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  • Le courage d’une adolescente

    1745283574.jpgGeorges Feltin-Tracol

    Depuis le 19 décembre 2017, une jeune fille de 16 ans croupit en prison pour des motifs politiques. Si elle avait été arrêtée par la police de Recep Tayyip Erdogan, de Vladimir Poutine, de Viktor Orban ou de Jaroslaw Kaczynski, toute la presse officielle hexagonale, toutes les radios et télévisions du Système, toutes les soi-disant ONG – souvent agents d’influence et de désinformation des Oligarchies mondialistes – auraient protesté, mobilisé Raphaël Glucksmann et le Botulien en chemise blanche régulièrement entarté, et organisé une intense campagne auprès de l’opinion publique afin de la libérer. Ce n’est hélas ! pas le cas parce que l’affaire concerne l’armée israélienne d’occupation en Palestine.

    Issue d’une famille militante du Fatah, l’adolescente s’appelle Ahed Tamimi. Dès l’âge de 11 ans, elle s’opposait aux bidasses de Tsahal. Elle s’est pleinement engagée pour la libération de sa patrie. Ayant giflé d’une belle façon deux nervis en uniforme le 15 décembre dernier, elle risque maintenant jusqu’à sept ans de prison devant un tribunal militaire de l’occupant, soit un ramassis de magistrales badernes qui ne juge pas selon le droit, mais en fonction des circonstances. « Les-jours-les-plus-sombres-de-notre-histoire » se répètent à trois heures trente d’avion de Paris dans un silence assourdissant.

    On attend toujours que le guignol d’Intouchables, défenseur des allogènes Rohingyas et grand pote d’Harvey Weinstein, soutienne Mademoiselle Tamimi et sa courageuse famille résistante. Le natif de Trappes, aujourd’hui exilé fiscal aux États-Unis, serait-il mal à l’aise devant l’allure si proche du type européen de cette vaillante adolescente ? Ahed Tamimi a les yeux clairs, de longs cheveux blonds cendrés et ne porte pas de voile.

    Avec Marouane Barghouthi, 58 ans, cinq fois condamné à perpétuité et en détention depuis 2002, Ahed Tamimi représente la nouvelle résistance du peuple palestinien, celle qui entérine l’échec total des accords d’Oslo montés par Washington. Les militants palestiniens doivent dorénavant suivre un seul principe qui nous est cher : « Un peuple, une terre ! »

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°64, diffusée sur Radio-Libertés, le 2 février 2018.

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  • La libération sexuelle c'est l'aliénation de la femme

    6a00d83451619c69e201b7c94c8353970b-200wi.jpgNormalienne et agrégée de philosophie, Marianne Durano a publié un essai intitulé Mon corps ne vous appartient pas. Elle raconte que, comme les filles de son époque, elle reçu une éducation sexuelle lambda, on l’a emmenée voir un gynéco dès la puberté, elle a perdu sa virginité relativement tôt, a pris la pilule pendant huit ans, fait des dépistages du Sida, pris des pilules du lendemain... Puis elle s'est mariée et a eu des enfants. Elle est interrogée par Adélaïde Pouchol dans l'Homme Nouveau :

    "C’est seulement après mon accouchement que j’ai pu rationaliser, que j’ai relu toute ma grossesse, mon accouchement et tout mon parcours de contraception artificielle, mon parcours de jeune fille de notre temps, à l’aune de cette domination technique.

    Ce terme de domination fait écho à celui d’aliénation qui revient souvent dans votre livre. Pourquoi ce terme – très marqué politiquement – et quel sens lui donnez-vous ?

    Une domination, par définition, est vécue comme telle et implique que nous connaissions l’ennemi. L’aliénation, en revanche, décrit un processus qui peut être impersonnel (on peut être aliéné par une personne autant que par un système) et dont nous ne sommes pas conscients. Le mot vient d’alienus, d’où l’idée que nous devenons comme étranger à nous-même. Dans le rapport au médecin la femme se sent étrangère à elle-même, au corps qui la constitue mais qu’elle regarde comme un objet. J’emploie aussi ce mot car, lorsque je parle par exemple d’aliénation médicale, je ne veux pas dire que les femmes sont aliénées par les médecins en tant que personnes. Il ne s’agit pas d’un rapport d’individu à individu mais bien d’un système qui est aliénant, où chacun est à la fois coupable et aliéné. Car le médecin l’est lui aussi dans la mesure où le système lui impose de prendre en charge de plus en plus de demandes sociétales. [...]"

    Mais 68, c'est fini.

    Michel Janva

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  • L’Histoire : « Des Africains au coeur de la traite négrière »

    Couverture - Là où les nègres sont maîtres (1).jpgEn décrivant le fonctionnement d’un port esclavagiste sur la Côte-de-l’Or au XVIIIe siècle, Randy Sparks montre à quel point les Africains ont occupé une place importante dans l’économie de la traite négrière.

    Le dernier livre de Randy Sparks, professeur à l’université Tulane à La Nouvelle-Orléans en Louisiane, a pour sujet un port africain de la Côte-de-l’Or (le Ghana d’aujourd’hui) au XVIIIe siècle. Petite bourgade anonyme de nos jours – son nom contemporain est Anomabu -, Annamaboe était alors le port de traite le plus important de la côte, d’où des centaines de milliers d’esclaves furent déportés vers les Amériques. Avant de se lancer avec succès dans la traite négrière, les élites marchandes de ce port commerçaient de l’or et des céréales.

    Les Britanniques, via la Royal African Company (RAC), devenue en 1750 la Company of Merchants Trading to Africa (CMTA), construisirent un grand fort, mais les Néerlandais et les Français étaient aussi entreprenants.

    Les chefs locaux, d’ethnie Fante, surent habilement jouer des rivalités entre marchands européens, en faisant monter les enchères et en prenant une part active au commerce.

    Les guerres qui opposèrent les Fante aux Ashanti permirent un afflux de captifs. Au début du XVIIIe siècle, la traite était deux fois plus rentable que le commerce de l’or. 

    En mobilisant une grande variété d’archives (lettres, documents de la RAC, mémoires du XVIIIe siècle, etc.), Randy Sparks montre de manière très convaincante comment une société créolisée naquit de la rencontre des administrateurs, soldats et négociants britanniques avec les Fante. Les enfants issus de ces unions (les « mulâtres ») étaient envoyés faire leurs études en Angleterre lorsque le père était fortuné ; d’autres trouvaient emploi comme interprète ou marin.

    Du point de vue du pouvoir, c’était les Fante qui avaient la main. Les Britanniques devaient céder à leurs demandes, par exemple lorsqu’il s’agissait de faire du négoce avec qui bon leur semblait, d’accepter la monnaie locale ou de payer des redevances. Au besoin, on bloquait le fort et on expulsait les Britanniques récalcitrants. Annamaboe, « là où les Nègres sont maîtres ».

    Dans le droit fil de son précédent ouvrage Les Deux Princes de Calabar (Les Perséides, 2007), racontant l’histoire de deux princes africains capturés en 1767, déportés en Dominique et en Virginie, puis qui parvinrent finalement à rentrer chez eux à Calabar (dans l’actuel Nigeria), Randy Sparks confirme avec ce nouveau livre son grand talent de conteur. Car il n’est pas seulement question du portrait d’une ville africaine occupant une place centrale dans l’économie atlantique du XVIIIe siècle, mais aussi de personnages étonnants.

    Et tout d’abord John Corrantee (ou Kurantsi), le chef principal d’Annamaboe, né dans les années 1670. Commandant militaire, rusé politique, commerçant prospère d’or et d’esclaves, Corrantee était un cabocere (un « chef ») qui en impose. Les Britanniques et les Français, qui se disputaient les faveurs commerciales du cabocere, le sollicitèrent pour qu’il envoie ses enfants étudier dans leurs pays respectifs. Prudent, Corrantee envoya d’abord l’un de ses fils à Paris au début des années 1740. Le jeune prince fut reçu avec tous les honneurs, étudia au lycée Louis-le-Grand, avant de rentrer au pays.

    La suite ici

  • À CALAIS, UNE SEULE SOLUTION : LA REMIGRATION

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    Communiqué de Marie-Jeanne Vincent, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis

    La ville de Calais a fait l’objet de violentes rixes entre clandestins afghans et africains. Le bilan est lourd : 21 blessés dont cinq par armes à feu. Cette poussée de violence fait suite à d’autres événements insupportables : agressions sexuelles, vols, attaques sur la rocade portuaire. 800 clandestins soutenus par des associations « humanitaires » composant avec les activistes de l’ultra gauche « anti fasciste » et le groupuscule No Border prennent en otage une ville de 77.000 habitants.

    La maire Les Républicains de Calais, Natacha Bouchart, sans doute éclairée par la lecture des tracts du Parti de la France, réclame enfin que des mesures soient prises contre les activistes et la présence des clandestins. Réaction tardive de la part de l’élue qui en 2014 avait autorisé l’installation d’un centre de jour sur des terrains municipaux et avait déclaré que les migrants étaient « une richesse culturelle ».

    Cette richesse rend la vie impossible pour les Calaisiennes et Calaisiens mais aussi pour les entreprises et les sociétés de transport. Face à cela que propose L’État : des CRS en plus.

    Le PdF du Calaisis a conscience que cela ne servira à rien. C’est pourquoi nous réclamons :

    - Un encadrement strict des activités des associations intervenant à Calais et un contrôle de leurs sources de financement ;

    - La dissolution des groupuscules antifa et no border qui disposent d’un local boulevard Lafayette ;

    - L’expulsion vers leurs pays d’origine de tous les clandestins, ces gens sont entrés illégalement sur le territoire français et la loi nous autorise à les renvoyer chez eux.

    Calais a besoin de mesures concrètes et non de saupoudrage ou d'effets de manche médiatique comme l’a été la venue du Président de la République, Emmanuel Macron. 

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  • BRIGITTE MACRON SE LA JOUE « PROF DE TERRAIN » ! ET MOI, JE SUIS LA REINE D’ANGLETERRE ?

    Face à sa dégringolade dans les sondages, le Président Macron, voyant que c’est tout le couple exécutif qui est entraîné vers le bas, a choisi de mettre en avant son autre couple. En fait peut-être aussi exécutif que le premier puisque la « première dame », qui bénéficie d’un statut et d’un budget, joue un rôle important et assumé dans le dispositif.

    Donc, après la Tunisie, le couple présidentiel s’est envolé pour le Sénégal pour un voyage centré sur les questions d’éducation.

    Occasion unique, et subtilement préparée, d’envoyer des cartes postales et des signaux à l’opinion publique française, segment par segment, comme sait si bien le faire la com’ macronienne.

    La carte postale ? C’est celle gracieusement fournie par BFM TV, mettant en scène Brigitte Macron parlant des bienfaits de l’éducation et délivrant son message optimiste, depuis l’île de Goré, avec en arrière-plan de jeunes écoliers sénégalais :

    « L’éducation, c’est être solidaire. C’est aider les autres. On ne s’éduque pas soi-même si on n’aide pas les autres à s’éduquer. Sans éducation, on ne s’en sortira pas. C’est véritablement la colonne vertébrale de notre société. […] Si on arrive à ce que l’éducation des filles et des garçons soit totalement répandue ici, on sera sorti d’affaire. »

    Des lieux communs et de l’optimisme, avec un clin d’œil à la mémoire de l’esclavage bien plus subtil que ceux de Hollande : efficacité assurée. MMe Macron ne fut pas professeur de théâtre pour rien.

    À vrai dire, elle aurait dû en rester là, notre première dame. Mais elle a voulu expliciter son rôle :

    « Quand je suis interpellée sur des sujets, j’en discute avec mon mari, et on voit comment faire au mieux. Souvent, je m’associe au ministre concerné, essentiellement la santé, le handicap, l’éducation… et comment agir ensemble. Et je dois dire que c’est beaucoup plus facile que je ne croyais.

    Eh oui, ça se passe comme ça, au gouvernement : Brigitte « s’associe au ministre concerné » pour l’aider à prendre des décisions… Drôle de République, tout de même, et l’on ne peut s’empêcher de regretter, puisque cela est si « facile » et que tout se passe si bien, que Brigitte ne se soit pas « associée » plus tôt à la pauvre Mme Belloubet dans sa gestion de la crise des prisons ou à M. Blanquer qui a attendu d’être réveillé par L’Express pour voir qu’il y avait le feu au lycée Galliéni de Toulouse. Et peut-être ailleurs.

    Pourtant, le métier de professeur, elle connaît vraiment, Mme Macron. Et d’ailleurs, elle nous gratifie d’émouvantes confidences, toujours grâce à BFM TV :

    « C’est marrant, je n’ai jamais l’impression que ma carrière soit derrière. Je reste prof, fondamentalement. Je n’ai pas voulu l’être, je le suis devenue par hasard, et je le suis restée. Je reste un prof, et quand je suis au milieu d’eux, je suis dans mon élément. »

    Aurait-on peur, en haut lieu, de la grogne des enseignants pour que la com’ présidentielle fasse ainsi monter Madame au front ?

    Mais son « terrain » et son front, même quand elle officiait vraiment, dans le prestigieux lycée privé d’Amiens où elle rencontra vous savez qui, ne sont quand même pas ceux de la majorité des professeurs. Et sa vision idyllique de l’éducation ne correspond pas à la réalité de nos REP, REP+ et du quotidien de nos classes, même en dehors de ces établissements difficiles. Loin de là.

    Figurez-vous que « c’est marrant », mais moi, je ne suis pas « devenu prof par hasard, je le reste », mais j’ai la furieuse impression que notre première dame se… moque de nous.

     Professeur d'Histoire
     
  • SAMEDI À OUISTREHAM (14), LE PARTI DE LA FRANCE A SAUVÉ L'HONNEUR DE LA NORMANDIE

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    Malgré la pluie, les perfidies de la presse locale, le bouclage de la ville par la police et la présence haineuse d'une poignée de valets de la finance apatride péniblement réunie par l'ensemble des fractions de la collaboration à l'immigration (partis de gauche, syndicats, officines stipendiées et gauchistes de toutes obédiences...), les militants normands du Parti de la France avec à leur tête le Président Carl Lang ont bravé l'adversité et tenu samedi après-midi un rassemblement devant la plage de Ouistreham. Ils ont ainsi prouvé que la station balnéaire normande n'entendait pas terminer comme Calais cliquez ici.

    Comme l'a fort bien indiqué Bruno Hirout, le dynamique responsable local du PdF du Calvados, cette manifestation avait pour but de faire prendre conscience aux habitants de Ouistreham, abasourdis par ce qui leur arrive et terrorisés par l'extreme gauche qui soutient la pègre importée, que le Parti de la France, désormais seule force politique représentative de la Droite nationale non reniée, est et sera toujours à leurs côtés pour défendre une Normandie normande dans une France française et dans une Europe européenne... 

    Plusieurs mouvements patriotes, dont Civitas et la Dissidence française, implantés localement, s'étaient joints dans un souci d'unité d'action à la manifestation du PdF.

    Synthèse nationale

      

  • CSG : LA POTION EST PLUS AMÈRE QUE PRÉVU

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    Mauvaise nouvelle pour douze millions de Français qui ont la malchance d’être retraités : comme la CSG s’applique sur la pension brute, ils perdent non pas 1,7 % mais 1,89 % de leur net. En outre, beaucoup pensaient échapper à la ponction, car gagnant moins de 1.200 euros par mois. Mais voilà, la réalité est plus cruelle que cela !

    Exemple de deux conjoints retraités percevant chacun une pension de 950 euros par mois. Pas concernés par la hausse de la CSG ? Eh bien, si, car on tient compte des revenus du couple. Il faut en effet toucher, à deux, moins de 22.000 euros par an pour ne pas être impactés par l’augmentation de la CSG. Pour aggraver ce « hold-up », les pensions ne seront pas revalorisées en 2018 après une modeste augmentation de 0,8 % en 2017. L’inflation sur deux ans étant de 3 %, le pouvoir d’achat des retraités (hormis ceux qui touchent le minimum vieillesse) baissera au total de 2,2 % à 4 % ! Pourtant, en théorie, les pensions devraient suivre l’inflation, mais les gouvernements dérogent sans vergogne à ce principe. Et malgré les mensonges éhontés des médias pro-Macron, cette odieuse rapine ne permettra pas d’augmenter le revenu des actifs, mais leur évitera seulement de perdre du pouvoir d’achat…

    Certes, un salarié du privé gagnant 1.700 euros par mois aura un gain de 108 euros en 2018 et de 243 euros l’an prochain. Mais les fonctionnaires (23 % des actifs) verront leur rémunération diminuer fortement, car la hausse de la CSG est seulement compensée, alors que les cotisations retraites explosent. De plus, le pouvoir fait flamber les taxes sur l’énergie et la fiscalité dite « verte », baptisée ainsi pour mieux duper les Français et leur faire accepter sans protestations des prélèvements indus qui n’ont aucune justification économique. On prélèvera 400 euros de plus chaque année jusqu’en 2022. Si on met en balance la baisse de la taxe d’habitation (200 euros par an), 60 % des habitants de l’Hexagone verront leur revenu stagner en 2018 et 2019 avant de perdre en moyenne 200 euros en 2020, puis 400 euros en 2021 et 2022 (ponction totale 1.000 euros !). Le reste de la population perdra de 300 à 1.000 euros en 2018, 200 à 400 euros en 2019 et 2020 et 400 euros en 2021 et 2022. En matière fiscale, M. Macron met ses pas dans ceux de M. Hollande (même si nous n’atteindrons pas les records du précédent septennat). 

    Le pouvoir évacue les pertes dramatiques des retraités d’une pichenette méprisante et se gargarise de la mensongère augmentation des revenus des actifs. Son arrogance rappelle celle des ministres et députés socialistes qui se moquaient des ouvriers lorsqu’on a supprimé la détaxation des heures supplémentaires instaurée par M. Sarkozy. On fait passer les spoliés pour des nantis qui devraient avoir honte de pleurer sur leur perte alors qu’il s’agit en fait des classes sociales les moins favorisées.

    Cette désinvolture a coûté très cher à M. Hollande et a contribué en grande partie à empêcher sa réélection. M. Macron risque de payer de même, rubis sur l’ongle, dans les urnes, sa morgue et sa suffisance. Combien de Français commencent à se dire « Vivement 2022, qu’on dégage le Président ? »

    http://www.bvoltaire.fr/csg-potion-plus-amere-prevu/

  • En Marche en panne : Les 2 Législatives partielles ont été perdues par LREM

    6a00d83451619c69e201bb09f05fa8970d-200wi.jpgAprès un scrutin particulièrement serré en juin dernier, la législative partielle dans le Territoire de Belfort a été remportée par le candidat Les Républicains Ian Boucard (photo) face au candidat LREM-MoDem Christophe Grudler, avec 58,93 % des suffrages, contre 41,07 % (participation à 28,89 %).

    Dans le Val-d'Oise, le scrutin était plus serré, mais la candidate LREM Isabelle Muller-Quoy a reconnu sa défaite avec 47,18 % contre 52,82 % au candidat LR Antoine Savignat, qui avait été battu en juin dernier.

    Michel Janva

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