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10 mai 2016 Journée de mobilisation contre les mères porteuses
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78% des Français redoutent une explosion sociale, selon un sondage
Seuls 17% des Français sont d'accord avec l'affirmation de François Hollande selon laquelle la France "va mieux" et une large majorité d'entre eux (78%) redoutent au contraire une "explosion sociale", selon un sondage Elabe diffusé jeudi.
"Oui, ça va mieux", avait lancé le chef de l?État lors de son intervention télévisé du 15 avril.
Mais 83% des personnes interrogées ne sont pas d'accord avec cette affirmation.
Si 40% des sympathisants de gauche approuvent les propos de François Hollande, 8% seulement des proches de la droite sont de cet avis, selon cette enquête sur le climat social pour BFMTV.
Près de huit Français sur dix (78%) estiment en revanche qu'il existe aujourd'hui en France "un risque élevé" d'"explosion sociale", contre 22% pour lesquels ce risque est "faible".
Ce risque de crise sociale "avec une multiplication des conflits sociaux voire un blocage du pays" est réel pour 64% des proches de la gauche et 84% de ceux de la droite.
Enfin, seules 28% des personnes interrogées font confiance aux syndicats de salariés pour défendre leurs intérêts, contre 72% d'un avis contraire. Chez les seuls salariés, la confiance dans les syndicats grimpe à 34%, mais 66% d'entre eux ne leur font pas confiance.Notes :
Enquête réalisée en ligne les 26 et 27 avril, auprès d'un échantillon de 1.000 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
Le Parisien :: lien
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Pierre Jovanovic : « Les jeunes devraient manifester devant Goldman Sachs » !
Dédicaces du livre « 666 » de Pierre Jovanovic, à Reims
Source: E&R
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Afrique du Sud : 400 000 Blancs vivent dans des bidonvilles
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Selon un récent article du Daily Mail, 10 % de la population blanche vit aujourd’hui dans la pauvreté, dans 80 bidonvilles, souvent sans eau courante, électricité, ni accès aux soins. Beaucoup sont sans emploi. Leur nombre a énormément augmenté depuis l’abolition de l’apartheid, où « politique de développement séparé », en 1994. C’est le résultat de la politique gouvernementale de « discrimination positive » en défaveur des Blancs des classes populaires. Les entreprises qui n’engagent pas assez de non‑Blancs sont pénalisées.
Manifestement, l’Afrique du Sud n’en a pas fini avec la « discrimination ». Le ministre sud‑africain des Sports a menacé, lundi, d’annuler la candidature de la Fédération de rugby à l’organisation de la Coupe du monde 2023. La raison ? L’équipe n’a pas atteint l’objectif de « mixité » raciale. Peu importe donc la qualité des sportifs. Sous la pression du gouvernement, l’équipe devra donc inclure au moins sept joueurs « non blancs » parmi les 31 sélectionnés pour le Mondial 2015, avec objectif de 50 % de joueurs non-blancs d’ici à 2019.
http://fr.novopress.info/200711/afrique-du-sud-400-000-blancs-vivent-bidonvilles/
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n° 434
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29 avril 1975 : mort du jeune Sergio Ramelli, assassiné par les Rouges
En cette année 1975, à Milan, Sergio Ramelli était un jeune étudiant de 18 ans.
Militant nationaliste au sein du Front de la Jeunesse (branche jeune du Mouvement Social Italien, MSI), il était connu comme tel dans son milieu scolaire, dans une époque de tension politique marqué par la violence d’extrême-gauche (l’année précédente, plusieurs militants italiens avaient été assassinés par les Brigades rouges).
Le 13 mars 1975, Sergio Ramelli rentre chez lui en fin de journée.
Il a à peine le temps de garer son scooter, pas très loin de son immeuble, que plusieurs militants d’extrême gauche armés de clefs anglaises l’assaillent. Les coups pleuvent sur le jeune tombé à terre.
Gravement touché à la tête, il est emmené à l’hôpital où, pendant plusieurs semaines, il lutte contre la mort.Pendant son coma, les rouges ne se privent pas de commettre d’autres attaques violentes.
Et le 28 avril, ils apposent des graffitis hostiles sur l’habitation de la famille de Sergio Ramelli, ainsi qu’une affiche par laquelle ils menacent de mort le frère du jeune homme, s’il ne quitte pas l’endroit…
Le lendemain, 29 avril 1975, Sergio Ramelli rend l’âme.
Ses funérailles ont eu lieu dans l’église Saints-Nérée-et-Achille. Le cercueil est venu à l’église presque en secret, les autorités locales ayant interdit le cortège funèbre et les extrémistes de gauche ayant menacé d’utiliser des clés anglaises contre les participants...
Un an plus tard, le 29 avril 1976 , alors qu’il se rendait à un service commémoratif organisé par le MSI à la mémoire de Ramelli, Enrico Pedenovi, 50 ans, membre du MSI Milan, est assassiné par un commando communiste qui ouvre le feu sur lui.
Depuis, chaque année, les nationalistes manifestent à Milan en mémoire de ces patriotes victimes de la haine rouge. Une manifestation qu’à chaque fois les extrémistes de gauche, la mairie et la caste politicienne essayent vainement d’empêcher.
Source : T. de Chassey
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Zoom : L'abbé Alexis Garnier présente le 34ème pèlerinage de Pentecôte
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Marion Maréchal-Le Pen : pour en finir avec le cléricalisme républicain…
Il paraît que Marion Maréchal-Le Pen se rendrait bientôt à un colloque de l’Action française. Et alors ?
Dans les années 90, en introduction de son essai, Ni droite, ni gauche, Français !, un certain Samuel Maréchal, alors directeur du Front national de la jeunesse, rappelait cette phrase de Jean-Jacques Rousseau : « La république, c’est la res publica, la chose publique. En ce sens, la monarchie est aussi une république. »
Plus de vingt ans après, comme aurait dit Alexandre Dumas, la petite Marion Maréchal-Le Pen, élevée par qui vous devinez, remet aujourd’hui les pendules à l’heure quand, interrogée par nos confrères de i>Télé, elle explique : « J’appartiens à une génération un peu saoulée par les valeurs de la République qu’on sert en permanence et dont on ne sait pas ce qu’elles recouvrent, ce qui évite d’aller au fond des idées. »
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L'économie britannique sortirait gagnante d'un départ de l'Union européenne
C'est ce que pense un groupe de huit économistes dans un rapport publié jeudi. Roger Bootle, le président du cabinet d'études Capital Economics, explique :
"Sur les 20 dernières années, le bilan économique de l'UE a été très faible comparé à d'autres pays développés, et ce pas seulement en raison de l'euro mais aussi d'une série de mauvaises décisions". "Le fardeau réglementaire, la mauvaise utilisation des fonds de l'UE et la focalisation de l'attention politique sur les questions de réforme de l'UE ont contribué à cette mauvaise performance économique".
Il fait partie d'un groupe de huit économistes indépendants regroupés sous la bannière "Economists for Brexit", dont Gerard Lyons, ancien économiste en chef de la banque Standard Chartered et aujourd'hui conseiller du maire conservateur de Londres Boris Johnson.
Ils réfutent les arguments du Trésor britannique et du chancelier de l'Échiquier George Osborne, qui ont estimé qu'une sortie de l'UE aurait de graves conséquences économiques et amputerait chaque foyer britannique d'environ 4300 livres (5540 euros) de revenus par an.
Ils développent les bénéfices qu'un Brexit apporterait du point de vue de la régulation, de l'emploi, de l'immigration ou encore de la place de la City de Londres en Europe. Ils défendent la simple application des règles de base de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) dans les rapports entre le Royaume-Uni et les pays de l'UE, sans négocier de nouvel accord :
"Quitter l'UE, sans négocier un nouvel accord avec l'UE et sans élever de nouvelles barrières commerciales, apporterait un gain d'environ 4% au PIB" sur 10 ans.
Source : une dépêche de l'AFP que seul L'Orient Le Jour a publié en ligne...
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