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Notre Ami Pierre Cassen victime de l'acharnement des forces de répression de l'oligarchie aux abois
Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, a donc été l’objet, ce jour, d’une perquisition en son domicile. Christine Tasin a pu le joindre, et mener cette interview, qu’elle vient de nous faire parvenir.
Source de l'entretien cliquez ici
Riposte Laïque : Tu viens donc d’être l’objet d’une perquisition en ton domicile. As-tu été surpris ?
Pierre Cassen : Même quand on se prépare à de telles éventualités, on a quand même toujours du mal à accepter de voir sa maison perquisitionnée, comme si on était un vulgaire malfrat. Bien que les policiers se soient montrés courtois, ma situation, ce soir, est que je n’ai plus d’ordinateur, ni de téléphone portable, avec naturellement ce que cela implique, dans mon quotidien. Je n’ai pas l’habitude de tourner autour du pot, ce matin, quand l’officier de police m’a annoncé, à l’issue de mon nième interrogatoire, qu’ils allaient perquisitionner chez moi, à près de deux heures de Paris, je n’ai pu m’empêcher de dire : « C’est scandaleux », et j’ai dû faire preuve de beaucoup de contrôle pour ne pas en dire davantage… Je considère qu’une personne comme moi, qui mène la bataille des idées, n’aurait jamais dû être traîné devant un tribunal, avec mon ami Pascal Hilout, ni être harcelé comme je le suis par le Parquet depuis plusieurs années. Je dois en être à une dizaine d’interrogatoires par des policiers, à qui je dis tout le temps que je ne suis plus responsable du site depuis 2012. Mais j’ai l’impression qu’en haut lieu, je dirais même en très haut lieu, on veut se payer Pierre Cassen par tous les moyens.
Riposte Laïque : Mais avais-tu senti des signes annonciateurs de cette nouvelle étape ?
Pierre Cassen : Oui, à deux reprises. Il y a plusieurs mois, le responsable de la Brigade pour la Répression de la Délinquance à la Personne (de l’enfumage pour ne pas dire la police de la presse) m’avait fait savoir qu’il avait comme consigne de la part du Parquet d’enquêter de manière soutenue pour prouver que je demeurais le véritable chef de Riposte Laïque, bien qu’une décision du tribunal de Versailles, datée de mars 2013, ait confirmé qu’à présent, ce sont les Suisses qui ont la main sur le site. Les socialistes sont pour toutes les délocalisations… sauf celle de Riposte Laïque (humour). D’autre part, il y a environ quinze jours, alors que j’étais à plusieurs centaines de kilomètres de mon domicile, j’ai reçu, à ma grande surprise, un coup de téléphone de policiers, m’informant qu’ils étaient devant chez moi. Je n’ai pu que leur faire savoir qu’ils auraient du me téléphoner avant, cela aurait évité un déplacement inutile. Alors, disons que je m’attendais un peu à un mauvais coup de la sorte, surtout dans le contexte où les juges viennent de condamner Caroline Alamachère à 10.000 euros d’amende et de dommages et intérêts, sans parler du verdict inique de la 17e Chambre, qui a osé sanctionner Alain Jean-Mairet (faudrait savoir, si on condamne notre directeur suisse, on ne peut pas en même temps dire que c’est Pierre Cassen le vrai chef !) à 8.000 euros d’amende et de dommages et intérêts. Enorme ! La France socialiste, police de la pensée du monde, condamne un Suisse qui, sur un site helvétique, a publié le texte d’un Tunisien ! Donc on sentait bien qu’il y avait, de la part du pouvoir et de ses exécutants, la volonté d’accélérer l’offensive.
Riposte Laïque : Mais on te reproche quoi, exactement ?
Pierre Cassen : Ils paraissent avoir du mal à accepter l’idée que cela soient des Suisses qui sont responsables de notre site, en toute légalité, et pas des Français. Ils semblent regretter le temps où ils pouvaient faire condamner Pierre Cassen, comme responsable du site, à des amendes exorbitantes, voire même réclamer de la prison avec sursis, rien de moins ! Au-delà de cette affaire de responsabilité de RL, ils me suspectent à présent d’avoir été l’homme qui aurait appuyé sur le bouton d’un tweet montrant Anne Hidalgo lécher une babouche musulmane, le jour où elle commémorait le ramadan à la mairie de Paris, ce qui n’est pas très laïque. Il paraît que cela est très grave, et que cela s’appelle « injure publique à une personne exerçant une autorité publique ». A noter que le maire de Paris, grande cheftaine de l’opération « Je suis Charlie », qui a osé faire de cet hebdo un citoyen d’honneur de la Ville de Paris, a également déposé plainte contre la dessinatrice Ri7, auteur du dessin originel. Ce régime, au lieu de mettre toutes les forces du pays contre les disciples de Merah, persécute donc les résistants à la barbarie qui s’annonce. Toute l’imposture de cette gauche se retrouve dans ces deux plaintes grotesques, ainsi que dans toutes celles qui ont suivi. Ces gens là se comportent comme les derniers staliniens d’Europe de l’ouest.
Riposte Laïque : Es-tu inquiet, suite à cette perquisition, des conséquences de ce que les policiers pourraient trouver sur tes ordinateur et téléphone ?
Pierre Cassen : Je voulais d’abord dire à nos lecteurs ce que cela provoque, en soi, de se voir barboter des affaires aussi précieuses. C’est comme si on se permettait de vous voler votre journal intime. Il y a comme une sorte de viol. Mon ordinateur, comme mon téléphone, sont des objets précieux, où sont conservées des choses très personnelles, qui n’appartiennent qu’à moi et à ceux que j’aime. Je trouve intolérable que quelqu’un comme moi puisse voir des personnes que je ne connais pas avoir accès à mes dossiers personnels. Après, on verra bien si ce qu’ils trouvent dans mes affaires leur donne la possibilité de me mettre en examen, ce dont certains rêvent. J’avoue avoir assez confiance, et en plus, l’adversité me galvanise, mais avec de tels dirigeants politiques, je m’attends à tous les coups tordus. Donc, j’étais déjà déterminé à dire tout le bien que je pensais des socialistes avant cette perquisition (lire mes articles sur Razzy Hammadi hier, et ce jour sur Manuel Valls sur Boulevard Voltaire), inutile de vous dire qu’après une telle journée, ma détermination est décuplée. Je n’ai jamais supporté des modèles de société totalitaires, et je trouve qu’on s’en rapproche de plus en plus dangereusement.
Riposte Laïque : As-tu peur pour ton avenir ?
Pierre Cassen : La peur n’évite pas le danger. De quoi parles-tu ? Les socialistes et leurs obligés ne m’inquiètent absolument pas, malgré leur capacité de nuisance et leurs pulsions totalitaires. Dans un an, ils ne seront plus aux affaires, alors que Riposte Laïque sera toujours présent, et fêtera ses dix ans d’existence. D’ici là, Cazeneuve nous aura fait quatre procès. Hidalgo deux, et Bergé un… Eh bien, on réclamera une amnistie générale pour tous les délits d’opinion quand on se sera débarrassé de ces haineux. Je fais confiance à nos amis rédacteurs pour ridiculiser comme ils le méritent ces tristes sires, et retourner ce procès contre ceux qui les intentent. Ma sécurité ? Quand on a choisi le type de militantisme qui est le mien, et le tien, on ne se cache pas derrière son petit doigt, on se sait un peu plus exposé que le Français moyen. Je vis avec. Mais ce sont des Français moyens qui sont morts au Bataclan, et des Belges moyens qui sont morts à Bruxelles. J’ai davantage peur pour ceux que j’aime, et qui sont bien plus jeunes que moi. C’est d’ailleurs pour cela que je milite, partout où je le peux, contre l’islamisation de notre pays, pour convaincre mes amis que la seule réponse est l’éradication de l’islam sur le territoire français et la remigration massive de tous ceux qui veulent nous imposer la charia en France. Je n’ai pas l’ombre d’un doute, depuis plus de dix ans que je milite pour cela, nous avons raison, et ce combat est vital pour l’avenir de notre pays, de ses valeurs et de sa civilisation. Et si cela nous vaut encore des procès, eh bien, on fera face !
Riposte Laïque : Tu veux ajouter quelque chose ?
Pierre Cassen : Je suis très fier du combat que nous menons depuis plus de dix ans, ensemble et avec d’autres patriotes. Très fier de ce qu’est devenu Riposte Laïque, d’avoir impulsé ce journal cinq années durant, et d’avoir su passer la main, tout en continuant à travailler avec mes amis. Je prends ces plaintes à répétition, et cette perquisition, comme un hommage, qui prouve que nous tapons juste, et que nous faisons mal à ceux qui trahissent la France. Longue vie à Riposte Laïque, et que mes copains continuent à s’occuper tous les jours des islamo-collabos!
Une dernière chose, que les amis qui m’ont laissé leur téléphone lors des trois derniers mois me le renvoient, ou l’envoient à Christine, cela peut servir…
Propos recueillis par Christine Tasin
NDLR : La direction de Synthèse nationale tient à exprimer ici sa solidarité avec Pierre Cassen et nos amis de Riposte laïque face à l'acharnement dont ils sont les victimes.
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Il y a du Printemps dans l’air … ! La Banderole «Hollande-Démission.fr» dérange encore.
Le mouvement Hollande Démission, prenant acte de la campagne de propagande lancée par ce personnage que 9 Français sur 10 désapprouvent (88%) et qui s’arroge le pouvoir en dépit de tous les principes démocratiques, prenant acte de ce qu’il utilise les moyens d’état pour s’accrocher si possible encore 5 ans de plus, prenant acte d’un système qui n’est donc pas une démocratie, relance ses actions.
Aujourd’hui, de part et d’autre, les aspirations démocratiques sont fortes. De la Nuit Debout aux Français assassinés par la négligence d’un président qui préférait attiser l’islamisme que de renforcer la sécurité, des chômeurs aux entrepreneurs, tous sont victimes de la politique criminelle d’un seul homme. La France gronde, la France aspire à mieux, la France aspire à la démocratie. Et le principal ennemi de la démocratie est donc celui là même qui avait promis de la respecter, et qui la bafoue.
nous irons jusqu’au bout,
NOUS NE LACHONS RIENAlors que cette manifestation a été déclarée à la Préfecture de Police, David Van Hemelryck a été contraint de quitter les lieux avec la célèbre Banderole « Hollande-Démission.fr ». La manifestation a été interdite pour « Offense au Chef de l’Etat »
L’offense au Chef de l’État est régie en France, par les articles 23, 26, 36 et 37 de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881, dans le but de réprimer les offenses envers des personnalités, protégées en raison des fonctions qu’elles occupent.
Le 15 mai 2013, le délit d’offense au chef de l’État est étudié par l’Assemblée Nationale. L’Abrogation du délit d’offense au Chef de l’Etat est définitivement supprimée par le Parlement le 26 juillet 2013.
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Un gouvernement à dormir debout
Aujourd’hui, il suffit de dormir debout pour faire la révolution !
Nous avons connu récemment les nouveaux résistants, espèce post-attentats, très prisés des médias et dont les actions de résistance au terrorisme consistaient, par exemple, à prendre un café dans un bar, pour témoigner de ce qu’ils n’ont pas peur, ou bien à composer une chansonnette censée proclamer le rejet universel de la haine et de la méchanceté par l’Internationale des gentils de tous les pays, réunis dans l’attente d’un monde meilleur.Ces dernières semaines, une nouvelle espèce sociologique et médiatique vient de voir le jour dans nos villes, même si elle vit la nuit : celle de nouveaux révolutionnaires qu’on appelle les « dormeurs debout ». Les « dormeurs debout », s’inspirant, dit-on, des indignés espagnols, se réunissent sur une place pour y passer la nuit, et même si la plupart sont assis ou allongés sur le sol, ils sont censés rester debout. Ils débattent, chacun vient parler à son tour – 3 min chrono, égalité oblige -, ils refont le monde, un monde qui continue de tourner tranquillement sans eux. Mais, paraît-il, c’est une révolution, un nouveau Mai 68, du moins selon les médias qui sont là, eux aussi. Normal : les histoires à dormir debout les intéressent particulièrement…
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Compte-rendu du banquet de samedi dernier dans ce Rivarol !
3,50 €, chez votre marchand de journaux
Un compte-rendu du banquet de samedi dernier.
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La bataille d'Arnhem : opération market garden - Documentaire
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DERRIÈRE L’ISLAMISATION DE LA FRANCE, LA FRACTURE RACIALE
Notre communauté de la ré-information patriote, si faible numériquement soit-elle, n’en témoigne pas moins d’un extrême dynamisme. Néanmoins, ce foisonnement d’idées, de livres et d’initiatives émanant de la « réinfosphère », pèche par une insuffisante prise en compte de la fracture raciale de notre pays. On doit cette lacune au fait que la majorité des blogs de la réinfosphère sont animés par des catholiques imprégnés d’universalisme chrétien voyant l’Autre comme un frère et concentrant principalement leur lutte contre l’islam politique.
Ainsi, par exemple, le charismatique François Billot de Lochner, directeur du collectif France Audace, ne propose pour résoudre le malaise identitaire, dans son dernier ouvrage Eviter la mort de la France, que le tarissement des flux migratoires, alors même que les naissances extra-européennes sur notre territoire dépasseront dans 10 ans celles des autochtones.
Son site, Liberté Politique, souhaite convertir les musulmans au christianisme afin de les assimiler. Mais ce désir se bloque à plusieurs problèmes concrets. D’une part, il ne s’est jamais vu dans l’Histoire qu’un peuple en train de devenir démographiquement minoritaire puisse intégrer à sa culture et à sa religion des minorités en passe de le dominer par le nombre. D’autre part, si la conversion avait lieu, elle serait minée par des différences identitaires. En effet, l’universalisme des grandes religions planétaires butte systématiquement sur la diversité ethnique qui a tendance à modifier le dogme originel en fonction des spécificités ethno-culturelles. Pour pouvoir divulguer leur foi à l’Humanité, le christianisme et l’islam postulent que les êtres humains sont identiques. Or ce paradigme est faux. Les distinctions culturelles et sociologiques ont pour source des différences biologiques irréfragables.
Exemple chrétien : le dogme de l’incarnation du Christ a été défini non pas à l’aube du christianisme mais plusieurs siècles plus tard au travers des conciles œcuméniques organisés par une élite impériale européenne dont les aïeux vénéraient des dieux et héros païens incarnés, engendrés de vierges. Mais ce dogme fut majoritairement rejeté par les chrétiens sémites d’Afrique du Nord et du Moyen Orient qui adoraient dans leur passé pré-chrétien des dieux purement spirituels. Aujourd’hui comme hier, 90% d’entre eux sont donc monophysites, (*) excluant pour certains la nature humaine et pour d’autres la nature divine du Christ.
Ces fractures existent aussi dans l’islam, même radical. Celui-ci émane des bédouins de la pureté du désert de la péninsule arabique et considère qu’on ne doit rendre un culte qu’à un Dieu absolu et uniquement spirituel. Toute vénération des saints est donc totalement prohibée. Or l’islam radical qui gagne toujours plus d’Africains subsahariens ne parvient guère à les extraire de leur culture animiste ancestrale. La secte islamiste nigérienne Boko Haram qui souhaite étendre l’islam radical dans tout l’arc saharo-sahélien a eu beaucoup de mal à conclure une alliance avec l’organisation Daesh implantée en Libye, répugnée par ses pratiques animistes jugées infâmes. Comme l’a exprimé avec justesse le romancier ivoirien Ahmadou Khourouma : « l’Afrique est habitée par des animistes, les uns teintés de christianisme, les autres d’Islam ».
Pour finir, quand bien même tous les extra-Européens seraient de fervents cathos-tradis, la France resterait un enfer. Il suffit simplement de voir ce que sont devenues les Amériques, dont l’écrasante majorité des populations est chrétienne. Comme nous pouvons le constater sur la carte Sécurité voyageurs de notre ministère des Affaires étrangères, les pays d’Amérique latine les plus sûrs sont ceux où l’homogénéité raciale à dominance européenne est la plus forte, comme par exemple l’Argentine (87% de blancs) et le Chili (58% de blancs). Plus la société est diverse et plus elle est dangereuse à l’instar de la Colombie (37% de blancs, 49% de métis 10,6% de noirs et 3,4% d’amérindiens) ou du Mexique (15% blancs, 70% métis, 12% indigènes, 3% autres).
Les Etats-Unis n’échappent pas à la règle. Ces fractures se montrent au grand jour lors des élections. Les Blancs qui seront minoritaires en 2060 votent à plus de 60% pour le parti républicain, alors que les Noirs donnent 90% de leurs voix et les Latinos 70% des leurs au parti démocrate. Au sein de ces populations, il y a une ethnicisation du christianisme : les Latinos pratiquant un catholicisme quasi-identitaire, aux côtés de protestants divisés, si l’on schématise, entre baptistes afro-américains et méthodistes anglo-américains. Dans ce pays multiracial dont nous avons une image tronquée par les réussites de Facebook, Google et de l’industrie hollywoodienne, le reporter Michel Floquet nous rappelle qu’un enfant sur quatre mange à la soupe populaire alors que 50% du budget annuel sont consacrés à une armée qui perd toutes ses guerres, que 30 personnes environ meurent quotidiennement sous les balles d’armes à feu et qu’un quart des jeunes noirs est dans des prisons contenant la plus grande population carcérale, dépassant proportionnellement celle de la Chine et de la Corée du Nord !
Comme chez nous, l’écrasante majorité des extra-Européens s’est implantée à partir des années 1970 grâce à la loi du Président Johnson libéralisant l’immigration. Les Afro-américains issus de cette nouvelle vague récente sont beaucoup plus nombreux que les descendants d’esclaves et de la ségrégation. De mémoire, il y a 50 millions d’hispaniques dont 11 millions d’illégaux. Un flux continu d’immigrés se déverse du Mexique charriant un grand nombre de criminels et de trafiquants de drogues. Ils émanent des cartels mexicains qui ont en 2015, torturé et tué, à proportion égale, deux fois plus de victimes que Daesh, selon le géopolitologue Alexandre Del Valle. Un grand nombre de Latinos ne s’intègre pas, refusant de parler l’anglais et souhaitant rattacher les Etats du sud au Mexique qui les avaient perdus lors de la guerre américano-mexicaine (1846-1848). En ayant ces données en tête, on comprend la popularité d’un Trump !
Par conséquent, au côté d’une lutte implacable contre l’islam radical, le redressement de la France – puisque c’est elle qui nous intéresse au premier chef – nécessitera la mise en place, sur une période de 40 ans, d’une remigration de tous les extra-Européens ne pouvant ou ne voulant s’intégrer économiquement et culturellement. Au côté de cette remigration, notre diplomatie devra favoriser l’émergence de pouvoirs forts et durables en Afrique afin qu’ils mettent en place des politiques de régulation des naissances à l’instar de la Chine afin d’enrayer une démographie suicidaire, principale cause de la paupérisation et de la radicalisation islamique du continent noir et du déferlement migratoire sur l’Europe.
Jean Dutreuil
Source : Nouvelles de France
https://la-dissidence.org/2016/04/15/derriere-lislamisation-la-france-la-fracture-raciale/
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I-Média S03E11 Nuit debout du neuf pas si neuf
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Lecture critique la Constitution de 1791
Dès que, par un véritable coup d’État, les États Généraux se sont déclarés Assemblée Nationale représentant la Nation souveraine, ils ont proclamé qu’ils étaient appelés à fixer la Constitution du royaume, à opérer la régénération de l’ordre public et à maintenir les vrais principes de la monarchie. Ils ont juré, au jeu de paume, de rester assemblés jusqu’à ce que la Constitution du Royaume « soit établie et affermie sur des fondements solides ». Dès son origine, l’Assemblée s’impose l’établissement d’un ordre constitutionnel stable comme but de son action révolutionnaire.
Fixer la Constitution, ou en créer une ?
Fixer la Constitution française : la tâche allait immédiatement s’avérer épineuse. La Révolution française devait, dès ses premières années, révéler une incompatibilité absolue entre les notions de révolution et de constitution : il fallait bien s’en douter. On allait découvrir qu’il serait impossible de trouver une traduction constitutionnelle au mouvement révolutionnaire, et, d’ailleurs, de 1789 à 1799, les constitutions vont fleurir. Lorsqu’on a commencé à les appliquer, on s’est dépêché de les violer, de les tourner, puis de les suspendre.
La Constitution de 1791 est donc un intéressant sujet d’investigations, d’abord parce qu’elle est la première du genre, et ensuite parce qu’elle est une sorte de modèle de ce qu’il ne faut pas faire.
Pour tenter de comprendre, nous examinerons d’abord les difficultés d’élaboration, et puis nous verrons les fruits de ce chef d’œuvre inlassablement célébré.
Des difficultés existaient d’abord en un point précis de l’esprit des députés. On s’était solennellement et inconsidérément grisé de discours en jurant qu’on allait « fixer » la Constitution du Royaume mais le mot lui-même recouvrait une ambiguïté :
- allait-on préserver et défendre la constitution coutumière existante ? ou
- allait-on en créer une ?
Du sens donné au mot Constitution
La Constitution de l’Ancienne France : entre sa déformation par le janséniste Le Paige et sa négation par un abbé Mably socialisant
Cette ambiguïté prolongeait en réalité un conflit ancien, engagé au milieu du siècle. En effet, aux côtés du parlement, Le Paige avait, dans ses Lettres historiques [1] évoqué la Constitution de la Monarchie, et il s’était empressé, comme ses amis parlementaires, de déformer cette constitution pour attribuer aux magistrats un partage de fait du pouvoir législatif royal, partage totalement incompatible avec la réelle Constitution qui existait, et sur laquelle on vivait.
Contre cette doctrine artificielle, badigeonnée d’histoire, Mably a nié l’existence d’un ordre constitutionnel et il a cherché à démontrer la présence d’une espèce de champ intellectuel instable qui était marqué par les alternances d’anarchie et de despotisme. Dans son ouvrage Observations sur l’Histoire de France (Genève, 1765, 2 vol.) Mably avait exposé que les Français n’avaient pas encore de Constitution parce qu’ils n’avaient pas encore été en mesure de manifester une volonté politique soutenue, volonté politique absolument nécessaire à la fixation des formes de leur existence politique et à la préservation de leur liberté.
Vattel et Rousseau changent le sens du mot « Constitution »
Dans les pamphlets politiques pré-révolutionnaires, le conflit entre Le Paige et Mably trouve un écho d’autant plus large qu’un autre débat se développe autour de la notion même de constitution. Vattel, dans son Droit des gens, puis Rousseau, ont changé la signification traditionnelle de « constitution ».
« Constitution » jusque là, désignait le mode d’existence, la disposition d’une entité quelconque comme, par exemple, la constitution du corps humain dont, depuis l’Antiquité, la Cité était regardée comme le prolongement. Dans la conception française, le Royaume est un corps dont le Roi est la tête, et dont les groupes sociaux naturels sont les membres.
Vattel, lui, analyse la Constitution comme une forme de gouvernement instituée par une nation pour s’assurer les plus grands avantages de l’association politique, association politique individualiste et volontariste.
L’argumentation de Vattel est développée dans un sens encore plus radical, bien sûr, dans le Contrat social. À partir de ce moment-là, (mais le processus était déjà commencé précédemment) on rejette l’analogie classique entre la Constitution de la Cité et la constitution du corps humain. Le Contrat social souligne que si la première est l’œuvre de la nature, la seconde est un acte politique, produit de la volonté de la nation, par lequel un peuple souverain crée sa forme spécifique de gouvernement. Cet acte n’est d’ailleurs pas accompli définitivement, selon l’interprétation de Rousseau. Ce serait trop simple ; une fois la Constitution fixée, l’instance souveraine doit se rassembler régulièrement pour manifester sa présence et sa force. En de pareils moments où l’être politique suprême, le peuple souverain, se rassemble, les effets de la Constitution sont suspendus. En somme, la Constitution ne dépend pas seulement d’un acte fondateur, mais aussi d’une réaffirmation perpétuelle de cet acte. Citons Rousseau :
« Il n’y a dans l’État aucune loi fondamentale qui ne se puisse révoquer, non pas même le pacte social. »
L’abbé Sieyès, ou la Constitution expression d’une volonté nationale
Sieyès a exprimé avec clarté les implications de ce volontarisme dans sa brochure Qu’est-ce que le Tiers-État ? Il rejette le sens traditionnel de « constitution » entendue comme un ordre social et politique inhérent à la nature des choses, et il lui préfère le sens d’une institution artificielle de gouvernement. Pour Sieyès, la nation est l’ultime réalité politique :
« La volonté de la nation est toujours légale, elle est la loi elle-même ; il suffit que sa volonté paraisse pour que tout droit positif cesse devant elle comme devant la source et le maître suprême de tout droit positif. »
Ces lignes étaient écrites contre les partisans d’une Constitution traditionnelle de la Monarchie française, mais elles étaient en même temps très inquiétantes pour les auteurs mêmes de la nouvelle Constitution.
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Etat d’urgence pour quoi faire ? Les casseurs-pilleurs de gauche s’en donnent à cœur joie dans Paris
Hier soir une partie de la manifestation de « Nuit debout » autorisée malgré l’état d’urgence, a quitté la place de la République suite à l’intervention télévisée de François Hollande, pour se diriger vers les Xe et XIXe arrondissements, où elle a pu casser et piller à son aise. Ainsi qu’en témoignait sur BFMTV aujourd’hui un concessionnaire automobile dont le commerce a été ravagé: « qu’est-ce que ça aurait été s’il n’y avait pas eu d’état d’urgence? » Ils étaient en foule ainsi que le montre la prise d’assaut d’un des Super marché Franprix.