communes UMP voisines, Suresnes et Courbevoie dans les Hauts-de-Seine, attribuent chacune une salle municipal pour des associations musulmanes en vue de les transformer en salle de prière, à des conditions financières très avantageuses.

    Tous les élus UMP et de gauche, y compris les élus du PCD et du CNI, ont voté pour l'attribution de ces locaux sous forme de baux emphytéotique administratifs. Seuls les élus municipaux du Front national ont voté contre.

    Les élus du FN attaquent les délibérations des deux conseils municipaux attribuant ces locaux devant le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise. Les recours ont été déposés au mois d'août.

    Michel Janva

  • De la Monarchie louisquatorzienne à la Cinquième République...

    Un jour, le soleil s’est couché et il ne s’est pas relevé… C’était le 1er septembre d’il y a trois siècles : et pourtant, comme il l’avait promis, sa mort physique marque aussi sa « sur-vie » politique, au-delà de son temps et pour la mémoire des siècles, par la reconnaissance que l’Etat est maître du pays, par son administration et son autorité, mais aussi à travers ses monuments, autant Versailles que ce que Napoléon qualifiera des « masses de granit », c’est-à-dire les grands principes qui fondent l’Etat moderne et son fonctionnement. Louis XIV, d’une phrase célèbre prononcée sur son lit de souffrance et de mort, déclare : « Messieurs, je m’en vais, mais l’Etat demeurera toujours », sorte d’explication de texte à la formule rituelle de la Monarchie française « Le roi est mort, vive le roi », qui, après le dernier soupir du monarque, fut prononcée comme une évidence « absolue » au balcon du palais royal.

    Dans La Croix (samedi 29-dimanche 30 août 2015), Frédéric Mounier écrit joliment que « Louis XIV fait naître la France » pour expliquer qu’il met en place les structures d’un Etat qui, d’une manière ou d’une autre, sera renforcé au fil des règnes et des circonvolutions de l’histoire, sans doute bien au-delà et pas forcément dans le même esprit (au contraire de ce qu’affirme Tocqueville) que celui de son incarnation la plus emblématique, celle-là même qui fit déclarer au roi-soleil, post-mortem et « faussement », « l’Etat c’est moi » ! Mais il est des faux, et celui-ci est de Voltaire dans son « siècle de Louis XIV », qui révèlent mieux la vérité que cette dernière elle-même quand elle n’ose se mirer dans les glaces de son palais ou se parer de grands mots, atours parfois vains du prestige : humilité royale, sans doute, peu compréhensible en nos temps d’egolâtrie républicaine… Evidemment que c’était lui, l’Etat, et il a passé son temps et usé ses énergies à le faire comprendre à tous ceux, féodaux du service d’eux-mêmes, qui oubliaient qu’ils devaient plus à la France qu’elle ne leur devait. Mais Louis XIV n’était « que » l’Etat et son Etat n’était pas encore ce Moloch ou ce Minotaure qu’il devint avec la Révolution et l’Empire, et que Bertrand de Jouvenel a si bien décrit et compris dans son ouvrage « Du pouvoir » publié dans les années 1940.

    Si l’Etat royal devint plus fort sous et par Louis XIV que jamais il ne l’avait été auparavant, il restait fondateur et non uniformisateur, ce que, à travers sa formule sur la France considérée comme « un agrégat inconstitué de peuples désunis », le Mirabeau de 1789 reconnaissait pour mieux s’en plaindre, tout comme le fameux abbé Grégoire qui ne trouvait pas de mots assez durs pour fustiger cette diversité qui, pourtant, fait aussi la réalité de la France. Avec Louis XIV, la Monarchie devenait fédératrice, elle ordonnait autant qu’elle unifiait symboliquement autour du roi, et de la pluralité foisonnante de la France, elle gardait le côté pluriel mais aiguisait l’épée politique : l’Etat se musclait, il ne s’engraissait pas vainement

    Trois siècles après la mort du monarque-Apollon, qu’est devenu cet Etat qui fut sien avant que d’être officiellement « nôtre » par la grâce de la démocratie ? Si le fondateur de la Cinquième République fut, avec quelque raison sans doute, souvent comparé à Louis XIV (en particulier par ses opposants) et caricaturé comme tel par le dessinateur Moisan dans Le Canard enchaîné (qui en fit quelques recueils à succès avec André Ribaud), ses successeurs récents n’en ont guère la stature et font penser à cette phrase terrible du général de Gaulle rapportant sa rencontre cordiale mais vaine avec l’ancien président de la République Albert Lebrun, celui de 1940 : « Au fond, comme chef de l’Etat, deux choses lui avaient manqué : qu’il fût un chef ; qu’il y eût un Etat ». Effectivement, entre les mains des perpétuels présidents-candidats, l’Etat semble laisser filer ses fonctions et ses responsabilités régaliennes pour ne plus être qu’un « Semble-Etat » selon la formule si expressive de Pierre Boutang…

    C’est quand elle est la plus monarchique que la République a la possibilité d’être grande et efficace, comme une sorte d’hommage du vice à la vertu. Mais la Cinquième République, même en ses plus belles heures gaulliennes, n’est pas la Monarchie et elle vire plutôt à la monocratie quand le président en poste ne pense qu’à sa réélection ou à sa postérité personnelle quand c’est à celle de l’Etat et de la France qu’il faudrait penser et pour laquelle il faudrait agir… La comparaison entre le roi-soleil et l’actuel président fait sourire bien de nos contemporains, et ce n’est pas aux dépens du monarque versaillais…

    http://jean-philippechauvin.hautetfort.com/

  • LE SYSTEME DE DOMINATION UNIPOLAIRE TOUCHE-T-IL À SA FIN?

    Mikhail Gamandiy-Egorov 
    Ex: http://metamag.fr 

    Sergueï Lavrov, le ministre russe des Affaires étrangères, a été fort explicite en annonçant tout récemment que la domination politique et économique de l’Occident sur le monde touche à sa fin.

    Cette annonce a été faite lors du forum international Terra Scientia, sur les rives de la rivière russe Kliazma, le tout devant un grand nombre de jeunes participants. « Aujourd'hui, le centre d'intérêts de la politique extérieure, comme le centre d'intérêts de chacun de vous, est directement lié à la lutte des idées. Cette lutte consiste notamment à choisir ou à imposer son choix sur les modèles de développement et des valeurs. Nous observons la fin d'une très longue époque, celle de la domination économique, financière et politique de l'Occident historique », a déclaré le ministre Lavrov.

    Analysons ces dires

    Globalement et c'est le principal à noter dans cette déclaration, c'est qu'elle confirme une fois de plus l'avènement de l'ère multipolaire, tant attendue. Après l'éclatement de l'URSS et la fin de la guerre froide, les élites occidentales, principalement étasuniennes, s'étaient autoproclamées gendarmes du monde. Cette domination, une bonne part de l'humanité l'a ressenti et ce à différents endroits de la terre: Balkans, Moyen-Orient, Afrique, Amérique latine. A un moment il fallait bien dire stop. Le chaos créé en Libye suite à l'intervention de l'OTAN en alliance avec les salafistes locaux, a été l'une des gouttes de trop et il a bien fallu que certains pays prennent leurs responsabilités.

    Depuis, la Russie et la Chine, soutenues par leurs alliés, ont décidé de bloquer à tout prix les tentatives occidentales, ne serait-ce qu'au niveau du Conseil de sécurité de l'ONU. Une partie de l'humanité a commencé alors à mieux respirer. D'autre part et il est également important de le noter dans la déclaration de Sergueï Lavrov, c'est lorsqu'il parle de "la fin d'une très longue époque". Il fait évidemment ici référence non pas seulement à toute cette époque assez récente qui a suivi la fin de l'URSS, mais bien toute celle datant de plusieurs siècles.

    Mais tout change et continuera à changer. D'autant plus, et il faut le rappeler aussi, nous ne sommes non seulement plus à une époque unipolaire, révolue et ayant montré toute sa dangerosité pour l'avenir de l'humanité, mais nous ne sommes pas non plus dans une optique bipolaire, comme durant la période ayant suivi la fin de la Seconde guerre mondiale, avec deux superpuissances. Aujourd'hui, la multipolarité confirme la présence de plusieurs blocs, des blocs représentants des pays concrets ou des groupes de pays. On retrouve bien évidemment la Russie et la Chine, deux grandes puissances mondiales et membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU opposés à la nostalgie unipolaire du bloc occidental. Mais aux côtés de l'ours russe et du dragon chinois, on retrouve aussi de grandes puissances régionales, telles que l'Inde, l'Iran, le Brésil et d'autres, ou encore le bloc uni et à part entière de la majorité des nations latino-américaines ayant réussi à former ensemble une alliance fermement opposée au néocolonialisme US. 

    On ne peut se permettre de ne pas mentionner aussi d'autres grandes alliances multipolaires comme les BRICS, l'OCS ou encore l'Union eurasiatique, qui portent en eux un grand espoir pour une partie du monde. Ajoutés encore à cela plusieurs pays africains et asiatiques, et on arrive tout simplement à une forte majorité de l'humanité. Sans oublier de prendre en compte le fait que nombre de citoyens de pays occidentaux sont également des partisans assumés du monde multipolaire.

    Mais il ne faut pas oublier pour autant que les partisans de l'unipolarité, bien qu'étant clairement minoritaires, feront en sorte de ne pas reconnaitre la nouvelle réalité à l'immédiat. Au contraire, il faudra encore du temps pour que les élites occidentales acceptent, d'une manière ou d'une autre, l'avènement du nouveau monde. Jusque-là, ils continueront à tenter de rassasier cet appétit hégémonique, et c'est ce qui a également été souligné par Sergueï Lavrov: « L'Occident tente de maintenir sa domination de manière artificielle en faisant pression sur les autres pays, au moyen de sanctions et de forces militaires, de violations du droit international et de la Charte des Nations unies, contribuant ainsi au chaos dans les relations internationales ».

    Un chaos auquel on devra certainement faire face encore un certain temps et que l'on observe en ce moment même à différents endroits de notre planète. Mais du moment que la majorité de l'humanité soutiendra aussi activement que possible cette ère nouvelle, la multipolarité finira bien à anéantir une bonne fois pour toute l'unipolarité n'ayant plus aucune place dans nos vies à tous.

    Source

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Gender : une volonté idéologique de déconstruire la société

    Le juriste et philosophe Drieu Godefridi, dans un essai, La loi du genre, montre que l'idéologie du gender existe. Recension par le Figaro :

    L"Oui, il y a bien, derrière les discours progressistes consensuels, une volonté idéologique de déconstruire la société.

    Certes, les études de genre, qui existent depuis bien longtemps, ont leur pertinence. L'étude de «la relativité des catégories du masculin et du féminin» appartient évidemment au champ de la connaissance. Mais, souligne l'auteur, «bien vite, se dessina au cœur des études de genre un courant qui ne visait plus tant à connaître son objet, à le décrire et le comprendre, qu'à le transformer». Savoir-pouvoir, disait Foucault, maître de la papesse américaine du genre Judith Butler, qui soulignait les liens indissociables entre la théorie et l'ingénierie sociale.

    Godefridi divise cette idéologie du genre en deux branches.Dans sa branche «homosexualiste», celle théorisée par Butler dansTrouble dans le genre, elle se développe avec pour objectif affiché de «destituer l'hétéronormativité».Il s'agit d'en finir avec la polarisation universelle du genre humain en deux sexes, jugée artificielle, arbitraire et stigmatisante, au profit, d'une «transidentité» floue («queer»), ou au contraire d'étiquettes très précises quant à l'«orientation sexuelle» («gay» «lesbienne» «bi», etc.). Les deux pouvant, bien sûr, se combiner. «Do you have a vagina?» à cette question, Monique Wittig, disciple de Butler, répondit simplement: «non».Cet idéalisme forcené (Butler a fait sa thèse sur Hegel, maitre indépassable de l'idéalisme allemand) qui rompt avec le réalisme biologique, est aussi- paradoxe -un relativisme. En effet, si tout est culture, tout est langage, il n'existe aucune aucune norme extérieure à la subjectivité de la personne.

    Là où Butler veut détruire la division universelle de l'humanité en deux sexes - soit la matrice hétérosexuelle- les féministes ont la plus modeste ambition de détruire la domination d'un sexe sur l'autre. [...]

    «Les féministo-genristes sont les idiotes utiles du genre Butler» conclut l'auteur. L'échec de cette convergence des luttes trouve un aveu flagrant dans la revendication LGBT de la gestation pour autrui, véritable mise en esclavage du corps féminin, nié par un idéalisme qui refuse toute pertinence au biologique. [...]

    Toutes ces arguties pourraient rester confinées aux couloirs d'université ou aux meeting non-mixtes de militantes trostko-féministes, si la théorie du genre n'avait pas acquis une dimension «technocratique et supranationale», et n'était pas imposée par le haut, à coup de rapports et de résolutions par les institutions de l'Union européenne notamment. Ainsi, rappelle l'auteur, une convention du Conseil de l'Europe, adoptée en 2011 à Istanbul stipule que les Parties «prennent les mesures nécessaires (…) en vue d'éradiquer les préjugés, les coutumes, les traditions, et toute autre pratique fondés sur (…) un rôle stéréotypé des femmes et des hommes.» Un programme d'ingénierie sociale, un «songe totalitaire» échappant à tout débat démocratique. Voilà ce qu'est l'implacable loi du genre."

    Michel Janva

  • Marine Le Pen porte haut les ambitions du FN

     

    À Brachay (Haute-Marne) ce village qui lui a offert son plus haut score au premier tour de la présidentielle 2012 (72 %), Marine Le Pen est revenue samedi dernier sur des sujets d’actualité, l’immigration et le terrorisme.

    À quelques mois des régionales, la tête de liste FN dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie n’a pas caché ses ambitions.

    Dès décembre prochain, nous pouvons préparer l’avenir et montrer la voie, transformer les élections régionales en aurore du renouveau national. Après, il restera 16 mois avant la mère de toutes les élections pour que le peuple français redevienne maître chez lui, le seul et véritable acteur de son destin.

    a jugé Mme Le Pen. Concernant la « déferlante migratoire » qui s’abat sur l’Europe, « Tout a été fait sous Sarkozy et Hollande pour que cette vague grossisse » pour Marine Le Pen.

    Ils ne vous le disent pas et pourtant la situation de l’immigration est aujourd’hui en France totalement hors de contrôle. L’immigration était déjà gigantesque sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy (…), tout a été fait sous Nicolas Sarkozy et François Hollande pour que cette vague grossisse, prenne du corps et aujourd’hui déferle à pleine vitesse sur notre pays.

    À propos de la vague de terrorisme islamique qui frappe la France, elle

    demande que l’on mette l’islam radical à genoux, et je le ferai toujours. Expulsons les étrangers islamistes, fermons les mosquées radicales. Et nous expulserons les imams étrangers qui sont à leurs têtes.

    Elle n’a pas oublié de fustiger Hollande, « Président fainéant ». « La situation de la France sous la présidence Hollande ce n’est plus la simple dégradation : c’est la déchéance complète. Ce n’est plus la France des oubliés, la France elle-même est oubliée » a lancé la dirigeante du FN, qui s’est aussi attardée sur la crise agricole, avec les « agriculteurs asphyxiés, une concurrence étrangère féroce, des prix qui ne permettent plus de vivre, des travailleurs détachés venant de l’Est », mais aussi une critique contre la politique de sanctions envers la Russie.

    http://fr.novopress.info/

  • COP21 : manipulation de la cause écologique au profit d'objectifs politiques

    Valeurs Actuelles a publié en avant dernière page de son n°4108 du 20 août 2015, une tribune de Stanislas de Larminat. Il décrypte le dernier "Sommet des consciences" que le Président Hollande a réuni le 21 juillet, se faisant entourer de plus de 40 personnalités morales et religieuses.

    Logo-cop-21-carr--"Le maître de cérémonie, Nicolas Hulot, avait déjà repris un des qualificatifs du Christ pour prétendre que « rétablir les équilibres climatiques est la "pierre angulaire" de la dignité humaine ». Saluons l’artiste en instrumentalisation, des religions, et de toutes les thématiques associées à la question climatique."

    La première instrumentalisation citée est celle de la science:

    "Le Giec a reconnu le plafonnement du réchauffement depuis 15 ans. Il qualifie de "hiatus" cet évènement, qu’il n’avait d’ailleurs pas prévu. On parle du consensus de milliers de scientifiques - quelques 50 disciplines sont référencées. Tout cela ne fait que quelques dizaines d’experts pour chacune. Il manque au Giec la cohérence d’ensemble pour apporter une preuve. Or le Giec a ignoré une discipline reconnue dans le monde entier, l’Identification des systèmes complexes. S’y attelant, Philippe de Larminat conclut « que l’hypothèse d’un impact insignifiant de l’activité humaine ne peut pas être écartée et qu’on doit considérer comme un fait établi que l’activité solaire constitue l’explication première du "changement climatique » (Changement climatique -Identification et projections, éditions Iste, 2014)."

    Instrumentalisation de l'encyclique également :

    "Ils se trompent d’encyclique, ceux qui voient en Laudato si une supplique scientifique de la cause humaine des variations climatiques. Ils ont mal lu : « L’Église n’a pas de raison de proposer une parole définitive et elle comprend qu’elle doit écouter puis promouvoir le débat honnête entre scientifiques, en respectant la diversité d’opinions. »

    Le pape, en s’appuyant sur une thèse scientifique, majoritaire médiatiquement, veut surtout démontrer que "tout est lié". Cette phrase lancinante répétée 10 fois, qui l’a entendue ? « Puisque tout est lié, la défense de la nature n’est pas compatible non plus avec la justification de l’avortement » (§ 120), « les attaques auxquelles [la famille] est exposée », (§ 213), « l’effacement des différences sexuelles » (§ 155), « la culture du relativisme (...), l’exploitation sexuelle des enfants ou l’abandon des personnes âgées » (§ 123). Qui prépare les esprits pour que la COP21 intègre cette "écologie intégrale" ? 

    Les 17 objectifs de développement durable qui seront adoptés par l’ONU juste avant la COP21 prévoient « d’autonomiser toutes les femmes et les filles, (…) d’assurer la santé et l’éducation ». Mais, derrière cette bonne conscience, se cache la "santé reproductive" dont on sait qu’elle ambitionne de faire du droit à l’avortement une clef de voute. Le Pape a pourtant condamné, dans l’encyclique, "les pressions internationales (…) conditionnant des aides économiques à certaines politiques de santé reproductive » (§ 50)".

    L'auteur décrypte également l'instrumentalisation des opinions publiques manipulées par le "catastrophisme éclairé" de nos gouvernants. Bref: un dévoiement des consciences qui manipule la cause écologique au profit d'objectifs politiques.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • 2015-08-31 Julien Langella: La jeunesse déclare la guerre à la génération de mai 68 au pouvoir !