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Trump présente sa politique étrangère
« L’Amérique d’abord ! » Donald Trump, inspiré par le slogan de Charles Lindbergh, vient de présenter sa politique étrangère le 27 avril à Washington devant le Center for the National Interest.
Ann Coulter, connue pour son livre ¡Adiós, America!, résume : « Enfin un candidat qui ne vit pas dans les années 80 ! »
Présentation faite le lendemain du grand soir trumpien : balayage du corridor atlantique nord-est avec des victoires massives. Le « Trump Nouveau » a, en dix mois, remporté 27 États, ramassé 50,2 % des délégués, accumulant 10,1 millions de votants républicains (3 millions d’avance sur Cruz), frisant les 1.000 délégués, se rapprochant des 1.237 requis pour une nomination automatique. L’exposé de la « doctrine Trump » vient donc à point nommé.
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Les charmes vénéneux de la double appartenance
Dr Bernard Plouvier
Tout le monde a entendu parler de cette triste maladie dénommée schizophrénie où, parmi bien d’autres symptômes, le patient développe un dédoublement de la personnalité. Depuis la plus haute Antiquité, bien des gens ont été tentés par ce que l’on appelle, faute de mieux, une double vie.
Cette dualité d’allégeances ou d’appartenances est très différente de la succession, somme toute naturelle, d’avis et de comportements différents, voire opposés, au cours d’une même existence. Chacun a pu voir que, depuis les années 1990, une majorité d’ex-communistes réputés purs et durs se sont admirablement adaptés aux joies de l’hyperconsommation, dans notre monde d’économie globale (donc de production délocalisée pour obtenir de moindres coûts de fabrication) et d’uniformisation de la propagande (sur un mode à la fois gnangnan et consumériste).
Seules quelques Nations réfractaires à la pensée unique au sein du grand village mondial admettent encore la phrase qui, selon Platon, définissait la vie politique : « Chacun doit avoir mêmes amis et mêmes ennemis que ceux de l’État » (in Les Lois).
Cinq siècles plus tard, Jésus de Nazareth était déjà plus ambigu. Certes, il affirmait : « Nul ne peut servir deux maîtres à la fois : Dieu et Mammon ». Mais en une autre occasion, il reconnaissait la dualité de tout homme, à la fois fidèle d’une religion et citoyen d’un État : « Rendez à César ce qui revient à César et à Dieu ce qui revient à Dieu »… en l’occurrence, il ne s’agissait que de s’acquitter de l’impôt, ce qui fut toujours ressenti comme une douloureuse corvée, alors que l’impôt était, au moins en principe, une source d’infrastructures indispensables à la vie organisée.
Depuis le XVIIIe siècle, se sont répandues en Europe des idées cosmopolites, résumées en une alternative proposée par Diderot : « Vaut-il mieux éclairer l’humanité qui durera toujours ou sauver et organiser une patrie qui doit finir ? ». C’était l’archétype du faux problème, puisque l’humanité n’était alors formée que de la juxtaposition de patries… du moins jusqu’à ce que la propagande mondialiste impose ce dogme : il n’existe ni races, ni patries ou nations, mais une seule humanité.
Pourtant, dans ce monde globalo-mondialisé (de façon artificielle et, a priori, fort transitoire) prospère la très curieuse notion de double nationalité… si le titulaire est en plus un croyant fanatique ou un membre d’une secte multinationale (appartenant, entre autres exemples possibles, à la Franc-maçonnerie ou à un réseau mondialiste), cela fait une triple allégeance et l’on peut multiplier ainsi les appartenances.
Lorsque l’on a accumulé l’expérience de plusieurs décennies de vie sociale et professionnelle, l’on sait que les joies d’une double vie (familiale, professionnelle, politique, syndicale etc.) sont très largement inférieures aux charges, ennuis divers et petits drames qu’elle entraîne.
Et cela n’est rien en comparaison de la dichotomie éthique… pour faire plus simple : des conséquences morales induites par deux attachements intensément vécus, d’ordre affectif, intellectuel et/ou spirituel.
Un joli dicton viennois (prouvant que l’Autrichien n’est finalement pas si éloigné du Prussien, quoi qu’il affirme) prétend que : « La fidélité, c’est de ne pas avoir de second maître ». Chacun est libre de le méditer et de l’interpréter à sa guise.
Vivre, c’est faire preuve de libre-arbitre : vivre, c’est donc choisir. L’être humain étant seul, sur cette planète, doté de transcendance, se doit de choisir sans être obligé de se sentir diminué, humilié, meurtri par ses choix.
Il est évident que dans les années à venir tous les Européens doués de sens éthique devront faire un choix essentiel entre le consumérisme excessif (et à crédit), couplé à des sentiments et des actes tiers-mondistes, et le retour à l’indépendance européenne, politique, économique, ethnique… bref, le retour à ce que l’on connaissait avant la féérie globalo-mondialiste.
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I-MEDIA S03E13 : la France, mauvais élève du classement mondial de la liberté de la presse
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Grèce : Les migrants musulmans incendient le centre visité par le Pape
Le centre de Moria, sur l’île de Lesbos en Grèce, a été le théâtre de scènes d’insurrection de la part des clandestins musulmans.
C’est dans ce centre que Jorg Bergoglio s’était rendu il y a quelques jours afin d’apporter son soutien à l’invasion de l’Europe par les musulmans avant d’emmener avec lui une douzaine de clandestins.
La submersion migratoire continue en Grèce. Le pseudo accord entre le gouvernement islamiste turc et l’Union Européenne, imposé par Angela Merkel, n’a permis de ramener en Turquie que 340 clandestins depuis le 4 avril.
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Le chaos est imminent, et que vous y croyiez ou pas n’y changera rien
De longs mois se sont écoulés depuis la dernière publication du veilleur, et ce laps de temps m’a été bénéfique afin d’avoir une vision plus globale de la situation géopolitique dans le monde et de ses conséquences, mais il n’est nul besoin d’être un fin stratège pour appréhender la chute catastrophique dans laquelle nous entrainent les miasmes de notre gouvernement, du moins pour ceux ou celles qui ont commencés à ouvrir les yeux, et ils sont de plus en plus nombreux.
A l’instar des États-Unis, la France est devenue un état policier, et le basculement de notre république vers un régime autoritaire et dictatorial ne fais plus le moindre doute. La colère du peuple est de plus en plus palpable, et le mouvement de protestation grandissant qui suivit l’annonce de la récente loi travail dictée par Bruxelles en est un signe. Souvenez-vous des anciennes publications du veilleur évoquant la destruction des droits ouvriers, de la disparition de l’argent liquide, de la répression toute dissidence, et autres émanations orwelliennes promulguées par les laquais du lobby banquier au pouvoir.
Que penser d’une brève passée inaperçu et pourtant révélatrice de l’orientation en cours, « Des caméras parlantes pour rappeler les habitants à l’ordre » ! Pour ceux que cela n’interpelle pas, ma compagne me narrait une situation analogue dans laquelle un membre de sa famille s’est retrouvé durant la période franquiste en Espagne, alors qu’il avait osé marcher en dehors des clous…
Nous devrions atteindre prochainement un point de rupture après lequel tout devrait s’accélérer d’un coté comme de l’autre, entrainant inexorablement une surenchère répressive d’une part, et protestataire musclée de l’autre. Les plus naïfs espèrent encore un changement politique à venir pour 2017, mais ils prendront conscience tôt ou tard que quel que soit le parti mis au pouvoir par les urnes, les prérogatives de ce dernier n’iront pas dans le sens des préoccupations pourtant légitimes des « sans dents », et la douche sera plutôt froide.
Merci à Pierre Templar pour ce texte très réaliste qui résume bien la situation à laquelle nous devons nous préparer.
Le veilleur
Celui qui croyait au chaos et celui qui n’y croyait pas
Les signes de la tourmente se multiplient, et pourtant, nombreux encore sont ceux à ne pas voir son imminence. Ces gens-là continuent à croire benoîtement dans les vertus du système, pensant qu’il les protégera en cas de problème sérieux, comme il a si bien su le faire par le passé.
Chacun de nous possède au moins un spécimen de cette espèce dans sa famille, et sait donc parfaitement qu’il est inutile de tenter de les ramener à la raison. Comme l’a dit un abruti de gauchiste dans un éclair de lucidité, la « botte souveraine de la réalité » s’en chargera en temps utile…
Je ne tenterai donc pas de le faire ici, ce blog s’adressant à tous ceux et celles, survivalistes en premier, qui ont « quelque chose entre les oreilles ». De toute façon, vous aurez sans doute essayé avant moi, probablement sans grand succès, et il est donc inutile d’accorder au gens de cette espèce plus d’intérêt qu’ils ne méritent.
Mais si l’on croit à un prochain chaos, alors il n’y a qu’une chose à faire : Se préparer là où l’on se trouve. Ceux qui pensent qu’ils vont changer quelque chose en militant ou votant pour un parti se trompent lourdement, de même que tous les pantins qui collent des affiches ou défilent dans les rues, quel que soit leur drapeau, en espérant pouvoir ramener à leurs idées ceux qui les voient passer.
Quoi que vous puissiez faire, vous ne changerez RIEN au système, du moins jusqu’à ce qu’il implose. Il faut absolument que vous en soyez persuadés, pour ne pas vous égarer dans des voies sans issue ou gâcher votre énergie dans des combats perdus d’avance. Et surtout, pour ne pas en pâtir inutilement. Tout ce que vous récolteriez en y prenant part, c’est une belle fiche au RG avec votre trombine en premier plan, où pire encore, un séjour dans une cellule au milieu des barbus.
Et ceux qui votent encore et voudraient me faire croire le contraire n’ont qu’à regarder le nombre de députés FN que nous avons à l’Assemblée. Et pourtant Dieu sait si cela fait un moment que le vieux briscard s’agite, et que des millions de citoyens lui ont donné leurs voix ! Tout cela, je l’ai déjà dit dans Les raisons de redouter le pire. Il n’y a pas grand-chose à rajouter. Le système est verrouillé, et il veut notre destruction.
Tout va aller de plus en plus mal, et très probablement de plus en plus vite. Je ne crois absolument pas à une lente agonie du pays jusqu’à l’instauration finale d’une dictature à la Orwell. Si telle était l’intention première de nos maîtres, alors ils ne prendraient pas le soin de faire entrer des millions d’allogènes en Europe. S’ils organisent aussi méticuleusement un tel afflux, c’est parce qu’ils ont un plan précis, qui inclue au préalable un affrontement généralisé entre les communautés caprines et les blancs de souche.
Nous allons au-devant de la plus grande guerre civile que le monde ait jamais connue. Nous tous européens, et il n’y a aucune échappatoire. Il n’est même plus besoin de lire les prophéties à ce sujet pour s’en convaincre ; C’est maintenant une évidence.
Pour un survivaliste digne de ce nom, la guerre civile est le premier péril à considérer, car contrairement au réchauffement climatique et autres fadaises, on peut être sûr que celle-ci va arriver. Alors profitez du temps limité qu’il reste pour vous préparer au mieux. Sortez du système autant que vous le pouvez, ou profitez-en s’il le faut, de manière à mettre de côté les moyens nécessaires pour acquérir les compétences et les équipements dont vous aurez besoin.
Tâchez de constituer un groupe d’amis, de relations, ou de connaissances, que vous puissiez rejoindre ou qui puissent vous rejoindre le jour où les lumières vont s’éteindre. L’important, à mon sens, n’est pas de chercher à constituer à tout prix une véritable équipe, du moins au début. D’abord, parce que cela demande trop de temps et d’énergie, et vous y laisseriez probablement votre enthousiasme. L’important, c’est de ne pas vous retrouver seul au soir du Grand Jour. Vous pouvez être certain que les équipes se constitueront d’elles-mêmes le moment venu, en fonction des tempéraments, des compétences, et des forces de chacun.
Ensuite, parce ce que la ou les équipes que vous pourriez constituer, avec toute la patience et les difficultés que cela implique, ne dureront probablement pas très longtemps. Non pas qu’elles se sépareraient à cause de dissensions internes – bien que cela ne soit pas à exclure – mais parce que leurs rangs pourraient s’éclaircir de manière drastique et très rapide aux premiers jours de la bataille. Si ce n’est dans celle-ci, ce sera par les blessures, le manque d’hygiène et de soins, les « pétages de plomb » et le reste (voir les articles sur les addictions d’Elizabeth). Et vous aurez perdu beaucoup de temps pour vous retrouver au final à trois clampins.
En d’autres termes, la sélection se fera d’elle-même, au fil des allées-venues et des combats, de même que les alliances…
Commencez à rencontrer des gens autour de vous, des gens ordinaires. Lorsque vous tombez sur quelqu’un qui vous dit que d’après lui « tout va péter bientôt », c’est qu’il est un peu moins con que la moyenne et que vous pourrez peut-être en tirer quelque chose. Inutile de lui sortir le baratin survivaliste, voire de chercher à l’intégrer dans votre groupe éventuel pour commencer à vous entraîner ensemble. Gardez ce contact en mémoire, de même que son adresse et son téléphone. Si des « atomes crochus » vous poussent naturellement à resserrer les liens, alors faites-le, tout en gardant à l’esprit que rien ne vous y oblige.
Prévoyez de quoi tenir au moins trois mois, vous et votre famille. Ainsi que des armes et munitions en nombre pour assurer votre défense. Tout cela a été dit maintes fois sur le blog. Il suffit de relire les articles, ainsi que leurs commentaires qui sont le plus souvent très pertinents.
Nous faisons partie, pour la plupart, d’une génération sacrifiée. C’est juste un destin qu’il faut accepter, car il n’y a rien que l’on puisse faire pour l’empêcher ou le changer. Parfois, certaines personnes me demandent « ce que nous avons pu faire pour mériter ça ». La réponse est que nous n’avons rien fait, absolument rien, parce qu’il n’y a rien que l’on aurait pu faire, et que ce n’est pas notre boulot, de toute façon. Ce n’est pas notre faute, pas plus que celle de nos parents.
Le problème est que depuis notre enfance, la République nous berce dans l’illusion que nous pouvons, par une participation toute illusoire, changer quelque chose à notre destinée citoyenne. Mais la vérité est que nous ne pouvons rien. Le système républicain dans son essence même nous laisse à la merci des gens qui nous dirigent, pour le meilleur et pour le pire. Or il se trouve que nous sommes gouvernés par les pires depuis une cinquantaine d’années, voire depuis la décapitation de notre dernier roi, si l’on veut bien remonter jusqu’à la source du problème.
Chaque génération a sa destinée. Celle de 14 était de finir dans les tranchées. La nôtre est d’affronter les grandes tribulations de la gigantesque guerre civile à venir. De nous battre, de souffrir, et de mourir, éventuellement. Une fois que vous aurez accepté cela, vous pourrez arrêter de vous frapper la poitrine et commencer enfin les préparatifs qui s’imposent.
Survivre
Survivre, ce n’est pas juste « tenir une heure de plus » comme un certain couillon a pu l’écrire. Survivre, c’est tenir jusqu’au bout, et vu ce qui nous attend, ce n’est pas une petite heure qui changera grand-chose. Survivre, c’est être encore debout lorsque les moins chanceux et les plus faibles sont tous morts. Et cela va signifier pour nous tous être capables de vivre des mois de plus, peut-être des années.
Et c’est parce que le chaos va durer que la simple force physique et brutale ne sera pas suffisante ; Et que des moins forts physiquement auront aussi leur chance, contrairement aux grandes batailles des siècles passés. Ceux qui vont durer seront les plus tenaces, les moins sentimentalistes, et surtout, les plus stoïques ; Les plus résistants à la souffrance, à la douleur, à la faim et à la soif, aux tentations, addictions et privations de toute nature. Des moines soldats, en quelque sorte. Autrement dit, les moins cool et les plus chiants, selon les critères en vigueur de nos jours.
Au fond, la vie même n’est autre que survie. Depuis le jour de notre naissance nous ne faisons que survivre. A toutes les saloperies qui se trouvent dans les airs et dans nos assiettes, aux vaccins et aux médicaments, au métro et au boulot… Pour certains, à la famille, depuis tout petit. Pour la plupart, aux emmerdes que les malfaisants au pouvoir nous apportent quotidiennement, dans tous les domaines de l’existence ; A cet abruti de kapo qui nous colle une prune de 90 euros parce qu’on a dépassé de 5 km/h la vitesse autorisée, et qu’une frustration légitime nous pousserait à cogner. Ou encore ce spécimen halal qui nous dévisage avec mépris, et que l’on renverrait volontiers au bled avec un pruneau dans le cul ; Avec les conséquences que l’on peut imaginer pour un chrétien blanc noyé dans une société dirigée par des gens qui œuvrent à sa disparition, par tous les moyens.
La jeunesse
J’ai longtemps pensé que la jeunesse actuelle était paumée, et il est vrai que certains spécimens de la Star Ac et autres zoos du même acabit tendaient à me donner raison. Mais finalement, je pense m’être trompé. Le vrai problème, du moins ce que je crois désormais, est qu’elle s’emmerde, tout simplement. Parce que la société moderne, et en premier lieu ceux qui la dirigent, sont incapables de lui donner un but valable qui vaille la peine de se dépasser.
Je crois que le secret de la réalisation personnelle tient dans une seule chose : œuvrer pour une cause qui nous dépasse, quelque chose de plus grand, quelle qu’elle soit. Puis éventuellement y laisser la peau ; Que ce soit pour sa famille ou pour la patrie, voire un quelconque groupe de « niakoués » (citation de l’auteur) aux fin-fonds d’une jungle birmane que l’on aurait pris en affection. Et c’est justement ce dont l’individualisme induit tout naturellement par les « valeurs » de la République nous éloigne le plus jour après jour.
La conséquence directe est que la jeunesse actuelle erre sans but, d’un Mac Donald à un autre, les yeux rivés sur un Ipod, pour finir au Bataclan à écouter des insanités. Elle cherche inconsciemment un sens à donner à sa vie, mais ne peut le trouver dans une société aseptisée, uniformisée, sans relief, sans avenir et sans espoir. Mais donnez-lui une vraie cause à défendre, avec la vie au bout du compte, et je crois que la plupart saisiront l’occasion à pleines mains. Il se pourrait même que ce soit les plus « paumés » qui lèvent le plus haut le flambeau et entraînent les anciens. Du moins j’aime à le croire.
La guerre
La guerre est divine en elle-même parce qu’elle est une loi du monde.
Ainsi parlait Joseph de Maistre, ce grand théosophe chrétien. Une chose parmi d’autres qui nous distingue de l’animal.
L’homme est taillé pour la guerre. Tellement bien qu’il n’a pas arrêté de la faire depuis le premier jour de son apparition sur terre. Sur les quinze cents dernières années de notre histoire, celles de paix relative se compteraient presque sur les doigts d’une main ! Notre nation s’est bâtie sur les batailles que nous avons gagnées, et elle périra dans celles à venir si par malheur nous les perdons.
Ces longues périodes de paix et de facilité relatives, comme celle que nous connaissons depuis la fin de la seconde guerre mondiale, sont épouvantablement débilitantes. Il n’y a qu’à voir l’état actuel de la France et de ses habitants. Nous avons sombré dans la passivité la plus complète. Les corps et les esprits se sont comme liquéfiés jusqu’à laisser le pays se faire tranquillement envahir à nouveau, au point qu’il n’est même plus sûr que nous soyons capables de remonter la pente un jour. A moins de quelque intervention quasi miraculeuse comme il nous a été donné parfois dans un glorieux passé.
Nous sommes tellement loin de notre génie naturel et de notre vocation qu’il est presque impensable d’en être arrivé là. Pourtant nous y sommes, et il faut bien reconnaître que le travail de sape a été sacrément bien orchestré. A ce niveau, il n’y a malheureusement pas d’autre remède que le sang versé pour que les retrouvailles avec nos racines et notre destinée véritable puissent avoir lieu.
A ce moment-là, nous penserons alors à ce que dit Horacius le romain, il y a bien longtemps, tandis qu’il se retrouvait seul face à une armée entière :
Pour chaque homme sur cette terre, la mort vient tôt ou tard. Et comment un homme peut-il mieux mourir qu’en affrontant un destin contraire pour les cendres de ses ancêtres et les temples de ses dieux…Auteur : Pierre Templar
- Source : Survivre au chaos
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Intervention de Marion Maréchal-Le Pen sur la levée des sanctions contre la Russie
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Renouveler le syndicalisme
Jean-Frédéric Poisson écrit dans Valeurs Actuelles à propos des syndicats :
"[...] L’Homme qui travaille, opère chaque geste, chaque décision non seulement pour lui, pour son entreprise mais apporte sa contribution à la société toute entière. Dans la pensée libérale, l’homme est une variable d’ajustement, un simple outil quasi exclusivement mécanique à la faveur du profit qui ne profite actuellement qu’à quelques-uns. A contrario, le « social », c’est-à-dire celui qui s’attache à l’ordonnancement de la société afin que tous et chacun y trouve sa juste place, pose le principe de la dignité humaine comme fondement de son action. L’Homme enraciné dans sa terre, son entreprise, demeure debout.
C’est bien dans cette seconde hypothèse que je vois le syndicat être dans sa mission. En rééquilibrant la relation au travail entre l’employeur et le travailleur, le syndicat devient garant de la dignité de tous et de chacun. Il participe ainsi au rôle social de l’entreprise comme acteur de la vie économique et sociale.
En prenant toute ma part aux débats de 2008 sur la représentativité syndicale, j’avais appelé de mes vœux un syndicalisme renouvelé. Si l’intégration du critère de l’audience dans la loi du 20 août 2008 fut une première étape, force est de constater que cela ne peut suffire.
Je propose que les représentants des salariés aient voix délibérative à l’occasion des plans de sauvegarde de l’emploi. Les travailleurs de notre pays doivent être responsabilisés. Ce n’est qu’ainsi qu’on légitimera le rôle de représentation des syndicats. Il y a là une démocratie directe proche des travailleurs, en négociant au niveau le plus pertinent. C’est ainsi que nous ferons entrer le syndicalisme dans le XXIe siècle.
Ancien DRH de l’industrie, en contact direct avec les responsables syndicaux et patronaux de notre pays, je connais l’importance et la richesse d’un dialogue social accomplit. Il démine les problèmes et les inquiétudes, vient en aide aux travailleurs en difficulté, accompagne le changement, anticipe les conflits. Il traduit une volonté sociale au sens noble.
« Le syndicalisme, c'est un idéal auquel il faut penser tous les jours, sur lequel il faut toujours avoir les yeux fixés » nous enseigne Simone Weil (in La Condition ouvrière). Ce n’est qu’en étant force de propositions, aux côtés des travailleurs au quotidien, qu’ils pourront redorer leur blason et reprendre la place qu’ils n’auraient jamais dû quitter dans le cœur des Français."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Renouveler le syndicalisme
Jean-Frédéric Poisson écrit dans Valeurs Actuelles à propos des syndicats :
"[...] L’Homme qui travaille, opère chaque geste, chaque décision non seulement pour lui, pour son entreprise mais apporte sa contribution à la société toute entière. Dans la pensée libérale, l’homme est une variable d’ajustement, un simple outil quasi exclusivement mécanique à la faveur du profit qui ne profite actuellement qu’à quelques-uns. A contrario, le « social », c’est-à-dire celui qui s’attache à l’ordonnancement de la société afin que tous et chacun y trouve sa juste place, pose le principe de la dignité humaine comme fondement de son action. L’Homme enraciné dans sa terre, son entreprise, demeure debout.
C’est bien dans cette seconde hypothèse que je vois le syndicat être dans sa mission. En rééquilibrant la relation au travail entre l’employeur et le travailleur, le syndicat devient garant de la dignité de tous et de chacun. Il participe ainsi au rôle social de l’entreprise comme acteur de la vie économique et sociale.
En prenant toute ma part aux débats de 2008 sur la représentativité syndicale, j’avais appelé de mes vœux un syndicalisme renouvelé. Si l’intégration du critère de l’audience dans la loi du 20 août 2008 fut une première étape, force est de constater que cela ne peut suffire.
Je propose que les représentants des salariés aient voix délibérative à l’occasion des plans de sauvegarde de l’emploi. Les travailleurs de notre pays doivent être responsabilisés. Ce n’est qu’ainsi qu’on légitimera le rôle de représentation des syndicats. Il y a là une démocratie directe proche des travailleurs, en négociant au niveau le plus pertinent. C’est ainsi que nous ferons entrer le syndicalisme dans le XXIe siècle.
Ancien DRH de l’industrie, en contact direct avec les responsables syndicaux et patronaux de notre pays, je connais l’importance et la richesse d’un dialogue social accomplit. Il démine les problèmes et les inquiétudes, vient en aide aux travailleurs en difficulté, accompagne le changement, anticipe les conflits. Il traduit une volonté sociale au sens noble.
« Le syndicalisme, c'est un idéal auquel il faut penser tous les jours, sur lequel il faut toujours avoir les yeux fixés » nous enseigne Simone Weil (in La Condition ouvrière). Ce n’est qu’en étant force de propositions, aux côtés des travailleurs au quotidien, qu’ils pourront redorer leur blason et reprendre la place qu’ils n’auraient jamais dû quitter dans le cœur des Français."
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Charles Beigbeder : « La France souffre avant tout d’une haine de soi »
« La France souffre avant tout d’une haine de soi » : c’est ce qu’explique, dans un entretien à Monde & Vie, l’entrepreneur Charles Beigbeder, qui revient le sens de son engagement en politique, hors des partis, car ceux-ci ne sont plus, selon lui, que des machines électorales au service de la conquête du pouvoir. Beigbeder, qui a fondé avec Charles Millon le « réseau participatif transpartisan d’action politique nommé l’Avant-Garde », destiné à regrouper « tous ceux qui partagent une même vision de la personne, de la famille et de la nation et sont désireux d’agir au service du bien commun de la France quelle que soit l’affiliation, ou non, à un parti politique », déclare aussi :
« Avant de subir les conséquences d’une immigration non maîtrisée, la France souffre avant tout d’une haine de soi, qui se traduit par un rejet intellectuel et affectif de son passé et par une vision dialectique de l’histoire consistant à opposer la Révolution à l’Ancien Régime, la République à la Chrétienté ou encore la laïcité à l’affirmation de la foi chrétienne. Pire, c’est la notion même de tradition qui est rejetée comme enfermant un peuple dans un carcan culturel qui limiterait à l’excès le choix des possibles.
« À l’issue du 18-Brumaire, Napoléon avait ainsi apostrophé les Français : “Citoyens, la Révolution est fixée aux principes qui l’ont commencée, elle est finie.“ Malheureusement, il oubliait que l’esprit révolutionnaire induit une dynamique de renversement des traditions établies et de déconstruction des réalités charnelles, toujours à l’œuvre dans notre pays. La preuve en est lorsque Vincent Peillon affirme, dans un ouvrage au titre hautement évocateur La Révolution française n’est pas terminée, qu’après la Révolution politique, il faudrait mettre en œuvre une révolution spirituelle et morale qui cantonnerait définitivement la religion dans la sphère privée pour faire de la laïcité la matrice d’un nouveau “vivre ensemble”.
« C’est dans ce projet qui s’apparente à un génocide culturel que résident les prodromes d’une mort lente mais certaine de notre nation à laquelle heureusement je ne crois guère parce que les forces de vie et de transmission auront toujours le dessus. Il faut donc réconcilier les Français avec leur histoirepour qu’ils puissent s’élancer à pleins poumons dans le XXIe siècle et fassent aimer la France à tous ceux, qui, quelles que soient leurs origines, souffrent d’un déracinement qui les conduit à s’identifier exclusivement à d’autres formes d’attachement, faisant ainsi le lit du communautarisme. »
http://fr.novopress.info/200727/charles-beigbeder-france-souffre-dune-haine-soi/