En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
"Le 16 octobre sera une grande journée pour l'Autre Cercle. En plus de la présentation des recommandations de l'ONU (voir article ici), la région Ile de France s'engagera auprès de notre association et deviendra ainsi la première région signataire."
La première région signataire n'est donc pas une région de gauche...
Après qu'Emmanuel Macron a annoncé qu'il comptait reconnaître le drapeau et l'hymne européen, Mathieu Bock-Côté démontre ici que les aspirations européennes du chef de l'Etat sont à contre-courant de celles du peuple français [Figarovox 12.10]. Il a raison !
De bien des manières, et à plusieurs reprises, Emmanuel Macron l'a fait comprendre, la construction européenne est pour lui l'horizon indépassable de la France. Toujours, elle doit aller de l'avant.
La France ne peut qu'y participer avec enthousiasme ou déchoir dans un souverainisme que l'on décrète inévitablement étroit et poussant la nation au repli identitaire.
L'imaginaire macronien reprend les catégories fondamentales du progressisme contemporain.
Il y a l'ouverture et la fermeture, et conséquemment, les ouverts et les fermés.
Il y a l'élan vers le monde et le repli sur soi. Il y a les citoyens du monde et les nationalistes tribaux.
Il y a les forces de l'avenir et celles du passé.
Il y a l'avant-garde d'un monde nouveau et le bois mort de la vieille humanité enracinée.
Il y a les gens bien et ceux qui ne le sont pas ou le sont moins.
Emmanuel Macron a l'ardeur conquérante des nouvelles élites mondialisées qui ne veulent plus s'encombrer de la ringardise patriotique.
C'est assurément dans cet esprit qu'il s'est engagé à reconnaître le drapeau et l'hymne européens, pour marquer une fois pour toutes l'adhésion de la France à un projet devant lequel les Français ont pourtant témoigné de grandes réserves.
C'est sa manière de répondre à ceux qui croyaient pour congédier ce symbole qu'ils jugent inapproprié au cœur des institutions nationales. C'est une nouvelle étape dans l'européanisation mentale et culturelle des élites françaises, pour qui la construction européenne relève du sens de l'histoire.
On ne doit plus voir l'Union européenne comme un cadre dont on peut s'extraire ou s'éloigner, selon les préférences populaires et l'intérêt national. Emmanuel Macron ne cesse de brandir son idéal européen, presque de manière incandescente.
Un mauvais esprit pourrait faire remarquer au Président de la république que lorsque la France voit dans l'Europe une occasion de sortir d'elle-même, comme si elle voulait se délivrer du fardeau de la souveraineté, l'Allemagne y voit l'occasion de s'imposer aux autres.
Certes, il y a quelque chose de grotesque, pour ne pas dire de loufoque dans la manière dont cette controverse est en train de tourner. La déclaration de guerre de la France insoumise contre le drapeau européen est justifiée au nom d'un anticatholicisme aussi maladif qu'anachronique.
C'est un peu comme si la France insoumise devait maquiller un souverainisme qu'elle juge déshonorant, parce que suspect de nationalisme, alors que la lutte contre la religion catholique apparaît toujours de rigueur. La gauche radicale semble n'en avoir jamais fini dans sa volonté d'arracher les racines chrétiennes de la France. On y verra à bon droit une névrose, ou du moins, la résurgence d'un détestable folklore.
On trouve à la France insoumise un laïcisme ultra qui se trompe d'époque qui se conjugue avec le multiculturalisme agressif de ceux qui prétendent décoloniser la France en la dénationalisant. La gauche radicale ne sait jamais quoi faire de la nation, sinon la combattre ou la redéfinir comme une pure abstraction révolutionnaire.
Il n'en demeure pas moins que l'initiative d'Emmanuel Macron fait problème dans un pays qui a voté contre la constitution européenne en 2005 et qui tient plus que ses élites à l'identité et l'indépendance nationales. À tout le moins, dans l'esprit du commun des mortels, on ne saurait placer sur le même pied le drapeau français et celui de l'Union européenne.
Au nom du premier, des générations d'hommes ont accepté de sacrifier leur vie. Il touche aux plis les plus intimes de l'être et réfère à la part sacrée de la patrie. On ne saurait en dire autant du second qui demeure essentiellement un symbole technocratique qui ne touche ni le cœur ni l'âme. Rappeler cette simple vérité ne devrait pas choquer.
À la rigueur, on peut souhaiter qu'un jour, le drapeau européen prenne la place des drapeaux nationaux dans la conscience collective des peuples d'Europe. Ce n'est pas encore le cas. Le sentiment national n'est pas encore aplati.
Mais dans tout ce débat, un gros mot est sorti : qui ne s'enthousiasme pas pour l'initiative d'Emmanuel Macron est désormais suspect d'europhobie. C'est même pour lutter contre cette dernière qu'il faudrait s'y rallier. Il suffit d'inscrire une cause dans le cadre des grandes luttes contre les phobies pour d'un coup l'anoblir.
On voit encore ici à quel point l'évolution du vocabulaire est symptomatique d'une mutation des codes de la respectabilité politique. Peu à peu, l'opposition à la fédéralisation discrète ou revendiquée de l'Europe devient non seulement illégitime mais impensable autrement que sur le registre de la pathologie.
En trente ans, l'eurosceptique est devenu europhobe. Il a cherché à se définir positivement en se réclamant pour un temps du souverainisme, mais ce terme ne s'est jamais départi d'un parfum quelque peu exotique, comme s'il n'avait pas su faire sa place ailleurs que dans les marges politiques. Lui aussi aujourd'hui est disqualifié.
La nation fondait autrefois le lien politique : on lui accorde maintenant une connotation retardataire, et même réactionnaire. La construction européenne est certainement un idéal légitime, mais elle ne saurait avoir le monopole de la légitimité.
Cette controverse, toutefois, n'est pas sans quelques vertus. Elle rappelle que le macronisme n'est pas qu'un pragmatisme libéral appelé à mener en France les nombreuses réformes jugées nécessaires à sa modernisation, pour reprendre le vocabulaire d'usage. Il s'agit aussi, et peut-être surtout, d'un progressisme militant qui voit dans le dépassement de la nation un devoir d'époque et une mission presque sacrée.
Quand Emmanuel Macron souhaite voir la souveraineté européenne transcender, puis se substituer à la souveraineté nationale, il propose une rupture radicale qu'il croit porter au nom de sa conception héroïque de la politique.
À la différence de certains de ses prédécesseurs, il avance à visière levée et force ses adversaires à préciser leur propre philosophie politique. Il butera néanmoins sur cette réalité : il n'existe pas de peuple européen au singulier, mais des peuples européens, qui ne veulent pas se dissoudre dans un fantasme désincarné et indifférencié.
Ce en quoi on est en droit de penser qu'après la « séquence sociale » du début du quinquennat, la question nationale, d'une manière ou d'une autre, sera au cœur des prochaines années politiques.
Reste à voir comment la droite républicaine assumera ce clivage, elle qui peine pour l'instant à se positionner par rapport à un président si singulier.
L’Autriche est un pays intelligent. Et surtout – mais ces mots ont perdu leur signification en France – plein de bon sens lorsqu’il s’agit de la défense de son intérêt national. Et cela d’autant plus que l’économie autrichienne se porte bien mieux que la nôtre. Mais le peuple autrichien a compris que son bonheur alpin n’était pas immortel, qu’il fallait faire foin des faux procès en sorcellerie et qu’il était vital d’unir la population pour se prémunir par avance contre les dangers rampants de la politique européenne, notamment en matière d’immigration forcée.
En effet, en ce dimanche historique d’octobre 2017, et selon des projections de la télévision publique (source RFI), le conservateur Sebastian Kurz a remporté les élections législatives autrichiennes et sera ainsi appelé à devenir chancelier ; le plus jeune dirigeant européen. Les conservateurs de l’ÖVP obtiendraient 30,2 % des suffrages, devant la droite sociale et nationale FPÖ à 26,8 % et les sociaux-démocrates du SPÖ (grands perdants), crédités de 26,3 % des voix. Quelle que soit l’alliance qui se dessinera, le thème du refus d’une immigration de masse, incontrôlée par Bruxelles, aura fédéré 57 % des Autrichiens. Les Autrichiens ne sont pas contre l’aide aux populations menacées par la guerre : ils refusent simplement que leur culture disparaisse et que leurs équilibres sociologiques soient fragilisés par une immigration de masse imposée d’ailleurs.
Le cerveau du peuple autrichien n’est ni encombré du smog gauchisant franchouillard (la « basse intelligentsia »), ni « plein du vide » des castes politiciennes parisiennes fascinées, comme dans un des mondes visités par Gulliver, par la dispute entre « Gros-boutiens » et « Petits-boutiens ». Ou, pour rester français, par nos picrocholines querelles sur de minimes questions techniques quand le navire sombre.
Merci aux Autrichiens d’avoir montré aux Français que le chemin de l’union nationale pour préserver l’intérêt et l’équilibre sociologique national est si logique et si facile d’accès quand il est souhaité par la majorité démocratique de la population. Les politiciens français (notamment prétendument de droite) sont-ils capables de l’entendre ? On en désespère. Sinon, ils connaîtront rapidement le sort du SPÖ.
Le ministre de l’Intérieur britannique Amber Rudd a annoncé le 3 octobre de nouvelles mesures législatives pour lutter contre le terrorisme. « Je veux faire en sorte que ceux qui regardent des contenus terroristes ignobles sur internet, y compris les sites djihadistes, la propagande d’extrême droite et les instructions pour fabriquer des bombes, soient sévèrement réprimées », a menacé le ministre. Les changements proposés doivent étendre le délit de possession d’informations pouvant servir à des actes de terrorisme au simple fait de consulter de manière répétée, même sans les télécharger, des contenus publiés sur Internet. Les universitaires, journalistes et autres personnes pouvant se prévaloir de raisons légitimes pour consulter ces sites ne seront pas visés. Les peines applicables au Royaume-Uni pour ce délit de consultation de contenus djihadistes, terroristes ou « d’extrême droite » pourront aller jusqu’à 15 ans de prison.
Dimanche 1er octobre, Jayda Fransen était des nôtres avec une délégation de son mouvement, Britain first, à la 11e Journée de Synthèse nationale à Rungis. Ce fut d'ailleurs l'occasion pour elle de rencontrer le Président Jean-Marie Le Pen.
Samedi, son mouvement appelait à manifester contre le viol d'une jeune Anglaise, Chelsey (20 ans, mère d'un enfant en bas âge), par des immigrés pakistanais dans le Suderland. La manif a été interdite et notre amie, ainsi que de nombreux militants, ont été arrêtés. Rappelons qu'en Angleterre les organisations musulmanes manifestent quotidiennement sans jamais être inquiétées.
Nous saluons le courage de Jayda et lui transmettons ce message de solidarité européenne.
Secrétaire d’Etat à 24 ans, ministre des Affaires étrangères à 27, c’est aujourd’hui âgé de 31 ans que l’Autrichien Sebastian Kurz le candidat du parti conservateur l’ÖVP (parti chrétien-démocrate ) s’apprête à devenir le plus jeune chef de gouvernement d’Europe. Au terme des législatives qui se sont déroulées hier, épisode électoral au cours duquel M. Kurz a multiplié les prises de position très fermes contre l’immigration, son parti a recueilli 31,7% des suffrages. Il devance la principale formation de gauche, les sociaux-démocrates du SPÖ (26,9%), eux-même talonnés par les nationaux du FPÖ (26%, en progression de 5,5 points par rapport aux précédentes législatives de 2013) emmenés par le sympathique Heinz-Christian Strache, ami de longue date du Front National. La logique voudrait et c’est le scénario privilégié par tous les observateurs, que conservateurs et nationaux fassent alliance au sein d’une coalition pour diriger le pays, le FPÖ se voyant bien obtenir plusieurs ministères régaliens (Intérieur, Affaires étrangères…).
Le FPÖ dont le candidat Norbert Hoffer, rappelons-le, a manqué de peu son élection à la présidence de l’Autriche en décembre dernier, a renoué hier avecson meilleur score historique à des législatives, celui obtenu en 1999 (près de 27%). Sous l’impulsion de feu Jörg Haider et fort de cette dynamique, les patriotes autrichiens étaient alors entrés en 2000 dans un gouvernement de coalition avec les conservateurs. Une participation au pouvoir alors inédite qui avait provoqué une campagne de diabolisation délirante à l’échelle mondiale. Ce sursaut national dans les urnes avait entraîné des sanctions et des mesures de rétorsion de la part des instances bruxelloises contre Vienne, coupable de faire entrer le prédateur patriote dans la bergerie euromondialiste. Certes, dans la situation actuelle de montée des populismes identitaires, de refus de plusieurs gouvernements de l’UE de courber l’échine devant les commissaires politiques, parions que les Torquemada seront contraints de faire profil bas…
Nos camarades du FPÖ ont noté que Sébastien Kurz n’a pas hésité à « plagier» leur programme, ce qui s’est révélé à l’évidence très payant auprès des électeurs Autrichiens, pour virer en tête hier. Un durcissement il est vrai opéré antérieurement par M. Kurz. En octobre 2015, alors ministre des Affaires étrangères, il avait emboîté le pas au FPÖ pour dénoncer avec force la folle politique d’ouverture des vannes au torrent migratoire d’Angela Merkel. Ces derniers mois, il avait réclamé comme les nationaux l’arrêt des pompes aspirantes de immigration que sont notamment les aides matérielles que reçoivent les clandestins. Ce qui a fait dire à Heinz-Christian Strache, additionnant hier soir le score de son mouvement et celui du parti conservateur que « 60% des Autrichiens ont voté pour le programme du FPÖ ! ».
Avec un grégarisme qui ne surprend plus depuis longtemps, la caste journalistique, milieu progressiste autoréférencé s’il en est, dont le niveau intellectuel et culturel est en chute libre (à de notables et heureuses exceptions près), relaye peu ou prou les mêmes commentaires sur le retour et les mutations de la bête immonde . Tel le loup du petit chaperon rouge, elletenterait de de se dissimuler sous un costume rassurant… pour mieux te manger mon enfant!
Ces dernières heures, l’ex président de l’Observatoire de l’extrémisme, le journaliste et militant antifrontiste Jean-Philippe Moinet, s’est livré à une analyse de très faible niveau des élections autrichiennes, qui recycle tous les poncifs du genre, mais emblématique de la (non) pensée dominante.
Sur le site Atlantico notre expert nous explique que si «comparaison n’est pas raison », la réaction identitaire qui se manifeste a « pris forme, de manière particulièrement extrême et dangereuse, dans cette partie de l’Europe, qui a porté le nazisme au pouvoir (…). On en est bien sûr pas là avec la montée des nationaux-populismes de droite extrême, actuellement dans certains pays d’Europe centrale » mais « l’Autriche, contrairement à l’Allemagne démocratique de l’après-guerre, n’a pas bénéficié du même effort, en milieux scolaires notamment, de promotion constante des vertus de la démocratie et de l’ouverture au reste du monde. Ce pays a même été le lieu du recyclage de l’idéologie néo-nazie, un carrefour de réflexions et de relations plus que douteuses, qui ont d’ailleurs concerné le FN et Marine Le Pen elle-même qui, avant de prétendre dédiaboliser son parti avec la caution de Florian Philippot, ne rechignait pas festoyer à Vienne avec ce que l’Europe a de plus détestable en matière d’extrême droite » (sic).
« L’Autriche poursuit-il, n’a aucun problème grave du point de vue de l’économie et pourtant connaît des pulsions, des secousses et des mouvements d’extrême droite qui inquiètent les démocraties européennes. Les leviers nationaux-populistes sont souvent les mêmes, les fantasmes d’une identité nationale soit disant (sic) dissoute dans la mondialisation des échanges(économiques, sociaux, culturels) et des migrations permettent aux populistes d’extrêmes droites de prospérer.»
Et M. Moinet, soucieux de maintenir la position hégémonique du cercle de la raison cosmopolite, des tenants de la société liquide, hors-sol, insiste comme de juste sur le maintien du cordon sanitaire, la vigilance devant le risque de contamination. « Les observateurs et démocrates de tous les autres pays, insiste-t-il, doivent prendre le phénomène FPÖ très au sérieux et donc y prêter une attention, elle aussi, particulière. Des porosités sont à l’œuvre, dans ce pays particulièrement, entre l’extrême droite, plus ou moins policée, et d’autres familles politiques, de droite classique notamment. Mais pas seulement : la gauche a aussi, il faut le rappeler, été actrice de coalitions dans le passé qui comprenaient entre autres des dirigeants et élus de ce mouvement d’extrême droite. »
Jean-Pierre Moinet, à l’instar de ses compagnons d’agapes, regarde avec terreur, sidération, les coups portés par une nouvelle génération d’Européens à un Système décati, incapable de répondre aux légitimes aspirations protectionnistes (au sens large) des peuples de notre continent. Cette résistance nationale là ne cesse de se renforcer, on la voit à l’oeuvre dans la Pologne de Beata Szydlo, dans lespays du groupe de Visegrad, surune autre terre d’empire comme la Hongrie qui se cabre elle aussi devant les diktats immigrationnistes des Bruxellois. Le Premier ministre Viktor Orban a pris ces dernières semaines l’initiative d’une nouvelle consultation populaire avec un questionnaire envoyé dans les foyers hongrois sur le plan de George Soros, avec lequel il est en conflit ouvert, prévoyant une nouvelle accélération de l’installation de l’immigration non européenne au sein de l’UE.
Bref, aujourd’hui et quelques semaines après la percée historique de l’AfD en Allemagne, Bruno Gollnisch peut de nouveau affirmer que « les européens sont de plus en plus nombreux à montrer la voie du réveil des nations, de la défense des identités, contre les forces mondialistes attachées à leur destruction. Il n’y a pas de fatalité du nivellement, du déclin et de la submersion dès lors que le courage se manifeste ! ».
Edouard Ferrand vient de publier un ouvrage sur le comte de Saillans, premier combattant de la révolution française. François-Louis, comte de Saillans (1741-1792) est le chaînon manquant des historiens de la période. Son action aurait pu en effet changer le cours de l'Histoire de France. Son épopée du Midi de la France fut le premier soulèvement contre-révolutionnaire. Elle a joué en contrecoup un rôle décisif dans la mise en accusation de Louis XVI et son exécution.
"Cet officier émigré prit la tête du troisième camp de Jalès en juillet 1792, avec la volonté de soulever le Midi royaliste et catholique, de remonter sur Paris en passant par Lyon pour rétablir l'autorité du roi. Dans le même temps l'armée des Princes envahirait l'Est de la France", nous explique Jean Tulard.
Cet ouvrage est le résultat de quarante années de recherches dans les Archives nationales, départementales et dans d'importantes sources privées. De précieux documents inédits et de nouveaux éclairages sur le procès de Louis XVI apportent une lecture neuve sur les derniers temps de la Monarchie.