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  • Marine et nos fondamentaux…au zénith face au déclin programmé !

    drapeau-francais-300x225.jpegIl y avait la belle et très chaude ambiance des grands soirs, beaucoup de jeunes hier au Zénith de Paris où Marine tenait son avant dernière réunion publique (la prochaine est à Marseille mercredi) avant le premier tour. Une allocution perturbée quelques petites secondes par l’irruption d’une Femen sur scène, vite évacuée, et par la tentative de chahut d’une autre dans la salle, toute aussi vite refrénée. Si ces humanistes et progressistes aiment souiller nos églises, ces chiennes de garde de l’ordre libéral-libertaire ne se trompent pas en attaquant la candidate d’un mouvement incarnant en effet la défense de valeurs qui sont les piliers de notre civilisation helléno-chrétienne.  L’extrême gauche à capuche  s’est elle aussi manifestée. Éternels idiots utiles du capitalisme hors-sol, d’une euro-atlantisme qui en toute logique  désigne  le FN comme son adversaire le plus sérieux, les antifas se sont employés à créer un climat de violence autour du Zénith. Les policiers et les Français votant FN ont été agonis d’insultes, visés par des projectiles et des cocktails Molotov - ce fut le cas de Gilbert Collard et son épouse à leur arrivée sur place. Tensions qui ont débuté dés le rassemblement anti FN organisée la veille par les mêmes groupuscules immigrationnistes dits antifascistes,  avec le soutien des partis de gauche et d’extrême gauche,  et qui avaient pour but de dissuader patriotes parisiens et de la proche banlieue d’aller écouter Marine.

    Les médias ont souligné que cette réunion hier soir a vu  Marine Le Pen revenir dans son discours aux fondamentaux frontistes, pointant notamment une vibrante défense pour la liberté des femmes menacée par la montée des violences physiques et  communautaristes,  le vœu d’un « moratoire immédiat sur toute l’immigration légale ». Il est vrai que la dénonciation des cinq i (immigration-invasion, inversion des valeurs dés l’école, insécurité endémique, islamisme radical prosélyte et terroriste, impôts confiscatoires…) est plus mise en avant dans cette dernière ligne droite avant le premier tour.

    Il s’agirait pour la candidate national de se démarquer et de contenir l’embellie sondagière d’un Mélenchon reprenant des thématiques du FN  ( disparition des services publics, paupérisation de la France périphérique, dictature bruxelloise, ravage du capitalisme spéculatif, soumission à l’Otan…) et d’un Fillon martelant sa (re)découverte de l’identité française, de ses racines, les promesses de 2007 d’une maîtrise de l’immigration et de la pression fiscale pesant sur les ménages, nos commerçants-artisans, nos entreprises…

    Au delà du calcul tactique qu’on lui prête, et qui n’est bien sûr pas absent d’une campagne, Marine a aussi plus profondément, à quelques jours du 23 avril, rappelé l’importance fondamentale de cette élection. Un scrutin déterminant en ce qu’il est « un enjeu de civilisation ». Civilisation dont tous les adversaires les plus sérieux du Mouvement national patriotique , du candidat du Grand orient socialo-trotskyste de la France (pseudo) insoumise, à celui de l’eurolibéralisme de l’attelage LR-UDI, se sont employés à abattre les murs porteurs par leurs (in)actions depuis qu’ils sont entrés en politique.

    Un enjeu civilisationnel car nous sommes à la croisée des chemins, et la candidate du FN , elle l’a redit ce matin au micro d’Elizabeth Martichoux sur  RTL,  est  la seule à porter un discours  cohérent pour protéger la France et les Français, dans son refus des  deux fléaux enfantés par la mondialisation, un libre-échangisme destructeur et une immigration sauvage qui ne l’est pas moins;  deux faces d’une même médaille note Bruno Gollnisch que les Fillon, Macron, Mélenchon ne veulent ou ne peuvent appréhender  dans leur simultanéité.  

    Un Emmanuel Macron qui était aussi hier soir en meeting à Paris, à  Bercy, dans une capitale boboland où il se sent chez lui, envoyant des bisous au public sous des projecteurs multicolores, façon nrj music awards...  Comme à son  habitude, le candidat de Hollande, Bruxelles, Minc, Attali, BHL, Soros, Merkel, et des fonds de pension yankees a dévidé la pelote de ses formules creuses, dénonçant  « l’enlisement » de la France « depuis vingt ans »… tout en louant le Jacques Chirac de la « fracture sociale »  – slogan , escroquerie marketing qui plait forcément au fondateur d‘En marche! - ,  dont les deux calamiteux septennats marqué par l’immobilisme ne sont pas pour rien dans le déclassement de notre pays… comme le fut à son niveau la participation de l’ex de la banque Rothschild au quinquennat Hollande.

    Objet publicitaire (interchangeable) placé en tête de gondole  par un Système  tentant de sauver sa peau, l’inquiétante entourloupe  Macron, façonnée par des médias complaisants,  tiendra-t-elle jusqu’au 7 mai? Faut-il croire aux sondages qui démontreraient l’assise qui est la sienne au sein de l’électorat?  Sondages dénoncés par Alain Garrigou, fondateur de l’Observatoire des sondages, qui affirme  qu’ils « ne valent rien très longtemps avant l’élection, et quand ils commencent à valoir quelque chose, ils ont des effets sur les conduites. Ils encouragent notamment le vote stratégique au détriment du vote d’adhésion ».  Une élection marquée plus globalement par une stratégie visant à faire de M. Macron le candidat idéal face à Marine Le Pen, comme l’analyse Michel Geoffroy sur le site Polemia.  Les Français trancheront, espérons-le en toute connaissance de cause.

    https://gollnisch.com/2017/04/18/marine-nos-fondamentaux-zenith-face-declin-programme/

  • La Terreur : une forme de société

    La Terreur est-elle connaturelle à la révolution ? Telle était la trame d’une conférence qui s’est tenue le 29mars à ICES (Institut Catholique d’Études Supérieures)  à la Roche-sur-Yon à l’initiative du COSH, l’Association des Etudiants Historiens Icéssienns, en ce centenaire de la révolution bolchévique.

    Les deux intervenants, Reynald Sécher et Stéphane Courtois, ont décrit la mécanique implacable de la violence révolutionnaire indispensable à la création d'un « homme nouveau ».

    Il faut assurément aujourd'hui en France l'espace de liberté qu'offre une université privée pour imaginer une telle table ronde. Robespierre et son lointain mais exact successeur, Lénine, ont encore leurs noms de rues et leurs monuments les Terreurs sanglantes sont achevées mais le mémoricide perdure.

    Reynald Sécher est devenu un proscrit pour avoir osé donner à l’extermination systématique des Vendéens son nom de « génocide ». Stéphane Courtois qui avait pu profiter de l’ouverture des archives de l’ex-URSS pour réaliser un décompte scientifique du nombre des victimes du communisme s'est vu fermer l'accès aux documents dès son Livre Noir paru. Et comme il le montre dans Communisme et totalitarisme, publié en 2009, la Russie de Poutine réhabilite Staline.

    D'un côté comme de l'autre, « il fallait assassiner les gens du passé ». C'était même, parce qu'ils étaient obsolètes, « le plus grand service qu'on pouvait leur rendre », explique Courtois à propos des persécutions, assassinats, tortures qui ont marqué la progression de Lénine dès 1917 Dans son œuvre abondante, la Terreur est une notion qui revient souvent : « On va exterminer, il faut exterminer ! » Les millions de morts du communisme soviétique ne doivent rien au hasard ils ne sont pas un dérapage imputable à Staline. Stéphane Courtois rappelle que la première année de la révolution bolchevique a fait deux fois plus de morts - entre 15 et 20 000 - que plus d'un siècle de « répression policière » sous les Tsars qui lors de violents soulèvements populaires entre 1810 et 1917, aura fait moins de 7 000 victimes. « On change d'échelle. »

    Le phénomène est inévitable parce qu'on veut « régénérer l'homme » à n'importe quel prix, reprend Reynald Sécher. Pour lui, « la mécanique terroriste commence dès 1788 : on prépare les esprits à la soumission » par les violences qui éclatent cette année-là.

    De même, confirme Stéphane Courtois, Lénine entreprend dès 1905 une course aux extrêmes à la tête de ses « jacobins prolétaires ». Mais une fois la révolution installée, va-t-on continuer de suivre l'exemple français ? Pas tout à fait en Russie, Lénine ne veut surtout pas d'une élection qui puisse compromettre la réussite de son projet et sa place à sa tête. « Il a compris que ce serait infernal - même Robespierre a été guillotiné », rappelle Stéphane Courtois. D'où la création, quasi immédiate, d'une police politique. Et le putsch, dès 1917, qui évite l'imminente élection d'une constituante au suffrage universel...

    Ainsi les Terreurs et leurs grandes figures s'éclairent l'une l'autre légale : organisée d'un côté, en France, de l'autre, en Russie, autocratique, dirigée par le seul Parti communiste en Russie. Lénine a tiré avec application les leçons du passé. C'est tout l'intérêt de cette confrontation Secher-Courtois elle permet de dégager les traits communs, et les mises en œuvres diverses.

    On saura gré à Reynald Sécher d'avoir montré comment en France, le vote de lois, la Terreur, l'exécution administrative avec ordres écrits et comptes-rendus dociles de la part d'exécutants chargés d'« exterminer » la Vendée non seulement ne contredit pas la Déclaration universelle des droits de l'homme mais en découle.

    « L'arme de la Révolution française, c'est la loi, et sa base est la Déclaration des droits de l'homme. Les totalitaires parlent toujours de progrès de l'homme. Celui qui refuse le progrès est-il un homme ? S'il ne l'est pas il est hors-la-loi, et il tombe sous la loi des suspects, et perd donc sa personnalité morale et juridique », explique Reynald Sécher. En Russie, l'exemple a bien été compris, confirme Stéphane Courtois ceux qui s'opposent à la Révolution deviennent moins que des hommes - des animaux.

    L'aspect commun aux deux Terreurs tient en un mot « sidération ». L’horreur de l'extermination passe par une dimension psychologique qui rend possible la mise en œuvre de la tuerie par milliers ou par millions.

    Lors de la Terreur en France, on a « fracassé, sidéré, rendu complice » cela passe, rappelle Sécher, par des exécutions massives et publiques auxquels le peuple est contraint d'assister. Son silence horrifié, son absence de réaction suffit « On va pouvoir y aller ». Le XVIIIe siècle avait pourtant été d'un extrême raffinement...

    En Russie, « la surenchère dans la cruauté est un des moteurs du processus révolutionnaire », répond Courtois. Là aussi, « il faut rendre le reste de la population complice par le "pacte du sang" en le faisant participer à l’assassinat collectif-procédé mafieux ».

    Courtois et Sécher ne l'ont pas évoqué, mais on pourrait dire la même chose du génocide contemporain, le massacre des enfants à naître au service d'un homme nouveau sans conscience et soumis à la nouvelle morale des « droits » : chacun est rendu complice par la société et les dissidents sont socialement éliminés. D'une révolution l'autre...

    Jeanne Smits monde&vie 6 avril 2017

  • 50 fiches de désintoxication sur l'immigration

    57% des Français trouvent les immigrés trop nombreux ; 80% de nos concitoyens partagent l’idée selon laquelle parmi les très nombreux migrants qui arrivent actuellement en Europe, il se trouve des terroristes potentiels,… : ces vérités incontestables sont murmurées doucement, dissimulées par les médias de l’oligarchie bon tons incapables de se confronter au réel. Jacques Bompard révèle au détour de cinquante fiches détox ces réalités sur l’immigration !

    Qu’est-ce qu’un immigré ? Quelles sont les véritables aspects du grand remplacement ? Quels sont les impacts des procédures françaises et européennes sur l’immigration ? Tant de questions auxquelles répondent ces fiches argumentées, s’interrogeant sur les phénomènes historiques qui ont encouragé le mouvement migratoire. « Qu’il faille exclure les clandestins, nous en sommes d’accord. Qu’il faille réduire le nombre des immigrés venus régulièrement, j’en suis convaincu et c’est pourquoi la loi de réinsertion dans leur pays a été adoptée au gouvernement Mauroy. Il faut continuer », soulignait François Mitterrand dans les années 1970. Une citation que les grands médias semblent oublier et que rappelle le député de Vaucluse.

    Au rythme de quinquennats aveuglés par les aspirations partisanes, l’immigration est devenue un argument de campagne, destiné à servir les velléités de politiques libertaires et démagogues. Un argument qui pèse lourdement sur le contribuable : à l’heure où la pauvreté des Français atteint des seuils particulièrement élevés, ce sont les 150 000 € par jour dépensés à Calais pour assurer la sécurisation d’une ville française submergée par des vagues migratoires incessantes ; ce sont les millions de subventions publiques dépensés pour une Cité de l’Immigration aux ordres d’une administration tentant de légitimer des politiques inanes.

    Alors qu’à l’Est, le groupe de Visegrad propose de réguler raisonnablement les flux migratoires, incite à résoudre ses problèmes démographiques par le regain de sa politique familiale, la France préfère remplacer sa population. A l’heure où l’Allemagne reconnaît que sa politique d’accueil systématique se révèle chaque jour un peu plus désastreuse, la France préfère continuer d’accueillir des populations qu’elle n’a pas le luxe de recevoir.

    Ce sont tant d’éléments que les Cinquante fiches détox sur l’immigration révèlent. A la veille de l’élection présidentielle, les politiques migratoires actuelles ne peuvent rester en vigueur. Pour préserver l’identité française, c’est à l’aune du réel, au service du Bien Commun, que doit s’inscrire la politique migratoire du prochain président français.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Face à la gauche, le vote utile, c’est Marine, pas Fillon !

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    À quelques jours du premier tour, la pression de la part de certains supporters fillonnistes se fait plus intense, tant auprès des électeurs de Dupont-Aignan que de Marine Le Pen. Face à la gauche, le seul vote utile serait le vote Fillon car c’est lui qui aurait le plus de chances…

    Ce paradigme ne résiste pas longtemps à un examen attentif. Même s’il convient d’être prudent sur les sondages, dans les projections du second tour, face à Macron, Marine Le Pen fait un meilleur score que Fillon. Elle est donnée entre 37 et 41 % alors que Fillon ne dépasserait pas la barre des 35 %. Par conséquent, si l’on s’en tient à un argument purement pragmatique, face à la gauche, il vaut mieux voter Marine que Fillon, notamment parce que ce dernier, au second tour, ne ralliera pas les classes populaires.

    En réalité, lorsque l’on creuse un peu, on s’aperçoit que cet argument n’est souvent qu’un prétexte. Si véritablement la défaite de la gauche était la priorité de la droite, on ne comprend pas pourquoi les ténors de la droite n’hésitent pas à jurer qu’en cas de second tour Marine/Macron, ils voteraient sans hésiter pour Macron.

    Bien plus : Gérard Larcher, l’un des soutiens les plus importants des Républicains, n’hésite pas à s’afficher aux côtés de la ministrable NKM, de la féministe LGBT Caroline Mécary, de BHL ou encore de Caroline Fourest à un rassemblement prétendument antiraciste prévu ce 18 avril à la Mutualité, avant de se décommander in extremis.

    C’est dire si le champion de la droite des « valeurs » présente des gages de rupture peu rassurants.

    Mes amis, ne cédons pas à l’affolement de dernière minute et gardons le calme des vieilles troupes. Le véritable enjeu de cette élection n’est ni économique ni budgétaire, même si ces questions sont essentielles. L’enjeu est civilisationnel. Il s’agit de préserver ce qui reste de la substance même du peuple français, de son identité face à un raz de marée migratoire voulu notamment par un patronat irresponsable, en particulier le MEDEF qui y voit une main-d’œuvre bon marché. Et face à ce raz de marée, Marine a plus qu’une longueur d’avance sur un François Fillon qui, en 2004, se déclarait favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Europe et qui, trois ans plus tard, a fait ratifier par voie parlementaire un traité que les Français avaient pourtant massivement rejeté.

    Le vote utile, c’est un vote pour ses convictions et non pour des hommes qui ont contribué pendant des décennies, lorsqu’ils étaient ministres, au déclin de la France. Pourquoi feraient-ils demain ce qu’ils n’ont pas fait hier ?

    Alors, dans cette dernière ligne droite, chaque voix patriote comptera et chacun doit encore se mobiliser pour convaincre les indécis et les hésitants de voter Marine Le Pen. Comme le disait le général et théoricien militaire Carl von Clausewitz, « la victoire appartient à ceux qui tiennent le dernier quart d’heure »

    http://www.bvoltaire.fr/face-a-gauche-vote-utile-cest-marine-fillon/

  • Marine Le Pen : « Le 23 avril, ne vous trompez pas ! » | Marine 2017

  • L’hebdomadaire Minute craint l’abstention des électeurs de droite

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    Minute-Présidentielle-Droite-251x350.jpgPour l’hebdomadaire Minute, qui affiche en Une un panneau « Pêche interdite », le principal risque du scrutin de dimanche est celui de l’abstention des électeurs de droite :

    « Hier imperdable pour la droite, l’élection présidentielle est devenue imperdable pour la gauche ! Après cinq années de Hollande ! Aux fous ! Tout cela parce que les électeurs de droite, ultra majoritaires, se demandent s’ils vont aller voter ou songent à apporter leur suffrage à un petit candidat » :

    « On arrête les conneries ? »

    « Les électeurs de droite ont des états d’âme », assure Minute :

    « Les uns parce que Marine Le Pen n’a pas fait campagne sur l’identité, semble considérer que l’islam a toute sa place dans notre pays dès lors qu’il est “modéré“, et défend les “acquis sociaux“ comme les 35 heures ou la retraite à 60 ans. Les autres parce que François Fillon s’est fait prendre les doigts dans le pot de confiture, alors qu’il s’était présenté comme le candidat vertueux qui venait rompre, sur la base d’un programme libéral-conservateur plébiscité par les électeurs de la primaire de la droite et du centre, avec les années Sarkozy couronnées, si l’on peut dire, par les multiples mises en examen de celui-ci. »

    « L’issue du premier tour, insiste l’hebdomadaire, ne dépend que d’une chose : du coup de pied aux fesses que les électeurs dont le cœur penche à droite vont se donner, ou pas, pour que les deux seuls candidats de droite ayant une chance de l’emporter s’opposent au second tour et que nous soyons débarrassés de la totalité des postulants de gauche. »

    « Un second tour entre Marine Le Pen et François Fillon, explique Minute, ce ne serait pas seulement l’assurance d’être débarrassés des différents gauches pour cinq ans, ce ne serait pas seulement la configuration la plus favorable pour que Marine Le Pen accède à l’Elysée, ce serait aussi, vis-à-vis de François Hollande qui rêve de survivre par procuration en soutenant Emmanuel Macron, vis-à-vis des puissances financières qui ont également misé sur le jeune loup du progressisme libéral-libertaire, vis-à-vis des juges qui croient pouvoir faire l’élection, vis-à-vis de tout le système politico-médiatique qui ne songe qu’à sa perpétuation, un gigantesque bras d’honneur »

    Et de conclure ainsi :

    « Le bras d’honneur à tous ceux qui nous emmerdent depuis un demi-siècle, c’est le vote et c’est le vote à droite ! »

    https://fr.novopress.info/

  • La fin d’une République ou la promesse d’un nouvel État ?

    Bernard Plouvier

    La mocheté morale de la campagne de la présidentielle (et ce sera pire lors des législatives suivantes) ne fait que révéler la profondeur de notre déchéance : la Nation française, submergée d’inutiles alluvions d’origine extra-européenne, est aveulie, vulgaire, minable.

    Cela n’est nullement une nouveauté dans l’histoire de la France. L’époque des ultimes Mérovingiens puis celle des derniers Carolingiens, la Guerre de Cent Ans, le règne du controversé Louis XVI, les années 1899-1912, la triste décennie 1931 sq. furent des exemples de dépression de la volonté nationale et de vie végétative, suivies d’un extraordinaire regain d’activité, souvent brouillonne, mais pleine d’énergie et de gloire, donnant naissance à ces mythes historiques qui soudent la collectivité

    L’on se moque des turpitudes et des crimes d’un Charlemagne ou d’un Philippe II (devenu Auguste, soit : un roi qui se voulait l’égal de l’Empereur germanique, après la victoire de Bouvines) ; l’on n’a rien à faire des guillotinés de la Terreur et des agissements des soudards de 1792 à 1805, des offensives stupides et criminelles d’un Joffre ou d’un Foch, ou encore de l’énorme part de supercherie des « épopées » gaulliste et de la Résistance.

    Il suffit que ces actions aient fait rêver la Nation et, qu’en dépit de leurs échecs apparents, de leurs erreurs et/ou de leurs imperfections, une Jeanne d’Arc, un Napoléon, le Pétain des années 1914-18 et de l’An 40, le De Gaulle du 18 juin 1940 et quelques héros qui ont laissé une trace dans l’histoire nationale, servent d’exemples (ou d’archétypes, comme disent les savants).

    Tout (ou presque) est faux dans l’histoire telle qu’elle est racontée par les aèdes officiels des universités & des media, mais cette narration fortement idéalisée est indispensable à la vie d’une Nation : elle soude la collectivité et enseigne les vertus de noblesse et d’abnégation au service de la collectivité, du dévouement à l’État lorsque ses chefs en paraissent dignes, éventuellement du sacrifice suprême pour la grande cause.

    De fait, rien n’est enthousiasmant, ni même beau dans la Ve République agonisant dans les malversations et l’absence de fierté nationale, parce que ses soi-disant élites se sont vendues aux multinationales, se vautrant avec délices dans le monde du fric aisément gagné et du mensonge de propagande. On veut bien reconnaître que l’un ou l’autre des candidats inconnus sont sincères et prononcent des paroles qui ne sont pas sottes, mais qui va suivre des cuistres de sous-préfecture ?

    Ce n’est pas d’un Président de la République, comme elle en a trop vus, dont la Nation a besoin, mais d’une grande aventure – que l’on peut nommer « projet politique », si l’on n’est pas trop écœuré par l’adjectif, dénaturé par des milliers d’élus inefficaces, ineptes et trop souvent malhonnêtes.

    Comment croire que ces guignols qui se succèdent à l’Élysée depuis quelques décennies pour faire tous la même politique du chien crevé dérivant au fil de l’eau – une politique qui leur est dictée par le Pouvoir économique – pensent, ne serait-ce qu’une seconde, à l’intérêt de la Nation française ?     

    En favorisant l’avortement de complaisance des Françaises de souche européenne et en important plus de dix millions d’Africains et de Proche- et Moyen-Orientaux ? En implantant l’islam djihadiste et en laissant s’implanter deux mille cités de non-droit sur le sol national ? En laissant se détruire l’industrie française et en bradant l’agriculture aux multinationales de la distribution ? En amusant la galerie avec de faux problèmes de soi-disant écologie, qui servent à mieux vendre d’onéreux produits de substitution ou à taxer davantage les contribuables ?

    Que les électeurs veuillent bien méditer un instant sur leurs buts de vie et sur l’avenir de leurs enfants. Que, surtout, ils veuillent bien penser par eux-mêmes, en faisant abstraction du bourrage de crânes des media télévisés, tous – même les chaînes financées avec l’argent public – aux ordres du Pouvoir économique.

    Le bon gouvernement est celui qui s’occupe exclusivement du Bien commun… et l’on ne peut guère attendre d’un affairiste qu’il se consacre à la communauté. La propagande actuelle est de type individualiste, car, en persuadant chacun qu’il est un petit roi ou une jolie princesse, cette propagande permet de noyer les véritables problèmes de fond sous une avalanche de petits besoins et de jouissances au quotidien.

    L’avenir de la France, l’avenir du continent européen – étendu de l’Islande à Vladivostok – sont en passe d’échapper à leurs maîtres légitimes. Il est temps d’ouvrir les yeux et de se poser les bonnes questions : celle de l’adéquation d’un continent et de son peuplement, celle du but d’un État et d’un gouvernement. Par le peuple, pour le peuple… ou le néant.

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