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  • Un conseiller régional PS du Centre traite le FN de « parti fasciste »

    Dominique Roullet, vice-président PS du conseil régional du Centre-Val de Loire, traite le Front national de « parti fasciste » – rien que ça ! – dans les colonnes du quotidien régional Centre Presse. Celui qui est aussi maire-adjoint d’Issoudun (Indre) s’indigne que Marion Maréchal–Le Pen soit annoncée, le 1er juillet prochain, à une soirée privée organisée au Skarabet, un cabaret de l’agglomération de Châteauroux, organisée par Jordan Mercier, secrétaire départemental du Front national de la jeunesse (FNJ).

    Car cet établissement, « à vocation culturelle et festive », bénéficie de subventions de la région Centre. Dominique Roullet considère donc que cette aide ne doit pas contribuer à « accueillir un parti politique, encore moins un parti fasciste. Sinon, nous n’y serions pas allés. L’intégralité de la somme a, malheureusement, été versée. Mais la Région demande au Skarabet d’annuler ».Ce à quoi se refuse, pour le moment, le Skarabet, qui a néanmoins publié uncommuniqué plutôt militant…

    Aux dernières élections régionales, en décembre dernier, la liste d’union de la gauche, menée par François Bonneau, avait conservé de justesse la région dans une triangulaire au second tour, avec 35,42 % des voix contre 34,58 % à la liste de centre droit conduite par Philippe Vigier et 30 % à celle de Philippe Loiseau pour le Front national, après que la liste du « parti fasciste » était arrivée en première position au premier tour…

    Le Front national n’ayant pas pour habitude de laisser passer les insultes, la plainte au pénal ne devrait pas tarder.

    http://fr.novopress.info/

  • La bonne boussole

    Non, malgré ce qu’on peut lire sur les réseaux sociaux de la part de fans déçus, la non sélection de Karim Benzema en équipe de France de football pour l’euro 2016, ce n’est pas « a cose  des racistes »  ou « la fote  à marine et au fn »( ! ) mais relève  plus prosaïquement de  ses  démêlés judiciaires ou de son attitude. Interrogé sur RMC, en novembre 2013,  Karim Benzema, de nationalité française faut-il le rappeler, avait  expliqué qu’on ne le  » forcera pas à chanter La Marseillaise. » Peu après dans la presse espagnole il confiait : « J’aime bien l’équipe de France. L’Algérie c’est mon pays, la France c’est juste pour le côté sportif ».  Le « côté sportif » n’a donc pas été suffisant. Pourtant, pour « se vendre » quelques heures avant la réunion de  concertation mercredi  des instances du foot français statuant sur son cas,  l’attaquant (brillant) du Real Madrid  avait posté une vidéo compilant  ses derniers buts en équipe de France.  Avec le sens du détail qui le caractérise, il avait utilisé  comme fond musical à ses exploits  une chanson du chanteur britannique d’origine chyprio-suédoise, Steven Demetre Georgiou, alias Cat Stevens, converti à l’Islam en 1977 sous le nom de Yusuf Islam. Un bel exemple de « mondialisation »… Rassurons également les plus exaltés, le FN n’est pour rien non plus dans la défaite cette semaine en quart de finale de la ligue des champions du club financé par les  wahhabites, le Qatar-Paris-Saint-Germain,  contre les sunnites plus modérés des Emirats Arabes Unis, Abu-Dhabi-Manchester City.

    Certes, le FN a le dos large et sa vie  intime est auscultée avec toujours autant de passion, de fièvre et d’inquiétude par le microcosme journalistique. Médias  qui aiment  traquer, chercher la petite  bête, ou comme le dirait encore notre ami Jean-François Jalkh, avec le sens de la formule imagée qui le caractérise, tentent  de faire cinq kilos de mayonnaise avec un jaune d’oeuf.  Médias qui font leur choux gras des débats d’idées,  stratégiques, tactiques qui animent, et c’est le contraire qui serait inquiétant,  le Front National , y voyant avec malignité  des signes d’implosion ou de division, là ou s’exprime plus justement une réflexion ouverte sur les moyens d’être plus en adéquation avec les attentes des Français, de  hisser au pouvoir Marine Le Pen.

     Si ce qui nous rassemble est, doit être plus fort que ce qui nous  divise,  L’Opinion a redécouvert qu’il y avait au FN des militants, des dirigeants venus de  la famille gaulliste et d’autres issus plus classiquement d’une droite nationale qui s’est construite à un moment de son histoire en réaction au drame sanglant  de l’ abandon-trahison de l’Algérie française.

    Mais cela n’empêche en rien les Français patriotes de tous horizons de dépasser les vieux clivages, les histoires personnelles, au service de la plus noble   des causes: celle de la renaissance  nationale, de la défense de l’identité et  de la souveraineté françaises.  Certes,  le FN n’oublie rien,  entend tirer des enseignements du passé, assume l’Histoire de France en son entier, mais  il regarde droit devant et non les yeux rivés sur le rétroviseur,  ne passe pas son temps à mettre du sel sur les plaies.   Ce sont ces  convictions là,  cette attitude là,  qui permettent  à un élu et à un cadre frontiste de tout premier plan  comme Thibaut de La Tocnaye,   « fils d’ Alain de La Tocnaye, l’un des auteurs de l’attentat du Petit-Clamart contre le général De Gaulle, président de la République, en 1962″  relate  Béatrice Houchard dans L‘Opinion, d’affirmer que  » gaullistes et anti-gaullistes peuvent coopérer pour servir la France.« 

    C’est la prise de conscience que le FN est l’outil le plus performant pour défendre la France et les Français d’abord, pour rendre la France aux Français,  la maitrise de leur destin à nos compatriotes,   qui a été logiquement  déclencheur de nombreux ralliements  au FN  d’électeurs de droite, de gauche, d’ailleurs. Et ce,  depuis son émergence électorale dès les années 80  grâce à la persévérance, au courage  des nationaux historiques,  de  Jean-Marie le Pen, et  derrière Marine ces dernières années. C’est notamment  le  cas des   gaullistes Florian Philippot et  Bertrand Dutheil de La Rochère, anciens chevénementistes proche ou membre du MRC. L’Express s’est ainsi  arrêté cette semaine sur les  départs qui se poursuivent  du MRC  (M.  Chevènement en a abandonné la présidence récemment) vers le Front National.

    Un phénomène que ne s’explique  pas le député MRC  Jean-Luc Laurent, avouant  son impuissance en remâchant des bribes de vieux argumentaires. « Rien à voir entre les programmes (du FN et du MRC, NDLR) , dit-il, en étrillant le lepénisme qu’il juge en rupture avec la tradition républicaine. Le FN prône le nationalisme ethnique alors que nous prônons la nation citoyenne. Nous ne regardons pas d’où viennent les gens, quelle est leur couleur de peau ou leur religion, argue-t-il. »

    « Aux yeux du spécialiste de l’extrême droite Jean-Yves Camus, ces ralliements (de chevènementistes au FN, NDLR)  ne font pas sens. Au MRC, il y a des gens qui pensent que l’islamisme gangrènent la société, d’autres sont engagés dans un combat anticolonial, la défense de la Palestine. Mais je n’ai jamais rencontré de militants en faveur de la préférence nationale, explique le chercheur à Mediapart. « Dans l’idéologie du MRC, il y a deux piliers: la question sociale et la question nationale. Mais si on ne marche que sur une jambe, ça ne fonctionne pas « , poursuit-il. » C’est oublier (et cet oubli est curieux de la part de M. Camus, fin connaisseur du FN), que la question de la préférence nationale est intrinsèquement liée à la  question sociale et à  la question nationale, lesquelles  sont aussi deux piliers du programme  FN, depuis toujours.  Avec une cohérence d’ailleurs  bien  plus forte qu’au MRC, dont le projet  s’embarrasse aussi de toute une mauvaise quincaillerie socialo-citoyenne-archaïque.

    Dans sa très pitoyable campagne avortée de 2012, appelant au final à voter Hollande dès le premier tour, Chevènement avait joué le rôle, bien  décevant, de voiture-balai du Système  en prônant rappelle L’Express,   « l’ouverture aux « républicains des deux rives, sans le FN. Un appel du pied répété en 2015, lorsque le sénateur réclame un dialogue de Mélenchon à Dupont-Aignan, excluant Le Pen d’emblée. Les transfuges, apparemment, retoquent la consigne (…).  Dernier laboratoire qui laisse fermenter, à gauche, les idées de nation et de souveraineté, ce parti privé de son chef peine de plus en plus à incarner la boussole républicaine qu’il clame être. »

    La boussole patriotique, elle,  est tenue d’une main ferme par le Front National qui défend la pérennité  de la France, et sur le plan des institutions une république FRANÇAISE  bien éloignée de sa conception hors-sol  qui est celle de nos adversaires.  A nous de l’expliquer, de le faire comprendre à la majorité de nos compatriotes,et partant, de se doter du projet présidentiel susceptible de les convaincre. Bruno Gollnisch ne manquera pas de faire des propositions en ce sens.

    http://gollnisch.com/2016/04/15/la-bonne-boussole/

  • Encore une jeune fille assassinée par un « migrant »

    A Genève (Suisse francophone), « la police recherche activement un suspect d’origine africaine qui l’a frappée à coups de barre de fer. »

    Le 11 au soir, « dans le quartier des Hôpitaux universitaires de Genève, une étudiante d’origine italienne de 29 ans a été agressée par un homme qui s’en est pris à elle avec une barre de fer. La jeune femme rentrait à son domicile lorsqu’elle a été subitement attaquée par un individu qui en voulait, semble-t-il, à son sac. La malheureuse a eu le crâne fracassé et est décédée à l’hôpital cantonal des suites de ses blessures.

    Devant l’allée du 22 avenue de la Croisette, à deux pas de l’hôpital de pédiatrie, on voit encore des traces de sang sur le trottoir. François, 54 ans, qui habite l’allée, a vu la jeune femme entourée des secouristes, juste à côté d’une Suzuki swift blanche aux plaques françaises. Il a aussi vu l’arme du crime. »

    Source et suite : leMatin

    http://www.contre-info.com/

  • La France ne peut pas se permettre de « rater » 2017

    S’il y a une chose qu’on ne reprochera pas à Manuel Valls , c’est de manquer de cynisme. Il a ainsi osé déclarer au Journal du Dimanche du 3 avril : « Je ne pense pas que l’on gagne une présidentielle sur un bilan, ni qu’on la perde sur un bilan. On la perd si on ne se projette pas dans l’avenir, si on n’a pas de vision ». 

    Après cinq ans de mandat, un président souhaitant se faire réélire n’aurait donc pas à être jugé par les Français sur ses réussites et ses échecs, ou encore sur ses promesses trahies, mais uniquement sur sa « vision », sa capacité à se projeter « dans l’avenir ». Le mandat échu, cinq années à la tête du pays ? Pour du beurre ! comme disent les enfants. C’est tellement plus pratique comme ça ! Et le Premier ministre d’ajouter : « Je ne vois pas d’alternative à François Hollande à gauche. » C’est possible, même si nous, nous en connaissons plein, à gauche, qui se voient comme des alternatives au sultan actuel, à commencer par le vizir lui-même. Mais, même si c’était le cas, qu’importe ? L’élection présidentielle a pour fonction, du moins théorique, de nommer à la tête de l’Etat le meilleur pour la France, non pour la gauche, ou pour la droite. Mais à force de réduire la France à la République, régime des partis, on finit par réduire celle-ci au parti politique qui prétend l’incarner le mieux...

    Dans ce même entretien, pour mieux écarter l’hypothèque d’un bilan effectivement catastrophique, Valls en revient aux attentats. Le seul bilan qu’il accepte de présenter ? Celui des lois antiterroristes, dont l’usage à moyen terme dira si elles ne sont pas avant tout dirigées contre nos libertés fondamentales, le terrorisme se révélant alors un prétexte bien utile pour empêcher les patriotes de s’exprimer, ce que Cazeneuve a déjà commencé à faire en interdisant et faisant réprimer de manière violente des manifestations pacifiques mais politiquement incorrectes, le pouvoir socialiste récidivant, trois ans après les Manif pour tous... Le terrorisme, un prétexte bien utile, aussi, pour ne pas avoir à s’expliquer sur ses échecs en matière économique ou sociale. Ni, précisément, sur le manque de « vision » ou l’incapacité à « se projeter dans l’avenir » d’un président qui n’aura réussi à mener à son terme que la loi sur le prétendu mariage pour tous et, pour tout le reste, aura surtout prouvé son incompétence notoire. Quelle vision, par exemple, sur la réindustrialisation du pays ? Ou sur le tournant agricole qui se dessinait pourtant depuis plusieurs années aux plans européen et mondial, avec l’abandon de la politique agricole commune et l’aggravation de la concurrence déloyale, comme au plan phytosanitaire ? Pour ne pas parler de la politique étrangère ni de la submersion migratoire.

    Sa reculade piteuse sur la déchéance de nationalité, faute d’avoir obtenu d’un Sénat de droite qu’il vote le projet de loi constitutionnelle dans les mêmes termes qu’une Assemblée de gauche, est une illustration criante de l’incapacité du chef de l’Etat à se hisser à la hauteur de sa fonction. Alors que la grande majorité des Français y semble favorable, pourquoi ne pas avoir décidé de passer par la voie référendaire après avoir constaté les blocages politiciens contre un projet dont la dimension symbolique devait, théoriquement, réunir la nation ? Parce qu’en homme de la IVe République, François Hollande considère que donner directement la voix au peuple, c’est commettre un péché contre l’esprit de la république ; parce que, de plus, la pratique a totalement été discréditée en 2005 aux yeux du pays légal, le peuple ayant sur l’Europe osé ne pas suivre les consignes de l’oligarchie. Hollande craignait-il par ailleurs que les Français, même d’accord avec la déchéance de la nationalité — le premier article, sur la constitutionnalisation de l’état d’urgence étant plus technique —, n’en profitent pour le désavouer dans les urnes sans attendre 2017 ?

    2017... La France peut-elle se permettre de « rater » 2017 comme elle a déjà « raté » 2007 et 2012 ? La situation est chaque jour plus grave et le fait que de plus en plus d’intellectuels, même et surtout de gauche, s’interrogent sur les questions de civilisation est un signe qui ne trompe pas. Car il en est de la France et des vieilles nations d’Europe comme des corps affaiblis : ils sont plus exposés au développement des maladies que les autres. C’est lorsque les défenses naturelles sont déjà anémiées par un premier agresseur, que le second voit sa progression facilitée. Nous en sommes là, nos nations ne sont plus que de grands corps malades et les attaques du terrorisme islamiste qu’elles subissent ne sont pas la cause du mal, mais l’effet d’un mal premier, qui prospère tel un parasite sur une plante qui ne sait plus se défendre, je dirais un « épiphénomène », si le mot avait encore son sens véritable. En grec, que le pays légal ne veut plus qu’on sache, les « épiphénomènes », ce sont les symptômes qui apparaissent subitement. en pleine lumière. Le grec le dit également de l’ennemi, qui surgit, du fourré, par exemple. Pour être seconds, donc, rien de secondaire dans de tels « épiphénomènes ».

    Oui, ces attentas terroristes, ceux qui viennent d’ensanglanter Bruxelles après avoir ensanglanté Paris, ne sont que le surgissement de l’ennemi, tapi au cœur de nos cités, tapi après y avoir été enfanté et nourri, non-éduqué et non-enseigné, aussi, un surgissement lentement préparé, mûri, subventionné, même, par les milliards de la politique de la non-ville arrosant les « quartiers », à l’ombre d’une nation que ses élites ont reniée et qu’elles n’ont eu de cesse d’apprendre aux Français — comme aux Belges —, de souche ou néo, à renier eux aussi, les submergeant d’une idéologie mondialiste où les droits de l’homme, la honte de soi, la repentance généralisée étaient les instruments d’un affaiblissement généralisé de nos défenses naturelles. Car cette détestation, c’est le seul enseignement que ces élites ont méthodiquement transmis à tous ceux que cette idéologie mondialiste a depuis plus de quarante ans invités à venir et à ne surtout pas s’assimiler, parce que l’assimilation serait fâchiste, voire raciste. Elle est d’ailleurs contraire aux « valeurs » de l’Europe : « L’intégration est un processus dynamique, à double sens, de compromis réciproque entre tous les immigrants et résidents des pays de l’UE ». Tel est le principe de base, adopté le 19 novembre 2004 par le Conseil européen Justice et Affaires Intérieures... Vous n’avez pas la berlue : l’intégration, autrement dit le « vivre-ensemble », serait un « processus dynamique, à double sens » ! Inventé, surtout, en vue de détruire les peuples, en France au travers d’une République de la diversité en exemple du village planétaire, c’est-à-dire du marché globalisé. Par deux fois à Paris en 2015, en mars dernier à Bruxelles, le vivre-ensemble nous est revenu en pleine figure comme un boomerang. Et encore, ne retenons-nous que les principaux attentats.

    Le terrorisme islamiste n’est que l’épiphénomène sanglant de ce renoncement à soi, la face émergée de cet aveuglement devant ce raz-de-marée, prêt à nous submerger d’autant plus facilement que nous avons arasé toutes les digues. C’est pourquoi il ne suffit plus d’attendre ou d’observer des « signes » de renaissance, même et surtout lorsqu’ils touchent directement à notre mémoire nationale, comme le retour de l’anneau de Jeanne. Un signe, comme son nom l’indique, n’a de valeur qu’en dehors de lui-même. Il est inutile, trahi même, s’il n’invite pas à l’action et au rassemblement. « Besognons, et Dieu donnera la victoire ! » 

    François Marcilhac - L’Action Française 2000

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Pèlerinage Paris-Chartres 2016

    Chers Camarades,

    Chaque année, pour la Pentecôte, Notre-Dame de Chrétienté organise un Pèlerinage de Notre-Dame de Paris jusqu’à Notre-Dame de Chartres dans un esprit traditionnel français.

    Comme chaque année, l’Action Française propose à ses membres animés par la Foi Catholique de participer au Pèlerinage au sein du Chapitre Sainte Jehanne de France(seconde fille de Louis XI et fondatrice de l’Ordre de l’Annonciation de la Vierge Marie). Ce Chapitre est l’un des plus anciens du Pèlerinage de Chartres et est entièrement géré par l’AF.

    Le pèlerinage se déroulera du samedi 14 au lundi 16 mai (semaine juste après la fête de Sainte Jeanne d’Arc).

    INSCRIPTIONS :

    Ouverture aujourd’hui (20 mars)
    - Région "PARIS EST +77"
    - Chapitre "SAINTE JEHANNE DE FRANCE"
    - LIEN INSCRIPTION

    PRIX :
    - Entre 54€ et 38€ jusqu’au 15 avril (en fonction de votre lieu de résidence)
    - Entre 68€ et 50€ après cette date (en fonction de votre lieu de résidence) S’inscrire en famille permet de limiter les frais (tarifs dégressifs)

    INFOS PRATIQUES :
    - Départ le samedi 14 très tôt en matinée (arrivée à Paris conseillée le vendredi 13 au soir)
    - Possibilité de rejoindre le pèlerinage en cours de route le samedi et le dimanche.
    - Arrivée à Chartres le lundi 16 en fin d’après midi.
    - Retour à Paris le lundi 16 vers 20h

    SECRÉTARIAT DU CHAPITRE :

    Antoine Berth - chapitresaintejehanne@gmail.com - https://twitter.com/berth_antoine

    Amitiés d’AF,

    Luigi Chef de Chapitre & Antoine

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pelerinage-Paris-Chartres-2016

  • Pour Eric Zemmour, « le PSG, c’est Gugusse of Benetton »

    Eric Zemmour s’est fait tonton flingueur ce matin sur RTL pour commenter la défaite du PSG en Ligue des champions : « C’est le terminus des prétentieux, le retour à la maison mère des gugusses de Montauban,les gugusses les mieux payés du monde, des gugusses de tous les pays du monde », a-t-il ironisé, ajoutant : « Le Paris Saint-Germain, c’est gugusse of Benetton ; »

    Ce passionné de football a tout particulièrement soigné Zlatan Ibrahimovic, « en tête de gondole des gugusses » et qui est « arrogant avec les faibles du championnat de France et minable avec les grands d’Europe », mais qui n’est finalement « que l’arbre qui ne cache pas la forêt : tous les autres sont à mettre dans le premier autocar pour Montauban » – Laurent Blanc inclus.

    Car le PSG qui a failli, c’est « le PSG avec son équipe sans joueur français ou presque, le PSG avec son argent qatari et son panel cosmopolite » : « Le PSG, assène l’éditorialiste, c’est la revanche ironique du droit du sol sur le droit du fric. » A comparer avec ces équipes françaises qui, autrefois, perdaient aussi, mais qu’on aimait parce que « c’étaient nos petits gars : ils étaient de notre chair et de notre sang »…