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  • Sortie début décembre du n°15 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à Jean-Pierre Stirbois

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    Il y trente ans,  Jean-Pierre Stirbois disparaissait dans un accident de voiture à Pontchartrain dans les Yvelines. Il revenait à Paris après avoir tenu un ultime meeting à Dreux, la ville où il fut élu en 1983.

    Venu de la mouvance solidariste, il adhéra en 1977 au Front national de Jean-Marie Le Pen. Très vite, il en est devenu le secrétaire général. 

    C'est lui qui élabora la stratégie consistant à concentrer les efforts militants sur quelques villes, comme ce fut le cas à Dreux, afin d'obtenir des résultats conséquents permettant l'émergence du mouvement au niveau national. En 1983, ce fut le coup de tonnerre de Dreux et, quelques mois plus tard, la percée historique aux élections européennes de juin 1984.

    C'est pour rappeler le rôle primordial qui fut le sien dans l'histoire de notre famille politique, et aussi dans celle de notre pays, que nous avons tenu à lui consacrer ce nouveau numéro, le quinzième, des Cahiers d'Histoire du nationalisme.

    Contributions de : Francis Bergeron, Franck Buleux, Françoise Monestier, Philippe Randa, Massimo Magliaro, Jean-François Touzé, Roland Hélie...

    Jean-Pierre Stirbois, de l'engagement solidariste à la percée du Front national, Les Cahiers d'Histoire du nationalisme n°15, Synthèse nationale, 180 pages, 20 €.

    Sortie, début décembre 2018

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/13/sortie-debut-decembre-du-n-15-des-cahiers-d-histoire-du-nati-6104739.html

  • Paris voulait subventionner une association d’aide aux immigrés… et pro-islamistes

    Paris voulait subventionner une association d’aide aux immigrés… et pro-islamistes

    Le 5 novembre, le conseil d’arrondissement du XVIIIe a approuvé l’attribution de 3 000 € à la Fasti (Fédération des associations de solidarité avec tous les immigrés). Son objectif est d’accompagner et soutenir les activités économiques d’une quinzaine d’artisans et couturiers clandestins du quartier de la Goutte-d’Or.

    Pierre Liscia, conseiller d’opposition (sans étiquette) et seul élu à avoir voté contre, dénonce :

    « C’est un coup de canif dans les principes républicains. Cette association, proche de la mouvance indigéniste, défend l’idée que la France mènerait une politique de “racisme d’Etat” et que la police organiserait des “rafles” de réfugiés. Par ailleurs, la Fasti tient un discours qui tend à valider les pires justifications des terroristes qui ont perpétré les attentats de 2015. J’invite les élus, qui seront réunis en Conseil de Paris à partir de mercredi, à un sursaut républicain. Et à voter en responsabilité ».

    La Licra demande au maire de Paris, Anne Hidalgo, de renoncer à financer la Fasti :

    « Si nul ne saurait contester la nécessité d’accueillir les migrants et de les aider à trouver en France le refuge qu’ils viennent y chercher, les pouvoirs publics ne peuvent le faire avec n’importe qui. Si le réseau Fasti a joué par le passé un rôle d’importance sur l’aide aux étrangers, ses prises de positions actuelles rendent choquante l’idée même de l’octroi d’une subvention d’argent public ».

    La Licra rappelle les réactions officielles de la Fasti aux attaques islamistes de janvier, puis de novembre 2015 :

    « Ces attentats sont la conséquence de la politique économique et sociale de la France qui paupérise toujours davantage les quartiers populaires, dans le cadre de discours médiatiques stigmatisants ».

    La Ville de Paris a pris la décision de… reporter l’examen de la délibération.

    https://www.lesalonbeige.fr/paris-voulait-subventionner-une-association-daide-aux-immigres-pro-islamistes/

  • Maggy Biskupski s’est suicidée !

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    Le plus bel hommage à lui rendre, sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.

    Il y a quelques heures à peine, Maggy Biskupski, porte-parole des policiers en colère, s’est donnée la mort à son domicile. Et pour commettre l’irréparable, elle a utilisé son arme de service.
    Cette jeune policière de 36 ans, affectée à la brigade anti-criminalité des Yvelines, s’était fait connaître en prenant la tête du mouvement revendicatif qui avait secoué la police nationale lors des événements de Viry-Châtillon en octobre 2016. Depuis, elle poursuivait son action en faveur des policiers, dénonçant leurs conditions de travail, ainsi que le profond mal-être qu’engendre chez eux une criminalité galopante et hors de contrôle, et le mépris de ceux qui les dirigent.

    La dernière fois qu’elle s’était montrée en public, c’était à l’occasion d’une émission de télévision sur C8, les terriens du samedi. Émission au cours de laquelle, Yann Moix avait déclenché une polémique de grande envergure en accusant les policiers « de chier dans leur froc » lorsqu’ils interviennent au cœur des quartiers difficiles. C’est avec une grande lucidité et beaucoup de professionnalisme que Maggy avait tenu tête au polémiste, l’obligeant ainsi, par la suite, à présenter ses excuses.

    Cette épisode n’avait été que le révélateur d’un caractère hors norme. Harcelée par l’administration pour avoir dérogé au « devoir de réserve » en défendant ses collègues policiers, Maggy Biskupski s’était forgée une réputation de battante au sein de l’institution policière. Pour cela, elle n’avait pas hésité à défier, au péril de sa propre carrière, et sans doute de sa santé, un système qui n’hésite pas à broyer celles et ceux qui s’opposent à lui en dehors des procédures admises et convenues.

    Le combat que menait Maggy était un beau combat. Elle a tenté de dénoncer de l’intérieur, forte de la seule légitimité qui était la sienne, la souffrance de nombreux policiers aujourd’hui fatigués et démotivés, d’attirer l’attention des Français sur la situation réelle que connaît notre pays en matière de délinquance. Elle y est en partie parvenue, en se faisant reconnaître, malgré les nombreux obstacles dressés sur son chemin, comme la porte-parole d’un mouvement désormais installé et reconnu.
    Mais Maggy maintenant est partie. Elle a rejoint par son geste les nombreux autres membres des forces de l’ordre qui ont mis fin à leurs jours. Ainsi, 29 d’entre-eux, depuis le début de l’année, ont choisi, dans un geste de désespoir, d’attirer une dernière fois l’attention sur eux et, surtout, sur le message de souffrance qu’ils portaient tous.

    Sans doute de nombreux hommages seront-ils rendus à Maggy Biskupski. Certains seront sincères et profonds. D’autres le seront moins. Mais le plus bel hommage à lui rendre, sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle. La cause qu’elle défendait dépasse en effet largement les policiers, les gendarmes et les sapeurs-pompiers. Elle est en vérité celle de tout un peuple qui, dans de nombreuses villes et de nombreux villages de France, est abandonné depuis des années par un pouvoir qui a définitivement baissé les bras face aux crimes, aux trafics et aux caïds, au nom d’une paix sociale qui porte les germes du désordre et de l’anarchie.

    Dans ces moments d’une infinie tristesse, nous pensons tous également à la famille, aux amis et aux proches que Maggy vient de quitter. Qu’ils soient fiers de celle qui avait fait le choix de servir une grande cause, en se mettant au service des plus humbles.

    INFO DERNIÈRE MINUTE
    Selon certains médias nationaux, il semblerait que le suicide de Maggy Biskupski pourrait être, au moins partiellement, en relation avec des malversations auxquelles elle se serait livrée au préjudice de son association. Pour l’heure, il est encore difficile de se prononcer définitivement sur de telles affirmations. En attendant, avec la plus grande circonspection, des informations étayées sur ces révélations, et afin de ne pas salir à la légère la mémoire d’une femme engagée, je me bornerais à souligner ce que son action militante a eu de positif pour une corporation sinistrée .

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/maggy-biskupski-sest-suicidee/

  • Jacques Bainville, ce royaliste qui annonça la guerre suivante, un matin de novembre 1918...

    bainville-jacques-bouquins.jpgQuand on s’intéresse à l’histoire et, dans le cadre de la commémoration de l’Armistice, à la fin de la guerre de 1914-18 et aux traités de paix qui ont suivi, Jacques Bainville peut être un guide utile, même s'il n'est pas forcément le bienvenu dans l'école républicaine, celle qui l'a tant ignoré, lui l'historien « amateur » qui, pourtant,  a mieux vu que beaucoup d'universitaires professionnels la suite des événements et compris le « sens » de l'histoire (non pas la direction mais l'ontologie de l'histoire, et les raisons de celle-ci, de ses « suites logiques »). Bien sûr, il y a son livre constamment réédité depuis la chute du Mur de Berlin, « Les conséquences politiques de la paix », et qui annonce dès 1920, en fait et alors dans l'indifférence quasi-générale, la triste suite des années 30 (Bainville ne verra pas tout se dérouler, victime d'un cancer en février 1936, avant la tragédie guerrière de 1939), avec une prescience qui n'est rien d'autre que l'application d'un empirisme que Maurras, à la suite de Sainte-Beuve, qualifiait d'organisateur...

    Bainville était aussi un journaliste du quotidien mais qui voyait loin, dans une optique capétienne, et ses articles dans L'Action française mériteraient une relecture attentive et une réédition générale, avec un bon appareil critique (pourquoi pas dans la Pléiade ?) pour les remettre en contexte et les expliquer aux lecteurs de notre temps.

    Justement, l'un de ses articles a été republié dans le recueil intitulé « La monarchie des lettres », dans la collection Bouquins de Robert Laffont, et apparaît comme malheureusement visionnaire, comme celui d'une Cassandre que l'Opinion et les élites de la République n'entendent pas, ne veulent pas entendre, engoncées dans leurs certitudes et aveuglées d'illusions. Cet article c'est celui du... 14 novembre 1918, dans l'A.F. monarchiste qui sort exsangue d'une guerre qui l'a privée de sa jeunesse saignée dans la Somme ou à Verdun. Son titre : « Demain ? ». Il faudrait le citer en entier, même si, en définitive, sa lecture est éprouvante, presque désespérante lorsque l'on connaît la suite et que l'on constate que les avertissements de Bainville n'ont servi à rien : comme le général de Gaulle, grand lecteur de Bainville, on peut n'en éprouver que plus de mépris pour cette IIIe République imbécile et assassine par son aveuglement, sa lâcheté aussi face au pangermanisme et au nazisme des années 30, cette République qui se réfugiera dans les bras d'un vieux maréchal qu'elle ira chercher à son ambassade de Madrid avant de disparaître dans la catastrophe de mai-juin 1940...

    Que dit Bainville, en ce jour du 14 novembre 1918, quelques dizaines d’heures après l’arrêt des combats ? Lisons : « Devant quoi la France, au sortir de la grande joie de sa victoire, risque-t-elle de se réveiller ? Devant une République allemande, une république sociale-nationale supérieurement organisée et qui, de toute façon, sera deux fois plus peuplée que notre pays. Cette république (si l'Allemagne reste une république, ce qui n'est pas encore assuré) ne sera pas, comme dirait M. Roosevelt, « du type flasque ». Elle sera productrice et expansionniste. Elle aura une politique étrangère et économique. Cette république des Allemands-Unis, qui aura achevé l'unité allemande, continuera l'empire. C'est contre elle, à un contre deux, que nous aurons à défendre notre industrie d'abord, et bientôt les provinces que nous lui auront reprises et auxquelles elle n'aura renoncé qu'en grinçant des dents. » Une république sociale-nationale : le nazisme sera l’abréviation des deux termes, national et social(isme)… L’empire sera ce IIIe Reich que le chancelier Hitler déclarera être l’achèvement de l’unité allemande et le totalitarisme nazi, pangermaniste, ce régime « supérieurement organisé » (n’est-ce pas la caractéristique affichée d’un système totalitaire ?) dira réunir tous les « Allemands », y compris au-delà des frontières officielles de l’Allemagne… 

    Relisez ce texte, relisez-le, et rappelez-vous qu'il a été écrit alors même que les canons de la Grande guerre viennent à peine de se taire, et que la France et ses alliés espèrent et affirment que la tragédie guerrière qui s'achève au bout de quatre longues années est « la Der des Der » !

    Le 14 novembre 1918, Jacques Bainville, ce « Vergennes » de L'Action française méconnu de la République (pas totalement, en fait...), alarme la France sur les périls qui la menacent si elle ne gagne pas la paix : mais Bainville crie dans le désert d'une République amnésique et qui subira, pour le plus grand malheur de la France, la montée des périls sans pouvoir (sans vouloir ?) l'arrêter...

    Dès 1918, c'est 1940 qui se prépare... « La République n'a pas de politique étrangère », disait Anatole France en haussant les épaules : c'est le moindre de ses défauts, diraient certains ; c'est le pire, au regard de l'Europe et du monde qui, eux, ont besoin, malgré la République et en attendant mieux, de la France !

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1517:jacques-bainville-ce-royaliste-qui-annonca-la-guerre-suivante-un-matin-de-novembre-1918&catid=52:2018&Itemid=63

  • Bataclan, 3 ans après : entre hommages et menaces – Journal du mardi 13 novembre 2018

    Terrorisme / Bataclan, 3 ans après : entre hommages et menaces

    Terrorisme / Bataclan, 3 ans après : l’enquête 
    Trois ans après les attentats les plus meurtriers jamais commis en France, l’enquête progresse et touche bientôt à sa fin. Alors qu’un procès devrait débuter en 2020, de nombreuses zones d’ombre persistent et la menace terroriste pèse toujours sur la France.

    Social / La vie de château des cadres de Force Ouvrière !
    Des rémunérations et des notes de frais dignes de hauts cadres d’entreprises… le syndicat Force Ouvrière est éclaboussé par des révélations sur le train de vie de ses chefs… une sale affaire pour le syndicat à moins d’un mois des élections professionnelles

    Fiscalité / Les réseaux sociaux, meilleurs amis des impôts

    Serveur TVL

    Lien dailymotion
    https://www.tvlibertes.com/2018/11/13/26752/bataclan-3-ans-apres-entre-hommages-menaces-journal-mardi-13-novembre-2018

  • L’œil du fisc va maintenant scruter les réseaux sociaux

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    « Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts.
    Ayant levé la tête, au fond des cieux funèbres,
    Il vit un œil, tout grand ouvert dans les ténèbres,
    Et qui le regardait dans l’ombre fixement… »

    Victor Hugo, dans La Conscience, nous conte ainsi l’horrible périple du dénommé Caïn qui a fui Jéhovah et parcourt les déserts pour échapper au Dieu vengeur comme d’aucuns, aujourd’hui, tentent d’échapper au fisc. Il court au bout du monde, fait élever des barrières et des murailles et, finalement, se fait creuser une fosse.

    Hélas pour lui :
    « Quand il se fut assis sur sa chaise dans l’ombre
    Et qu’on eut sur son front fermé le souterrain,
    L’œil était dans la tombe et regardait Caïn. »

    Il avait tout compris, notre Victor, à cette nuance près que la conscience porte aujourd’hui un nom : elle s’appelle fisc. Et comme l’œil poursuit Caïn, le fisc nous flique du berceau à la tombe et même au-delà avec, dorénavant, la complicité très active de la technologie.

    C’est une nouveauté que le ministre de l’Action et des Comptes publics a annoncée sur le plateau de l’émission « Capital » : le fisc va désormais surveiller les réseaux sociaux pour identifier les fraudeurs. « Nous allons pouvoir mettre les réseaux sociaux dans la grande base de données que vous avez vue tout à l’heure, c’est-à-dire la permissivité (sic) de constater que si vous vous faites prendre en photo de nombreuses fois avec une voiture de luxe alors que vous n’avez pas les moyens pour le faire, peut-être que c’est votre cousin ou votre copine qui vous l’a prêtée, ou peut-être pas », a-t-il annoncé.

    Là, si vous le permettez, j’en reviens un instant à la littérature. Monsieur Darmanin parle de « permissivité ». C’est si cocasse qu’on ne peut que s’interroger : emploie-t-il le mot à dessein ou bien est-ce un lapsus révélateur des honteuses manœuvres qui se préparent ? Car, chers amis, la permissivité n’est rien d’autre que le dévoiement de la permission, le bras tordu à l’autorisation – deux mots qui eussent pourtant suffi, en principe, pour justifier la chose.

    Le ministre lâche le mot – « permissivité » – défini ainsi par le dictionnaire : « Une tolérance exagérée qui peut conduire à l’anéantissement des règles de morale, de la bienséance, et de toutes sortes d’interdits acceptés par un groupe, une population, etc. »

    Donc, les amis, vous avez compris ce qui vous attend : fini de faire les kékés sur Facebook ou Instagram, d’afficher des photos de restaurant étoilé quand on bouffe chez McDo, de multiplier les selfies sur le port de Saint-Tropez quand on dort au camping de la Rascasse languide et de se mettre en scène devant la vitrine de Vuitton quand on achète ses sacs chez Tati. Ça va aussi signer la mort du petit commerce ! Un exemple : qui voudra, maintenant, s’offrir les 20 minutes de frime à 89 euros en Ferrari ou en Lamborghini, sur les Champs-Élysées ?

    Vous pensez pouvoir vous défendre ? Passer à confesse et battre votre coulpe : « Pardon, mais c’était pour de faux. Juste pour faire le kéké. » Malin, le fisc ne se laissera pas si facilement abuser. « Je constate d’abord que les Français, souvent, se photographient eux-mêmes sur les réseaux sociaux », a dit le ministre. « Ce sont vos comptes personnels qui seront d’abord regardés, par expérimentation, je le redis ici. La loi a été promulguée, nous les mettrons [les contrôles] en place sans doute au début de l’année prochaine en même temps que la police fiscale et en même temps que tout ce que la grande loi Fraude que nous avons présentée à la demande du président de la République se mettra en place dans les prochaines semaines. »

    Voilà voilà… vous êtes prévenus.

    Marie Delarue

    http://www.bvoltaire.fr/loeil-du-fisc-va-maintenant-scruter-les-reseaux-sociaux/

  • Passé Présent n°215 – La chasse aux sorcières de la guerre froide

    – La “chasse aux sorcières” aux États-Unis pendant la guerre froide.
    – L’invité Stéphane Koechlin présente son ouvrage “La mort n’était pas au rendez-vous” sur les rescapés les plus chanceux du XXe siècle.

  • Poutine fustige le traitement réservé à RT par l’Elysée

    Poutine fustige le traitement réservé à RT par l’Elysée

    Dans un entretien à RT France, le président russe Vladimir Poutine a dénoncé le refus d’accréditer RT France à l’Elysée.

    «A mon avis, cela va à l’encontre et n’a rien à voir avec la démocratie et est inacceptable».

    «Si l’on n’est pas d’accord avec quelque chose, il faut présenter un point de vue opposé, donnant aux spectateurs, aux auditeurs, aux utilisateurs d’Internet la possibilité d’y voir clair par eux-mêmes, de décider où est la vérité et où cette vérité est déformée. C’est le chemin à prendre, à mon avis».

     

    https://www.lesalonbeige.fr/poutine-fustige-le-traitement-reserve-a-rt-par-lelysee/