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  • Après le Traité de Lisbonne, Nicolas Sarkozy veut... un nouveau traité

    Après le rejet du Traité constitutionnel européen par les Français en 2005, Nicolas Sarkozy nous a imposé de force le Traité de Lisbonne, en tout point comparable. Devant l'échec criant de l'Union européenne face aux crises économique, migratoire, identitaire..., il propose rien de moins qu'un nouveau traité :

    "Au point où nous en sommes, il faut un nouveau traité, un traité de refondation. C'est la proposition que la France devra mettre sur la table dès le début de l'alternance. Et cela quelle que soit l'issue du référendum sur le Brexit. Si le Royaume-Uni sort de l'Union, ce sera une catastrophe pour eux et pour nous, annonçant une période de grande incertitude économique et politique. Sinon, ce sera évidemment une très bonne nouvelle, mais une véritable refondation de l'Europe n'en restera pas moins nécessaire.

    En quoi consisterait ce nouveau traité ?

    Il devra changer deux choses prioritairement: les compétences des institutions communautaires et leur fonctionnement. Il existe en réalité deux Europe qui n'ont plus besoin des mêmes politiques. Dans l'organisation de la zone euro, il faut aller jusqu'au bout de l'intégration: je proposerai la création d'un Fonds monétaire européen et d'un secrétaire général du gouvernement économique qui agisse comme un véritable directeur du Trésor. Le FMI n'a pas de légitimité pour s'occuper des affaires de l'UE, compte tenu notamment du poids qu'y ont les États-Unis. La légitimité du gouvernement économique de la zone euro devra reposer sur l'union de la France et de l'Allemagne, car nous représentons 50 % de son PIB.

    Quid des autres ?

    S'agissant de l'Europe à 28, il faut revoir complètement la répartition des compétences entre les États et l'Union. L'Europe s'occupe de beaucoup trop de choses. Il faut notamment en finir avec les excès de la Commission sur les «actes délégués».L'Europe doit recentrer ses compétences sur pas plus d'une dizaine de politiques communes prioritaires. Notamment, le droit de la concurrence européen doit être complètement revu. La Commission européenne ne peut pas constituer tout à la fois un exécutif, un législatif et un tribunal. L'Europe doit à nouveau être comprise des Européens."

    Sic. Ce fonctionnement décrié par Nicolas Sarkozy est issu du Traité de Lisbonne (qui reprend lui-même les traités antérieurs).

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • A Hénin-Beaumont (62), le maire FN donne son feu vert pour la construction de la mosquée Ennasr

    Le néo-FN n’en finit plus de renier les valeurs qu’on lui prête. Et pour cause, si l’on en croit le site musulman très bien informé « D et M » (pour des dômes et des minarets), site qui se veut « le journal des mosquées de France », la municipalité FN d’Hénin-Beaumont, dirigée par Steeve Briois et fief de Marine Le Pen en personne (c’est dans cette circonscription qu’elle s’est présentée en 2012 à la députation), a donné son feu vert pour la construction de la mosquée Ennsar le 7 mars dernier. Le site musulman n’hésite pas à se poser la question de savoir si Briois ne serait pas islamophile, avant d’ajouter toujours bien informé : « Une nouvelle qui surprend mais pas tellement si l’on suit de très près les rapports entre la municipalité FN et les représentants musulmans héninois. »

    Ainsi donc, ceux qui croient que le néo-FN lutterait contre l’islamisation de notre pays se trompe lourdement, ce néo-FN ne semble pas valoir mieux que l’UMPS, à cette différence près que ces partis assument leur islamophilie ce qui les rendraient presque plus respectables. Du reste, on comprend mieux pourquoi Marine Le Pen s’était elle-même montrée menaçante, il y a un 18 mois, envers les militants FN qui participaient aux manifestations organisées contre l’édification de la mosquée de Quimper : La lutte contre l’islamisation de la France ne fait pas partie des valeurs du néo-FN.

    http://www.contre-info.com/

  • La générosité sur le dos du peuple, spécialité des élites mondialisées

    Nous courons tout droit vers la catastrophe économique.

    L’une des plus grosses escroqueries intellectuelles de la période récente consiste à faire croire aux électeurs européens que le coût des dépenses nouvelles ou exceptionnelles que les États vont devoir engager en relation avec l’immigration sera supporté équitablement par l’ensemble des contribuables, comme toutes les autres dépenses publiques. Or, c’est archi-faux.

    Lorsqu’un État est obligé d’emprunter pour boucler son budget et que, par ailleurs, il est engagé dans une politique de réduction de ses dépenses et de gel des impôts, toute dépense supplémentaire ne peut être financée que par le recours à l’emprunt ou en procédant à des arbitrages aux dépens des dépenses courantes. C’est ce que les économistes appellent raisonner en coût marginal, par opposition au coût moyen. Dans le cas particulier de l’aide aux réfugiés – et il faut être clair là-dessus -, non seulement les gros contribuables ne paieront rien du tout (pas de nouvel impôt), mais encore ils ne subiront bien évidemment aucune pression à la baisse sur leurs revenus, et même pourront disposer d’une main-d’œuvre corvéable à merci (ouvriers, employés de maison). Comme on dit trivialement, pour eux, c’est tout bénef. En revanche, pour le citoyen lambda, c’est la double peine. Non seulement il va devoir accepter une concurrence déloyale sur le marché du travail, mais en plus, c’est lui qui va payer car, au minimum, il va devoir supporter – maîtrise des dépenses oblige – l’inévitable diminution en qualité (si ce n’est en quantité) du service public (protection sociale, assurance maladie, etc.).

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  • Tout le système des partis politiques prend en otage l’opinion publique

    Elie Hatem, avocat au Barreau de Paris, membre du Comité Directeur de l’Action Française, ancien candidat sous la bannière du « Rassemblement Bleu Marine » à des élections locales, ancien conseiller de Boutros Boutros-Ghali, ainsi que de plusieurs chefs d’états, il est interrogé dans Présent. Extrait :

    "Comment voyez-vous les élections de 2017 pour la droite nationale ?

    Malheureusement, la droite nationale est très divisée voire subdivisée, ce qui la fragilise vis-à-vis de ses adversaires alors qu’il existe un sursaut patriotique qui est, entre autres, le résultat du mécontentement exprimé par les Français des politiques menées par les deux formations traditionnelles de droite comme de gauche qui ont dominé la scène politique depuis des décennies. Il va donc falloir regrouper l’ensemble des formations de la droite nationale, en les réconciliant par la voie d’une médiation, afin de présenter un candidat unique qui sera celui du pays réel pour gagner ce pari et procéder aux changements attendus par les Français. Mais personnellement, j’en reste sceptique car j’estime que c’est tout le système républicain démocratique, celui des partis politiques, qui prend en otage l’opinion publique et qui est tributaire du pouvoir médiatique, qui est responsable de cet état de délabrement, en faussant la représentativité du pays réel et en élargissant le fossé avec le pays légal."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Tout le système des partis politiques prend en otage l’opinion publique

    Elie Hatem, avocat au Barreau de Paris, membre du Comité Directeur de l’Action Française, ancien candidat sous la bannière du « Rassemblement Bleu Marine » à des élections locales, ancien conseiller de Boutros Boutros-Ghali, ainsi que de plusieurs chefs d’états, il est interrogé dans Présent. Extrait :

    "Comment voyez-vous les élections de 2017 pour la droite nationale ?

    Malheureusement, la droite nationale est très divisée voire subdivisée, ce qui la fragilise vis-à-vis de ses adversaires alors qu’il existe un sursaut patriotique qui est, entre autres, le résultat du mécontentement exprimé par les Français des politiques menées par les deux formations traditionnelles de droite comme de gauche qui ont dominé la scène politique depuis des décennies. Il va donc falloir regrouper l’ensemble des formations de la droite nationale, en les réconciliant par la voie d’une médiation, afin de présenter un candidat unique qui sera celui du pays réel pour gagner ce pari et procéder aux changements attendus par les Français. Mais personnellement, j’en reste sceptique car j’estime que c’est tout le système républicain démocratique, celui des partis politiques, qui prend en otage l’opinion publique et qui est tributaire du pouvoir médiatique, qui est responsable de cet état de délabrement, en faussant la représentativité du pays réel et en élargissant le fossé avec le pays légal."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La 4e Journée régionale de Synthèse nationale à Lille, dimanche 24 avril dernier...

     Interventions de Roland Hélie, de Luc Pécharman

    et de Robert Spieler

    Comment empêcher la construction d'une mosquée en toute légalité.

    Intervention de Guy Hamon (Riposte laïque)

    Suite en début de semaine

    La 4e journée régionale de Lille cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • PASCAL LASSALLE À PROPOS DE « MINUIT », SUR RADIO COURTOISIE

    Extrait du Libre Journal de Pascal Lassalle, diffusé le 30 Avril 2016 sur Radio Courtoisie.

     

     

    Également sur VimeoDailymotion et Facebook.

    Pour écouter l’émission en intégralité, consacrée à Jean Mabire, cliquez sur l’image ci-dessous.

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    Conseil de lecture :

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