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  • Une Allemagne à l'avenir incertain ...

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    Stuttgart, le château neuf 

    2651112146.2.jpgJacques Bainville avait visité l'Allemagne pour écrire à vingt ans son Louis II de Bavière (1900).

    Il en retira que tout en Allemagne - celle de Guillaume II - avait l'aspect d'une honnête maison de famille propre et bien ordonnée. L'Allemagne présente aujourd'hui encore cette allure générale qu'un siècle d’extraordinaires tribulations et de tragédies inouïes n'a pas vraiment modifiée. 

    Au temps de Louis II, l'industrialisation du pays était déjà largement en route et les technologies du XXe siècle s'installaient à grands pas.  Elles intéressaient Louis II comme tous les princes européens de son temps. Il les voulut à Neuschwanstein, son château des légendes germaniques. (que Maurras eût dites barbares) ...  Ces technologies, l'Allemagne allait savoir les exploiter à grande échelle au cours des décennies suivantes, et les développer jusqu'à l'excellence. Bainville a dit aussi, dans un contexte historique qui justifiait sa remarque, que l'Allemagne faisait l'industrie pour la guerre et la guerre pour l'industrie. N’agitons pas des peurs anachroniques : aujourd'hui, jusqu'à nouvel ordre, elle fait surtout l'industrie pour l'exportation. Elle y réussit jusqu'à l'exagération, sa marque de fabrique,  et en tout cas mieux que quiconque dans le monde. Chine exceptée. 

    Visitez donc, si vous ne l'avez déjà fait, le musée Mercedes de Stuttgart. Tout un symbole. Vous y verrez d'abord un bâtiment ultra-moderne d'une esthétique acceptable, pure, dessiné par des architectes et des ingénieurs d'évidente compétence et de bon goût. Tout l'inverse du musée Guggenheim de Bilbao à qui l'on pourrait le comparer, laideur en moins, pour sa taille et ses volumes. L'intérieur retrace l'épopée de l'industrie automobile européenne à travers les réalisations Daimler-Benz et Mercedes, depuis les temps héroïques des premiers véhicules à moteur jusqu'aux plus récents modèles qui aujourd'hui inondent le monde, y compris les USA de Donald Trump lequel les menace des pires sanctions ... Le musée Mercedes de Stuttgart n'est pris ici que comme symbole de la puissance et de l'excellence de l'industrie allemande d'aujourd'hui. Esthétique comprise. 

    Côté ville, à Stuttgart, vous longerez les châteaux des ducs de Wurtemberg, l'un ancien, l'autre dit nouveau inspiré de Versailles, détruit pendant la dernière guerre, reconstruit après à l'identique, et vous croiserez une population nombreuse qui sait festoyer après l'effort, souvent vêtue de costumes ou même d'uniformes traditionnels, et qui vit selon ses racines, entre bière et vin, Danube et Neckar. Mais une population qui décroit en nombre et croît en âge ce qui est le véritable drame de l'Allemagne d'aujourd'hui et sans-doute bien plus encore de demain. 

    Cette évolution funeste s'apprécie si l'on peut dire d'un simple coup d'œil. Les beaux hôtels des bords du lac de Constance ou de La Forêt Noire ne sont plus habités de jeunes et fringants voyageurs mais principalement de vieillards plus ou moins valides qui viennent y user leurs forces déclinantes, y briller de leurs derniers feux ... Les plus « jeunes » y arrivent, à travers les routes boisées de Bavière ou du Bade, dans leurs voitures de collection de toute beauté qui ramènent aux temps anciens d'avant ou d'après-guerre. Celles-là même que l'on a admirées au musée Mercedes de Stuttgart... Nostalgie de la jeunesse, quand tu nous tiens ...! 

    Une partie non-négligeable de la réalité allemande d'aujourd'hui nous semble tenir dans cette dialectique : une puissance industrielle encore intacte face à un effondrement démographique sans analogue. Des entreprises encore dynamiques et insolemment prospères et une population vieillissante de retraités accrochés à leur épargne, veillant à sa préservation et à sa rentabilité. 

    L'Allemagne d'Angela Merkel, c'est à dire le grand patronat allemand, a longtemps cru pouvoir compenser ce déclin démographique par l'immigration. Derrière l'appel de la Chancelière à l'accueil d'un million et demi de migrants, il n'y avait pas que de bons sentiments. Il y avait aussi de gros intérêts. Réels ou supposés car les Allemands ont dû éprouver que tous les arrivants n'étaient pas des Turcs laborieux et qu'il ne serait pas si facile de les mettre au travail, à supposer qu'ils aient un métier. L'expérience - négative et amère à bien des égards - ne pourra pas, de toute évidence, être poursuivie ni renouvelée. Elle a déstabilisé la chancelière Merkel et fragilisé sa grande coalition ; elle a réveillé le sentiment national et identitaire allemand, à droite comme à gauche, car la gauche allemande a peu à voir avec la gauche française. Et pas seulement aux extrêmes : un homme comme Thilo Sarrazin, issu de l'établissement, n'en procède nullement. 

    L'Allemagne est donc - comme la France - à la croisée des chemins. Comme le nôtre, malgré de flatteuses apparences, son avenir est incertain. Elle entre dans une zone de risques et de turbulences encore difficilement identifiables mais réels. Et qui, bien-sûr, comme toujours, intéressent la France. C'est ce que nous avons essayé de montrer et de décrire simplement et bien partiellement à travers quelques choses vues Outre-Rhin.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • La NASA annonce un refroidissement climatique

    La NASA annonce un refroidissement climatique

    Lu sur RITV :

    La NASA – peu suspecte de climato-scepticisme – s’appuie sur de nouveaux résultats d’observations de température aux confins de l’atmosphère terrestre pour annoncer un refroidissement notable dans ces zones, lié à l’un des minima solaires les plus importants de l’ère spatiale. Il s’agit très clairement d’un refroidissement climatique entraîné par la baisse de l’activité solaire, confirmant le rôle important sinon prépondérant du soleil sur les variations de température de la planète.

    « Nous constatons une tendance au refroidissement », vient ainsi de déclarer Martin Mlynczak, chercheur principal associé du centre de recherches Langley de la NASA. « Très loin de la surface de la terre, près du bord de l’espace, notre atmosphère perd de l’énergie calorifique. Si les tendances actuelles se poursuivent, on pourrait bientôt atteindre un record de froid pour notre ère spatiale », a-t-il affirmé.

    Les nouvelles données sont le fruit de mesures prises par le dispositif SABER (Sounding of the Atmosphere using Broadband Emission Radiometry), embarqués sur le satellite TIMED (Thermosphere Ionosphere Mesosphere Energetics and Dynamics) chargé de la surveillance de l’état de la très haute atmosphère. SABER permet de mesurer la radiation infra-rouge émise par le dioxyde de carbone – le CO2 – et l’oxyde nitrique (NO), qui joue un rôle vital dans le bilan énergétique de la thermosphère, la zone la plus éloignée de notre atmosphère.

    Mlynczak rappelle que cette thermosphère devient toujours plus fraîche pendant les périodes de minimum solaire : « C’est l’une des manières les plus importantes dont le cycle solaire affecte notre planète. » L’un des effets de ce refroidissement est un rétrécissement de l’atmosphère, avec un effet aérodynamique positif sur les satellites qui s’usent moins vite (mais dont les débris encombrent également plus longtemps l’atmosphère terrestre). […]  

    https://www.lesalonbeige.fr/la-nasa-annonce-un-refroidissement-climatique/

  • Mettre un terme à la dictature des minorités

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    Ligne Droite cliquez ici

    En se référant au concept d’état de droit, le Système a fait du principe de non-discrimination une pièce maîtresse de son action. C’est en effet en son nom qu’il s’attaque à toutes les différences au sein de la société, permettant aux groupes minoritaires prétendument victimes d’une discrimination de tenir le haut du pavé. Une situation qui transforme la nation en un conglomérat de minorités revendicatives, lesquelles imposent leurs prétendues valeurs à une majorité culpabilisée et muselée. Ligne droite considère en conséquence qu’il est urgent de mettre un terme à cette dictature des minorités.

    L’état de droit contre la démocratie

    La France est en effet censée vivre en démocratie et à ce titre elle a recours au vote, un mode d’élection qui donne à la majorité le droit de décider. Normalement, c’est donc la majorité du peuple qui devrait exercer le pouvoir et sa volonté qui devrait prévaloir. Mais les tenants de la pensée unique n’aiment pas le processus majoritaire qui confère la primauté au peuple et promeut des idées qui ne sont pas les leurs. Aussi ont-ils mis en place un dispositif qui permet de contourner la majorité. En faisant référence à l’état de droit et aux valeurs de la République, ils ont instauré le gouvernement des juges, lesquels l’emportent sur les députés et sénateurs pourtant élus. Mais surtout, ils peuvent s’appuyer sur des principes qui, supposés immuables, ne sont donc pas susceptibles d’être mis en débat et encore moins soumis aux suffrages des Français.

    L’impératif de non-discrimination

    Et parmi tous ceux qu’invoquent régulièrement les porte-parole de l’oligarchie, le principe le plus systématiquement repris est sans conteste l’impératif de non-discrimination. En son nom, les adeptes du politiquement correct font la chasse à toutes les différences qu’ils peuvent trouver entre deux catégories de personnes, pour ensuite les dénoncer et les corriger. Les couples homosexuels ne peuvent pas avoir d’enfants contrairement aux couples hétérosexuels, il faudrait donc selon eux corriger cette discrimination d’ordre pourtant naturel par le recours à la PMA et à la GPA. Les statistiques révéleraient des différences entre hommes et femmes s’agissant de leur place dans la société, il faudrait dès lors prendre des mesures autoritaires pour obtenir partout un ratio de 50 % – 50 %. Les immigrés seraient injustement marginalisés par rapport aux nationaux, il faudrait donc supprimer cette discrimination en leur accordant les mêmes droits qu’aux Français. Le principe de non-discrimination est ainsi le point central de l’idéologie du Système qui présente même comme des discriminations au principe de libre-circulation, les règlementations protectrices des État.

    La communauté nationale réduite à des minorités

    Cette obsession anti-discriminatoire crée une situation particulièrement malsaine. D’abord, elle conduit le Système à se préoccuper prioritairement des groupes prétendument victimes de discrimination. Autant de minorités qui bénéficient ainsi d’une valorisation médiatique aussi insistante qu’incessante. Et, à force de multiplier dans les médias des reportages ou des messages sur les migrants qui ne seraient pas accueillis correctement, sur les femmes qui ne seraient pas respectées par les hommes, sur les handicapés pour lesquels les équipements appropriés ne seraient toujours pas réalisés, on finit par donner le sentiment que la communauté nationale n’est que l’agrégat de ces différentes minorités revendicatives.

    Des minorités victimes, une majorité coupable

    Plus grave encore, celles-ci sont systématiquement présentées comme des victimes sans, il est vrai, qu’on désigne clairement leur oppresseur. Pourtant, chacun comprend bien que le coupable n’est autre que notre nation, à travers la majorité de son peuple. C’est elle qui, par égoïsme, par archaïsme, par un attachement suranné aux traditions, serait responsable de la situation des malheureuses minorités.

    Aussi le Système considère-t-il comme légitime d’imposer à la majorité, telle une sanction, des mesures correctrices autoritaires en faveur des minorités. Des mesures auxquelles la majorité, sidérée par la propagande culpabilisante du Système, n’ose que très rarement s’opposer alors qu’elles sont presque toutes prises à ses dépens.

    Des minorités dominantes

    Ainsi en a-t-il été pour le mariage homosexuel. Traditionnellement, depuis plus de quatre mille ans, le mariage est défini comme l’union d’un homme et d’une femme pour procréer et fonder une famille. Avec le mariage pour tous exigé par une minorité, on a dénaturé cette institution immémoriale à laquelle la majorité des Français étaient attachés pour la transformer en un super Pacs. De même, afin de satisfaire la minorité immigrée, le Système a créé l’AME qui offre la gratuité intégrale des soins à tous les clandestins. Un dispositif qui coûte fort cher à la majorité des Français, lesquels doivent par ailleurs cotiser pour obtenir une protection sociale moins généreuse que l’AME.

    Ainsi, sommes-nous aujourd’hui dans un pays où les minorités tiennent le haut du pavé. Non seulement elles font l’objet de toutes les sollicitudes du pouvoir et des médias, mais elles imposent leurs prétendues valeurs et obtiennent des avantages dérogatoires que la majorité se doit d’accepter et de financer.

    Rendre le pouvoir au peuple et à sa majorité

    Aussi Ligne droite considère-t-elle indispensable de mettre un terme à cette dictature des minorités. La France n’est pas constituée du rassemblement de ces groupes plus au moins légitimes, elle est la nation du peuple français et c’est ce peuple qu’il faut libérer et privilégier. Pour ce faire, il convient de rétablir le fonctionnement normal des institutions en remettant à leur place tous ceux qui s’en sont emparés indument. Les médias doivent retrouver une nécessaire pluralité des opinions, le gouvernement des juges doit être démantelé. De même, les lois coercitives doivent être abolies. Celles qui encadrent la liberté d’expression comme celles qui introduisent une discrimination positive. Plus globalement, c’est tout le projet de Ligne droite qui doit être mis en œuvre.

    La France n’est pas un conglomérat de minorités, elle est un peuple qui s’exprime à travers sa majorité. 

  • Zoom exceptionnel avec Eric Zemmour

    Alors que la censure s’abat sur Eric Zemmour et que le service public interdit d’antenne l’auteur de l’essai le plus important de la rentrée, TV Libertés est allée à la rencontre du journaliste et écrivain. Il est interrogé par Elise Blaise.

    Acheter le livre :

    https://www.tvlibertes.com/2018/10/01/26023/zoom-exceptionnel-eric-zemmour

  • Grand Remplacement : Quinze millions pour les migrants, par Francis Bergeron

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    Muriel Pénicaud, ministre du travail, annonce un plan de quinze millions d’euros pour aider à l’insertion des immigrés, réfugiés et autres demandeurs d’asile, et d’abord pour les aider à trouver du travail. C’est donc bien qu’il est prévu qu’ils restent. Définitivement.

    Détaillant ce plan, Madame le ministre a expliqué qu’il fallait assurer une formation professionnelle à cette masse de réfugiés, afin qu’ils puissent plus facilement trouver du travail en France. Tout ceci part d’une gentille intention. Mais révèle aussi que ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux ne correspond absolument pas au discours qui nous a été tenu pendant des mois, à savoir que ces populations seraient confrontées à des situations mettant leur vie en danger, et qu’il fallait les accueillir jusqu’à ce qu’elles puissent rentrer chez elles.

    Cette nécessité de leur assurer une formation professionnelle prouve d’abord que, contrairement à la légende, ces réfugiés n’ont pas de qualification.

    Mais cette recherche d’emplois correspond à un second mensonge d’Etat et un second mensonge des grands (gros) médias : ils resteront. Il est prévu qu’ils restent. S’il s’agissait de vrais réfugiés politiques, comme on nous le soutient, ils resteraient dans le pays d’accueil jusqu’aux changements politiques attendus – des changements dont on peut imaginer qu’ils en seraient un peu les acteurs – avant de rentrer chez eux. Mais à partir du moment où ils sont formés à des métiers à exercer sur le territoire français, à partir du moment où le gouvernement finance des recherches d’emploi à leur profit, la théorie « scandaleuse », « mensongère » du « Grand Remplacement » ne paraît, hélas ! plus du tout une théorie, et certainement pas une théorie mensongère. Ces groupes d’étrangers dispersés dans des villes et villages, sur tout le territoire, nous allons donc leur payer, outre le gîte, le couvert, l’autocar et les cigarettes, des formations pour leur apprendre un métier, un métier qu’ils pourront exercer en France, et des coachs pour les former à la recherche d’emploi en France.

    Six millions de demandeurs d’emploi ne suffisent donc pas. Il faut importer des réfugiés chômeurs, que l’on va essayer de recaser dans des emplois.

    Un maître-mot qui leur ouvrira la porte des entreprises : « discrimination »

    Mais la probabilité pour qu’ils trouvent du travail est faible, allez-vous penser, compte tenu de l’analphabétisme, du manque de bases techniques, de l’obstacle de la langue pour beaucoup d’entre eux.

    Non, pas du tout ! Car il existe un maître mot qui devrait leur ouvrir toutes grandes les portes des entreprises, le mot « discrimination ».

    Ne parlons même pas de préférence nationale, la loi l’interdit depuis longtemps. Mais si, à compétence égale ou supérieure, un autochtone est retenu pour un poste, contre la candidature d’un réfugié, gageons que les structures qui encadrent les réfugiés et qui les encadreront demain (sans doute les mêmes) crieront à la discrimination.

    Mais, au fond, peut-être assistons-nous simplement à une expérience ? « Même si certains identitaires veulent ramener la France au vin, au saucisson ou je ne sais quoi, pour moi, la France, c’est avant tout une expérience », expliquait l’animateur d’une de ces associations.

    Une expérience ? A quinze millions d’euros ? C’est alors une expérience à la docteur Folamour ! De celles qui se terminent souvent mal.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Le Québec élit un gouvernement nationaliste et anti-immigration

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    La Coalition Avenir Québec (CAQ) tourne la page de près de 15 ans de gouvernement libéral quasi ininterrompu

    Les Québécois ont porté pour la première fois au pouvoir la Coalition Avenir Québec (CAQ), un parti nationaliste non indépendantiste qui souhaite réduire la taille de l’État et l’immigration, tournant la page de près de 15 ans de gouvernement libéral quasi ininterrompu.

    “Aujourd’hui on a marqué l’histoire, aujourd’hui il y a beaucoup de Québécois qui ont mis de côté un débat qui nous a divisés pendant 50 ans”, soit la question de l’appartenance ou non du Québec au Canada, a lancé, triomphal, François Legault, Premier ministre désigné de la province, lors d’un discours à Québec.

    Cet homme d’affaires multimillionnaire a promis “un esprit de rassemblement, pour gouverner pour tous les Québécois”, et a dit vouloir “travailler pour un Québec fort au sein du Canada”. La CAQ, formation créée en 2011 par Legault, disposera de la majorité absolue à l’Assemblée nationale québécoise, avec 74 députés sur 125 selon des résultats préliminaires. Dans le précédent Parlement, dissous fin août, elle ne comptait que 21 sièges.

    Le Premier ministre sortant, le libéral Philippe Couillard, a rapidement concédé sa défaite lundi soir et souhaité à Legault “tout le succès”, depuis son fief du lac Saint-Jean. Il s’agit d’un nouveau coup dur pour les Libéraux, la famille politique du Premier ministre fédéral Justin Trudeau. En juin ils avaient perdu l’Ontario, province la plus riche et la plus peuplée, au profit d’une autre formation conservatrice.

    le Canada organise des élections législatives dans un an, et le scrutin s’annonce incertain pour M. Trudeau, dans un contexte de montée du nationalisme.

    20% d’immigrés en moins

    Justin Trudeau a salué la victoire de Legault. “Ensemble, nous continuerons de défendre les travailleurs et les industries du Québec, de créer de bons emplois pour la classe moyenne et de bâtir une économie forte basée sur l’innovation, en plus de protéger l’environnement et de lutter contre les changements climatiques”, a déclaré le Premier ministre canadien dans un communiqué.

    Pour la première fois en plus de 30 ans, la question de l’indépendance du Canada ne constituait pas un enjeu. Les partis favorables au fédéralisme canadien ont totalisé plus de 63% des suffrages. Le prochain Premier ministre du Québec, François Legault, est un ancien ministre indépendantiste qui assure désormais ne plus vouloir se séparer d’Ottawa. Multimillionnaire, comptable de formation, il a fait fortune après avoir créé en 1986 la compagnie aérienne Air Transat. La CAQ, qu’il a cofondée, promettait aux Québécois le “changement”, la fermeté sur l’immigration, dont il veut réduire les seuils pour mieux intégrer les nouveaux arrivants, et une meilleure gestion des finances publiques.

    Legault avait annoncé en campagne électorale vouloir, dès 2019, réduire de plus de 20% le nombre d’immigrants admis au Québec chaque année.

    La Chambre de commerce de Montréal, la métropole du Québec qui concentre la moitié de la population et la majorité des immigrés, l’a exhorté lundi soir à “tenir compte de la nécessité d’élargir le bassin de main-d’œuvre qualifiée”, alors que 100.000 emplois ne sont pas pourvus dans la province francophone, faute de candidats adéquats.

    Source

    https://www.news.suavelos.eu/le-quebec-elit-un-gouvernement-nationaliste-et-anti-immigration/

  • DES NOUVELLES DES PRISONNIERS POLITIQUES

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    Esteban et Samuel ont été condamnés il y a quinze jours à des peines énormes (11 et 7 ans de prison) alors que les charges qui pesaient contre eux se sont, tout au long du procès, effondrées les unes après les autres... J'ai exprimé, juste après le verdict inique, mon sentiment sur celui-ci cliquez ici. Face à une telle injustice, ceux-ci se sont pourvus en appel.

    Pour les aider, une cagnotte a été alors créée par les proches d'Esteban. Nous avons invité nos lecteurs à y participer cliquez là et nous savons qu'ils ont été nombreux à répondre à cet appel et nous les en remercions pour ce bel élan de solidarité patriotique. Mais l'inquisition fanatique menée par les idiots utiles du Système que sont les antifas a obligé nos amis à fermer cette cagnotte. Soyez cependant rassurés, les fonds récoltés en quelques jours, soit plus de 10 000 euros, ont été reversés à la famille d'Esteban.

    Depuis, vous êtes nombreux à nous demander comment aider nos camarades. Nous vous donnons donc les informations suivantes :

    - Aujourd'hui, une nouvelle cagnotte vient d'être ouverte par Madame Colette Morillo, la mère d'Esteban - cliquez ici N'hésitez-pas, dans la mesure du possible, à y contribuer.

    - Pour écrire à Esteban ou à Samuel, vous pouvez adresser vos lettres à Synthèse nationale (9, rue Parrot, CS 72809, 75012 Paris) en mentionnant au dos de l'enveloppe STB ou SM. Les courriers seront réexpédiés aux familles. Pour soutenir Esteban, si vous désirez joindre un chèque, établissez-le à l'ordre de Esteban Morillo.

    - dimanche 14 octobre, lors de la 12e Journée de Synthèse nationale cliquez ici, avec Aristide Leucate, journaliste à Présent qui a couvert le procès, et Serge Ayoub, ancien dirigeant de Troisième voie, nous reviendrons sur cette odieuse provocation dont furent victimes les jeunes patriotes en juin 2013 et sur les conséquences dramatiques de celle-ci.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

  • Emmanuelle Ménard : « Gérard Collomb se fiche complètement d’Emmanuel Macron ! »

    Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour Emmanuel Macron. Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire à tous ces événements qui signent, selon elle, une rentrée catastrophique pour le gouvernement.

    Aujourd’hui à l’Assemblée nationale, deux nouvelles sont tombées. Le départ officiel de Manuel Valls et la démission de Gérard Collomb.
    Que pensez-vous de la décision de l’actuel ministre de l’Intérieur ?

    C’est un désaveu assez profond de la politique menée par monsieur Macron. Monsieur Collomb était l’incarnation du fidèle parmi les fidèles du Président de la République. Il présente sa démission, elle est refusée et il l’a maintient. Aujourd’hui, il annonce très clairement et officiellement qu’il se fiche complètement de monsieur Macron et que ce n’est plus son problème.
    Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de voir ce repli vers des territoires locaux, alors que monsieur Macron est l’incarnation du mondialisme. Il est donc exactement l’inverse.


    Manuel Valls a décidé de revenir à ses terres d’origine en se présentant à la mairie de Barcelone.
    Selon vous, les désertions se multiplient-elles autour du Président de la République ?

    Je ne les mettrais pas forcément dans le même registre. Je pense que dans le cas de monsieur Valls, c’est vraiment de l’opportunisme politique.
    Ce n’était un secret pour personne qu’il ne se sentait pas très bien et n’était pas très intégré au sein de cette majorité. Il était apparenté au groupe la République En Marche. Les députés de la République En Marche lui battaient souvent froid. Il n’a jamais vraiment trouvé sa place. Il a dû se dire qu’il n’avait plus d’avenir au sein de cette majorité et comme c’est quelqu’un qui a une forte et haute opinion de lui même, il a préféré vivre sa vie. C’est vraiment de l’opportunisme, car si on lui avait proposé une place de ministre, il serait resté en France. C’est de l’opportunisme politique, c’est l’incarnation de la girouette politique.

    Au vu des différents événements de ces derniers temps, pensez-vous qu’Emmanuel Macron vie un début d’année catastrophique ?

    C’est une rentrée catastrophique avec des signaux qui partent dans tous les sens. Encore une fois, c’est l’incarnation de la politique du « en même temps ». C’est « je suis le Président des riches, mais en même temps, je veux faire croire que je m’occupe des pauvres », « je suis le Président des grandes sociétés multinationales, mais en même temps, j’essaie de rassurer un peu les retraités, car il ne faut pas oublier que beaucoup d’entre eux m’ont élu ». Avec monsieur Macron, c’est cela en permanence. C’est tellement visible et criant.
    En regardant à nouveau ces photos prises aux Antilles, je trouve profondément choquant de voir un Président de la République en chemise à côté d’hommes torse nu où ils se serrent dans les bras les uns les autres. Il n’y a plus de fonction présidentielle.

    Emmanuelle Ménard

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuelle-menard-gerard-collomb-se-fiche-completement-demmanuel-macron/

  • UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    Face aux difficultés du Royaume-Uni à négocier sa sortie de l’UE, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jeremy Hunt, a comparé l’Union européenne à l’Union soviétique :

    «La leçon de l’histoire est claire : si vous transformez le club européen en une prison, le désir d’en sortir ne diminuera pas, il grossira et nous ne serons pas le seul prisonnier à vouloir s’échapper». «L’Union européenne a été conçue pour préserver les libertés, c’est l’Union soviétique qui empêchait les gens de partir».

    La prochaine échéance pour les négociations sur le Brexit est fixée au sommet européen du 18 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/ue-urss-est-il-permis-de-sortir-de-lunion-europeenne/