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  • Plus de 1 300 patriotes hier à Rungis pour les 10 ans de Synthèse nationale

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    Trois mois de préparation pour une réussite totale. Tel est le bilan de cette dixième Journée nationale et identitaire organisée ce dimanche 2 octobre à Rungis pour les dix ans de Synthèse nationale.

    Réussite totale au niveau de la fréquentation d'abord puisque 1 300 entrées ont été enregistrées, ce qui fait de cette réunion annuelle que nous organisons la plus fréquentée. Un public nombreux et surtout un public enthousiaste. Il l'a prouvé tout au long de la journée en applaudissant les différents intervenants qui se sont succédés et surtout lors de la standing ovation qui, pendant plusieurs minutes, ponctua le discours magnifique de notre invité d'honneur, Jean-Marie Le Pen.

    Réussite totale au niveau des interventions puisque toutes les sensibilités de notre famille d'idée étaient présentes et se sont exprimées, dans le respect mutuel, pour finalement arriver à la même conclusion. A savoir, le nécessaire combat contre le mondialisme broyeur des identités et contre l'islamisation, conséquence directe de l'immigration.

    Réussite totale au niveau de l'organisation, puisque aucun incident majeur ne vint troubler le bon déroulement des choses. Je profite de cet article pour remercier toutes celles et tout ceux qui ont contribué à cette réussite sur le plan organisationnel, qu'il s'agisse des responsables de stands, du service de restauration et du bar (plus de 700 repas ont été servis), qu'il s'agisse de la sono, qu'il s'agisse du service d'ordre, discret mais efficace, qu'il s'agisse de l'accueil et du stand de Synthèse nationale. Merci aussi à la direction et au personnel de l'Espace Jean Monnet pour son professionnalisme.

    Réussite totale au niveau des stands (plus de 60), puisque tous ont bien vendu ce qu'ils proposaient. Notons cette année la présence de plusieurs entreprises commerciales qui, de leur propre aveu, n'ont pas regretté d'être venues.

    Réussite totale de la partie festive de la journée. Pinatel d'abord qui suscita avec son Pinatel show, l'hilarité du public. Docteur Merlin en début d'après-midi qui interpréta, outre ses classiques, les chansons de son dernier album. Les Brigandes, nos Chères Brigandes, enfin, qui, après le meeting politique, nous offrirent un concert d'une grande qualité qui fut acclamé par le public emballé.

    Réussite totale au niveau de Synthèse nationale, puisque près de 60 abonnements à nos revues furent enregistrés.

    Je tiens à remercier les intervenants, Hervé Van Leathem (Nation Belgique), Gabriele Adinolfi (Polaris Rome), Thierry Bouzard, Richard Roudier (Ligue du Midi), Arnaud Raffard de Brienne), Serge Ayoub, Hugues Bouchu, Pierre Vial, Pierre Cassen, Alain Escada, Luc Pécharman, Roger Holeindre, Carl Lang, Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, Filip Dewinter et Jean-Marie Le Pen bien sûr, pour leurs interventions et leurs témoignages d'amitié.

    Toute la semaine des articles sur cette journée seront publiés sur ce site.

    En route vers la XIe Journée nationale et identitaire l'an prochain...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Référendum en Hongrie : 98% de non à l'immigration

    Le premier ministre hongrois Viktor Orban a qualifié les résultats du réferendum sur les migrants d'"exceptionnels".

    "Bruxelles ne pourra pas imposer sa volonté à la Hongrie".

    Après dépouillement de 99,7% des suffrages, le camp du non recueille 98,3%, avec seulement 39,8% de suffrages exprimés par rapport au nombre d'inscrits, ce qui invalide la consultation qui devait arriver à 50%.

    Les médias ricanent sur un pseudo échec de Viktor Orban, qui n'a pas réussi à mobiliser 50% de son corps électoral. Pourtant, en nombre de voix, jamais autant de Hongrois ne l’ont soutenu dans les urnes (3,23 millions). Surtout, Viktor Orban souligne que le chiffre est supérieur à celui de 2003, lorsque les citoyens de ce petit pays d’Europe centrale avaient validé leur entrée dans l’Union européenne (3,05 millions).

    Michel Janva

  • Rendez à la France son école !

    6a00d83451619c69e201b8d2243071970c-200wi.jpg"Parents Pour l'Ecole" est LA nouvelle association de parents de l'Enseignement Catholique privé sous contrat.

    Elle se donne notamment pour objectif de veiller à la qualité de l'enseignement.

    A ce titre, "Parents pour l'Ecole" souhaite interpeller les candidats à la prochaine élection présidentielle en leur adressant une lettre. Consacrée au thème de l'école, cette dernière peut être signée de tous.

    De nombreux parents et enseignants soutiennent ce projet et appellent les citoyens à y participer. Parents, étudiants et enseignants, venus du Public comme du Privé, unissons-nous pour demander aux candidats de s'engager à sauver notre école !

    Ne laissons pas le prochain Président de la République poursuivre et achever la destruction de l’enseignement en France !

    Signez cette pétition maintenant !

    Marie Bethanie

  • Hidalgo, les naturistes et les prophéties de Philippe Muray

     Bruno Julliard, maire-adjoint de Paris a défendu l'idée d'un camp de naturistes dans la capitale. Avec finesse et humour, Vincent Trémolet de Villers dépeint ici Anne Hidalgo comme le personnage le plus abouti de l'écrivain Philippe Muray [Figarovox - 26.09]. A vrai dire, nous avons aimé cette analyse qui tourne en dérision, en ridicule achevé, une certaine modernité indéfendable. Vincent Trémolet de Villers évoque aussi Christophe Guilluy qui constate Le Crépuscule de la France d'en haut. Viendrait-elle à s'effondrer, disparaître, céder la place, que, selon l'expression de Houellebecq à la toute fin de Soumission, nous n'aurions vraiment « rien à regretter ».   Lafautearousseau
     
    « Le réel est reporté à une date ultérieure », écrivait Philippe Muray. C'était il y a quatorze ans. Cette formule ferait un beau slogan pour la campagne perpétuelle d'Anne Hidalgo. C'est un monde enchanté qu'elle promeut, une éternelle île aux enfants.

    Dernier cadeau ? Bruno Julliard a défendu ce lundi la création d'« une zone naturiste dans la capitale »: « Paris capitale, mais Paris à poil ! », aurait-il pu ajouter. « Ça ne fait de mal à personne », a poursuivi l'adjoint au maire de Paris et c'est une revendication du groupe écologiste. Bigre ! David Belliard, coprésident de ce groupe défenseur de la planète, est encore plus précis : « On souhaite expérimenter un espace récréatif dans lequel les naturistes puissent se dénuder librement. » Ce pourrait être dans un parc, un jardin public, si l'on a bien compris. Proposons ici aux élus de Paris d'attribuer à ces braves gens une partie des voies sur berge de la rive droite. Une zone sans voiture, sans chemise et sans pantalon. À pied, en trottinette ou en Vélib, on y déambulera nu comme des vers. L'outrage aux bonnes mœurs s'arrêtera à cette nouvelle frontière et lemooning (coutume britannique qui consiste à montrer son arrière-train), laissera le passant indifférent. Il y aura inauguration (tenue de ville ?), campagne électorale sur zone où l'on pourra mesurer le degré d'implication des candidats. C'est magique et tragique : un mélange de Houellebecq et de Philippe Muray.

    « Le réel ne passera pas », poursuivait ce dernier. Le réel, il faut dire, est triste comme un monospace, ennuyeux comme un lotissement, vulgaire comme un embouteillage. Plus encore, avec sa cohorte de chômeurs, de commerciaux qui roulent en diesel, de prolos qui ont la même bagnole depuis 1998 !, de banlieusards qui n'habitent pas une surface atypique en plein cœur de Paris, de « pass Navigo » qui ne goûtent pas à la poésie des « défaillances techniques » et des « incidents voyageurs » dans le RER E, le réel est dégoûtant. « Salauds de pauvres ! », lançait Jean Gabin dans La Traversée de Paris.

    On préfère une vie de coulées vertes et de potagers urbains (bio), de plages estivales et de Nuit debout, de marchands de légumes oubliés et de lieux de mémoire, de restaurants végans et de galeries vides, de squares sans tabac et de salles de shoot, de burkinis et de naturistes, de barbiers « à l'ancienne » et de hipsters. Puisqu'il est impossible de remplacer l'asphalte des rues parisiennes par les surfaces souples des écoles maternelles, la mairie, heureusement, ne lésine pas sur les « alertes nécessaires ainsi que les informations et les recommandations en direction des usagers sur ce qu'il faut faire et ce qu'il vaut mieux éviter » (Muray encore). On oubliera donc ni casque ni genouillère, et « la police du plaisir sain », bras croisés et bottes de cuir, veillera au grain dans les rues de Paris. Rollers et matraque : le bonheur, c'est fluide comme une circulaire municipale.

    On nous dira que le monde rêvé d'Anne Hidalgo a la plus belle ambition qui soit : découvrir « l'Autre » (ce qui déshabillé n'est pas sans risque). Tous ces efforts, cependant, créent de plus en plus de barrières : c'est aux socialistes que nous devons la restauration des octrois à l'entrée de Paris. De départ des familles en gentrification des quartiers populaires : « l'Autre » est renvoyé en banlieue quand ce n'est pas au-delà et c'est le « Même » finalement qui profite de la piétonisation des voies sur berge. Ce que dit Christophe Guilluy, dans son dernier essai, Le Crépuscule de la France d'en haut (Flammarion) : « Si les élites et les classes supérieures vantent l'ouverture au monde et aux autres, elles érigent dans le même temps des frontières invisibles qui accentuent les inégalités spatiales et culturelles pour donner naissance à la “ville ségrégée”. Proches de l'immigré mais pas trop. »

    Pour Anne Hidalgo, pourtant, les mots sont performatifs. Il suffit de les dire pour que les choses existent. « L'ennui c'est que Paris-Plage n'existe pas, écrivait déjà Philippe Muray il y a dix ans, il faut le rappeler une fois encore, sans la moindre agressivité et fermement. C'est un concept, un schéma, une idée générale, tout ce que l'on voudra ; mais pas une plage. Au mieux, une sorte de mythe urbain, une chimère, un mensonge cousu de sable blanc. »

    Muray avait tout vu et ses prophéties - les passions distractives et législatives, le festivisme comme religion, « le triangle des bermudas », « la cage aux phobes », « l'adulte infantifié sur son île de rêve », la touriste blonde décapitée sur l'île de Tralala - sont si précises que l'on cherche dans ses essais l'invention d'Anne Hidalgo : présente partout, visible nulle part…

    Muray avait tout vu. Tout sauf les nudistes de Paris. Il aurait sans doute modifié sa superbe formule : « Le réel est reporté à une date… postérieure. »   

     
    Rdacteur en chef des pages Débats/Opinions du Figaro et du FigaroVox
  • Chirac, « le plus détestable président de la Ve République »

    Éditorial de Jérôme Bourbon dans le dernier numéro de Rivarol :

    « Depuis une dizaine de jours les gazettes et le Tout Paris Tout Pourri ne parlent avec émotion et sanglots dans la voix que de la prochaine disparition de Jacques Chirac, l’ex-président de la République étant paré de toutes les vertus et considéré par les sondeurs comme l’homme politique le plus populaire, le plus aimé des Français. Une enquête d’opinion indique même que 83 % des Français auraient gardé un bon souvenir des années Chirac. Si ces chiffres disent vrai, et il est bien possible que ce soit le cas, cela ne plaide pas en faveur de la lucidité et du bon sens d’un peuple manipulé, anesthésié, content d’être cocufié. Car d’évidence, ainsi que l’a souvent déclaré Jean-Marie Le Pen et comme l’aurait dit également en privé Nicolas Sarkozy à son ex-conseiller Patrick Buisson qui publie cette semaine chez Perrin un livre intitulé La cause du peuple, « Chirac aura été le plus détestable de tous les présidents de la Ve République. » Et Sarkozy qui l’a bien connu et fréquenté assidûment pendant des décennies d’ajouter : « Franchement, je n’ai jamais vu un type aussi corrompu. Un jour, il a voulu me faire signer un contrat avec l’Arabie saoudite. Je me demande encore comment il a osé me mettre ça sous le nez. Il en a tant fait qu’il était fatal que ça lui pète à la gueule. J’ai rarement rencontré quelqu’un d’aussi méchant et avide. »

    Evidemment la révélation de tout le mal — fondé — que Sarkozy pense de Chirac, si elle n’est en rien une surprise pour les observateurs attentifs de la vie politique, tombe plutôt mal pour l’ex-Elyséen à un moment où Chirac semble proche de sa fin et où l’ex-maire de Neuilly a besoin pour l’emporter aux primaires d’un maximum de voix, dont celles des chiraquiens. Cela s’ajoute aux révélations de Mediapart d’Edwy Plenel sur le financement par Kadhafi de la campagne présidentielle de 2007 de Sarkozy, ce qui rend d’autant plus abjecte la façon dont l’ex-chef de l’Etat s’est débarrassé en 2011 de son bienfaiteur. Toutefois il ne faut pas être dupe : l’offensive médiatique actuelle contre Sarkozy, la mise sur le devant de la scène de dossiers anciens dont tout le monde a déjà entendu parler ne doivent rien au hasard. A quelques semaines de primaires cruciales, le Système a manifestement choisi d’imposer Juppé qui apparaît en effet comme un homme beaucoup plus sûr, beaucoup plus malléable pour obéir aux desiderata des cénacles mondialistes que Sarkozy qui est jugé plus instable, plus fantaisiste, plus virevoltant, moins prévisible.

    En tout cas, Juppé a tout de suite vu l’avantage qu’il pourrait prendre à la suite de la médiatisation des graves problèmes de santé de Chirac. Il espère en effet capitaliser sur l’émotion populaire alimentée par les media et se présente donc comme le fidèle disciple et l’héritier naturel de l’octogénaire. Ce qui n’est d’ailleurs pas faux, Chirac ayant dit de Juppé qu’il était « le meilleur d’entre nous ». C’est en effet Juppé que le Corrézien imposa comme secrétaire général du RPR en 1988, c’est le même Juppé qu’il soutint en 1990 face au tandem Pasqua-Séguin qui dénonçait la dérive technocratique du mouvement néo-gaulliste sous la houlette de Juppé, c’est encore cet énarque prétentieux qui fut à la manœuvre, téléguidé par Chirac, pour empêcher toute alliance, même purement locale, même de simple désistement, entre le RPR et le Front national, c’est tout naturellement Juppé que Chirac choisit comme Premier ministre lorsqu’il accéda en 1995 à la magistrature suprême, c’est encore ce même Juppé qu’il imposa comme président de l’UMP (Union pour un mouvement populaire), parti unique de la droite et du centre qu’il porta sur les fonts baptismaux pendant l’entre-deux-tours de la présidentielle de 2002. Et c’est le fidèle Juppé qui fut condamné à la place de Chirac pour les emplois fictifs de la mairie de Paris, ce qui ouvrit alors un boulevard à Sarkozy, le maire de Bordeaux étant condamné à une peine d’inéligibilité et devant se mettre provisoirement en retrait de la vie politique.

    L’élection de Juppé à la présidence de la République en mai 2017 serait évidemment une revanche éclatante pour le clan Chirac qui déteste Sarkozy et qui se reconnaît bien davantage en Hollande. Chirac n’avait-il pas révélé, lors d’un déplacement en Corrèze, qu’en 2012 il voterait pour François Hollande ? Après tout les deux sont foncièrement des radicaux socialistes, des philo-maçons, des professionnels de la politique politicienne. A l’exception de Bernadette qui a déjà indiqué sa préférence pour le compagnon de Carla Bruni — mais on le sait, les relations entre Jacques et Bernadette n’ont jamais été au beau fixe —, tout le clan Chirac est pour Juppé.

    Pour avoir une petite idée de ce que donnerait un Juppé à la tête de l’Etat, il convient donc de se remémorer le bilan calamiteux de Chirac comme Premier ministre, puis comme président de la République. On lui doit en 1975 la loi Veil qui tue légalement plus de 200.000 enfants français par an dans le ventre de leur mère (plus de huit millions depuis 1975 !), en 1976 le regroupement familial qui a transformé une immigration temporaire de travail en une immigration de peuplement et d’ayants-droit sociaux mettant ainsi en œuvre une politique de Grand Remplacement, en 1975 la création de la taxe professionnelle ruineuse pour les entreprises et donc pour l’emploi, en 1996 la fin du service militaire obligatoire coupant le lien entre l’armée et la nation, en 1996 la fin des essais nucléaires mettant en danger l’indépendance de la France, en 1995 la condamnation de la France en tant que telle pour les déportations des juifs sous l’Occupation (Chirac payait là sa dette électorale à la communauté juive en général, ainsi que l’avait dit Jean-Marie Le Pen, et à Klarsfeld en particulier). Ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait voulu faire, Chirac l’a fait sans honte et sans hésitation : condamner solennellement le pays dont il présidait officiellement aux destinées.

    Chirac est tout sauf un homme intellectuellement et politiquement courageux. Piètre orateur (il lisait sans talent ses discours écrits par d’autres sur un prompteur), très mauvais débatteur, politicien sans foi ni loi et sans aucune conviction (il a mis vingt ans durant la capitale de la France en coupe réglée pour assouvir son ambition présidentielle. C’est en effet un système mafieux qui lui permit d’accéder à la magistrature suprême, plus son allégeance à la synagogue), il faut se souvenir du discours dithyrambique qu’il avait tenu à l’Elysée pour le 275e anniversaire de la franc-maçonnerie en France. Chirac s’est opposé constamment à la reconnaissance des racines chrétiennes de la France et de l’Europe, a déclaré en 1995 qu’il était opposé à une loi morale s’imposant à la loi civile, se rangeant donc du côté de Créon contre Antigone. Il est l’instigateur de quasiment tous les traités qui ont détruit pan après pan tous les attributs de souveraineté de notre pays : Acte unique, Amsterdam, Nice, Constitution européenne. Et c’est son engagement militant en faveur de Maastricht, à la fin de la campagne référendaire, qui permit in fine au oui de l’emporter le 20 septembre 1992, ce qui entérina la fin de notre monnaie nationale et réduisit donc considérablement  nos marges de manœuvre budgétaires.

    Ayant dit un jour qu’il n’avait « qu’une haine au monde, le fascisme », il tint parole. En diabolisant trente ans durant la droite nationale. En reprenant à son compte les pires calomnies et en jetant sur elle les plus violents anathèmes. En accordant le statut d’ancien combattant aux Brigades internationales dès son arrivée à l’Elysée, montrant ainsi qu’il était resté fidèle au jeune homme qui vendait à la criée l’Humanité et signait l’appel de Stockholm. En reprenant sur Vichy et sur le maréchal Pétain tous les mensonges qui se sont aujourd’hui médiatiquement imposés.

    Nous ignorons à l’heure où nous écrivons ces lignes si Chirac s’éteindra dans les jours qui viennent, s’il est déjà ou non cliniquement mort (les plus folles rumeurs ont couru à ce sujet) ou si au contraire sa douloureuse fin de vie se prolongera bien davantage mais s’il venait à disparaître nous ne participerons nullement aux hommages vibrants qui ne manqueront pas de se multiplier tant à gauche qu’à droite de l’échiquier politique. Face à un homme profondément corrompu qui aurait dû finir sa vie en prison et être définitivement inéligible, un piètre politicien soumis aux lobbies les plus puissants et les plus détestables, un débauché notoire qui paye aujourd’hui dans sa chair tous ses vices, un  individu sans idéal, sans colonne vertébrale, prêt à toutes les trahisons, de Chaban à Giscard, pour sa seule ambition présidentielle, un homme inculte et malfaisant, n’ayant aucune sincérité, aucune authenticité, aucun honneur, aucun génie, nous garderons l’œil sec. Et nous n’avons que mépris pour tous ces militants de droite qui pendant des décennies ont vu en lui l’homme providentiel, scandant jusqu’à s’époumonner des « Chirac, Chirac » (il n’y a décidément rien de plus débile et manipulable qu’un militant lambda, la bêtise en politique donne une idée de l’infini !), croyant placer à la tête de l’Etat un digne descendant de nos rois alors qu’ils soutinrent un vil et médiocre laquais de la finance internationale, du mondialisme nomade et du lobby judéo-maçonnique. »

    Jérôme Bourbon

    http://www.contre-info.com/chirac-le-plus-detestable-president-de-la-ve-republique#more-42720

  • Toutes les forces patriotiques étaient réunies dimanche à Rungis pour la Xe Journée de Synthèse nationale

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    Plus de 1300 personnes à la Xe Journée de Synthèse nationale à Rungis. On en reparle...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     

  • "La laïcité n'a pas vocation à promouvoir une religion républicaine"

    Emmanuel Macron est interrogé dans Marianne sur la laïcité et il dit des choses pertinentes :

    6a00d83451619c69e201bb093dd281970d-800wi.jpg"La laïcité n'a pas vocation à promouvoir une religion républicaine. La République est ce lieu magique et unique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion. C'est pour ça que je dénonce les considérations qui demandent à des citoyens d'être «discrets», parce que les précédents historiques où l'on a demandé la discrétion en matière de religion ne sont pas à l'honneur de la République. Et qu'on demande à des gens d'être des musulmans modérés ! Demanderait-on à des catholiques d'être modérés ? Non ! On demande à des gens de faire ce qu'ils veulent avec la religion pour eux-mêmes et d'être dans un rapport de respect absolu avec les règles de la République. Comme disait Platon, il faut découper le poulet au bon endroit !

    Jean-François Kahn : Dès lors que les musulmans acceptent que la loi républicaine passe avant la loi de Dieu, par définition, ils sont modérés. S'ils ne l'acceptent pas, ce sont des extrémistes.

    Emmanuel Macron : Non, je ne suis pas d'accord. Dans le champ public, je ne leur demande qu'une seule chose : qu'ils respectent absolument les règles. Le rapport religieux renvoie à la transcendance et, dans ce rapport-là, je ne demande pas aux gens d'être modérés, ce n'est pas mon affaire. Dans sa conscience profonde, je pense qu'un catholique pratiquant peut considérer que les lois de la religion dépassent les lois de la République. Simplement, à chaque instant où il est dans le champ public, les lois de la République prévalent sur les lois religieuses. Ce n'est pas une question de modération, c'est un absolu. Le cœur de notre bataille est d'avoir des individus autonomes libres. Ils peuvent avoir besoin d'une transcendance. La République n'a pas à lutter contre la transcendance, elle a à lutter contre le non-respect de ses valeurs."

    Michel Janva

  • Des milliers de manifestants contre l'installation de camps d'immigrés dans le 78

    Les élus étaient au rendez-vous : François de Mazieres Député-maire de Versailles, les maires de Bailly, Rocquencourt, Marly le Roi, Louveciennes, Le Chesnay ainsi que de très nombreux élus (dont ceux du FN)

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    Voir la fin