Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • La bonne nouvelle du soir : Nathalie Kosciusko-Morizet quitte la politique

    6a00d83451619c69e201b8d2d7f298970c-800wi.jpgNathalie Kosciusko-Morizet va rejoindre dès février Capgemini à New York et s’occupera de la cybersécurité dans les entreprises. Elle va diriger l’activité Projet et Consulting de la division Cloud Infrastructure et cybersécurité du groupe aux Etats-Unis.

    Nathalie Kosciusko-Morizet avait été battue aux élections législatives en juin dernier. Toujours conseillère de Paris – parmi les élus « constuctifs », elle devrait démissionner de ce dernier mandat électif cet été.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Danemark, Allemagne : des résistances au grand remplacement, par Francis Bergeron

    grand-remplacement_chard-3.jpg

    9045-20180207.jpgOn connaissait la résistance des anciens satellites de l’URSS, et de l’Autriche, face à la politique européenne de grand remplacement. On connaissait les révoltes des partis populistes. Mais voici que les choses bougent en Europe du Nord, très précisément du côté des pays scandinaves qui semblent glisser vers des positions dures. Les Scandinaves ont la réputation de défendre les politiques sociales les plus « avancées », et on pouvait légitimement craindre de les trouver à l’avant-garde du vivre-ensemble. D’autant que la classe politique reste dominée par la social-démocratie, cette espèce de socialisme mou, véritable machine à décerveler.

    Et pourtant c’est du parti social-démocrate danois que sont venues certaines réactions virulentes à la déferlante migratoire. En 2016, le Danemark avait accueilli 30 000 réfugiés, pour une population d’environ 6 millions de personnes. En 2017, il n’en a accueilli que 3 500.

    On croit rêver devant la modestie de ces chiffres. Mais pour ces socio-démocrates danois, c’est déjà bien trop. Ils constatent qu’en 1980, 1 % de la population danoise était non européenne, ce chiffre étant passé à 8 % actuellement.

    Au pouvoir au Danemark, et bousculé sur sa droite par le Parti du peuple danois, le parti social-démocrate a annoncé qu’il entendait tarir l’arrivée d’étrangers, du moins d’étrangers « non occidentaux ». Voilà un tabou que nul n’oserait violer, en France : se lancer dans le tri des réfugiés et ne pas accepter ceux qui ne sont pas issus des pays occidentaux.

    Mais ces socio-démocrates danois – décidément en verve – prévoient aussi de plafonner le nombre de réfugiés et surtout de réformer en profondeur le système d’accueil : les candidats au statut de réfugiés, s’ils sont refusés, seront renvoyés chez eux illico. Mais s’ils obtiennent ce statut de réfugié si envié, qu’ils viennent chercher ici, ce n’est pas pour autant qu’ils pourront s’installer au Danemark : ils devront rester dans des centres d’accueil implantés à l’extérieur de l’Europe.

    Eviter que les migrants se diluent dans la nature

    Ces camps de réfugiés à la charge du Danemark, comme le prévoit la commission européenne, et faits pour accueillir leur quota obligatoire de réfugiés ne seront pas construits en Europe, en Occident, mais dans des régions peu gratifiantes de pays non européens. C’est évidemment la meilleure formule pour éviter que les migrants se diluent dans la nature.

    Les Danois sont si inquiets du risque de submersion migratoire, tous partis confondus, à l’exception de quelques groupuscules d’extrême gauche, qu’ils entendent renforcer leur frontière terrestre avec l’Allemagne, pays considéré comme anormalement laxiste.

    Or il semble pourtant que la social-démocratie allemande soit à son tour frappée par le syndrome identitaire. L’ancien président social-démocrate, Joachim Gauck, qui a été à la tête du pays ces cinq dernières années avec un soutien rouge-vert, ne vient-il pas d’avouer : « Le multiculturalisme m’effraie », ajoutant « je trouve honteux que certains ferment les yeux sur l’oppression des femmes dans les pays islamiques » ?

    Quant au maire de la ville de Cottbus, en Allemagne (100 000 habitants), il vient de déclarer que 3 500 réfugiés pour sa commune, c’était trop, et de proclamer, avec un soutien massif de ses administrés, le gel de l’accueil. Contre l’Union européenne, contre l’Etat fédéral.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/209467/danemark-allemagne-des-resistances-au-grand-remplacement-par-francis-bergeron/

  • Une étudiante américaine menacée d’expulsion pour ne pas avoir le voile !

    kathy-zhu_f003a1667b2fc4a79bfc94fe8c1cf1740ef63271.jpg

    ÉTATS-UNIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    En effet, le 1er février à l’université de Floride Centrale la journée mondiale du hijab a eu lieu. Elle était organisée par des volontaires de la Muslim Student Association. Il se trouvait un stand d’essayage de hijabs dans le campus pour je cite « d’éduquer les membres de l’université sur la signification et l’importance du hijab » et pour « éduquer ».

    Lorsque Kathy Zhu s’est vue proposer de porter le hijab, elle a répondu « Non, merci », puis a pris en photo le stand en tweetant « Il y a un stand « Essaye un hijab » sur le campus de ma fac. Donc maintenant, vous êtes en train de nous dire que c’est juste un accessoire de mode et pas un symbole religieux ? Ou bien vous tentez d’habituer les femmes à être opprimées par l’islam ? »

    C’est alors qu’un appel à l’expulsion a alors été lancé. Une membre de l’association posté je cite « TWITTER, FAIS CE QUE TU SAIS FAIRE. Faisons expulser cette fille ». Le message a été relayé par des milliers de personnes et l’université a reçu plusieurs courriels de plaintes .

    Kathy a finalement obtenu gain de cause auprès de son université.

    les étudiantes ayant participé à la campagne agressive sont rentrées sur le banc des accusés pour harcèlement en ligne et donc de violation des règles de conduites de l’université.

    Lire la suite

  • Scandale : la photo de sa fille handicapée utilisée pour promouvoir l'avortement

    6a00d83451619c69e201b8d2d7e845970c-120wi.jpgNatalie Weaver est la maman de Sophia, une petite fille atteinte du syndrome de Rett. Extrêmement rare, le syndrome de Rett est une maladie génétique qui se développe chez le très jeune enfant, principalement la fille, et provoque un handicap mental et des atteintes motrices sévères.

    Natalie Weaver tombe un jour par hasard sur une photo de sa fille, utilisée pour promouvoir l'avortement. Sur Twitter, elle réagit :

    "Cette fois, c'est trop. Cette personne n'a pas le droit d'utiliser la photo de ma fille pour promouvoir quelque chose d'aussi horrible".

    Suite à la découverte de cette photo, Natalie Weaver a mobilisé l'ensemble de ses abonnés pour la faire disparaître le plus rapidement possible. Si dans un premier temps Twitter osait répondre à la maman que le tweet en question ne violait pas son règlement, celui-ci a finalement décidé de suspendre le compte de la personne à l'origine du post.

    Depuis la naissance de Sophia, sa maman se bat pour l'insertion des enfants malades dans la société. Celle-ci souhaite avant tout montrer que malgré leurs différences, les enfants handicapés ont besoin de notre amour et méritent d'être traités comme tous les enfants. Natalie partage d'ailleurs régulièrement des photos de Sophia entourée de ses parents et de ses frères et soeurs. Des clichés pleins de tendresse qui émeuvent tous les internautes et qui prouvent que la famille de Natalie est une famille comme toutes les autres malgré le handicap de la petite fille.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LA GENÈSE PHILOSOPHIQUE DU CLIVAGE GAUCHE / DROITE | QUELQUES BASES

  • Hubert de Mesmay invité par Martial Bild au zoom de TV Libertés

    Acheter le livre en ligne cliquez ici

    Bulletin de commande cliquez là

    2017 12 autopsie pub.jpg

  • Trump et Macron à Davos : deux visions du monde

    davos-trump-macron-588x330.jpg

    Par Jean Goychman, Conseiller Régional Maine-et-Loire 

    Le Forum mondial de l’économie de Davos s’achève. Quels enseignements et quelles conclusions en tirer ? Cette réunion annuelle à laquelle tout ce qui compte (ou croit compter) à la surface de la planète se fait un devoir de s’y montrer. Certains le font avec une certaine discrétion, d’autres d’une manière très ostensible. L’essentiel étant d’y être.

    Des avis partagés

    Les commentaires des journalistes sur le Forum de Davos sont rarement unanimes. De fait, chaque commentaire reflète un peu la conception que son auteur se fait de l’évènement. On peut y voir une version « grand public » des conférences du Club des Bilderberg, mais cela entraîne inévitablement sur le terrain du complotisme, mot redouté de tous les « bien-pensants ». On peut également le considérer comme une sorte de rendez-vous de la bienfaisance, qui permettrait aux puissants de ce monde d’échanger avec les humanistes soucieux du devenir de l’Homme et de la planète… Pour ma part, je pense que c’est incontestablement un grand rendez-vous mondialiste. Je le situe dans la lignée du colloque de Walter Lipmann, le précurseur en 1938, puis la Société du Mont Pellerin en 1946, suivie du Club des Bilderberg en 1954, et enfin le Forum de Davos, inauguré en 1971, juste deux ans avant la naissance de la Commission Trilatérale en 1973.

    Des centres de réflexion convergents dans leurs objectifs

    Tous ces « think-tanks » participent de la même idée, mais différent quelque peu sur les moyens de parvenir à réaliser leur objectif. En clair, il s’agit d’assurer au plan mondial la primauté de l’économie sur le politique. Ceci ne se fera que s’il existe une autorité mondiale, sorte de « gouvernement » dont les membres ne seront naturellement pas élus, mais se coopteront au sein d’un groupe auquel l’accès sera volontairement limité. Le fondateur du Club des Bilderberg, David Rockefeller, n’en a jamais fait mystère depuis plus de 25 ans. Le Forum de Davos est, sans l’avouer explicitement, dans la même lignée. La Commission Trilatérale, très influente au niveau de la Commission Européenne (puisque beaucoup de commissaires participaient à ses travaux) a continuellement « orienté » les travaux de Davos, notamment sur la généralisation des zones de libre échange, processus par lequel un monde globalisé devrait apparaître. Le problème essentiel auquel les tenants de la mondialisation – qui veulent installer ce gouvernement mondial – doivent faire face est le manque d’engouement des peuples envers une autorité qui ne pourrait que les priver de leur souveraineté. Feu Peter Sutherland, pilier du Forum de Davos, n’a pas ménagé ses efforts pour tenter de convaincre les gens qu’elle n’était qu’une illusion.

    Un nouveau clivage mondial apparaît

    Après la « guerre froide » de la seconde moitié du XXème siècle, une nouvelle ligne de fracture est en train d’apparaître dans le monde. Nous avons d’un côté une sorte d’élite mondialisée qui tire profit du libre échange généralisé, de la disparition des frontières et des mouvements migratoires et de l’autre, des peuples qui voient avec effroi leurs conditions de vie se détériorer. Les classes moyennes, issues du fameux ascenseur social que les démocraties avaient réussi à mettre en place ne fonctionne plus aujourd’hui. Le Forum de Davos met ce nouveau clivage en évidence.

    Emmanuel Macron incarne cette élite mondialisée de la finance et du libre échange. Il prône habilement la souveraineté européenne, ce qui est un moyen de faire disparaître celle des nations qui constituent cette Europe. Il emploie le slogan « France is back », ce qui ne veut strictement rien dire, mais qu’il faut interpréter comme un signal donné à l’élite pour dire que la voie est libre aux investissements étrangers. Il tient un discours en anglais (la langue de Davos à 95%) devant un public conquis d’avance et enchaîne sur un discours en français, dans lequel il veut rassurer les français, et uniquement eux, sur ses intentions. En clair, cela s’appelle un double-langage.

    De son côté, Donald Trump, qui a compris d’où venait le vent qui menaçait les mondialistes, prononce un discours très souverainiste, commençant par réaffirmer la supériorité du système américain et de la nation américaine, qu’il résume dans les mots « America first ». On peut noter que Trump n’emploie pratiquement jamais le terme « États-Unis » pour parler de son pays, mais celui d’« Amérique ». Cela marque son ancrage historique par un rappel de la « Doctrine de Monroe » (de fait, la doctrine de Monroe est antimondialiste car elle s’oppose à toute ingérence étrangère dans la politique américaine et constitue la base de l’isolationnisme américain. En clair, que chacun se débrouille…) qui établit d’une manière incontestable la souveraineté de l’Amérique et du peuple américain sur le continent.

    On constate une TOTALE OPPOSITION AVEC LE PRINCIPE MÊME DE LA MONDIALISATION que certains commencent à appeler « globalisation ». Notons également que Trump conçoit que chaque chef d’État d’un pays souverain fasse de même et défende les propres intérêts de son État et de son peuple.

    Le grand retour des peuples

    De fait, Donald Trump inscrit son discours dans la Charte des Nations Unies de 1946 (avant que l’ONU devienne mondialiste) et fait également référence à la « Charte de la Havane » qui jetait les bases d’un commerce équitable entre les nations, les importations et les exportations devant s’équilibrer. Ce discours, qualifié de « populiste » par ses adversaires, trouve cependant un écho de plus en plus visible. Il suffit de regarder en Europe pour voir que beaucoup de peuples désirent reprendre en main leurs destins respectifs et croient de moins en moins à la construction européenne telle qu’elle est orientée. Ils tiennent à garder leur souveraineté et le contrôle de leurs frontières. On voit également que, en plus des États-Unis, la Chine et la Russie tiennent a peu près le même discours.

    L’offensive du FMI et la future « guerre des monnaies »

    Emmanuel Macron le sait. Et c’est bien la raison pour laquelle il lance la proposition d’un FMI qui devrait contrôler la monnaie mondiale. Jusqu’à présent, ce rôle est dévolu de facto à la Réserve Fédérale américaine et au dollar, et ce depuis 1971, lorsque l’abandon de la convertibilité de cette monnaie avec l’or a permis à cette dernière d’imprimer de la monnaie papier sans limite.

    Emmanuel Macron sait parfaitement également que la Chine, la Russie, l’Iran et quelques autres pays tentent de faire émerger une autre monnaie internationale, afin de payer les transactions pétrolières. Or, la Chine est le premier importateur pétrolier du monde et c’est donc le dollar qui est directement menacé. De son coté, le FMI essaye de pousser en avant une autre monnaie, qui serait basée sur un panier de devises, et dont il exercerait le contrôle. Cela permettrait au fameux triptyque mondialiste (FED – FMI – Banque Mondiale) de garder la main.

    Quel résultat pour la cuvée « Davos 2018 » ?

    Ce Forum permet de constater, année après année, que la ligne de fracture entre les tenants du mondialisme et ceux du maintien de la souveraineté des États-nation apparaît de plus en plus nettement.

    Et le problème risque de se compliquer singulièrement pour les mondialistes en raison de la montée en puissance de pays comme la Chine et la Russie, bien décidés à ne pas céder aux sirènes de la globalisation.

    Jean Goychman 28/01/2018

    Source : Minurne

    https://www.polemia.com/trump-et-macron-a-davos-deux-visions-du-monde/

  • Levée d'immunité parlementaire pour des commentaires laissés sur Facebook

    6a00d83451619c69e201bb09f0d922970d-800wi.pngSteeve Briois, député du Front national au Parlement européen, qui fait l'objet d'une plainte pour « injures publiques envers un particulier ». Le Parlement européen a levé (à mains levées) son immunité parlementaire.

    Un des conseillers municipaux de Hénin-Beaumont, dont Steeve Briois est le maire, lui reproche d’avoir laissé sur page Facebook des commentaires jugés injurieux. C’est le même conseiller, qui lui reprochait l’installation d’une crèche dans la mairie.

    Steve Briois déplore :

    « La justice française se ridiculise : on demande la levée de mon immunité pour des commentaires sur un Facebook dont je ne suis ni le rédacteur ni le directeur de la publication ». « Je vais évidemment gagner ce procès, mais on voit la priorité de la ministre de la Justice qui ferait mieux de s'occuper de l'explosion de l'insécurité dans notre pays. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html