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  • RETOUR DES DJIHADISTES DE SYRIE : RACHIDA DATI PRÔNE UNE SOLUTION RADICALE

    Interrogée par Nice-Matin, lors de la Conférence des maires des villes d’Europe et de la Méditerranée qui se tenait à Nice le 30 septembre, sur les moyens d’empêcher les djihadistes de retour de Syrie de frapper sur le territoire français, Rachida Dati a déclaré : « Ceux qui veulent partir en Syrie ou en Irak, non seulement on devrait les laisser partir, mais surtout les empêcher de revenir par tous les moyens dont nous disposons. »

    Il semble qu’elle ait ainsi renoué avec la fougue qui lui avait valu, en 2007, de devenir la porte-parole de Nicolas Sarkozy.

    Sur les plateaux télé, ses cheveux d’un noir de jais, son regard de braise et son sourire éclatant, mis en valeur par la chemise bleu ciel qu’elle arborait alors, sont restés dans les mémoires.

    Elle avait conquis, par sa fermeté de ton, cette partie de l’électorat frontiste que Sarkozy avait décidé de séduire, ce qui lui assura la victoire à la présidentielle quelques mois plus tard.

    Plus tard, Garde des Sceaux chargé de réduire le budget de la Justice et de fermer de très nombreux tribunaux, et aux prises avec une vie privée compliquée, elle fut moins appréciée.
    Avec ses collègues LR, ses relations ne sont pas toujours au beau fixe non plus. Très attachée au très droitier VII e arrondissement de Paris dont elle est maire, elle a agi contre la candidature de NKM à la 2e circonscription de Paris proposée par Fillon en remerciement du ralliement de celle-ci à sa candidature lors du second tour des primaires, et n’aurait pas hésité – aux dires de certains – à fournir au Canard enchaîné des éléments accablant Fillon…

    Nicolas Sarkozy, juste avant l’élection du président de LR, veut-il la faire monter au créneau afin qu’elle ait une place de choix dans le futur organigramme du parti ? Ou a-t-elle choisi d’elle-même de revenir sur la scène nationale, elle qui avoue ne guère s’intéresser à l’Europe ? (« L’Union européenne, elle s’occupe… de ce qu’on lui donne à s’occuper », avait-elle répondu à un journaliste qui l’interrogeait sur son mandat au Parlement européen.)

    Choqués et terrifiés par l’assassinat, le 1er octobre dans la gare de Marseille, de deux très jeunes filles selon des modalités atroces (égorgement de l’une, éventrement de l’autre) qui rappelle les heures sombres du FLN ou du GIA, les Français lui seront en tout cas reconnaissants d’avoir dit et redit – notamment face à Jean-Jacques Bourdin le 2 octobre – ce qu’ils pensent eux-mêmes dans leur grande majorité : « Ceux qui veulent partir en Syrie ou en Irak, non seulement on devrait les laisser partir, mais surtout les empêcher de revenir par tous les moyens dont nous disposons, je dis bien tous les moyens. »

    Y compris au moyen d’exécutions ciblées par des drones ? Oui, car elle ajoute : « Obama est celui qui a signé le plus d’autorisations d’élimination des terroristes sur les terrains de guerre, notamment par drone. »

    Et ils ne pourront qu’être d’accord sur la conclusion de son interview : « On ne peut plus accepter qu’un pays tout entier puisse être tenu en joue par des individus déterminés qui n’ont rien à perdre. »

    Nous sommes en effet tous très exactement « tenus en joue » à chaque minute comme dans les pires scénarios de film d’horreur.

    Et qui est plus « déterminé » que des jeunes gens de 20 ans décidés à mourir ?

    Et quelles sanctions possibles contre ceux « qui n’ont rien à perdre » ? Aucune.

    Qu’ils trouvent la mort à la guerre qu’ils ont choisi de mener est sans doute la seule solution pour éviter qu’ils ne viennent se la donner ici en venant « égorger jusque dans nos bras nos fils, nos compagnes ».

    http://www.bvoltaire.fr/retour-djihadistes-de-syrie-rachida-dati-prone-solution-radicale/

  • Trad’histoire – Clovis et les Francs

    Trad’histoire site historique à destination des plus jeunes diffuse le troisième chapitre de la petite histoire de France de Jacques Bainville adapté en vidéo.
    Aujourd’hui: Clovis et les Francs 
    Retrouvez le cours, le quiz et des idées sorties en relation avec cette vidéo directement sur Trad’histoire.com 

  • ATTENTATS COMMIS, ATTENTATS DÉJOUÉS, ISLAMISME : SOYONS RÉVOLTÉS !

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    Et nommons sans fard le réel.

    Tuer au nom de l’islam n’a rien à voir avec lui…

    Les mêmes causes produisent les mêmes effets.

    Il y a quelques jours à Marseille, deux jeunes femmes ont été égorgées en pleine rue par un mahométan d’origine tunisienne qui s’est souvenu de la pratique barbare du « sourire kabyle », laquelle avait efficacement fait ses preuves durant la sédition algérienne de 1954-1962.

    Au même moment, dans le XVIe arrondissement de la capitale, la police mettait la main sur des bonbonnes de gaz équipées d’un dispositif de mise à feu situées au pied d’un immeuble. Par un curieux hasard de l’actualité, ce lundi, devant les assises spéciales de Paris, débutait le procès d’Abdelkader Merah, frère de l’ignominieusement célèbre Mohamed, accusé de « complicité » dans l’attentat perpétré par celui-ci contre une école juive à Toulouse en mars 2012.

    Et sans bruit, la presse quotidienne régionale, via Le Courrier picard (1er octobre), nous apprend, au cœur de cette sombre nuée noire-verte, que le chantier de la future grande mosquée d’Amiens a « progressé cet été ; 8.200 m2, une façade de 5 mètres de haut et un minaret de 30 mètres. » « L’association a pu acheter le terrain de 4.000 m2 “170.000 euros hors taxe à la ville” », précise Ahmed Assal, le président de l’association cultuelle et culturelle des Français musulmans de Picardie.

    Tous ces événements rapprochés sont étroitement liés car ils nous rappellent l’omniprésence palpable et visible d’un islam qui nous frôle dans le métro, nous croise dans les gares et les centres commerciaux surpeuplées, nous méprise du regard dans certains quartiers et, parfois, verse dans l’action violente et sanglante, sans parler des subtiles incivilités du quotidien (attouchements, insultes, menaces, rapines) dont la presse locale ne s’encombre guère à l’image des commissariats débordés.

    Bien sûr, tous les mahométans vivant sur notre sol ne sont pas des terroristes, loin s’en faut. Mais certains, parmi eux, ont été, sont ou seront tentés, un jour, de passer à l’acte et de commettre l’irréparable au nom d’Allah le Miséricordieux. Et la majorité des musulmans de France, quoi qu’elle dise ou se récrie, se trouve tacitement mais nécessairement attachée aux agissements de ses coreligionnaires.

    En quoi serait-ce incorrect de le dire, tant que ces crimes ignobles et lâches sont toujours commis au nom du Coran, et tant, d’autre part, qu’aucun aggiornamento sérieux et décisif n’aura été décidé par les plus hautes instances religieuses, d’Al-Azhar en Égypte à la Grande Mosquée de Paris ?

    Mais il y a pire. À cette insupportable et pesante solidarité de fait s’ajoute l’impéritie criminelle de nos gouvernants entravés volontaires dans un juridisme pointilleux tout en s’ébrouant avec componction dans la guimauve « droit-de-l’hommiste ».
    Leur couardise et leur pusillanimité en font des dhimmis, insipides commentateurs de leur lâche impuissance, n’osant guère désigner l’ennemi autrement qu’en édulcorant sa face hideuse avec force euphémisme, litote et antiphrase.

    Chez ces gens-là, tuer au nom de l’islam n’a rien à voir avec lui ! Ignorants de l’Histoire et des textes islamiques, ils s’obstinent à refuser d’affronter la réalité, celle d’une immigration extra-européenne terreau de l’islamisme, lui-même terreau du terrorisme.

    « La logique du révolté est de s’efforcer au langage clair pour ne pas épaissir le mensonge universel », écrivait pourtant Albert Camus, qui considérait encore que « mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde » (Œuvres complètes, tome 1, Paris, La Pléiade, p. 908).

    Soyons révoltés, c’est la seule manière de demeurer libres, et nommons sans fard le réel.

    http://www.bvoltaire.fr/attentats-commis-attentats-dejoues-islamisme-soyons-revoltes/

  • Une France d’en haut structurée autour d’Emmanuel Macron pour protéger ses intérêts…

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    Nous reproduisons ci-dessous un entretien donné par Christophe Guilluy à Atlantico, relayé par Métapo infos, dans lequel il évoque les premiers mois de la présidence Macron à la lumière de ses analyses… Géographe, Christophe Guilluy est déjà l’auteur de trois essais importants, Fractures françaises (Flammarion, 2010), La France périphérique (Flammarion, 2014) et Le crépuscule de la France d’en haut (Flammarion, 2016).

    ♦ Christophe Guilluy : « La France d’en haut s’est structurée autour d’Emmanuel Macron pour protéger ses intérêts, le monde d’en bas, lui, est complètement dispersé ».

    Atlantico : À la rentrée 2016, vous publiiez Le crépuscule de la France d’en haut. Selon un sondage Viavoice publié par Libération en début de semaine, 53% des Français jugent que la politique du gouvernement bénéficiera en premier lieu aux plus aisés, quand 60% d’entre eux craignent une précarisation. Un an après, quel constat portez-vous sur cette France d’en haut ?

    Christophe Guilluy : Nous sommes dans la continuité d’une société qui se structure autour de la mondialisation depuis 20 ou 30 ans. Ce qui est validé ici, c’est une logique de temps long, avec un monde d’en haut que j’ai décrit dans La France périphérique mais aussi dans Le Crépuscule de la France d’en haut. C’est un monde qui vit en vase clos, je parle de “citadellisation” des élites, des classes supérieures, et tout cela ne cesse de se creuser.

    Il faut revenir au 2e tour de l’élection présidentielle. Ce que nous avons vu, c’est une structuration de l’électorat qui suit la dynamique économique et sociale de ces 30 dernières années. Le grand sujet caché depuis 30 ans, c’est la disparition de la classe moyenne au sens large, c’est-à-dire telle qu’elle l’était hier, celle qui regroupait la majorité des catégories sociales, de l’ouvrier à l’employé en passant par le cadre. Les gens étaient intégrés économiquement, donc socialement, politiquement, et culturellement.

    Ce qui explose avec le modèle mondialisé, c’est la classe moyenne occidentale. On va retrouver ces gens dans les territoires qui ne comptent peu ou pas : France périphérique, Amérique périphérique, Grande Bretagne Périphérique etc. Inversement, des gens qui vont être de plus en plus concentrés dans les endroits ou “ça” se passe : les grandes métropoles mondialisées. C’est ce qu’on a vu avec la carte électorale, qui était assez claire : les bastions d’Emmanuel Macron sont ces grandes métropoles mondialisées qui reposent sur une sociologie d’un front DES bourgeoisies.

    Ce qui est frappant, c’est en regardant Paris. La bourgeoisie de droite n’a qu’un vernis identitaire, car même les bastions de la “manif pour tous” ont voté pour Emmanuel Macron qui est pourtant pour les réformes sociétales à laquelle elle s’oppose. Dans le même temps, les électeurs parisiens de Jean Luc Mélenchon, au 1er tour, ont aussi voté Macron au second tour. Ils n’ont pas voté blanc. Cela veut dire que le monde d’en haut est de plus en plus dans une position de domination de classe qui est en rupture avec la France d’en bas. C’est la grande nouveauté. Parce qu’une société ne marche que si le haut parle au bas. C’était le parti communiste, constitué d’une frange d’intellectuels qui parlaient aux classes ouvrières. Aujourd’hui le monde d’en haut ne prend plus du tout en charge le monde d’en bas, qui est pourtant potentiellement majoritaire. C’est un processus long, qui est celui de la sortie de la classe moyenne de toutes les catégories sociales. Cela a commencé avec les ouvriers, cela s’est poursuivi avec les employés, et cela commence à toucher les professions intermédiaires. Demain ce sera les retraités. Il suffit de regarder ce qui se passe en Allemagne. La mondialisation produit les mêmes effets partout et les spécificités nationales s’effacent. Sur le fond, même si l’Allemagne s’en sort un peu mieux en vendant des machines-outils à la Chine, la précarisation touche largement l’Allemagne avec des retraités qui sont obligés d’empiler les petits boulots pour s’en sortir.

    Ce qui est derrière tout cela, c’est cette fin de la classe moyenne occidentale qui n’est plus intégrée au modèle économique mondialisé. À partir du moment où l’on fait travailler l’ouvrier chinois ou indien, il est bien évident que l’emploi de ces catégories-là allait en souffrir. Nous sommes à un moment où les inégalités continuent à se creuser. Je le répète, le monde d’en haut ne prend plus en charge les aspirations du monde d’en bas, c’est une rupture historique. On parle beaucoup du divorce entre la gauche et les classes populaires, c’est très vrai, mais ce n’est pas mieux à droite.

    Selon un sondage IFOP de ce 20 septembre, 67% des Français jugent que les inégalités ont plutôt augmenté en France depuis 10 ans, un sentiment largement partagé en fonction des différentes catégories testées, à l’exception d’écarts notables pour les électeurs d’Emmanuel Macron (54% soit -13 points). Votre livre décrit une nouvelle bourgeoisie cachée par un masque de vertu. Alors que le Président a été critiqué pour ses déclarations relatives aux fainéants et aux cyniques, n’assiste-t-on pas à une révélation ?

    Aujourd’hui nous avons un monde d’en haut qui se serre les coudes, des bourgeoisies qui font front ensemble, qui élisent un Emmanuel Macron qui va être l’homme qui va poursuivre les grandes réformes économiques et sociétales de ces 30 dernières années. La seule différence entre Macron et Hollande ou Sarkozy, c’est que lui, il n’avance pas masqué. Il assume complètement. Il a compris qu’il ne s’agit plus d’une opposition gauche-droite, mais d’une opposition entre les tenants du modèle et ceux qui vont le contester. Les gens l’ont compris, et c’est de plus en plus marqué, électoralement et culturellement. Ce qui complique les choses, c’est qu’il n’y a plus de liens. Le monde politique et intellectuel n’est plus du tout en lien avec les classes populaires, et il ne les prendra plus en charge. Les gens savent que les réformes vont les desservir et l’impopularité d’Emmanuel Macron va croître. Le crépuscule de la France d’en haut découle de cette absence de lien, parce qu’une société n’est pas socialement durable si les aspirations des plus modestes ne sont pas prises en compte.

    Mais la bourgeoisie d’aujourd’hui est plus intelligente que celle d’hier car elle a compris qu’il fallait rester dans le brouillage de classes, et officiellement le concept de classes n’existe pas. La nouvelle bourgeoisie n’assume pas sa position de classe. Elle est excellente dans la promotion de la société ou de la ville ouverte, alors que ce sont les gens qui sont le plus dans les stratégies d’évitement, de renforcement de position de classe, mais avec un discours d’ouverture. Et quand le peuple conteste ce modèle, on l’ostracise. C’est pour cela que je dis que l’antifascisme est devenu une arme de classe, car cette arme n’est utilisée que par la bourgeoisie. Ce n’est pas un hasard si les antifascistes dans les manifestations sont des enfants de la bourgeoisie. Et tout cela dit un mépris de classe. Parce que personne ne va être pour le racisme et pour le fascisme. En réalité, derrière tout cela, il s’agit d’ostraciser le peuple lui-même, les classes populaires. C’est aussi une façon de délégitimer leur diagnostic, parce qu’en réalité, le populisme, c’est le diagnostic des gens d’en bas, et la bourgeoisie s’en démarque en se voyant en défenseur de la démocratie. Et si Jean Luc Mélenchon monte trop haut, on utilisera ces méthodes-là.

    Vous êtes géographe. Quel verdict dressez-vous des différentes mesures prises par le gouvernement, et comment s’articulent-t-elles autour de votre constat d’une France périphérique ?

    On a un processus de plus en plus fort, avec la dynamique économique, foncière, territoriale. Le gouvernement ne fait que suivre les orientations précédentes, les mêmes depuis 30 ans. On considère que la classe moyenne n’a plus sa place, qu’elle est trop payée quand elle travaille et qu’elle est trop protégée par un État providence qui coûte trop cher si on veut être compétitif. La loi Travail n’est que la suite d’une longue succession de mesures qui ne visent qu’à dépouiller une classe moyenne qui ne sert plus à rien.

    Il y a aussi un jeu pervers avec l’immigration puisqu’on va concentrer les budgets sur les plus démunis qui vont souvent être les immigrés, ce qui va permettre d’entraîner un ressentiment très fort dans les milieux populaires qui se dira qu’il ne sert qu’aux immigrés, ce qui aboutira à dire « supprimons l’État providence ». Il y a une logique implacable là-dedans :’aussi bien ce monde d’en haut a pu se structurer autour d’Emmanuel Macron pour protéger ses intérêts, le monde d’en bas est complètement dispersé.

    Christophe Guilluy (Atlantico, 23 septembre 2017)

    Source : Métapo infos

    https://www.polemia.com/une-france-den-haut-structuree-autour-demmanuel-macron-pour-proteger-ses-interets/

  • Terrorisme / Marseille : chronique d’un échec - Journal du Mercredi 04 Octobre 2017

  • Discrimination politique : l'Université de Lorraine condamnée

    Le 16 mars, l’Université de Lorraine a été condamnée à verser la somme de 4000 euros à Monsieur D. pour cause de discrimination. Cette condamnation fait suite à un mail envoyé par le directeur de l’IECA (Institut européen du cinéma et de l'audiovisuel de Nancy)) dans lequel ce dernier signifie à la victime qu’il ne « préfère pas » qu'il soit chargé de cours à l’Institut du Cinéma compte tenu de ses opinions politiques. Maitre Abauzit, avocat de la victime, explique :

    "Monsieur D. a été contraint de saisir la justice administrative, car, alors qu’il était prévu qu’il intègrerait la rentrée 2015/2016,en qualité d’enseignant vacataire, l’équipe pédagogique de l’IECA – école dépendante de l’université de Lorraine –  il s’est vu refuser son poste par un courriel de l’école, au motif qu’il aurait des « accointances avec des sites nationalistes, identitaires et souverainistes ».

    En l’espèce, la discrimination au regard des opinions politiques réelles ou supposées de Monsieur D. était non seulement manifeste, mais revendiquée. Monsieur D., qui pourtant avait déjà enseigné pour l’IECA quelques années auparavant, ne pouvait manquer d’être choqué. Le « terrain » avait été préparé depuis plusieurs mois, puisque dès le mois de mai 2015, le conseil d’UFR de mathématique et informatique avait établi une motion diffamatoire à l’encontre de Monsieur D., dans laquelle il était affirmé qu’il était un zélateur d’extrême droite… Cette motion avait été envoyée aux instances supérieures de l’université de Lorraine, ainsi qu’à un large groupe d’étudiants.

    Quel regard portez-vous sur le mail de l'IECA ?

    En qualité de juriste, je dirais que la façon décomplexée dont la discrimination a été revendiquée est pour le moins surprenante, pour ne pas dire plus. Il semblerait que dans l’esprit de certains, les règles protectrices du droit français n’ont vocation à s’appliquer qu’aux individus respectant le conformisme politiquement correct. Aveuglés par des motifs idéologiques, les auteurs de la discrimination ne se sont probablement pas rendu compte de la portée de leur acte. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html