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  • Responsabilisation écologiste.

    La cause écologiste est la grande oubliée de cette année 2016 après une COP 21 pleine de promesses et vide d'actes concrets, et elle ne jouera sans doute pas un grand rôle dans la détermination électorale de la prochaine présidentielle, surtout si Nicolas Hulot n'y participe pas et que Mme Duflot n'obtient pas (sauf manœuvre de la droite républicaine) les signatures d'élus nécessaires à toute candidature. Tout comme elle est la grande perdante de l'actuelle confrontation autour de la loi El Khomry... Bien sûr, il y a le référendum prochain du 26 juin sur le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, mais il ne concernera que les électeurs de Loire-Atlantique et n'aura sans doute guère d'impact sur la suite des événements, chaque camp annonçant sa décision de ne pas respecter le résultat du vote s'il ne leur est pas favorable : échec programmé de la démocratie, et pas seulement locale !

    Et pourtant ! Jamais la cause écologiste n'a été aussi nécessaire et les échéances aussi proches sur le plan environnemental, mais qui, dans le monde politique ou dans la société, s'en soucie ? Même les participants à « Nuit debout » ne semblent guère motivés par le sujet, certains n'ayant pas hésité à chasser de leur lieu de rassemblement le seul philosophe médiatique à se préoccuper de la cause animale et à écrire (et parler) contre le système de concentration bovine initié par la ferme des mille vaches, c'est-à-dire Alain Finkielkraut.

    De plus, la semaine dernière, la « pénurie » de carburant a montré à l'envi combien il est illusoire de demander aux consommateurs de refréner leur voracité énergétique, ceux-ci se précipitant vers les stations d'essence pour remplir des réservoirs parfois déjà presque pleins, comme s'ils avaient peur de manquer de leur dose quotidienne de pétrole : d'ailleurs, c'est cette ruée qui semblait parfois confiner à une panique irraisonnée qui a véritablement transformé la prédiction de pénurie en... pénurie ! Le quotidien breton Ouest-France évoquait une multiplication par cinq de la consommation à la pompe dans certains endroits, preuve de cet emballement dément. 

    Sans une responsabilisation de la population, la protection et pérennisation d'un environnement naturel favorable à l'homme et à la biodiversité restera un vœu pieux, pourra dire celui qui est seulement démocrate. Mais le royaliste ira plus loin et rappellera que sans un État digne de ce nom et conscient des devoirs des sociétés et des limites de notre planète, rien ne sera possible, concrètement. Un État lui-même responsable, non seulement devant les hommes du présent mais aussi devant les générations à venir... 

    Mais cet État, qui ne doit pas être obsédé par l'immédiateté ni par quelque popularité électorale (dont on sait que, souvent, elle ne dure que le temps que vivent les roses et que fanent les promesses), ne peut être « seulement démocratique » : il lui fautcette forme monarchique qui inscrit le politique dans la durée et la continuité, et cette spécificité royale qui fait du souverain un « père » soucieux de la santé et de l'avenir de sa famille, et qui s'effacera, le jour venu, devant son héritier en lui transmettant l'héritage  préservé et, éventuellement, agrandi et embelli. C'est cet État qui, lui-même hautement responsable devant l'histoire et les familles, pourra responsabiliser autrui, citoyens comme entreprises, autant par l'exemple que par la promotion d'un modèle de société « enraciné »...

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Attaques contre la famille : un déni d'écologie humaine

    Tugdual Derville est interrogé dans Le Figaro, suite à la parution de son dernier livre, Le temps de l'Homme , pour une révolution de l'écologie humaine. Extrait :

    "[...] La famille représente l'écosystème de base. Quand l'homme naît, il ne débarque pas dans la nature mais en premier lieu dans une culture, qu'on nomme maternelle, et qui commence par une culture du soin et de l'amour. Cet écosystème familial est à l'origine de toute société. Le village est une famille de familles. Le «pays», au sens de territoire de proximité, est une famille de familles de familles… Notre nation met à l'honneur le beau mot de «fraternité» dans sa devise: il manifeste combien le lien familial est la référence première de toute vie en société. Je ne nie pas qu'il puisse également être un lieu de souffrance.

    Aujourd'hui, malgré les fragilisations qu'elle a subies, la famille résiste: encore 70 % des Français mineurs vivent avec leurs deux parents. C'est un repère plébiscité par les français: 80 % considèrent qu'un enfant a besoin, pour son meilleur épanouissement, de vivre avec son père et sa mère. Il n'est pas juste que les politiques érigent en modèles équivalents certains types de configurations issues d'une rupture ou d'un deuil toujours douloureux. La séparation des parents reste une source de souffrance pour tout enfant. Najat Vallaud-Belkacem peut bien dire le contraire, en laissant entendre devant des collégiens que le divorce ne les fait plus souffrir… C'est un déni d'écologie humaine.

    Comme Lionel Jospin, il faut rappeler que l'humanité est faite d'hommes et de femmes. C'est cette parité fondamentale qui est à défendre. En Grande-Bretagne, il est désormais légal de concevoir artificiellement un enfant à trois parents, l'enfant d'un homme et de deux femmes, dont l'une «donne» son ADN mitochondrial. On casse un repère anthropologique structurant. La parité homme femme, que les déconstructeurs veulent abolir, doit être protégée dans l'engendrement.

    La compulsion libertaire a engendré beaucoup de souffrances familiales, en ridiculisant notamment la fidélité sexuelle. Elle reste pourtant une valeur précieuse pour la majorité des français. Mai 68 a consacré la précarité affective, surtout au dépens des femmes et des enfants, laissant accroire que ses formules adolescentes comme «jouir sans entraves» ou «il est interdit d'interdire» libéraient. En réalité, la régulation des désirs, même les plus légitimes, est indispensable pour instaurer une société de confiance, de sécurité et de protection des faibles.

    Je montre dans Le temps de l'Homme jusqu'où va la logique des déconstructeurs qui n'hésitent pas à plaider pour que sautent les «derniers tabous sexuels» de l'inceste à la zoophilie. Au fond, c'est l'abolition de tous les repères, l'arrachage de toute les racines et la liquéfaction de la société qu'il faudrait acter. La révolte anthropologique est légitime. [...]"

    Michel Janva

  • Une université d’été pour les jeunes patriotes !

    La formation est essentielle pour comprendre le monde qui nous entoure. Et il est difficile et périlleux de se la procurer soi-même.

    Or, le mouvement Renouveau français (une organisation politique sérieuse, avec d’excellentes idées) propose sa traditionnelle Université d’été (où règnent moralité et bonne ambiance), qui pourra légitimement intéresser certains de nos jeunes lecteurs (ou des lecteurs connaissant des jeunes) :

    visuudt2016

    « Le programme sera riche et des personnalités qualifiées interviendront (auteurs, conférenciers, etc., tels que Marion Sigaut, Thibaut de Chassey…). Participation de délégations étrangères. »

    Une bonne occasion de franchir le cap du virtuel, de rencontrer d’autres jeunes partageant les mêmes aspirations, et de profiter d’une formation politique et historique de qualité !

    Détails en cliquant ici.

    http://www.contre-info.com/

  • Ne jamais capituler face aux bolcheviks

    En 1920 un vieux médecin russe réfugié en France, aujourd'hui oublié, le disait déjà : "la Révolution, c'est une psychose à répétition".

    Depuis bientôt un siècle les psychotiques répètent, parfois dans le vide, parfois dans le sang, les mêmes actes, les mêmes grimaces ou les mêmes crimes, tout en prétendant toujours faire du neuf avec les mêmes vieux matériaux. La violence vient d'eux, mais ils prétendent exercer le monopole du droit de la dénoncer. Ne sont-ils pas supposés incarner le "camp de la paix"?

    À noter que plus de 350 blessés chez les forces de l'ordre, cela ne semble émouvoir ni les politiciens ni les journalistes et cela laisse impunie la prétention de dénoncer une violence… "policière"

    Le conflit actuellement en cours a démarré le 9 mars.

    Pendant quelque trois mois la CGT aura professé pour doctrine qu'elle exigeait le retrait pur et simple d'un texte qui, entre-temps, a été discuté et copieusement amendé au parlement, au point de le rendre méconnaissable et probablement contre-productif par rapport à la nécessaire réforme du marché du travail.

    À Marseille, du 18 au 22 avril, le 51e congrès de la CGT n'a pas seulement confirmé à la tête de la centrale le secrétaire confédéral Martinez : elle a également avalisé une ligne nettement plus à gauche, plus violente, nettement plus bolchevique pour tout dire, que celle vaguement ondoyante d'un Thibault ou de la direction du PCF.

    Le 28 avril le Martinez se rend place de la République pour dialoguer avec les Nuit-debout. Il y reçoit un accueil mitigé. Reprenons ici le compte rendu du "Monde" : "La foule ricane, l’adhésion n’est pas immédiate. « Je me réjouis de participer à l’assemblée générale », lance-t-il." (1) Les staliniens et léninistes d'appareil ont toujours eu du mal avec les électrons gauchistes. Ils ont même inventé le concept pour stigmatiser leurs tendances à désobéir.

    Le 29 mai Martinez déclare avoir reçu la veille un coup de fil du Premier ministre : "C'est quand même mieux quand on se parle, c'est ce qu'on dit depuis plusieurs mois. " Non, assure-t-il désormais, "il n'y a pas de bras de fer" entre lui et Manuel Valls.

    Le 30 mai confronté à Laurent Berger son homologue à la tête de la CGT, Martinez affirme souhaiter "rouvrir des négociations avec le gouvernement sur l'article 2 de la Loi."

    Le 1er juin il déclare : "Si le gouvernement, demain, dit 'on discute', il n'y a plus de grève. Que chacun prenne ses responsabilités."

    Que s'est-il donc passé dans la dernière semaine de mai ?

    Il serait bien hasardeux d'attribuer au gros ramollo Hollande une tenue de route un peu ferme : en réalité c'est la société française, ce sont les travailleurs eux-mêmes qui ont commencé à dire non aux mots d'ordre d'enfumage lancés par la CGT.

    En fait, discrètement, le pouvoir a cédé sur une affaire essentielle pour la CGT : ce qu'on appelle le "statut" du cheminot, en cours de renégociation dans le cadre d'un nouvel accord d'entreprise et d'une convention de branches. Le ministre des Transports est allé si loin dans les concessions que le patron de SNCF-Mobilité – l'entreprise de transport – Guillaume Pépy, habituellement fort "consensuel" a menacé de démissionner, sans, toutefois, donner suite à sa colère.

    Car les manifestations n'ont jamais fait le plein. On a cherché à faire peur aux Français avec la pénurie d'essence : les queues interminables aux pompes ont été occasionnées cette semaine-là, dans certains départements, précisément par la panique et non par le blocage des raffineries ; les pompistes en effet ont vendu entre 3 et 5 fois plus d'essence qu'à l'accoutumée. La grève des centrales nucléaires fut agitée 24 heures comme un faire-peur, etc. Et comme toujours les médias ont répété ce que disait l'AFP… Mais au bout du compte, rien n'a vraiment suivi. Les Français ne semblent pas encore mûrs pour le type de révolution genre "socialisme bolivarien" auquel aspirent tous les petits Martinez.

    Ceux-ci demeurent dangereux et il convient toujours de s'en prémunir mais plus dangereux encore sont ceux qui leur ouvrent les portes, ceux qui les ménagent dans les médias, ceux qui guignent leurs suffrages en vue des élections de 2017.

    N'oublions pas non plus le jeu très trouble de FO, dont on discerne mal aujourd'hui les objectifs spécifiques par rapport à ceux des staliniens de la CGT.

    Le peuple français doit leur dire non mais il n'a pas besoin pour cela des mauvais négociateurs capitulards de la classe politique.

    (1) cf. "A Nuit debout, les syndicats reçoivent un accueil mitigé".

    http://www.insolent.fr/

  • Boris Le Lay face au précipice économique: « préparez-vous ça va secouer, les confrontations seront identitaires »

    Boris Le Lay estime que la loi travail est insignifiante dans l’effondrement monétaire qui se prépare et qui va entrainé la fin de tout ce que nous avons connu dans un gigantesque chaos. Dés début juin, l’État emprunte pour régler les salaires des fonctionnaires et poursuit ses dépenses non budgétées… L’achat de la paix sociale des « enclaves ethniques et religieuses », par l’État ne pourra plus être assuré qui va entrainer des explosions sociales et des conflits en cascades selon des lignes de fractures identitaires. Pourquoi les européens ne font plus d’enfants? Parce qu’ils n’en ont plus besoin pour assurer leur vieillesse, voilà la rançon des retraites… Au niveau international des États, notamment en Europe, seront happés… Ce sera le prix à payer pour une renaissance.

    http://www.medias-presse.info/boris-le-lay-face-au-precipice-economique-preparez-vous-ca-va-secouer-les-confrontations-seront-identitaires/55724

  • L’actuelle France : l’invasion des sous-doués & la fuite des diplômés

    Dr Bernard Plouvier

    L’État a pour première justification la protection des citoyens et de leurs biens acquis par le travail et l’épargne, parfois étalée sur plusieurs générations. « Si les individus, si les familles entrant dans la société y trouvaient, au lieu d’un soutien, un obstacle, au lieu d’une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plus à fuir qu’à rechercher » (Léon XIII,Rerum novarum, 15 mai 1891).

    Même un athée doit reconnaître que le plus grand pape des temps modernes était un penseur économique et social d’exception, sans commune mesure avec les pitres qui font semblant de nous gouverner depuis un demi-siècle.

    En 2016, les immigrés d’origine extra-européenne représentent 12 à 14 millions de la population implantée en métropole… il ne s’agit que d’estimations, puisque les honnêtes politiciens et leurs sous-fifres des bureaux ministériels cachent la vérité au peuple souverain ! Parallèlement, depuis 15 années, 50 000 Français de souche européenne, presque tous nantis de diplômes de valeur, émigrent chaque année.

    D’un côté, entre une majorité de sous-évolués, parfois analphabètes, toujours arrogants, voire agressifs, important pour l’écrasante majorité d’entre eux une religion médiévale de haine pour « l’infidèle ». En contrepartie, des Français autochtones quittent définitivement le sol national devenu insalubre à leurs yeux.          

    L’État de droit se définit par son résultat : la paix civile et sociale. Deux hommes d’État – les seuls que la France ait connus en un peu plus de deux siècles - ont écrit la même chose sur la genèse du désordre. « Le mépris des lois par le peuple et l’ébranlement de l’ordre social ne sont que les conséquences de la faiblesse des gouvernants » (Napoléon Ierà Sainte-Hélène) ; « L’anarchie administrative et sociale est la préface ordinaire des révolutions et des dictatures » (Raymond Poincaré, 1906).

    La débâcle de l’Empire romain d’occident a commencé lorsque le Princeps senatus & Imperator Marc-Aurèle a détruit une bonne part du prestige impérial en octroyant sa succession à son abruti criminel et débauché de fils, Commode. Lorsque la Constitution ou la tradition laissent au chef d’État le choix de son successeur, celui-ci a le devoir de mettre en selle un homme capable et honnête.

    De nos jours, seules les majorités électorales sont responsables de leurs mauvais choix. Et, depuis 1969, les Français ont choisi la pire collection d’incapables que l’on pouvait imaginer : un grand commis de la finance cosmopolite encourageant les bétonneurs des cités et du littoral, l’homme du regroupement familial des immigrés extra-européens, l’homme-lige de la finance internationale engageant le pays dans la globalo-mondialisation, le Président Black-Beur, l’agité qui avait des idées mais n’a jamais osé les appliquer, le vieil et ventripotent adolescent en goguette qui poursuit l’effort de destruction de la famille et de la Nation.

    À la tête de l’État, on n’aperçoit que des ambitieux, des corrompus et des adeptes de la débauche, des touristes et des parasites. Enfin, et c’est plus grave, l’on n’aperçoit aucun homme d’action ni d’homme à idée. L’État est bafoué par des islamistes, des potaches, des gauchistes issus de la bourgeoisie, des syndicalistes avides de notoriété, des fonctionnaires qui paralysent les transports et tentent de le faire avec la fourniture d’électricité. La Nation est ridiculisée par l’incurie, l’incapacité, la lâcheté des soi-disant « chefs ».

    La presse européenne se déchaîne, à juste titre, contre la chienlit française. Les Allemands feraient bien de chasser leur Chancelière devenus folle, mais pour l’instant ils s’amusent à nos dépens et comment leur donner tort ? On imagine sans peine le raisonnement des investisseurs étrangers : s’il est un pays où il ne faut pas envisager d’entrer, c’est bien la France en état de pourrissement avancé.

    « La constitution et l’administration de la Société doivent procurer la prospérité publique et privée » (toujours Léon XIII). « L’État doit servir l’intérêt commun… selon la stricte justice qui veut que l’on rende à chacun son dû » (Thomas Hobbes, inLéviathan). Pour l’heure, l’État français – à la Dette pharaonique et qui ne survit qu’à coups de planche européenne à billets – dorlote immigrés et imams, gauchistes et potaches, mais tabasse les patriotes, les paysans au bord de la faillite, les défenseurs de la dignité familiale.

    On comprend qu’affluent certains indésirables, tandis que d’autres, écœurés vont voir ailleurs si la soupe sociale est moins infecte.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/tribune-du-dr-bernard-plouvier/

  • L’Arabie Saoudite a transformé le Kosovo en repaire de djihadistes

    « Après l’indépendance du Kosovo, des financements saoudiens ont permis d’implanter le wahhabisme dans le pays.

    Ces deux dernières années, 314 Kosovars sont partis rejoindre l’Etat islamique, ce qui fait du Kosovo le pays européen avec le plus de recrues de Daech en proportion de sa population. Des chiffres qui s’expliquent par l’influence de l’argent saoudien, qui «a transformé cette société musulmane autrefois tolérante… en réservoir de djihadistes», explique un article du New York Times.

    Tout a commencé en 1999, lorsque le pays est devenu indépendant après une guerre [soutenue par l’OTANT] contre la Serbie. A ce moment là, alors que des troupes américaines et des représentants de l’ONU administraient le territoire et assuraient la sécurité, des fonds venant d’Arabie Saoudite, aussi bien d’organisations caritatives, de ministères que de personnes privées ont financé la promotion du wahhabisme, une interprétation radicale de l’islam.

    En quinze ans environ, cet argent a été utilisé pour la construction de 240 mosquées dans lesquelles fleurissent des discours pro-djihad, ainsi que pour des centaines de bourses scolaires qui ont permis à des Kosovars d’aller étudier en Arabie Saoudite. Les imams qui ont suivi cette formation sont revenus avec une vision très rigoriste de l’islam. Dans les villages où ils enseignent, des jeunes femmes se sont mises à refuser de parler aux membres masculins de leur famille et des jeunes hommes sont partis faire le djihad en Syrie. »

    Source et suite : Slate

    http://www.contre-info.com/

  • Les 3 verrous à faire sauter pour débloquer l’économie française - Programme économique du FN #10