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  • Révolutionnaires de salon : faculté de Montpellier, les vacances ont eu raison de l’occupation

    Après Tolbiac, les forces de l’ordre ont envahi ce matin le campus de l’université Paul-Valéry, à Montpellier (Hérault). Mais contrairement à Paris-I, où l’intervention avait donné lieu à quelques échauffourées, l’entrée des CRS s’est faite cette fois dans le plus grand calme. Et pour cause : vacances obligent, les étudiants ont préféré rentrer chez eux se reposer plutôt que de maintenir le blocage. Les étudiants n’ont toutefois pas manqué de critiquer l’intervention des forces de l’ordre, dénonçant le « ridicule » et « l’incompétence de la direction ».

     
  • Albéric Dumont face à Caroline Mécary : nous demandons toujours l'abrogation de la loi Taubira

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « Colloque Maurras » : Quelques images supplémentaires ...

    Hilaire de Crémiers, Christian Franchet d'Espèrey 

    Une suite de brillantes interventions

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    Gérard Leclerc

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    Jean-Baptiste Donnier

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    Jean-Philippe Chauvin 

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    Bernard Pascaud 

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    Stéphane Blanchonnet

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    Jacques Trémolet de Villers 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le coup d’éclat des Identitaires, par Franck Deletraz

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    9098-20180424.jpgLançant samedi de façon spectaculaire leur « Opération Alpes » au col de l’Echelle, les militants de Génération Identitaire ont certes réussi à empêcher pendant plus de 24 heures le déferlement de nouveaux clandestins dans notre pays. Mais surtout, rappelant l’Etat à son devoir par le biais de ce coup d’éclat, ils ont obtenu du gouvernement le renforcement du contrôle de cette frontière passoire.

    Samedi matin, en effet, une centaine d’Identitaires ont pris position sur ce point particulièrement sensible de la frontière franco-italienne, situé à 25 km de Briançon. L’objectif ? Barrer la route aux clandestins qui, rappelons-le, sont (officiellement) plus de 2 000 à avoir emprunté ce passage pour entrer illégalement en France depuis l’été 2017. Un flot qui ne cesse de grandir, a expliqué Romain Espino, porte-parole de GI, en raison d’« un manque de courage des pouvoirs publics ». Aussi, pour prouver au gouvernement qu’« avec un petit peu de volonté, on peut contrôler l’immigration et les frontières », les Identitaires, appuyés par deux hélicoptères et des drones, ont-ils investi puis surveillé cette zone jusqu’à dimanche, en fin de matinée.

    Une opération nette, sans bavure et qui, de l’aveu même de la préfecture des Hautes-Alpes, s’est déroulée « dans le calme ». Ce qui n’aura pas été le cas de la contre-manifestation organisée dimanche par les « antifas » transalpins et français qui, regroupés du côté italien, ont violemment forcé un barrage de la gendarmerie avec une trentaine de clandestins au col de Montgenèvre, faisant deux blessés à la tête parmi les forces de l’ordre. La veille déjà, la lie bolchevique et pro-immigration s’en était donné à cœur joie, en saccageant le centre-ville de Gap, brisant et/ou « taguant » de nombreuses vitrines ainsi que du mobilier urbain lors de leur manifestation.

    Opération Alpes ? « Une réussite »

    Un déchaînement de violence qui, au fond, faisait écho à celui que l’on a pu observer à l’Assemblée, où les élus de gauche ont dénoncé le prétendu « laxisme » de Collomb vis-à-vis de « l’extrême droite » et où l’affaire a même donné lieu à un accrochage sévère entre Me Collard et Mélenchon.

    En tout cas, comme le soulignait Romain Espino dimanche, cette Opération Alpes aura été une vraie « réussite ». D’abord parce que GI a réussi à « attirer l’attention médiatique et politique sur le col de l’Echelle ». Mais aussi parce que, placé subitement devant ses responsabilités, Collomb a été contraint d’annoncer dimanche soir l’envoi de renforts de police et de gendarmerie « importants » pour « s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières » dans les Hautes-Alpes. Marine Le Pen s’en est amusée dans un tweet : « L’opération de Génération Identitaire a une conséquence cocasse : toute la gauche s’est plainte en hémicycle que ce ne soient pas les forces de l’ordre qui aillent protéger les frontières… »

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 23 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • À AVIGNON, VA-T-ON DÉBAPTISER DES ÉCOLES POUR FAIRE PLAISIR AUX MUSULMANS ?

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    À Avignon, des établissements scolaires publics vont-ils être débaptisés ? C’est ce qu’annonce Vaucluse-Matin, le 20 avril. Laïcité oblige ? L’école Saint-Roch, l’école Saint-Jean, pour commencer. Saint-Gabriel, Saint-Ruf et Sainte-Catherine devraient leur succéder. Cécile Helle, le maire socialiste, s’en défend. Sauf que l’adjointe d’un quartier de la cité papale a déclaré : « On propose de changer le nom de certaines écoles pour qu’il corresponde plus aux aspirations du moment. Est-ce qu’un saint représente encore quelque chose par rapport à ce quartier multiculturel ? » On peut imaginer que cette adepte du multiculturalisme a dû lire ce rapport officiel, écrit par un « groupe de réflexion » appelé « Laïcité et République moderne », et rendu en 2015 à Manuel Valls, alors Premier ministre.

    « Revoir la toponymie de la France à la lumière du vivre ensemble » : le titre dudit rapport donne le ton. D’apprendre ensuite que les deux principaux parlementaires l’ayant établi appartenaient, l’un au Parti socialiste (Yann Galut), l’autre à EELV (la trinationale Esther Benbassa), donnait d’emblée le la. Il s’agissait, pour le groupe, de proposer des solutions pour lutter contre « l’apartheid territorial, social, ethnique » évoqué par Manuel Valls, qui ciblait « les discriminations quotidiennes parce qu’on n’a pas le bon nom de famille, la bonne couleur de peau ou bien parce que l’on est une femme ».

    Mais revenons à la toponymie. « Une fraction croissante de la population d’origine musulmane est heurtée par des appellations toponymiques qui sont autant de manifestations d’une époque archaïque où l’identité de la France, loin de s’assumer comme plurielle, se définissait exclusivement sous le signe d’une chrétienté triomphante et totalitaire. »

    Et de prendre pour exemple des musulmans habitant Pont-l’Abbé qui seraient « amenés à se demander s’il s’agit d’une insulte » ! Vous parlez : être appelés des Pont-l’Abbistes ! Pour parer à cette abominable éventualité, les auteurs de ce vivre ensemble nouveau n’y sont donc pas allés par quatre chemins : « Débaptiser tous les noms de communes comprenant le mot « saint » dans l’intitulé afin “de relaïciser profondément la République” » avec, pour but, de supprimer un « affichage discriminant ». Couper les têtes de nos « saints » accolés à 4.794 communes pour ne pas offenser des fidèles d’un islam intrinsèquement tolérant, quelle drôle d’idée…

    En tout cas, éradiquer les signes de chrétienté, c’est chose faite, au pays de Taubira – je veux dire en Guyane. L’école Saint-Jean s’appelle désormais Rosa-Parks, plus fun ; celle de Saint-Maurice a cédé la place au nom d’une féministe, ancienne inspectrice de l’Éducation nationale et d’académie ; et, dans un registre bien dans l’air du temps, le nom d’un architecte designer a remplacé l’école Espérance.

    Ces suggestions de la part de ces nostalgiques révolutionnaires ne vous plaisent pas, pas du tout ? Vous vous dites que vous avez votre mot à dire ? Vous rêvez ! Des « référendums locaux, s’ils sont généralement des éléments de revitalisation de la démocratie, seraient ici inopportuns et même néfastes car ils libéreraient une parole réactionnaire qui ne pourrait s’exprimer en dehors des édifices cultuels » (sic).

    Ce rapport, comme le disait en aparté un conseiller de Valls en personne, « c’est l’occasion de voir qui est républicain et qui ne l’est pas ». En somme, de voir qui se préoccupe du bien-être des uns plutôt que des états d’âme des autres…

    À ce train-là d’effacement de nos racines, combien de temps, à Avignon, avec ses 35 % de population musulmane (chiffre avancé par un représentant musulman à Vaucluse-Matin en 2016 pour justifier la construction d’une grande mosquée dans la cité des papes), la mairie osera encore, sur son site, rappeler qu’elle fut « capitale de la chrétienté au Moyen Âge » ? Et combien reste-t-il à vivre, à tous nos saints communaux ?

    http://www.bvoltaire.fr/a-avignon-va-t-on-debaptiser-ecoles-faire-plaisir-aux-musulmans/

  • Politique & Eco n° 167 - Quand la finance n’est pas de la spéculation mais de l’épargne.

  • Cette Juliette, elle vaut le détour...

     

    Dans la catégorie "bêtise crasse", avec cette dénommée Juliette, on a affaire à une championne... Voilà donc un pur produit de la bobocratie post soixante-huitarde qui dévoile sa haine de la race blanche, c'est à dire sa haine d'elle-même. Regardez ce film, c'est affligeant de stupidité et de naïveté. En d'autres temps, cette pauvre gamine aurait sans doute eu un avenir assuré au Parti socialiste...

    Il faut vraiment la montrer partout cette Juliette. A elle-seule, elle constitue une véritable "usine à patriotes". D'abord, elle donne l'envie de gerber et, réflexions faites, celle de s'engager encore plus dans le combat nationaliste et identitaire. On comprend mieux en l'écoutant pourquoi, parfois, le GUD pouvait s'énerver...

    Quant à Robert Ménard, sa patience l'honore.

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