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Tribune libre – La Corse rebelle, par Vincent Revel
La Corse ne cesse de poser des soucis à nos bien-pensants. Depuis Napoléon, cette belle île de Méditerranée trouve toujours le moyen d’exaspérer l’oligarchie en place. Les Corses ont toujours gardé une attitude singulière et indépendante vis-à-vis des modes du moment : ils n’aiment pas qu’on leur impose ce qu’il faut penser. A ce niveau, la Corse reste un véritable casse-tête pour nos dirigeants hors sol, déconnectés de l’identité profonde des régions françaises.
Malraux avait prédit que le XXIe siècle serait religieux. Il ne s’était pas trompé. Mais il n’est pas que religieux ! Pour les Européens occidentaux, c’est aussi le siècle de la lâcheté, du renoncement, de la haine de soi, de la peur et du fanatisme qui va avec. Une simple salle de prière est vandalisée à Ajaccio et nous voyons, ventre à terre, tout la classe « médiatico-politique » s’emballer et dénoncer, toujours au nom de cette République qui a bon dos, les ignobles islamophobes qui mettent en danger le précieux « bien vivre ensemble ». Le système est bien huilé et rien ne l’empêchera de se donner en spectacle. Rien ne lui fera renoncer à changer en profondeur notre société.
Le fait divers est malheureux, mais plus que prévisible à la vue des multiples problèmes que pose l’islam à nos sociétés occidentales, permet, comme d’habitude, à nos antiracistes de reprendre leurs bâtons de juges et d’inquisiteurs pour mieux accabler les méchants Européens que nous sommes car coupables à leurs yeux de tous les maux de la Terre.
Pourtant tout le monde sait qu’en notre triste époque, les lieux de culte à être les plus dégradés en France sont les édifices catholiques ! Les dégradations et profanations visant les Eglises de France sont tellement nombreuses (presque une église par jour subit un acte malveillant) que notre même système médiatico-politique estime qu’il est nécessaire, toujours pour le même « bien vivre ensemble », de les taire. Pour ne pas stigmatiser, pour ne pas faire d’amalgame, pour ne pas froisser non plus la susceptibilité des milices antifascistes (responsables de nombreuses dégradations), nos censeurs préfèrent garder sous silence cet encombrant témoignage d’une société qui apprend de plus en plus à devenir indifférente aux véritables maux de son temps mais aussi à détourner les yeux des événements qui pourraient remettre en cause l’utopie multiculturaliste.
D’un côté, ils se font un devoir de marquer une indignation à la hauteur de la scandaleuse profanation et dans le même temps nous avons la loi du silence, une nouvelle omerta proche de celle dénoncée en Corse, puant la lâcheté, le renoncement, la haine de soi, la peur face aux fanatismes qui ont pour noms : l’islamisme radical et l’idéologie antiraciste.
Et pourtant, ces mêmes antiracistes portent seuls la responsabilité des fractures et déchirures qui se dessinent de partout au sein des sociétés européennes. Sans leur aveuglement et leur dictature de la pensée, ils nous seraient possibles d’aborder et d’apporter des solutions aux graves problèmes liés au communautarisme sectaire et violent, à l’islamisation de notre continent et à l’immigration de masse et de remplacement voulu par des technocrates et des politiques devenus en peu de temps une élite de déracinés. Tout ceci nous pousse rapidement vers une possible guerre civile et religieuse et si ce scénario devient malheureusement réalité, il faudra bien que les responsables rendent des comptes aux véritables victimes que sont les Européens de souche.
Vincent Revel
http://fr.novopress.info/200852/tribune-libre-corse-rebelle-vincent-revel/
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L'antiracisme : bannière de la haine raciale anti-blanche
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Présidentielle 2017 : trois mensonges pour une élection
Nous pouvons prévoir avec une quasi-certitude les principaux mensonges d’État qui structureront ce scrutin.
Dans un an exactement, l’élection présidentielle aura rendu son verdict. Le/la président(e) de la France sera désigné(e) pour cinq ans. Il est pour l’heure impossible d’en connaître le résultat puisque les sondages sont approximatifs et que la liste finale des candidats n’est pas encore arrêtée. Néanmoins, nous pouvons prévoir avec une quasi-certitude les principaux mensonges d’État qui structureront ce scrutin. Ces mensonges éculés ont pour objectif de détourner les Français des vrais enjeux de notre époque. On peut en identifier trois principaux, qui s’enchaîneront en fonction du calendrier électoral.
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AUTISME, DOGMES, MENSONGES & UTOPIES
Pieter Kerstens, notre correspondant à Bruxelles
Durant des décennies, le Royaume-Uni avec l’IRA et l’Espagne avec l’ETA ont connu un terrorisme ayant pour obectif essentiel l’avènement d’Etats indépendants.
Si les attentats commis par ces deux organisations avaient pour cibles des objectifs militaires dans leur grande majorité, nombreux furent les civils, victimes innocentes de tueries ou d’explosions aveugles dont le but était de mettre en péril les institutions des états.
La France a été confrontée elle aussi à d’innombrables attentats durant la période 1956-1963 lors de la guerre d’Algérie et ensuite 30 ans plus tard à ceux commis par le FIS et le GIA.
On ne peut donc pas prétendre que ces Etats et leurs gouvernements successifs ignorent les causes et les conséquences du terrorisme, d’autant plus que les services de renseignements, de l’armée et de la police avaient été mobilisés de longues années contre ce fléau. En outre, et depuis longtemps, différents systèmes de protection et de sécurité ont été installés dans le domaine public.
Tout ceci n’a pas empêché les attentats de Madrid à la gare Atocha en 2004, ni ceux du métro de Londres en 2005, capitale qui comptait plusieurs dizaines de milliers de caméras.
Le mensonge et la crédulité s’accouplent pour former l’opinion
Alors, malgré ces mesures prétendues « sécuritaires », la France a vécu les assassinats de Mohammed Merah en 2012, puis à Bruxelles ce fut la tuerie du musée juif par Medhi Nemmouche en juillet 2014, ensuite le massacre de Charlie Hebdo à Paris en janvier 2015, suivi de différents assassinats en province, pour aboutir au vendredi « noir » 13 novembre 2015 à Paris qui totalisa 130 victimes et des centaines de blessés.
Pourtant, des dizaines de milliers de policiers, CRS et militaires étaient mobilisés par les plans « Vigipirate » et « Sentinelle », sans compter les milliers de vigiles chargés de fouiller les sacs et colis suspects. Et que dire de la multitude de caméras installées partout entre 2005 et 2015 ? Tout ça pour ça ?
Le point d’orgue de cette succession macabre fut atteint le 22 mars 2016 à Bruxelles avec les attentats à l’aéroport et dans le métro : 35 morts et plus de 300 blessés, dont 25 sont toujours en soins « intensifs ».
Mais comment expliquer cette litanie de massacres d’innocents civils, alors même que ni l’armée ni la police présentent en tous lieux n’ont pu empêcher ceux-ci ?
A quoi servent toutes ces caméras, yeux virtuels de Big Brother ?
Quel fut le rôle des services de renseignements et d’espionnage ? Où est donc resté le principe de « précaution » ?
A posteriori, on pourrait dire : « Police partout, sécurité nulle part ! » et un observateur attentif de l’évolution de la délinquance et de la criminalité de conclure : « la Justice baisse les bras, la Police ferme les yeux… »
Niqabs, burqas, qamis et tutti quanti
On remarquera que les assassinats, les tueries et les attentats commis ces dernières années en Espagne, au Royaume-Uni, en France et en Belgique (où 23 suspects sont encore dans la nature) ont été revendiqués au nom de « Allah le Tout-Puissant ».
Pas de revendication pour l’indépendance de la Catalogne, de l’Ecosse, de la Bretagne ou de la Flandre…
Ces massacres sont destinés à répandre la terreur parmi les populations décadentes, afin qu’elles fassent pression sur leurs gouvernements respectifs pour faire cesser les actes hostiles et les campagnes militaires en terre d’ISLAM.
Et la réponse à ces attentats, des ministres qui nous gouvernent, se résume à des marches imbéciles au nom de « Charlie », à des attroupements de moutons en larmes, aux dépôts de gerbes répétitives, à des manifestations graphiques et à l’implantation de milliers de bougies (face au temple bruxellois du capitalisme apatride)… Toutes sortes d’expressions de peuples en déclin, soumis et incapables de sursaut, car décérébrés et manipulés par un Pouvoir impotent et incompétent.
Une nation qui se respecte, venge ses morts et ne pleurniche pas !
On ne fait pas la guerre en dentelle, ni avec des Kleenex
Cela fait déjà de nombreuses années que des criminologues et des experts du terrorisme rédigent des notes de synthèse à l’usage des ministres et des administrations en charge de la sécurité publique. Des milliers de rapports ont été transmis depuis les attentats du RER en 1995. Différents diagnostics ont été établis. Des décèlements précoces et des « modus operandi » ont été proposés.
Malgré tous ces avertissements, les Pouvoirs (de droite ou de gôche) n’en ont pas tenu compte, ont opéré des bouleversements dans les services concernés, ont multiplié les strates administratives et opérationnelles au point d’en arriver –en France comme en Belgique- à un véritable mille-feuille pour ce qui concerne la sécurité intérieure, impliquant des dizaines de hauts responsables pour chaque réunion majeure.
Et ces politiciens abrutis voudraient maintenant créer un organe regroupant l’ensemble des 28 pays d’Europe, ce qui pour un Etat-Major ayant « déclaré la guerre à DAESH », reviendrait à convoquer des centaines de participants pour chacune de leurs palabres ! Les djihadistes doivent en pleurer de rire.
Ces pourriticards n’ont pas pu, pas su ou pas voulu anticiper, prévenir et déjouer ces massacres, dont le sang tache leur conscience. Leur suffisance n’égale que leur impéritie.
Les terroristes ont de beaux jours devant eux, d’autant plus que la majorité des chefs d’Etats et de gouvernements européens évoluent encore dans leur bulle droits-de-l’hommiste, persuadés que les chimères multiculturelles de la société du « Vivrensemble » et du « Padamalgam » sont l’alpha et l’oméga de notre société ! Totalement déconnectés de la réalité, ces éminences qui nous dirigent nous conduisent vers le chaos et un choc sanglant de civilisations.
Il est grand temps de porter le fer et le feu dans les tanières de l’Islam des wahhabites et des takfiristes, de rétablir l’ordre public dans les Zones de Sécurité Prioritaires et de stopper l’immigration/invasion.
Il n’est pas trop tard pour modifier une législation inadaptée à l’état de guerre et de réinstaurer une Cour de Sûreté de l’Etat.
Il est urgent de réactiver des services de contre-terrorisme et de rétablir la peine de mort.
Sinon, on n’en terminera pas avec le cancer islamiste qui propage ses métastases de plus en plus mortelles au fil du temps qui passe.
La mort pour les assassins. La vie pour les innocents !
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Nous ne sommes pas en Mai 68... (partie 1)
« Le mois de Mai s'annonce couvert », ironisait l'un de mes amis l'autre jeudi quand, au centre de Rennes, les fumées lacrymogènes grisaient l'horizon et faisaient tousser nos voisins, tandis que, devant ou à côté de nous, des lycéens et quelques étudiants s'amusaient à provoquer les forces de l'ordre en une sorte de carnaval plus qu'en une émeute organisée : il est vrai que nous étions en après-midi et loin du lieu des principaux affrontements du midi, ceux-là mêmes qui avaient coûté un œil à un étudiant en géographie... La violence n'était plus, à l'heure où nous arpentions les abords de l'esplanade Charles-de-Gaulle, qu'un vague souvenir et les vitriers étaient déjà à pied d’œuvre alors même que les manifestants mimaient encore cette révolution dont ils n'ont pas, en définitive et pour la grande majorité d'entre eux, une idée claire, voire pas d'idée du tout... « C'est une révolte ? Non, sire, c'est un chahut », pouvait-on murmurer au milieu des clameurs juvéniles rennaises...
Comprenez-moi bien : je ne minimise pas ce qui est en train de se passer à travers le pays et principalement dans quelques grands centres urbains et universitaires, mais j'essaye d'en saisir tous les aspects pour mieux le comprendre et, éventuellement, en tirer profit, intellectuellement ou politiquement (ou les deux à la fois).
La contestation contre la loi de Mme El Khomry n'est qu'un révélateur ou un symptôme, nullement, à l'heure qu'il est et sous réserve de l'avenir, une révolution : cela ne veut pas dire qu'il n'y aurait pas de (bonnes et mauvaises) raisons aux événements en cours, et que certaines réflexions échangées lors des débats ou des « Nuit debout » ne méritent aucune attention. Mais la confusion qui règne désormais place de la République (tout un symbole !) et dans les rues du pays ne profite guère à la réflexion et au débat...
Et pourtant ! Il y aurait tant à dire sur la situation de notre pays, sur l'état du monde, sur la corruption des paysages et de l'environnement, sur ce consommatorisme et ce globalitarisme qui se parent des noms de « société de consommation » et de « mondialisation » ; il y aurait tant à dénoncer et tant à proposer, tant à détruire et tant à refonder, tant à dire et à écrire...
Nous ne sommes pas en Mai 68, et je ne sais pas vraiment s'il faut s'en féliciter ou s'en plaindre : d'ailleurs, Mai 68 fût, il faut le dire, une belle occasion manquée et son bilan, tiré de façon magistrale par Jean-Pierre Le Goff dans « Mai 68. L'héritage impossible », n'est guère brillant... Pourtant, « tout était possible », avec les risques du pire et les espérances du meilleur (comme le signalèrent alors les monarchistes Pierre Debray et Gérard Leclerc, mais aussi Maurice Clavel...), et cette période me rappelle la formule du comte de Chambord à propos de l'année 1789, à la fois implicitement dénonciatrice de ce sur quoi elle avait débouché et nostalgique de ce qu'elle aurait pu être et donner : « Avec vous, et quand vous voudrez, nous reprendrons le grand mouvement de 1789 »... Une formule que le royaliste Bernanos ne cessait de rappeler lui-même en fidèle de la légitimité royale incarnée par le comte de Paris, lui-même soucieux de renouer ce fil de la continuité française jadis tranché...
(à suivre)
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Visas : l’Union européenne cède encore face au chantage de la Turquie
La Commission européenne a recommandé mercredi l’exemption de visas pour les Turcs dans le cadre de l’accord sur les migrants. Pour Le Figaro, “l’Europe cède aux exigences de la Turquie” :
L’Allemagne et l’Autriche, où sont installées d’importantes communautés turques, redoutent en effet une multiplication des séjours irréguliers de ressortissants turcs qui ne rentreraient pas dans leur pays. Ainsi qu’une vague de demandes d’asiles introduites par les Kurdes fuyant les violences et les affrontements entre l’armée et le PKK. Ces deux éventualités ont été évoquées dans la proposition franco-allemande qui a servi de base pour la formulation des conditions permettant de rétablir l’obligation de visas.
Des voix s’élèvent pour dénoncer un chantage exercé par la Turquie qui cherche à obtenir son “brevet de démocratie”. Pour mieux espérer ensuite intégrer l’Union européenne ?…
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Nos politiciens nous mentent , ils n ont plus de pouvoir !
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Barbara Mazières sera-t-elle évincée du FN sur un mensonge ?
Communiqué de Barbara Mazières du 6 mai 2016 :
"Plusieurs responsables du Front National me signalent, ou signalent à des amis, que mon éviction de la fédération du Maine-et-Loire serait liée à ma « participation à une action que la direction actuelle du FN n'a pas cautionnée », à savoir le défilé du 1er mai organisé par Jean-Marie Le Pen. Cela a d’ailleurs été répété par des proches de M. Philippot sur les réseaux sociaux. Je serais ainsi "virée", si je puis dire, dans la même charrette que Mmes Arnautu et d'Ornano ou M. Gollnisch. Ces derniers sont des personnes pour lesquelles j'ai la plus grande admiration et avec lesquelles je partage l'essentiel des convictions. Je trouverais donc parfaitement honorable de "siéger" dans la même charrette qu'eux. Il se trouve cependant que c'est totalement faux. Ce week-end du 1er mai, j'étais retenue en Anjou par une réunion de famille. Des dizaines de personnes peuvent témoigner m'y avoir vue et je défie quiconque d'affirmer que j'étais à Paris - que ce soit au dépôt de gerbe de Jean-Marie Le Pen ou au banquet de sa fille. Manifestement, M. Philippot et ses amis n'assument pas leur changement de ligne politique. D'autant moins qu'ils savent pertinemment que l'écrasante majorité des électeurs du FN partagent mon avis sur la loi Taubira. Pour cacher le désaccord de fond, ils préfèrent donc opter pour le mensonge et la calomnie. Ce n'est certes pas cela qui contribuera à les faire remonter dans mon estime. Mais cette rumeur éveille en moi une perplexité: dois-je supposer que ce mensonge a été également offert à Marine Le Pen et au bureau politique pour avoir ma tête? Et, si tel était le cas, M. Philippot et ses amis pensent-ils vraiment gouverner la France comme ils gouvernent le Front national ?"Barbara Mazières
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La preuve que 911 (11 septembre 2001) est un complot