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  • POURQUOI VEULENT-ILS RÉFORMER LA FRANCE ? COMPRENDRE LEUR "PÉDAGOGIE DE LA RÉFORME"

  • MÉLENCHON À LA CONQUÊTE DE CES « SALAUDS DE JEUNES » !

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    Que la jeunesse ait, de longue date, été courtisée par les partis politiques, voilà qui est au moins aussi vieux que… les partis politiques. Là, c’est La France insoumise qui s’essaye à l’exercice avec un tract tiré à cinq cent mille exemplaires et de la sorte intitulé : « Dix raisons de se mobiliser contre la bande à Macron. »On y voit le Président et son Premier ministre détaler à toutes jambes, poursuivis par la masse des manifestants, poings brandis et drapeaux levés. Rien que du classique, tant ce visuel pourrait convenir à n’importe quel mouvement de jeunes, quelle que soit son obédience.

    D’ailleurs, la jeunesse, tout le monde est globalement pour ; même l’État islamique, qui vante aujourd’hui la vaillance de ceux qu’il surnomme ses « lionceaux », alors qu’hier, il y avait « les jeunes avec Balladur ». Comme quoi… De fait, même les mouvements ou les intellectuels peu connus pour leur jeunisme militant se ravissent de toucher la jeunesse : Pierre Sidos grâce à son Œuvre française, Alain Finkielkraut par ses livres, quoique les deux hommes puissent juger la comparaison incongrue mais, dans le fond, pas tant que ça.

    Et puis, il y a « jeunes » et « jeunes ». À gauche, on raille les enfants gâtés d’écoles de commerce et leurs villégiatures du Cap-Ferret. À droite, on moque les boutonneux de facs en sociologie et leurs stages citoyens chez les zadistes. Comme l’enfer, la jeunesse, ce sont les autres. Les « autres » jeunes. Les pires ? Ceux qui ne votent pas – les crétins ! – ou qui votent Front national – les criminels ! Voire ceux votant désormais pour La France insoumise – les inconscients !

    Il est vrai que le vote jeune, puisque vote jeune il y a, vient de reléguer Marine Le Pen en deuxième position, juste derrière Jean-Luc Mélenchon. S’agit-il, pour autant, des mêmes jeunes ? Les mélenchonistes seraient plutôt rats des grandes villes que des champs et des pavillons, à l’instar de leurs homologues lepénistes. Plus étudiants et moins chômeurs, en quelque sorte. Et Alain de Benoist de noter en ces colonnes : « Les électeurs parisiens de Mélenchon se sont en quasi-totalité rabattus sur Macron au second tour, alors qu’ailleurs beaucoup ont préféré s’abstenir (39 %) ou, plus rarement, voter pour Marine Le Pen (14 %). »

    C’est tout le paradoxe de cette jeunesse « insoumise », qui d’un côté en a après « la bande à Macron » tout en votant pour le même Macron, plus par réflexe de classe – leurs parents sont majoritairement issus des rangs de la mondialisation heureuse, comme les jeunes macronistes – que par une réflexion politique qui devrait les amener à la conclusion voulant que le seul vote révolutionnaire qui vaille soit le vote Le Pen.

    Leurs aînés « insoumis » savent bien que la mobilisation de ces tendrons est socialement des plus connotées : « On a des bons bastions à Paris, à Lille, à Bordeaux… et un bon vivier dans pas mal de lycées », lit-on ainsi dans Libération. Dans les « quartiers pop », comme ils disent avec un délicieux frisson devant tant d’exotisme, « c’est plus difficile. […] Il faut reprendre leurs revendications, leur calendrier, leur montrer qu’on est utiles. Ça prend plus de temps. Le contrôle au faciès est une bonne porte d’entrée. » Magnifique. Pierre Savorgnan de Brazza n’aurait pas mieux dit en échangeant de la verroterie, lorsque faisant connaissance avec son premier indigène.

    Et si les jeunes mélenchonistes n’étaient jamais, eux aussi, que d’insupportables gosses de bourges ? Au même titre que les jeunes électeurs d’Emmanuel Macron et François Fillon ? Avec sa fort intéressante théorie de la reproduction des élites, le défunt Pierre Bourdieu avait déjà anticipé la question avant d’y répondre par l’affirmative. Voilà qui ne rajeunit personne, si l’on peut dire en la circonstance.

    http://www.bvoltaire.fr/melenchon-a-conquete-de-salauds-de-jeunes/

  • L’immigration extra-européenne aura été le principal fait générateur de l’apparition d’un islam de combat

    Lu dans L'Incorrect, à propos du procès du clan Merah :

    6a00d83451619c69e201b7c927306c970b-250wi.jpg"[...] On aura beau gloser, s’agiter et chercher à masquer la réalité, le discriminant commun des terroristes islamistes est qu’ils sont ultra majoritairement issus de familles de culture musulmane, qu’ils soient de nationalité française, binationaux ou étrangers en situation irrégulière. L’immigration extra-européenne aura donc été le principal fait générateur de l’apparition d’un islam de combat sur notre sol. Et que faisons-nous collectivement, en France et sur le continent européen, pour réduire le phénomène ? Nul n’a prétendu qu’il serait aisé de répondre à ces défis majeurs. Toutefois, peut-être devrions nous commencer par prendre quelques mesures de bon sens, de celles qui auraient pu permettre d’éviter le double assassinat de deux jeunes filles dans la gare Saint-Charles de Marseille par exemple.

    Ahmed H. ? Bachir H. ? Salahdine H. ? Yanis H. ? Autant d’identités derrière lesquelles s’abritait ce délinquant d’habitude (arrêté en situation irrégulière en 2005 en possession de stupéfiants, appréhendé pour port d’arme prohibé en 2014…), qui a égorgé Laura et Mauranne au nom d’Allah. Le vendredi 29 septembre, soit deux jours avant la commission de ses meurtres, ce « vagabond » était une nouvelle fois interpellé à Lyon pour des faits de vol à l’étalage, avant d’être placé en garde à vue puis relâché dans la nature comme il se doit. Par la suite, celui qui s’était présenté comme un ancien « amateur de drogues dures » n’aura pas été placé en Centre de rétention administrative en vue de son expulsion ; faute de place ou pour cause d’absentéisme d’un fonctionnaire, les sources divergent. Reste que la France paie chèrement les conséquences de la loi du 31 décembre 2012 supprimant le délit de séjour irrégulier, alors perçue comme une simple mise à jour du droit français au regard d’arrêts constants de la Cour de justice de l’Union européenne.

    De ces « détails », les cerbères de la diversité n’ont cure, préférant dénoncer la société patriarcale ou le système oppressif postcolonial, s’égosillant contre les mesures liberticides que contiendrait en germe le tout petit projet de loi terrorisme porté par le gouvernement… Combien de morts supplémentaires avant que tout ce petit monde ne se décide à déciller leurs yeux et à appliquer la formule employée par Riss sur la dernière couverture de Charlie Hebdo : « Merah, loup solitaire ? Abattez le troupeau ! » ? Peut-être faudrait-il y rajouter les gardiens du troupeau…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Vos enfants apprendront l'écriture inclusive ! Journal du Vendredi 06 Octobre 2017

  • Régionalisme ou continentalisme ?

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    Bernard Plouvier

    Lors de l’éclatement de l’Empire romain d’Occident, l’on a observé un retour aux organisations de petites, voire de très petites tailles. D’un immense État longtemps porteur de paix et de prospérité, on en revenait au village, à la cité, au maximum au comté.

    Faute de s’être défendus énergiquement contre l’envahisseur, les hommes d’Occident – qui ignoraient presque tous les réalités géographiques au-delà de l’horizon de leur plat pays, de leurs collines environnantes ou du cirque de montagnes les plus proches – se recroquevillaient en microsociétés, ce qui n’a jamais fourni que des microéconomies et une limitation considérable au progrès technique et social.

    En nos jours de déréliction politico-religieuse, où les clergés semblent aussi peu fiables que les magistrats, où le monde politique est globalement pourri et les media plus menteurs que jamais, où l’Europe est envahie d’allogènes dangereux, on comprend parfaitement que le repli régional paraisse une solution logique, surtout en zones restées fort homogènes quant à la population, telles la Catalogne, les Flandres ou l’Écosse. Ce faisant, l’on sacrifie au politiquement correct !

    En effet, nos maîtres nous interdisent de penser de façon raciale. Une loi de l’État macronien vient même de stipuler qu’il n’existe plus de race… on se demande ce qu’en peuvent penser divers « groupements humains » réputés à tort ou à raison pour leur racisme institutionnel.

    Pour les « bons Français », c’est devenu une obligation de ne plus se référer à la « race européenne ». Dont acte. Pensons donc, raisonnons en « ethnie européenne », dont les traits sont caractéristiques, alors que la couleur de peau n’est guère une référence fiable : le bronzage modifie la blancheur congénitale alors qu’un Africain albinos et de nombreux Chinois sont plus blancs qu’une majorité d’Européens s’exposant au soleil.

    En revanche, et n’en déplaise aux faiseurs de lois bizarres, un anthropologue reconnaît au premier coup d’œil un crâne d’Européen de celui d’un Asiatique, d’un Africain ou d’un Mélanésien, n’éprouvant de difficulté que devant un produit de ce métissage qui paraît à nos maîtres, financiers et négociants, une promesse d’avenir radieux : One world, one language (le basic english), one distribution… ça simplifie la vie et ça réduit les coûts de production.

    On comprend que confrontés à cette insupportable régression unitaire et uniforme, présentée comme « l’évolution inéluctable de l’humanité une et indivisible », les moins sots et les plus fiers des Européens réagissent de façon communautaire.

    Le problème est de ne pas se tromper sur la taille de la communauté. Il est évident que l’actuelle Europe Unie est une abjection, n’étant de fait qu’une Europe des économies (assez mal) unies… même pas capable d’harmoniser le coût social du travail et encore moins de protéger les citoyens des violences d’une immigration devenue invasion.

    Croit-on que la vie sera plus aisée, moins dangereuse, en se repliant sur une organisation provinciale de 3 à 10 millions d’habitants, alors que les maîtres du jeu planétaire peuvent mobiliser les forces d’un pays de 330 millions de citoyens (USA), d’un milliard (Péninsule indienne), voire d’1,3 ou 1,5 milliard (Chine) ? Certes, ces géants sont fort hétérogènes quant à leur population… et c’est excellent pour nous autres Européens, puisque cette diversité ethnique est un facteur d’implosion (ou d’explosion, comme on voudra), soit une bénédiction pour leurs ennemis.

    L’expérience quotidienne, comme les leçons de l’histoire, prouvent que « l’union fait la force », à condition de n’englober dans l’union que des communautés homogènes et de définir les droits et les devoirs de chacune d’entre elles.

    Après des millénaires de guerres fratricides, de luttes économiques ouvertes ou larvées, il serait souhaitable que les différentes Nations de « l’ethnie européenne » s’unissent en vue de se défendre et de travailler en commun, ne serait-ce que pour exploiter les richesses de notre continent. Il est évident que seuls les Européens de souche doivent prendre part à cette union, de même qu’il est évident que les richesses européennes ne doivent être exploitées que par des Européens.           

    Plutôt que de favoriser le repli régional, qui est un authentique appel à la conquête lancé aux grands prédateurs, il serait intelligent de raisonner enfin de façon continentale et d’envisager la création de l’Empire européen, étendu de l’Islande à Vladivostok. Ceci implique un divorce des Européens d’avec l’économie globale, d’avec la mondialisation de la propagande et de l’obéissance des soi-disant élus des peuples à la finance vagabonde.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les forces du futur ne désarment pas, par Elisabeth Lévy

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    Causeur-Elisabeth-Lévy-270x350.jpgEn 2002, dans un louable effort d’unification sémantique, la gauche lyncheuse, en la personne de Daniel Lindenberg, décida d’affubler tous les penseurs qui lui déplaisaient de l’épithète unique de réactionnaire. En 2017, quand des intellectuels critiquent Emmanuel Macron, il décrète qu’ils représentent « le vieux monde » et « n’ont rien produit de renversant », ce qui signifie certainement qu’ils n’ont pas assez co-worké pour team-builder notre start-up nation. La liste de Macron est aussi disparate que celle de Lindenberg. On ne voit pas ce qui permet d’enfermer dans le même sac idéologique Debray, Finkielkraut, Badiou, Onfray et Todd, qui ne pourraient pas prendre un café ensemble, sinon qu’ils déplaisent au président, pour la raison que lui ne leur plaît guère, et qu’ils sont tous, avec d’abyssales dfférences, les heureux héritiers d’un monde ancien : celui de l’écrit.

    Du gauchisme culturel au progressisme présidentiel, quelle que soit la lettre épinglée au plastron de l’adversaire, elle est toujours écarlate et le crime toujours le même : il sent le passé – et ça ne sent pas la rose. Quand nous devrions nous efforcer d’arracher nos pieds de la glaise, de rompre avec nos petites habitudes existentielles et d’entrer à pieds joints dans le monde de la fluidité identitaire et de la citoyenneté numérique, des grincheux parlent d’héritage, de dette et de continuité historique. Ça plombe l’ambiance.

    Comme on ne peut pas faire disparaître physiquement les réfractaires au nouveau cours, on s’emploie à les effacer symboliquement en les désignant comme de risibles survivances. On somme donc la vieille France (province du « vieux monde ») de consentir à son sacrifice sur l’autel du multiculti radieux, quand on ne lui raconte pas qu’elle n’a jamais existé puisque « nous sommes tous des immigrés ». […]

    Heureusement, […] la nation a la vie dure. « Les forces du monde ancien sont toujours là », confie le président au Point. Malgré l’énergie déployée pour lui faire intégrer sa propre indignité, la France d’avant refuse de jeter toute son histoire avec l’eau sale des heures les plus sombres ; elle entend continuer à écrire sa langue avec ses bizarreries et « oignon » avec un « i ». Et elle ne veut pas déboulonner les statues de Colbert, même si cela blesse certains de ses concitoyens que l’on honore l’un des bâtisseurs de notre État en dépit de son rôle actif dans l’esclavage.

    Nous devons connaître les ombres autant que les lumières de ceux qui nous ont précédés ; cela ne nous commande pas de les renier ou alors, il faudra interdire Shakespeare et surtout Voltaire qui n’étaient pas blanc-bleu sur le plan de l’antisémitisme. Et ne parlons pas des sexistes qui pullulent dans notre littérature.

    De plus, comme le rappelle Alain Finkielkraut, la spécificité de l’Europe n’est pas d’avoir pratiqué l’esclavage, mais de l’avoir aboli.

    Tant pis pour ces afféteries historiques et pour quelques statues qu’il faudra abattre, dit-on, afin de ne pas froisser les identités minoritaires. Sur le plateau de Karim Rissouli, sur France 5, Finkielkraut a raconté qu’au King’s College de Londres, il était question de cacher les bustes des fondateurs blancs. Personne n’a moufté, comme si cette inquisition rétrospective était le prix à payer pour guérir les blessures dont nous sommes collectivement coupables.

    Le camp progressiste célèbre ainsi à sa façon le centenaire de la grande révolution d’Octobre. Là-bas, on escamotait les sociaux-traîtres des photos ; ici et maintenant, on efface de l’histoire de vieux mâles blancs – morts de surcroît. Conception pour le moins paradoxale du vivre-ensemble que celle qui proclame ainsi : ôte-toi de là que je m’y mette.

    Elisabeth Lévy

    Extrait de l’éditorial du n° 50 de Causeur daté d’octobre 2017

  • [communiqué] Les islamistes ont-ils voulu assassiner Olivier Renault, contributeur de Riposte Laïque ?

    Même si nous ne rejoignons pas tous les combats de cette association, voici un communiqué de Riposte Laïque apportant une potentielle réponse à "l'inexplicable" tentative d'attentat du XVIe arrondissement de Paris.
    OlivierRenault2.jpgDans la nuit de ce vendredi à samedi, à 4 heures du matin, quatre bouteilles de gaz ont été retrouvées, avec un dispositif de mise à feu, sur le palier d’un immeuble du 1e arrondissement, situé au 31, rue Chanez. Un locataire ayant entendu du bruit a prévenu la police, évitant miraculeusement un massacre.
    Cinq personnes, présentées comme appartenant à la mouvance radicale de l’islam, ont été arrêtées le lendemain. Il se trouve, selon les enquêteurs, que ce serait une confusion des djihadistes qui a fait que cet immeuble soit visé. En effet, parmi les occupants figure un homme appelé Olivier Renault… même nom qu’un contributeur régulier de Riposte Laïque. Les enquêteurs paraissent privilégier la piste d’un homonyme, et pensent que notre ami était visé, pour sa participation à Riposte Laïque. Qu’il y ait eu, de la part des islamistes, une confusion – Olivier Renault, journaliste indépendant, est le correspondant de Riposte Laïque en Allemagne – ne change rien à la réalité. Cet épisode confirme que ceux qui refusent l’islamisation de la France sont terriblement exposés, dans un contexte où les musulmans les plus radicaux entendent terroriser la population pour lui imposer la charia.
    Nous n’avons pas oublié que le groupe Forsane Alizza, dissous en 2012, avait préparé, sous l’impulsion de son leader, Mohamed Achamlane, des repérages autour des habitations des organisateurs de l’Apéro saucisson pinard et des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Nous n’avons pas oublié les menaces de mort qui, régulièrement, visent, sur les réseaux sociaux, certains de nos animateurs, obligés de prendre dans leur quotidien de nombreuses précautions.
     La mise en danger de nos contributeurs, confirmée par cette tentative d’attentat, est d’autant plus intolérable que, parallèlement, l’Etat français, des associations dites antiracistes et des organisations musulmanes multiplient les plaintes et les poursuites contre Riposte Laïque et Résistance républicaine, comme le confirme l’emploi du temps de notre avocat, cette semaine.
    Un gouvernement digne de ce nom mettrait fin immédiatement à toutes ces procédures iniques, qui visent des lanceurs d’alertes à qui les faits donnent raison quotidiennement, et font le jeu des islamistes, et de leurs complices. Les choses sont pourtant claires : on ne vaincra pas l’islam, qui a déclaré la guerre à notre modèle de civilisation, sans l’interdire en France, et sans expulser massivement les musulmans qui préfèrent la charia aux lois de la République. Si cela avait été fait, les deux cousines, Laura et Mauranne, assassinées à Marseille par un islamiste clandestin, délinquant multi-récidiviste, seraient encore en vie.
    Loin de se laisser intimider par cette nouvelle tentative d’attentat, qu’elle ait visé Olivier Renault ou pas, Riposte Laïque et Résistance républicaine lanceront, dans les jours qui vont suivre, une énorme campagne d’autocollants, en France et dans toute l’Europe, demandant l’interdiction d’un dogme qui encourage, dans ses textes sacrés,  le crime de ses disciples contre tous ceux qui ne sont pas de vrais musulmans.
    lu sur le site de riposte laïque