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  • L'avis des premiers lecteurs sur le nouveau roman de Laurent Obertone : Guerilla

    Un roman dont l'histoire est très proche du réel :

    6a00d83451619c69e201bb0939671c970d-800wi.jpgDans une France proche et obscure, une descente de police dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément. La cité s’embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose. Forces de l’ordre, voyous, terroristes, responsables, journalistes, citoyens, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos. Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d’approvisionnements, d’ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel. Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s’apprêtent à faire face au carnage.

    Les événements décrits dans Guerilla reposent sur le récent travail d’écoute, de détection et les prévisions du renseignement français. Après deux ans d’immersion au contact d’agents des services spéciaux et des plus grands spécialistes de la terreur et des catastrophes, l’auteur du chef-d’oeuvre Utøya(l’affaire Breivik) et de l’enquête phénomène La France Orange Mécanique livre un roman météore ultra-réaliste et nous plonge dans le récit paroxystique de la guerre civile.

    À la veille de la sortie de Guerilla, le nouveau roman de Laurent Obertone est d’ores et déjà en 3e position des meilleures ventes Amazon.  


    Guerilla (Obertone) : l'avis des premiers lecteurs par Editions_Ring

    Michel Janva

  • « La Corse se veut une terre chrétienne »

    Nous avons joint Maître Trémolet de Villers à Rosario, près de Corte, au cœur de la Corse à laquelle il est fidèle tous les ans pour les vacances, car il nous a semblé que pour évoquer les derniers événements qui ont agité l'Ile, c'était à un Corse qu'il fallait s'adresser.

    Entretien avec Jacques Trémolet de Villers

    Maître, que s'est-il passé exactement à Sisco, sur cette petite plage corse ?

    Je n'ai pas d'autres informations que ce qui se dit et ce que j'ai entendu sur les places, dans les rues ou dans les bars. On parie d'une provocation tout à fait surprenante. Ici, vous savez, la population maghrébine est nombreuse, mais si l’on met de côté l'incident de Noël dernier à Ajaccio [où un camion de pompier, le jour de Noël, est tombé dans un piège tendu par quelques jeunes du Quartier de l'Empereur. Une salle de prière musulmane avait été saccagée en représailles], cette population demeure assez respectueuse. Là nous avons vu quelque chose à un degré plus important : il y a d'abord eu des femmes qui se sont baignées en burkini et quelques touristes qui les ont prises en photo. Ils se sont fait agresser par la famille maghrébine. Enfin, très vite, les touristes et les locaux se sont retrouvés contre les Maghrébins, deux franco-marocains originaires de l'Ile et deux du Continent, dont il faut dire qu'ils étaient, les uns et les autres, sous l'emprise de la cocaïne, comme s'ils avaient eu besoin de cela pour se préparer à combattre. Leur message ? « Venez à Lupino (un quartier de Bastia) et vous verrez que là vous n'êtes pas chez vous. Nous sommes chez nous ». Comme dans l'affaire du Quartier de l'Empereur à Ajaccio, la population est allée à Lupino. Les Corses sont rentrés dans tous les immeubles sans violence, sur le thème : « Nous sommes chez nous ».

    Comment peut-on expliquer ce débordement soudain ?

    La population est à cran. On constate qu'immédiatement après l'affaire de Sisco, non seulement à Sisco mais à Cagnano et à Ghisonaccia, les mairies ont réagi très fortement. À Cagnano par exemple, un arrêté a été voté en urgence interdisant « toute tenue contraire aux bonnes mœurs et à la laïcité » (sic) et, je cite, « restreignant provisoirement la libre manifestation des convictions religieuses des usagers du service public balnéaire, afin d'assurer le bon fonctionnement de celui-ci ». Par ailleurs, le FLNC avait prévenu : « Nous frapperons les premiers ». De l'autre côté, il semble bien qu'on a voulu rappeler aux Corses qu'il n'y avait pas de terre exclue de la conquête arabe. Le Procureur de Bastia Nicolas Bessone a été formel : « À l'évidence, à l'origine des incidents se trouvent des membres de la famille maghrébine qui ont voulu, dans une logique de caïdat, s'approprier la plage et la privatiser ». Cette façon de faire concerne surtout les jeunes. Elle est tout à fait nouvelle dans l’Ile.

    Quelle est l'atmosphère dans l’île ?

    Il faut souligner que le 15 août, fête traditionnelle de la Corse, fête de Marie reine de la Corse, les processions ont été très nombreuses, avec, je parle ici pour mon village, Vivario, une ferveur que l'on avait un peu oublié. Nous avons eu, après le sinistre 14 juillet à Nice, la procession de notre saint patron, Saint Pierre aux liens, le 1er août. Le chant « À toi la gloire, à toi la victoire » était chanté avec force, comme pour montrer une décision particulière, la certitude d'une légitimité. Dans les cafés, on entend constamment des expressions martiales comme « s'ils veulent la guerre, ils l'auront ». Comme dans toutes les îles je crois, on observe en Corse un curieux mélange de tolérance et de méfiance envers les étrangers. Il y a une tradition d'hospitalité, mais en même temps, l'étranger est rejeté s'il est odieux. H y a un sentiment nouveau qui pointe. Les Anciens qui vivent là sans heurts depuis longtemps sont désarçonnés. Dans mon village, à Vivario, il y a une seule famille musulmane : naguère, elle descendait pour acclamer la Procession ; ils étaient comme beaucoup d'immigrés qui surtout ne voulaient pas d'histoire. Cette population-là est déconcertée par ce qui se passe. On redécouvre le caractère inassimilable d'un certain islam. Et face à cela, il y a une réaffirmation de l'identité chrétienne de la terre de Corse, par des moyens populaires : les processions, les confréries, les chants, c'est énorme ! Pour le 15 août, Corse Matin titrait : Marie reine de Corse.

    Et le Continent dans tout ça ?

    Jean-Luc de Carbuccia, évoquant cette intensité insulaire, explique que la Corse est le miroir grossissant du Continent. C'est vrai que la Corse est très déchristianisée, comme le Continent : la pratique religieuse n'est pas beaucoup plus élevée que sur le Continent. Mais il y a aussi un jeune clergé enthousiaste, comme sur le Continent. Je pense au curé de Corte expliquant le 15 août que « avant la force des armes, il y a la force de la foi ». Il n'a pas dit « contre la force des armes ». Les Corses sont très déterminés. Ils ressentent une appartenance de leur Ile, qui se veut « terre chrétienne ». C'est dans cette perspective où l'on chante le « Chez nous soyez reine » comme le « Dio vi salvi regina » que Jean-Guy Talamoni, président de l'assemblée de Corse, a estimé « juste et compréhensible la réaction du peuple corse ».

    Propos recueillis par Alain Hasso monde&vie 1er septembre 2016

  • Emeutes à Charlotte : le prisme racialiste des médias français

    Pour ceux qui ont entendu parlé des émeutes dans la ville de Charlotte aux Etats-Unis, opposant une partie de la population aux forces de police, vous aurez sans doute retenu la chose suivante : un noir a été abattu par des policiers alors qu’il ne faisait rien, d’où le déclenchement des émeutes. Cette version est fausse, non pas que ce qui y est dit soit matériellement faux, mais ce qui n’est pas dit change tout.

    Certes l’homme abattu est noir. Mais le policier qui l’a abattu est noir aussi, et le chef de la police locale est noir, ce qui change largement la perspective de l’information. Car bien évidemment, avec une telle précision, on comprend aisément que la couleur du policier comme de la victime n’ont aucun intérêt à être relevé si ce n’est pour désinformer et en faire un acte raciste ce qui n’est pas le cas. Imaginez que le policier fut blanc et l’homme abattu noir, l’évidence raciste sans contestation possible sous peine de révisionnisme aurait été proclamé. Quant à un homme blanc abattu par un policier noir, personne n’en n’aurait parlé.

    Les médias qui font une telle présentation des faits sont racistes et malhonnêtes : peu importe la couleur de l’un ou de l’autre. Il y a un homme qui a été abattu par un policier dans un contexte où les policiers semble avoir la gachette de plus en plus facile dans des Etats où ils ont un quasi droit de tuer. Il s’agit donc d’une problématique sociale et non raciste, n’en déplaise aux médias racistes et maçonniques du système. 

    http://www.medias-presse.info/emeutes-a-charlotte-le-prisme-racialiste-des-medias-francais/61426

  • Mercredi 28 septembre : Jean-Marie Le Pen sera en Seine-et-Marne

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    Et le dimanche 2 octobre, à Rungis (94) :

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  • La choquante vérité à propos de la surprise d'octobre d'Hillary (VOSTFR)

  • La presse politiquement correcte en baisse

    La presse quotidienne nationale a vu ses ventes diminuer de 2,3% sur les 7 premiers mois de l'année, davantage que la baisse de 1,4% sur l'ensemble de 2015. 

    Concurrencés par l'info gratuite sur internet, la fameuse fachosphère (!), pénalisés par les fermetures de kiosques, la plupart des titres ont subi une baisse de leurs ventes papier, que la hausse des ventes numériques n'a pas suffit à compenser. Le politiquement correct n'attire pas le lecteur...

    Le quotidien le plus touché est "Libération" dont les ventes ont chuté de 21,5%, à 73506 exemplaires en moyenne par jour. Sont également en baisse

    • Le Parisien/Aujourd'hui en France -4,9% (341000 exemplaires quotidiens en cumulé dont 209000 pour Le Parisien),
    • Le Figaro (-2,8%, 307.000 ex.),
    • Le Monde (-1,8%, 267.000 ex.)
    • La Croix (-0,4%, 93.000 ex).

    Parmi les titres en hausse, Les Echos (+1,2% à 127.000) et L'Equipe (+5% à 228.000). 

    Nous n'avons pas les chiffres du quotidien Présent, mais Francis Bergeron annonçait dans le numéro du 9 août que les ventes en kiosque étaient en hausse et écrivait même :

    "nous ne sommes plus très loin de L’Humanité ou de La Croix."

    Dans la presse magazine, c'est L'Express qui souffre le plus (-21%). 

    • Marianne (-12%)
    • Le Point (-8%)
    • Le Journal du Dimanche (-9% )

    L'Obs n'a pas encore transmis ses chiffres. Seuls quelques titres sont en hausse : Valeurs Actuelles (+5%) et Challenges (+3%). 

    Dans la presse quotidienne régionale, les 67 titres recensés sont tous en recul, entre -0,5% et -9% sur un an (entre juillet 2015 et juin 2016).

    • Ouest France a vu ses ventes baisser de 2,3% sur un an, à 688.000 exemplaires,
    • Sud Ouest de -3,6%,
    • La Voix du Nord de 4,6%
    • Le Parisien de -6%. 

    Selon l'étude de l'ACPM, 95% de la population française déclare lire chaque mois au moins un titre de presse papier, et 61% en lit un chaque jour, dont 39% au moins un quotidien et 45% au moins un magazine. 71% des français lisent aussi au moins une marque de presse en version numérique, dont 46% sur mobile.  

    Michel Janva

  • Le destin de l'Europe s'est-il joué à Gettysburg ?

    Voilà une bien curieuse question!... Comment et pourquoi l'avenir du Vieux continent aurait-il pu être radicalement transformé dans cette paisible bourgade de l'Etat de Pennsylvanie, fut-elle le lieu de la plus célèbre bataille de la Guerre de Sécession ?

    Tenter d'y apporter quelque réponse ne serait que pure spéculation. Mais la question mérite d'être posée.

    Le présent article n'a pas la prétention de dresser un minutieux détail de la fameuse bataille qui se déroula du 1er au 3 juillet 1863. Le lecteur intéressé se reportera aux ouvrages de Lee Kennett, de même qu'au Blanc Soleil des vaincus de Dominique Venner que les Editions Via Romana ont eu l'heureuse idée de rééditer, enrichi d'une préface d'Alain de Benoist.

    Après les victoires confédérées d'Antietam, Perryville et Fredericksburg et celle de Chancellorsville en mai, Gettysburg constitue le dernier verrou de l'armée des Etats-Unis, dont une nouvelle défaite autoriserait l'enlèvement, par les troupes confédérées, des grandes cités septentrionales de Washington et Philadelphie, puis New York et Boston. Que serait devenue la Nation américaine si le drapeau confédéré avait triomphé sur le Stars 'n' Stripes ? On peut sereinement juger que l'Histoire géopolitique des Etats-Unis en eût été profondément modifiée. Et ainsi, le destin de notre Vieille Europe.

    Car Gettysburg constitue une incompréhensible défaite de l'armée de Virginie du Nord, dont le commandement est assuré par le général Robert Lee, face à l'armée du Potomac, dirigée par le général George Mead. Malgré une faible infériorité numérique, la victoire semble acquise à Lee l'Invincible. C'est sans compter sur le talent tactique du général nordiste John Buford qui parvient à imposer le choix du terrain au profit des troupes Unionistes. Tournant décisif de la Guerre de Sécession, Gettysburg consacre le Stalingrad des Confédérés qui perdent une large part des territoires acquis au cours des derniers mois. La bataille fut, en outre, la plus coûteuse en vies humaines dans chaque camp.

    Quelques mois plus tard, en novembre, le président Abraham Lincoln rend hommage aux combattants des deux camps dans un célèbre discours prononcé sur les lieux mêmes de l'affrontement. La guerre terminée, l'heure est à la construction du lieu de mémoire de l'un des sites majeurs de l'Histoire des Etats-Unis d'Amérique.

    Le voyageur qui se trouverait sur la côte Nord-Est des Etats-Unis aurait tort de ne pas faire un détour par cette charmante petite ville qui se situe à une heure de route de la Maison blanche. Toute la bourgade vit bien évidemment du souvenir de la bataille mais évite l'écueil de sombrer dans la "Disneylandisation". Antiquaires militaires de tous les conflits, bouquinistes et magasins souvenirs de qualité avec une prédominance nordiste, même Picsou y perdrait quelques plumes et dollars...

    Voyager, c'est aussi déguster ! Si la gastronomie américaine ne mérite guère que l'on s'y attarde plus, il sera conseillé d'oser (et le verbe n'est pas trop fort) franchir la porte du Hunt's Café et commander un cheesesteak. Le regarder, c'est déjà accuser deux kilos supplémentaires sur la balance mais Dieux que c'est bon !

    C'est le ventre plein qu'il vous sera permis d'effectuer les trente kilomètres du circuit remarquablement aménagé reliant l'ensemble des sites de la bataille. Et que cela est impressionnant de voir cette immense plaine de plusieurs dizaines de kilomètres carrés constellée de centaines de monuments à la gloire de chaque brigade de chaque Etat. Difficile d'accorder son attention à tous mais la vue est impressionnante.

    Gettysburg, c'est aussi le symbole d'une histoire assumée. Le grandiose monument du général Lee est le plus majestueux des centaines d'autres à la gloire des Confédérés. Contraste saisissant quand on analyse les rapports de la France à sa propre histoire et à ses Réprouvés ; le Maréchal Pétain en tête dont le nom n'est plus honoré que par le village du Moule en Guadeloupe, quand douze villes américaines lui dédient une rue ou une avenue.

    Ainsi, Gettysburg serait le trait d'union d'une Nation américaine qui a parfaitement digéré sa guerre civile. Et pourtant...

    La Guerre de Sécession a cessé, ça c'est sûr ?

    Polémique sur le drapeau Sudiste, le Waterloo de la liberté de penser au pays d'Oncle Sam

    Lorsque Obama ne tient plus la Barack, c'est toute la société multiraciste américaine qui s'enflamme. Si les tensions raciales aux Etats-Unis n'avaient jamais complètement disparu, l'accession d'Obama à la présidence en 2008 ne manqua pas de les exacerber.

    Sous les feux des projecteurs, nul Ku Klux Klan moribond, ni quelque mouvement suprémaciste condamné à une existence marginale... Non ! Oussama ben Laden désormais mort et offert au tumulte des flots, c'est un drapeau sur lequel se concentrent toutes les attentions de la bien-pensance occidentale.

    Identifié au Klan et au souvenir de l'esclavagisme, le drapeau sudiste, dont les onze étoiles figurent les onze Etats confédérés, est la cible de nombreuses polémiques qui traversent l'Atlantique et sont relayées jusqu'en Occident comme une actualité internationale majeure. L'Etat du Mississipi qui arbore le drapeau confédéré comme emblème officiel est montré du doigt. Idem le sénat de Caroline du Sud sur lequel flotte la bannière étoilée du Sud. On a l'actualité qu'on mérite !

    Il fallait bien un incident pour asseoir définitivement la revanche des minorités sur le Sud. Le 17 juin 2015, à Charleston, en Caroline du Sud justement, Dylann Roof, âgé de 21 ans, ouvre le feu dans une église noire de la ville. La fusillade fait 9 morts et consacre la condamnation définitive du Dixie Flag.

    Cité par son porte-parole Eric Schultz, Obama indique que la bannière confédérée conserve toute sa place aux Etats-Unis... dans un musée. Sous la pression, l'Etat de Caroline du Sud met son drapeau dans sa poche.

    Bien loin de faiblir, les tensions grandissantes font couler le sang. Le 24 juillet 2015, à Oxford dans le Mississipi, Anthony Hervey, homme noir de 49 ans et défenseur infatigable du drapeau confédéré, voit son véhicule percuté par un autre bondé de jeunes afro-américains. L'embardée de l'automobile tue Hervey sur le coup. Cinq jours plus tard, à Columbus dans l'Ohio, trois hommes blancs sont poignardés et une femme reçoit une balle dans le cou devant leur maison qui arbore le drapeau honni. Le 15 août, à l'université d'Austin au Texas, des groupes de pression obtiennent le retrait de la statue de l'ancien Président des Etats confédérés, Jefferson Davis. Le 16 octobre, à Bradenton, en Floride, un afro-américain tire à trois reprises sur un véhicule arborant un autocollant sudiste sur le parking d'un supermarché. Le 30 décembre, le cimetière confédéré de Raleigh est profané. Les exemples pourraient être multipliés à l'infini. Curieusement, les nouvelles se noient en mer et ne parviennent pas aux rédactions françaises...

    Gettysburg, un passé qui ne passe plus ?

    L'essayiste Martin Peltier a récemment trouvé 20 bonnes raisons d'être anti-américain. La Nation, passée maître dans l'art de la subversion en vue d'asservir le reste du globe, conservait quelques traits séduisants pour qui a traîné ses guêtres au pied des gratte-ciels d'Oncle Sam et autour des majestueuses maisons coloniales d'Oncle Ben's. Son travail de mutilation quasiment achevé, les Etats-Unis semblent bien déterminés à se saborder eux-mêmes dans leur démente vision eschatologique judéo-protestante.

    Et les espoirs que place la frange réactionnaire et droitarde européenne dans la candidature du new yorkais Donald Trump semblent bercés des illusions d'une Europe incapacitante dans le choix de son avenir qui se joua autant sur la verte plaine de Gettysburg que chaque jour sur notre Vieux continent.

    Donald Trump, on dirait le Sud... Mais le temps dure longtemps...

    Virgile / CNC

    Texte paru à l'origine dans Livr'arbitres #20 (site; notre revue de presse ici)

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • DIREZIONE RIVOLUZIONE : AU COEUR DE LA FÊTE NATIONALE DE CASAPOUND

    Vendredi 9 Septembre 2016, quinze heures. Chianciano Terme en Toscane. La météo est au beau fixe, il fait 29 degrés, le cadre est magnifique.

    Depuis plusieurs heures déjà, des centaines de militants et de sympathisants affluent des quatre coins de l’Italie. Leur destination : la fête nationale de CasaPound Italia, édition 2016 de Direzione Rivoluzione, qui durera trois jours et aura attiré plus de 2000 militants et sympathisants.

    Au programme : conférences, débats, théâtre, sport, concerts… Des dizaines de stands sont installés, tenus par les sections locales de CasaPound ou de sa branche jeune, le Blocco Studentesco, ainsi que par les associations partenaires. La Dissidence Française était représentée sur place : voici notre reportage.


    Tout est prévu pour que l’évènement se déroule dans les meilleures conditions : le staff d’encadrement et de logistique compte plus d’une soixantaine de militants qui s’activeront bénévolement jour après jour avec discipline et efficacité pour garantir le succès de l’évènement.

    À l’intérieur du gymnase, on trouve la scène, la plupart des stands, ainsi que le studio mobile de Radio Bandiera Nera (RBN) qui retransmet l’évènement en direct, notamment sur les réseaux sociaux. À l’extérieur, d’autres stands, des buvettes, un restaurant, un espace dédié au sport, un autre à l’accueil des enfants.

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  • Journal du Jeudi 22 septembre 2016 - Politique / Sarkozy veut démanteler Calais