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  • Européennes : Nicolas Dupont-Aignan devant LR ?

    Européennes : Nicolas Dupont-Aignan devant LR ?

    Lu dans Minute :

     […] Nicolas Dupont-Aignan a donc refusé la main tendue par Marine Le Pen. Elle lui avait proposé de figurer, elle et lui, aux deux dernières places – non éligibles donc – d’une liste d’union, moyen symbolique de rééditer leur union de la présidentielle et moyen électoral de, peut-être, arriver largement en tête du scrutin. NDA a dit non, considérant que l’opération ne lui serait pas profitable pour l’échéance qu’il a déjà en tête : la présidentielle de 2022. […]

    Selon nos confrères du « Figaro », trois personnalités intellectuelles conseillent désormais Nicolas Dupont-Aignan : l’historien et journaliste Patrick Buisson (qui vient de démissionner de la présidence de la chaîne de télévision Histoire), l’ancien député gaulliste français au Parlement européen Paul-Marie Coûteaux et l’économiste libéral et eurosceptique Charles Gave, dont la fille Emmanuelle pourrait figurer sur la liste en position éligible. […]

    Donné à 6 % dans les sondages, Nicolas Dupont-Aignan espère rééditer l’exploit de Charles Pasqua et Philippe de Villiers en 1999 : 13,06 %, devant la liste RPR de Nicolas Sarkozy qui n’avait réuni que 12,82 %. Ou, à défaut, celui de la liste Villiers en 1994 (12,34 % et 13 sièges, juste derrière la liste PS et devant celle conduite par Jean-Marie Le Pen), score qui avait conduit à la création du Mouvement pour la France. Pour cela, il faudra secouer la tenaille constituée par le Rassemblement national deMarine Le Pen (crédité de 21 %) et Les Républicains de Laurent Wauquiez (estimés à 14 %). […]

    https://www.lesalonbeige.fr/europeennes-nicolas-dupont-aignan-devant-lr/

  • Expatriés : pourquoi les Français quittent-ils la France ?

    Une enquête d’Armel Joubert des Ouches
    Depuis 2013, ils sont 800 000 à avoir quitté le territoire. 800 000 français. Parmi eux, les stars du petit écran, du sport ou du monde des affaires qui sont déjà partis ou envisagent de le faire : Gérard Depardieu, Richard Virenque, Alain Afflelou. Il y a les « vedettes » et il y a les autres, bien plus nombreux. Dans cette population d’exilés volontaires qui a choisi le Canada, les Etats Unis, l’Espagne, le Royaume Uni ou l’Australie, beaucoup de retraités mais pas seulement. Ils sont de plus en plus de travailleurs indépendants, d’anciens patrons de PME-PMI, il y aussi beaucoup de jeunes. Incités à partir à l’étranger à la faveur du programme Erasmus, des étudiants tentent l’aventure à l’extérieur. Carrières assurées, salaires très souvent supérieurs à ceux pratiqués en France, réductions significatives des contraintes administratives, la Maison des Français de l’Etranger – service du Ministère des Affaires étrangères – l’a constaté jusqu’à sa fermeture en 2014. Et le rythme s’accélère : plus de 40 % des 18-34 ans veulent désormais s’installer hors de France.

    Expatriés : 2,5 millions l’ont déjà fait 
    Parmi les jeunes à avoir tenté l’expérience, Joshua. Il a 22 ans. Ce Breton d’origine a quitté la France au début de l’année 2018 pour rejoindre Québec. Joshua a surtout souhaité partir en raison d’une sinistrose de plus en plus pesante : « Je trouve que les gens sont moroses et de plus en plus individualistes ». Quant à Maxime, après avoir passé deux ans et demi à Bristol au Royaume-Uni où il a travaillé dans la restauration, il s’apprête à rejoindre l’Australie. Les « petits » patrons ne sont pas en reste. Au début de cette année, Arnaud Potier a vendu l’entreprise qu’il avait créée de toutes pièces pour partir à l’étranger lui aussi. Ce quinquagénaire, autodidacte, se sentait de plus en plus « matraqué » par l’administration. « Pourquoi je pars ? C’est pas parce que je n’aime pas mon pays, explique-t-il, mais parce je n’ai pas le choix ! On fait tout, excusez-moi, pour nous emmerder ! ». Pour ce patron, installé il y a peu encore dans le département du Finistère en Bretagne sud, c’est surtout le matraquage fiscal qui a été la raison de sa décision.

    Pourquoi les Français quittent-ils la France ?
    Pour réaliser cette enquête, Armel Joubert des Ouches s’est rendu au nord de l’Espagne à la rencontre d’un quadragénaire, « Stéphane », qui, pour des raisons qui lui sont propres, a répondu à l’interview mais a préféré ne pas être filmé devant la caméra. Il explique qu’il est harcelé depuis plusieurs années par le RSI, le Régime Social des Indépendants. Si le nom de la caisse de cotisation des indépendants a récemment changé, le système n’en demeure pas moins présent et continue à faire … des victimes de l’impôt et de la taxation à outrance.

    https://reinformation.tv/expatries-francais-quittent-france-joubert-ouches-joubert-des-ouches-88296-2/

  • La Manif pour tous prête à reprendre du service en cas d’extension de la PMA

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Hier matin, le Comité consultatif d’éthique a confirmé sa position en faveur d’une extension de la Procréation médicalement assistée en faveur de couples lesbiens et des femmes seules. Après les États généraux de la bioéthique, cet avis du comité d’éthique clôt la phase de consultation. Un projet de loi de révision des lois de bioéthique sera débattu en 2019, et malgré l’absence de consensus, Emmanuel Macron ne peut plus reculer et se doit de trancher la position que défendra son gouvernement. La décision s’annonce d’autant plus délicate à prendre que le chef de l’Etat, personnellement favorable à l’extension de la PMA, est un plein dévissage dans les sondages.

    Le spectre de la Manif pour tous hante le chef de l’Etat, conscient de la détermination d’un mouvement que son prédécesseur avait, selon lui, inutilement humilié. Cette crainte est-elle justifiée ?

    Oui, elle l’est tant les réactions n’ont pas tardé. Suite à l’avis du Comité Consultatif National d’Ethique, La Manif pour tous a réuni, le soir même, plus de 500 manifestants. Le mouvement créé en 2012 en opposition à la loi autorisant le mariage entre personnes de même sexe estime que “le principe de précaution devrait s’appliquer”. Albéric Dumont rappelle d’ailleurs que La Manif pour tous “demande toujours l’abrogation” de cette loi, qui selon elle, “a lancé l’engrenage et son déroulé logique : mariage, adoption, PMA et GPA”. Même son de cloche à la Conférence des évêques de France, laquelle s’insurge contre le fait qu’on institutionnalise la privation du père pour les enfants. Du côté de l’opposition, plusieurs personnalités LR ont affirmé leur opposition à l’extension de la PMA. Enfin Marine Le Pen s’est elle aussi prononcée contre au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant de même que Nicolas Bay, président du groupe Europe des Nations et des Libertés au Parlement européen, ou encore l’eurodéputé Marie-Christine Arnautu toujours aussi engagée sur les questions sociétales.

    Cet avis va manifestement dans le sens des activistes LGBTIQ. Qu’en est-il réellement ?

    L’extension de la PMA aux couples lesbiens est une revendication qui n’est pas nouvelle. Au nom de l’égalité, ses partisans exigent que toute femme devrait avoir le droit de recourir à la PMA afin de leur permettre de soulager la souffrance qu’engendre le désir d’enfant non satisfait, au-delà même du fait que cette situation soit subie ou délibérée selon les cas. Pour les associations LGBT, le feu vert à la PMA ne serait qu’un premier pas vers la fin de ce qu’elle perçoive comme une hypocrisie. De nombreuses Françaises se rendraient déjà en Belgique et en Espagne pour se faire inséminer. Mais celles-ci exigent déjà davantage : la reconnaissance de la filiation des deux mères et le remboursement intégral de la PMA comme pour les couples hétérosexuels, ce qui n’est pas acquis. Toujours au nom de l’égalité, bientôt elles revendiqueront la légalisation de la Grossesse Pour Autrui. Assurément l’avis du CCNE a rouvert la boîte de Pandore…

    https://fr.novopress.info/

  • La corde pour les Blancs : la fin de l’hypocrisie

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    Médine et son tee-shirt vantant les mérites du djihad sur fond de sabre tranchant n’étaient qu’un avant-goût. Les amuse-bouches du festin vivrensembliste auquel nous sommes conviés. Sans plus tarder, le plat de résistance nous arrive en la personne d’un certain Nick Konrad, rappeur-baratineur de Noisy-le-Grand d’origine camerounaise (et inversement), qui appelle en toute simplicité à pendre les Blancs. Enfin du parler vrai.

    Le clip au visuel immonde et les paroles d’une cruauté sans nom n’y vont pas par quatre chemins : la race noire est supérieure et nous autres blancs-becs ne méritons pas de vivre. Et voilà. La poésie est là, palpable, la corde aussi, le sang… Tant de réalisme force l’admiration du bobo moyen. Si tout va bien, il finira pendu et cette perspective le remplit de branchitude. Si Médine méritait le Bataclan, celui-là devrait être proposé pour le Stade de France. Un show grandiose suivi d’une tournée dans les crèches, conformément aux paroles du morceau qui n’oublient personne :

    « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps. Divertir les enfants noirs de tous âges, petits et grands, fouettez les fort, faites le franchement que ça pue la mort que ça pisse le sang. »

    JoeyStarr battu sur son propre terrain. Enfant de chœur du rap. Mollasson de banlieue. Grosse déception dans la famille Hollande. Un artiste en qui ils avaient toute confiance… Détrôné, ridiculisé par un petit nouveau.

    Malgré l’appel au meurtre avec démonstration réaliste à l’appui, suintements de haine à chaque seconde et scènes insoutenables, les gentils modérateurs de YouTube ont mis en ligne le clip sans sourciller. Puis retiré ce mercredi « car il ne respectait pas le règlement de YouTube concernant les contenus incitant à la haine ». Sans blague ? Combien de réunions pour en arriver à cette terrible décision ?

    L’antiracisme à la sauce racaille tombe le masque. L’argument n’était qu’un prétexte à s’affirmer en tant que race supérieure… Un faux-semblant destiné à hypnotiser le gogo bien-pensant. Après Médine et le cran au-dessus franchi par ce Nick Konrad, quelle sera l’étape suivante ? Quelles seront les répercussions terribles sur les banlieues chauffées à blanc ? L’avenir est plus noir que jamais.

    Jany Leroy

    http://www.bvoltaire.fr/la-corde-pour-les-blancs-la-fin-de-lhypocrisie/

  • Et si le Grand Remplacement commençait par le prénom donné ?, par Caroline Parmentier

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    9205-20180927.jpgChasse à l’homme contre Zemmour

    La gauche culturelle et immigrationniste orchestre depuis des jours un cirque pas possible autour de la comédie d’Hapsatou Sy au sujet de son prénom. La droite Figaro est d’une lâcheté totale (voir l’article de Francis Bergeron dans Présent d’hier). Le but étant de faire interdire définitivement Eric Zemmour d’antenne ce que réclament aujourd’hui Hapsatou Sy et de nombreux journalistes et médias français.

    Eric Zemmour, issu d’une famille juive d’Algérie et qui connaît le prix de l’assimilation, estime dans son combat contre le multiculturalisme (qui est le sujet de son dernier livre) que donner un prénom français à ses enfants est une marque d’intégration et d’assimilation. Et qu’à l’inverse, donner un prénom étranger est un signe communautaire : « Prendre un prénom français signifie je veux rentrer dans votre communauté, je veux m’assimiler, je veux adopter votre histoire, préserver l’identité nationale, puisque l’identité d’une nation et de toute communauté de vie commence avec des individus dont le nom les identifie à elle. »

    Comment contester que l’africanisation et la maghrébisation des prénoms en France dans les maternités, dans les écoles, sont un signe avancé de grand remplacement ? On ne peut nier que donner un prénom musulman est aussi le signe d’une pratique religieuse. Peut-on adorer la France et appeler son fils Mohamed ? Ou Seif el-Islam (glaive de l’islam) comme le joueur de foot Ribéry ?

    Dire cela aujourd’hui, c’est interdit. C’est du racisme, du colonialisme, c’est odieux, c’est ignoble. Zemmour a provoqué un tsunami aussi violent que grotesque où tout le monde y est allé de sa larme ou de sa charge haineuse. Toujours très amusant de voir des vieux journalistes bedonnants qui n’ont jamais habité ailleurs que dans les beaux quartiers et des bourgeoises emperlées du Figaro dont les filles s’appellent Blanche et Bérangère, se croire obligés de dire sur les plateaux télé et radio qu’Hapsatou est un ravissant prénom et qu’on n’a pas fait plus joli.

    Le cinéma de François Morel

    Il fallait entendre dans la matinale de France Inter François Morel, ex-Deschiens – ce qui fait que l’on a toujours envie de se marrer quand il dit un truc sérieux – déclamer avec lyrisme la litanie solennelle des prénoms étrangers qui « ont fait la France et qui ne figurent pas dans le calendrier chrétien » : Ibrahim Maalouf, Marek Halter, Omar Sy, Pablo Picasso, Marjane Satrapi, Vassily Kandinsky, Joann Sfar, Zinedine Zidane, etc. Se terminant en apothéose par Hapsatou Sy… (il faudra que l’on nous explique en quoi cette chroniqueuse de quatre sous, candidate malheureuse de « Danse avec les stars », représente l’excellence française). Le tout ponctué de « Vive la France, vive la France » grandiloquents. Il fallait voir les journalistes bouleversés sur le plateau essuyant ostensiblement des larmes pour comprendre à quel point de soumission idéologique on est rendu.

    A l’image de la réponse d’Ibrahim Maalouf : « Très fier d’être le premier nom cité par François Morel lorsqu’il s’agit de faire la guerre à l’obscurantisme idéologique. Je vous invite à appeler vos fils IBRAHIM. C’est juif, musulman et chrétien. Et ça, ça fera bien chier Zemmour. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 25 septembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Heurs et malheurs de la liberté d’expression ; histoire d’une Utopie

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    Bernard Plouvier

    L’étude précise de la notion de liberté d’expression à travers les âges laisse perplexe. En dépit de milliers de livres consacrés à ce sujet, force est de reconnaître qu’elle n’a pratiquement jamais existé.

    Durant l’Antiquité (égyptienne, mésopotamienne, juive, persane, chinoise, romaine ou grecque), le respect pour les institutions et les dieux est exigé sous peine de mort. Seul varie le mode d’exécution : lapidation, crucifixion ou plus simplement, l’épée. On n’envoie pas encore au bûcher et on pend rarement.

    À Rome, une fois passées les luttes intestines du dernier siècle de la République romaine et du premier siècle de l’Empire, la liberté d’expression fut, pour la première fois dans l’histoire des civilisations, respectée aux IIe et IIIe siècles : « On peut penser ce que l’on veut et dire ce que l’on pense », écrit Tacite, un contemporain de Trajan.

    Encore faut-il noter que sous César, Octave-Auguste ou Néron, l’on pouvait brocarder le maître sans encourir de foudres, mais, en cette époque de polythéisme bienveillant, Zeus-Jupiter lui-même était maudit des marins et des paysans en cas de mauvais temps.

    Ensuite, le clergé chrétien et mahométan, puis les dictateurs séculiers imposent leurs dogmes.

    En France, sous l’Ancien Régime, dire tant soit peu de mal du roi, de sa famille, de ses maîtresses, des ministres (du moins tant qu’ils étaient bien en cour), de la religion et des prélats, ainsi que de trois ou quatre babioles du même genre conduisait à La Bastille, au donjon de Vincennes ou au Fort l’Évêque.

    Mais ce fut pire durant la Révolution où un mot de travers pouvait entraîner son auteur « à la lanterne » ou « au rasoir national ». Sous le Premier Empire, pas plus que sous la Restauration, la liberté d’expression n’eut droit de cité.

    Sous la monarchie de Juillet, se moquer du roi-bourgeois procurait un séjour en prison et sous le Second Empire être classé républicain procurait le même sort, à moins de s’exiler.

    Au total, pour le cas français, on peut considérer que la liberté d’expression a existé de 1871 à 1939 (avec une interruption de 1914 à 1918), puis de 1969 à 1972, millésime où recommencèrent les procès pour atteinte à la religion (à condition qu’elle fût exotique), à l’origine ethnique (même remarque). En outre, depuis le 14 juillet 1990, on va en correctionnelle, voire en prison, si l’on ose contester divers dogmes historiques.

    En résumé, quelques décennies de liberté, cela fait peu, si l’on compare le score du « pays des Droits de l’homme » à celui des Imperatores du Haut-Empire, jugés impitoyables par de curieux auteurs. La liberté d’expression comme la Justice se laissent très aisément violer au nom de la « raison d’État ». On peut évoquer le Salut public en temps de guerre pour expliquer, sinon excuser, des atteintes aux libertés.

    Il est d’autres causes absolument inexcusables, comme la domination de certains lobbies ou le fanatisme religieux. Il a fallu attendre la décolonisation de l’Afrique et du Proche-Orient pour voir surgir de nouveau la théocratie musulmane, qui menace présentement l’Europe.

    L’histoire des civilisations est chaotique : aux progrès succèdent des reculs considérables, pour peu que les Nations les plus avancées, mais aveulies et amollies, se laissent envahir par des sous-évolués agressifs.

    Tout affaissement du Pouvoir politique face au Pouvoir de l’argent est à la fois une catastrophe pour le menu peuple et pour les Nations, les ploutocrates étant par essence cosmopolites du fait de leurs intérêts transcontinentaux.

    En fin de compte, la liberté de dire et d’écrire serait-elle une question trop subtile pour être vécue ? Non point ! C’est affaire de véritable démocratie. Heureux les libres citoyens des États-Unis d’Amérique du Nord où cette liberté fondamentale est garantie par le Premier Amendement à la Constitution.

    Pour une fois qu’il y a quelque chose de bon à prendre aux USA, l’électorat français s’en moque et préfère s’intéresser aux hamburgers, au Coca et à la réimportation d’Halloween.

    Lire EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/09/26/heurs-et-malheurs-de-la-liberte-d-expression-histoire-d-une-6092507.html

  • Contre le racisme anti-français, anti-chrétien, anti-blanc, anti-humain, l’AGRIF a gagné et gagne

    Contre le racisme anti-français, anti-chrétien, anti-blanc, anti-humain, l’AGRIF a gagné et gagne

    Encore un procès de gagné pour l’AGRIF :

    Victoire dans l’affaire du FRAC de Lorraine après 9 ans de procédure !

    Après avoir obtenu gain de cause devant le tribunal de grande instance de Metz, la Cour d’appel de la même ville avait débouté l’AGRIF de ses poursuites contre l’infâme exposition de l’Infamille. La Cour de cassation vient de casser très fermement cet arrêt de débouté en rappelant que les juges devaient juger l’atteinte au principe de la dignité humaine qui leur était ainsi soumis par l’AGRIF ! Dignité humaine, voilà bien tout le sens du combat de l’AGRIF ! La Cour d’appel de Paris est désignée pour rejuger l’affaire.

    Forte de cette victoire, l’AGRIF engage des poursuites contre Nick Conrad, raciste rappeur sanguinaire anti-blanc :

    À la suite de la publication sur Youtube d’un clip de rap de 9mn le 17 septembre appelant à pendre les blancs et dont le visionnage soulève le cœur devant la perversité sans limite des horreurs, l’AGRIF, dans sa longue continuité de lutte contre pareilles abominations, engage immédiatement les poursuites qui s’imposent.

     

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  • L’Aquarius transportait des Libyens riches avec leurs bagages et leur chien : et on veut nous faire pleurer sur la misère ?

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    L’Aquarius aura, décidément, rendu bien des services. Aux migrants qu’il aura transportés d’un bord à l’autre de la Méditerranée, bien sûr. Mais, surtout, à la cause qu’il voulait défendre : en ce 26 septembre 2018, il l’a complètement discréditée. Et c’est tant mieux. Le jour même où des organes de presse de la gauche bien-pensante publiaient l’appel de 150 personnalités en faveur d’une ouverture totale des frontières et d’un accueil inconditionnel des migrants.

    Ce matin, France Info donnait la parole au directeur de SOS Méditerranée, propriétaire de l’Aquarius, qui faisait le point sur les conditions de transport des 58 migrants qu’il est allé chercher dans les eaux libyennes, les arrachant aux gardes-côtes. Et le reportage est agrémenté par l’intervention du coordinateur de Médecins sans frontières. Un seul message : la vie difficile de ces pauvres gens à bord, dans la tempête. J’imagine des Érythréens ayant marché durant des centaines de kilomètres, ayant été victimes d’agressions multiples dans des camps libyens, etc.

    L’info du matin, c’était donc ce titre :

    « “On a plus de trois mètres de vagues et de creux” : à bord de l’Aquarius, la houle, le doute et des conditions de vie précaires. »

    Dans la voiture, je compatis par mon ventricule gauche. Mais mon droit me dit : euh, s’ils n’ont pas plus de problème et de souci que le mal de mer, bon, faut peut-être arrêter de prendre les auditeurs, et tous les Français, pour des idiots.

    Puis vient le soir, et l’article du Monde avec ce titre :

    Sur l’Aquarius : « Ce sont surtout des familles libyennes qui étaient bien établies. »

    On se pince. Mais où sont nos Subsahariens ? Nos Soudanais ? Nos Érythréens ayant tout perdu ?

    Ben non, on apprend que l’Aquarius a servi de moyen de transport vers l’Europe à des familles libyennes riches qui ont pris soin de faire suivre leurs bagages, et… leur chien. Et nos humanitaires « sauvent » donc le chien, aussi.

    « Un gros toutou au poil blanc et frisé qui répond au nom de Bella. “Je n’allais pas le laisser, c’est un péché”, explique aujourd’hui Malak (le prénom a été modifié). Ça fait huit ans qu’on vit avec, c’est un vieil ami. Et il n’a pas payé pour le voyage. »

    Ah ah ah… Et le reportage continue, loin, loin, bien loin du mal de mer, avec « cette femme libyenne de 44 ans, aux cheveux teints en blond, qui plaisante ».

    Autre exemple de pauvre migrante ? Ibtissem :

    « Modéliste pour une société italienne, elle dessine des maillots de bain et de la lingerie. Elle a beaucoup voyagé à travers le monde et une partie de sa famille est installée en France. Son mari travaille comme concessionnaire automobile. »

    Dans le transport de migrants, c’est comme dans tous les moyens de transport, il y en a pour tous les budgets, et là, l’Aquarius a pris le virage du haut de gamme. Cela plaira certainement à la gauche bien-pensante, de demander aux Français de financer le transport et l’installation en Europe de migrants riches…

    L’Aquarius et tous les aquariophiles de Mediapart et d’ailleurs, va falloir arrêter de nous prendre pour des idiots. Car c’est plus le ventricule gauche ou droit qui m’a secoué, c’est le ventricule Salvini.

    En tout cas, une chose est sûre, l’Aquarius a trouvé son nouveau pavillon en ce 26 septembre 2018 : celui du f… de gueule.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/laquarius-transportait-des-libyens-riches-avec-leurs-bagages-et-leur-chien-et-on-veut-nous-faire-pleurer-sur-la-misere/

  • Hubert de Mesmay, auteur du livre "Autopsie d'un crash annoncé" (Les Bouquins de Synthèse nationale), sera à Rungis le dimanche 14 octobre prochain...

    3567603837.jpgAu mois de janvier dernier, Hubert de Mesmay, cadre historique du Front national, a publié un livre remarquable, Autopsie d'un crash annoncé cliquez ici, sur l'échec de la Droite nationale à la Présidentielle de mai 12017. Le dimanche 14 octobre prochain, il sera à Rungis à l'occasion de la 12e Journée de Synthèse nationale. Dans cette perspective, notre collaborateur Basile Tomé est allé à sa rencontre. Entretien exclusif.

    Basile Tomé : Hubert de Mesmay, quelles ont été les motivations qui vous ont amené à rédiger (vu de l’intérieur du FN pour lequel vous aviez tant payé de votre personne pendant plus de trois décennies) un tel ouvrage qui prophétisait exactement ce qu’il est advenu du Mouvement (dont sa triste fin par changement du nom) alors qu’il constituait l’espoir de millions de Français ?   

    H M : Quand en septembre 2015 j’ai claqué la porte du Front après l’exclusion de son Président-Fondateur, cela a d’abord été pour moi comme pour nous tous, les proscrits, la sidération, le vide total après des années de combats nationalistes (en ce qui me concerne depuis mes 16 ans du temps de l’Algérie, idéalement poursuivi sans relâche dans le Front de Jean-Marie Le Pen).

    Donc, en fin 2015, pour moi cela a été le désert de Gobi. A posteriori, j’ai une image, celle de l’effondrement du viaduc de l’autoroute de Gênes avec ce cortège de pauvres victimes qui se précipitaient dans le gouffre pour s’y engloutir, comme furent engloutis dans un immense fatras indéfinissable nos rêves de construction d’un avenir national meilleur pour nos enfants et petits-enfants. Nos carcasses gisent encore au fond de nos illusions alors que nous roulions sur une véritable autoroute qui nous rapprochait d’une victoire inéluctable et que jamais nos prédictions lointaines n’avaient été autant validées par les faits.

    Je me suis dit que le premier devoir qu’on devait au peuple des militants héroïques méprisés par ce Néo-FN, aux adhérents lucides et également aux électeurs clairvoyants de Jean-Marie Le Pen, c’était de retracer pour l’Histoire le combat de ces valeureux défenseurs de notre pays, alors que dans le même temps, rien, je dis rien n’était fait par les nouveaux maîtres pour rendre l’hommage qui leur était dû. Bien au contraire, on assistait à des scènes et à des comportements inspirés tout droit de l’imposture  révolutionnaire des années 1789 et suivantes ! Ce livre doit impérativement garnir leur bibliothèque : non pas parce que c’est le mien, mais parce que c’est leur livre, le récit de leur juste combat ;  ils pourront dire à leurs petits-enfants : « J’y étais ; j’en faisais partie ; je les ai soutenus ; j’ai dès le début voté pour eux ; j’étais fier à juste titre de ce FN-là ! » Il était totalement exclu que soient gommées ces myriades de dévouements cachés, effacés leurs sacrifices pour notre Patrie, dans une volonté de faire en bons gauchistes qu’étaient devenus les nouveaux dirigeants, table rase du passé.

    Après, évidemment, j’ai souhaité que soit connue de tous les vérités du terrain cachées par une  mécanique diabolique et perfide dans le moindre de ses détails que j’analyse in vivo, de l’intérieur. S’en est suivie  une mutation contre-nature du FN, une cabale de petits apparatchiks à la solde du duo maléfique Marine/Philippot. Celui-ci a délibérément voulu et organisé méthodiquement la mort du Front national et de ses plus fidèles serviteurs.

    Le fait qu’on m’ait dit à d’innombrables reprises que mon livre « ferait référence dans les instituts d’études politiques d’ici 20 ans » tend à m’indiquer que le but a été atteint. L’intérêt de l’ouvrage  réside à mon sens dans le fait que je ne suis pas un journaliste par définition hostile mais un militant et cadre actif depuis le début qui était au fait de tous les arcanes du Mouvement (j’étais pour commencer Secrétaire départemental de la Somme dès 1985) et ceci - jusqu’à la dernière minute - de toutes les fédérations par lesquelles je suis passé.

    Si j’ai beaucoup voyagé au FN, c’est que j’avais également ma carrière professionnelle à assurer dans une symbiose très délicate pour fait de terrorisme intellectuel ambiant, comme l’on s’en doute. Le livre est donc truffé d’anecdotes authentiques que j’ai vécues soit en tant qu’acteur assidu et permanent du combat politique au sein du Front, soit en tant qu’observateur de l’intérieur ; un Philippot peut raconter ses sornettes  entre 2012 et 2017 au peuple français et aux adhérents, il ne peut pas le faire impunément devant moi, et je le démontre abondamment dans cet ouvrage (et le démonte allégrement) ? De plus, le sujet étant suffisamment attristant, j’ai toujours mis le maximum d’humour dès que je le pouvais parce qu’aussi ça répond à mon caractère, même dans l’adversité, on peut voir le côté amusant des choses : je ne m’en prive pas ni n’en prive les lecteurs.

    Les critiques sont excellentes qui vantent autant l’intérêt de l’ouvrage que sa qualité littéraire ». Jean-Marie Le Pen l’a même qualifié de « remarquable » sic. Rivarol notamment, souligne la nécessité de « lire ce témoignage vibrant, poignant et authentique » même la presse régionale (Var Matin, Nice Matin) l’a cité abondamment dans son Livre du Jour, avez-vous déjà écrit d’autres ouvrages ?

    H M : A vrai dire, à part une thèse de doctorat de droit civil avec quatre lecteurs au moins - les membres du jury - de la Fac de Paris Panthéon, et quelques poignées d’étudiants, non ! Donc, je sais déjà que j’ai battu mon record de lectorat (rires).

    Après les électeurs, je compte les lecteurs ! Mais vous soulevez avec bienveillance les critiques indulgentes qui ont sanctionné ce livre ; moi je regrette surtout qu’une certaine presse nationale dite « amie » m’ait parfaitement et délibérément boycotté : il est vrai que  je n’ai jamais eu peur de dire les vérités qui fâchent et décortiquer les procédés peu glorieux du néo-FN mis ainsi en lumière et que cela ne plait pas à tout le monde. Et que certains craignent de déplaire aux nouveaux maîtres du Kremlin nanterrois. Pas moi !

    Témoignage vibrant certes, car je vivais ce FN de toutes les fibres de mon être, témoignage vivant aussi car j’entendais chaque fois que cela était possible rendre l’hommage dû à ceux qui nous ont quittés, comme Jean-Pierre Stirbois, pour n’en citer qu’un afin que l’on ne les oublie pas sous  les sombres magouilles de cette entreprise de mise à mort du vrai Front. Un Parmi les meilleurs ! Je dis quelque part dans l’Autopsie d’un crash annoncé que lui vivant, rien du crime qui a été perpétré contre le FN n’eût été possible. Sa mort a été un tournant déterminant pour (je dirais plutôt : contre) notre Mouvement.

    Y a-t-il eu d’autres motivations pour publier cet ouvrage ?

    H M : L’une de mes autres préoccupations était de démontrer qu’en politique la trahison des fondamentaux qui ont fait la force d’un mouvement était une folie absolue… une pure sottise de gueux qui n’ont rien compris ni aux ressorts de notre combat presque cinquantenaire ni à la force des événements actuels qui devrait au contraire nous inviter à afficher nos couleurs ! 

    Un dernier mot ?

    H M : je terminerai avec le témoignage d’un ami, Bruno Ligonie, qui à quelques semaines de perdre le combat de la maladie qui le rongeait et présentant l’Autopsie eut ces paroles « J’ai beau avoir 25 ans de militantisme, c’est incroyable tout ce que j’ai appris dans le livre d’ Hubert que j’ai dévoré en deux jours » Magnifique combattant FN qui fut l’exemple-même de ces hommes de dévouement et d’honneur dont je retrace le valeureux combat d’hommes libres au service d’un chapitre d’exemplarité inscrit pour toujours dans l’histoire de France.

    Autopsie d'un crash annoncé, Hubert de Mesmay, Les Bouquins de Synthèse nationale, 280 pages, 23 € cliquez ici ou Bulletin de commande

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/09/25/hubert-de-mesmay-auteur-du-livre-autopsie-d-un-crash-annonce-les-bouquins-d.html