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  • Politique et journalistes indifférents face aux actes antichrétiens

    Politique et journalistes indifférents face aux actes antichrétiens

    Dans Valeurs Actuelles, un professeur d’histoire dénonce le silence autour de la christianophobie en France. Extraits :

    Mercredi dernier, c’est un véritable acte de vandalisme qui s’est produit au sein de l’abbatiale Sainte-Croix de Bordeaux. En effet, à l’intérieur de l’église datant du XIe siècle, plus de quarante chaises ont été volontairement réduites en miettes et de très nombreuses tables ont été renversées. Cette exaction christianophobe qui constitue, par le symbole qu’elle représente, un acte déshonorant autant pour la France que pour la République, n’a fait réagir pratiquement aucun responsable politique, et n’a été relayée par quasiment aucun grand média. Heureusement que sur les réseaux sociaux, certains internautes n’ont pas hésité à dénoncer cette odieuse profanation qui serait passée complètement inaperçue sans leur précieuse intervention. Bref, c’est encore une fois dans l’indifférence générale qu’on s’en est pris, en France, à un lieu de culte chrétien.

    Ce fait divers, que certains qualifieront volontiers d’insignifiant, voire d’anecdotique, en dit pourtant long sur la gravité et l’ampleur des actes christianophobes qui se produisent chaque semaine, sur notre territoire, sans que personne ne prenne la peine de s’en émouvoir publiquement.  Depuis le début de l’année 2018, ce ne sont effectivement pas moins de 200 actes christianophobes environ qui ont été recensés en France par l’Observatoire de la christianophobie. En 2017, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur, les atteintes aux sépultures et aux édifices chrétiens se sont élevés à 878 et constituent environ 90% des atteintes globales aux édifices religieux et aux sépultures. Autant dire que nous sommes ici en présence d’une véritable tendance qui apparaît comme particulièrement inquiétante. […]

    Ces délits de lèse-chrétienté sont la plupart du temps le fait de fanatiques d’extrême gauche, souvent très proches des milieux satanistes, ainsi que des lobbies laïcards, féministes et LGBT. […] En outre, les musulmans intégristes, mus par leur volonté effrénée de répandre et d’imposer leur doctrine politico-religieuse partout où ils se trouvent, commettent également de nombreux actes christianophobes. […]

    Ce qu’il y a d’excessivement choquant, outre les faits eux-mêmes, c’est bien le silence médiatique qui entoure ces exactions. Imaginons un seul instant que des synagogues ou des mosquées subissent chaque semaine le même sort ; cela ferait, à coup sûr, la une des journaux et provoquerait, à juste titre, un déferlement de réactions émues, aussi bien de la part de nos hommes politiques que de nos éditorialistes. Ce silence assourdissant, révélateur de l’indifférence qui existe pour le sort des chrétiens dans beaucoup de sphères d’influence, n’est évidemment pas acceptable. Les chrétiens sont, au même titre que les juifs ou les musulmans, des citoyens comme les autres et ils ont de ce fait droit, comme ces derniers, à ce que l’on évoque les exactions qu’ils subissent au quotidien.

    Pire encore, ce silence est, chez beaucoup de journalistes, parfaitement conscient et voulu et n’est que la conséquence d’un combat idéologique qu’ils entendent mener avec vigueur. […] Est-bien surprenant quand on entend tous les matins sur France Inter ou tous les soirs dans l’émission Quotidien, des journalistes dénigrer avec force nos valeurs, notre culture et nos racines chrétiennes ? Est-ce si étrange de mettre en avant ce constat quand, la semaine dernière, Le Monde, journal pourtant de référence, a osé illustrer un article sur l’explosion de l’antisémitisme en France par une photographie avec des symboles chrétiens ? C’est bien un combat purement dogmatique que mènent, à travers cette  « omerta », un certain nombre de nos journalistes.

    Il ne s’agit évidemment pas ici de tomber dans une quelconque théorie du complot ou d’incriminer tous les journalistes, dont beaucoup font admirablement bien leur travail, mais de pointer du doigt une omission qui remet clairement en cause la manière dont est réalisé, dans beaucoup de médias, le traitement de l’information. Or, comment les grands médias peuvent-ils assurer la circulation des opinions, leur confrontation et leurs limites, ce qui est leur rôle dans une démocratie, s’ils dissimulent ou s’ils négligent une partie des informations qu’ils ont en leur possession ? Comment peuvent-ils informer objectivement les citoyens s’ils n’accordent pas la même importance aux actes de même nature en fonction de la religion de leurs auteurs comme de leurs victimes ?

    […] Oui, taire la montée de la christianophobie dans notre pays, c’est assurément se rendre complice de ceux qui commettent ces actes odieux. Taire la montée de la christianophobie au sein de la société française, c’est laisser penser qu’il existerait des citoyens de seconde zone dont on ne parle jamais, et des citoyens de première zone qui, au moindre incident, ont accès, en grande pompe, à tous les médias nationaux. Taire la montée de la christianophobie, c’est assurément contribuer à diviser encore un peu plus une société qui, à l’heure de la montée des communautarismes, n’en n’a absolument pas besoin. Alors oui, parlons de la profanation de nos églises, parlons des pillages des lieux de culte chrétiens, parlons des agressions christianophobes et rétablissons enfin un peu de justice et d’honnêteté dans le traitement de l’information. Il en va de la crédibilité de la presse, il en va de la liberté d’accès à l’information !

    https://www.lesalonbeige.fr/politique-et-journalistes-indifferents-face-aux-actes-antichretiens/

  • BRISONS LES TABOUS, BRULONS LES TOTEMS !

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    Pieter Kerstens 

    Après avoir été anesthésiées durant 70 ans par les gourous euro mondialistes, il est savoureux de voir que du Nord au Sud de l’Europe, les nations sortent lentement de leur léthargie.

    Les laquais du Nouvel Ordre mondial et les banksters de Wall Street nous ont imposé leurs idéologies multiculturelles et pluriethniques, ainsi que leurs dogmes égalitaristes, hédonistes, libéralistes et immigrationistes.

    Ces grands prêtres de la Religion Droits de l’Hommiste ignorent la réalité et l’Histoire des nations. Fort de leur influence, ils réécrivent le passé glorieux de nos aïeux pour le détourner à des fins partisanes. Ainsi nous avons entendu, au final du carnaval du centenaire de l’armistice du 11.11.1918, le docteur Micron nous dire que le patriotisme était l’exact opposé du nationalisme.

    Quelques jours auparavant, l’Elyséen avait déjà craché sur les valeureux poilus, en refusant d’honorer les mérites et la gloire du plus méritant d’entre eux : Philippe Pétain, Maréchal de France, le vainqueur de Verdun.

    Faire preuve de tant de bassesse et de mesquinerie, un siècle plus tard, démontre la suffisance et l’arrogance du docteur Micron.

    Parce que le devoir de mémoire nous rappelle que c’est bien la grande majorité de l’Assemblée Nationale, le Président du Conseil en tête, qui avait imploré l’aide du Maréchal quand la France était dans la panade en 1940 ; ces mêmes jocrisses lui ayant accordé les pleins pouvoirs !

    Depuis des décennies, le capital apatride et l’oligarchie cosmopolite ont accaparé les leviers du pouvoir, les administrations, les organisations internationales et bien évidemment la Commission Européenne à Bruxelles et la Cour de Justice à Strasbourg.

    Ainsi, les nations d’Europe ont bien été encadrées et privées de tout libre arbitre, comme en URSS de 1917 à 1989. Ces charlatans de l’Europe à tout prix et sans limites (à l’exemple de Jacques Delors) nous ont conduits au chaos et à la décadence, car ce sont bien eux les vrais responsables de :

    • Une immigration incontrôlée de millions de clandestins.
    • La fermeture de nos fleurons industriels, miniers, sidérurgiques ou textiles.
    • La désertification de nos campagnes et du bétonnage à outrance sans discernement.
    • La hausse permanente des taxes et des impôts.
    • Lois liberticides interdisant la liberté de conviction, d’expression ou de réunion.
    • Règlements plus absurdes les uns que les autres, pénalisants les entrepreneurs.
    • L’existence d’une Police de la Pensée et l’obligation du Politiquement Correct.
    • Dettes publiques faramineuses condamnant nos enfants et petits-enfants.
    • L’enseignement dans les écoles, lycées et universités, fabriques de réels crétins.
    • L’insécurité généralisée, de Copenhague à Catane et de Brest à Bucarest.

    Et contrairement à ce qui a été affirmé, ce ne sont pas les nationalistes ou les identitaires, attachés aux valeurs ancestrales qui ont fait la grandeur de nos peuples au travers des siècles et par-delà les océans, qui représentent un danger d’une quelconque nouvelle guerre.

    NON, depuis 1945, le Monde et l’Europe ont été en proie à de nombreux conflits, que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, en Asie, à Chypre, en Yougoslavie, en Ukraine, en Irak, ou en Syrie, sans oublier les « Révolutions de Jasmin »…

    Guerres fomentées par qui ? Dans quel but ? Avec quels résultats ? Pour le bien commun et dans l’intérêt général ?

    Et ce ne sont pas non plus les nationalistes ou les identitaires à l’origine des crises sociales, économiques ou financières depuis 1945 en Europe. La faute des crises financières de Chypre, de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne et bientôt de l’Italie est entièrement imputable aux copains et aux coquins des divers gouvernements ayant dirigé les pays d’Europe ces 40 dernières années dans le laxisme le plus absolu avec une incompétence extraordinaire.

    Et depuis cette période récente, le secteur bancaire et financier n’a jamais cessé ses pratiques douteuses, à tel point que les bilans des grandes enseignes est toujours plombé par des actifs pourris. Une prochaine tornade va à nouveau dévaster les finances européennes avec des répercussions sur votre niveau de vie, bien plus catastrophiques qu’en 2008.

    Ce n’est qu’une question de temps.

    Selon Christine Lagarde, présidente du FMI, le niveau mondial de la dette globale s’élevait à 182.000 milliards de dollars en octobre 2018, soit plus 60% de ce qu’il était il y a seulement 10 ans. D’après elle, « les élites n’ont pas conscience de ce qui se passe. » (les Echos 9.11.2018).

    Allo docteur Micron ? Les nationalistes répandraient la lèpre ?

    Mais vous-même, et vos adeptes macronariens, nous conduisez à nouveau vers les heures les plus sombres de notre Histoire !

  • Une ONG enseigne aux immigrés à se faire passer pour des chrétiens d’Orient persécutés (enquête en caméra cachée)

    La journaliste dissidente Lauren Southern le révèle :

    « La directrice d’une importante ONG européenne explique à notre équipe d’infiltrés comment elle enseigne aux migrants à mentir et à faire semblant d’être des chrétiens persécutés à la police des frontières. L’année dernière, ils ont travaillé avec 15.000 migrants. L’ONU a répondu à notre enquête en la qualifiant d’alarmante. »

  • Pourquoi Macron n’est pas un homme de paix, par Ivan Rioufol

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    Une mascarade de plus : Emmanuel Macron, grimé en promoteur du camp de la paix. C’est cette image avantageuse que le chef de l’Etat a voulu se donner dimanche, en détournant à son profit les commémorations du centième anniversaire de l’armistice du 11 novembre. Cependant, le général d’armée Pierre de Villiers relève la contradiction, tout en se gardant de désigner Macron. Dans son livre (1), le militaire, rendu célèbre par sa démission de chef d’état-major des armées en juillet 2017, écrit : “La paix commence par soi-même. Si vous êtes agressif, polémique, si vous confondez le volontarisme du chef avec l’agressivité et la pression, vous n’êtes pas un homme de paix“. Macron, au contraire de ce qu’il veut faire croire, n’est pas un homme de paix. Au contraire. Et la raison en est simple : il ne cesse de désigner des ennemis chez ses propres compatriotes, tout en ménageant la menace islamiste qu’il n’ose nommer. Certes, il a évoqué, hier, “des idéologies nouvelles (qui) manipulent des religions, prônent un obscurantisme contagieux“.

    Mais il aurait été plus clair de parler de l’islam politique et totalitaire. En revanche, le chef de l’Etat n’a eu de cesse de fustiger le “nationalisme”, qui serait coupable de “trahison” face au patriotisme. Alors que partout, y compris en France, les peuples se réveillent et se retrouvent dans leur volonté de préserver les nations de la mondialisation, Macron se comporte comme un incendiaire. “En disant : “nos intérêts d’abord et qu’importent les autres !”, on gomme ce qu’une nation a de plus précieux, ce qui la fait vivre : ses valeurs morales”, a-t-il déclaré dimanche. Mais ce moralisme culpabilisant, qui rend suspect le désir élémentaire de s’attacher à une nation protectrice, ne peut être compris que comme une agression par ceux qui ne font pas de distinguo entre patriotisme et nationalisme.

    Ce que Macron ne comprend pas, c’est que sa haine du nationalisme aboutit à la détestation de la nation. C’est d’ailleurs ce qu’il confirme lorsqu’il défend une “souveraineté européenne” plutôt qu’une souveraineté nationale. Comment prétendre être patriote quand, dans le même temps, la nation est remisée au nom de la lutte contre le “populisme” ? Faudrait-il craindre une Assemblée “nationale” ? Une Education “nationale”? Ce ne sont pas les nations démocratiques qui sont porteuses de guerre, comme le radotent les perroquets de la Macronie et ses idées toutes faites. Ceux qui dénoncent le retour aux années 30 sont eux-mêmes de possibles dangers, à cause de leur pacifisme qui conduisit à l’époque une partie de la gauche à la Collaboration avec l’Allemagne nazie. Aujourd’hui, les conflits sont dans les plis des sociétés multiculturelles, ouvertes à la mondialisation et à la conquête islamique. Le parti des médias, toujours lourdingue, a désigné Donald Trump comme étant l’intrus des cérémonies d’hier.

    En réalité, le président américain a raison de vouloir donner la préférence à son pays : c’est ce que demande son peuple. Personne en revanche ne s’est ému de la présence de Recep Erdogan et de son épouse voilée. Or voici un responsable islamiste dont le pays, la Turquie, menace la Grèce, occupe une partie de Chypre, massacre les Kurdes, ne reconnait pas le génocide arménien, soutient la conquête coranique en Europe. Mais pour Macron, rien n’est plus urgent que de chercher noise à ses compatriotes attachés à leur nation. Cette trahison le condamne.

    (1) Qu’est-ce qu’un chef ? Fayard

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 12 novembre 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/212562/pourquoi-macron-nest-pas-un-homme-de-paix-par-ivan-rioufol/

  • Les gilets jaunes inquiètent Macron – Journal du mercredi 14 novembre 2018

    Politique / Les gilets jaunes inquiètent Macron
    Le samedi 17 novembre s’annonce mal pour l’exécutif. De plus en plus de Français entendent manifester leur hostilité à l’égard de la politique d’Emmanuel Macron mettant un coup d’arrêt au pouvoir d’achat. Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, multiplie les déclarations pour décourager la mobilisation.

    International / Macron – Trump : guerre ouverte 
    Le torchon brûle entre Donald Trump et Emmanuel Macron. Après une ambiance tendue entre les deux chefs d’état lors des commémorations du 11 novembre, le ton est monté d’un cran.

    Politique / Salon du Made In France, un rendez-vous prisé des politiques

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • Alexandre Langlois : « C’est dramatique d’en arriver à de telles extrémités pour faire réfléchir les gens ! »

    Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines mettait fin à ses jours

    Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines, mettait fin à ses jours. Cette présidente d’association de policiers en colère était visée par une procédure de l’IGPN. À cette heure, on ignore encore les causes de son suicide. Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat VIGI, réagit au micro de Boulevard Voltaire.

  • Projet d’attentat de l’ultra-droite : c’était bien une infox

    Projet d’attentat de l’ultra-droite : c’était bien une infox

    Et c’est Le Canard enchaîné qui dévoile la manoeuvre :

    https://www.lesalonbeige.fr/projet-dattentat-de-lultra-droite-cetait-bien-une-infox/

  • Zoom – Bernard Monot : Quel avenir pour la Nouvelle-Calédonie ?

  • Un siècle après la fin de la Grande Guerre Zemmour décrypte les non-dits du 11 novembre 2018

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    Éric Zemmour dénonce ici les non-dits du 11 novembre 2018. Qui ne sont, en vérité, ni à l'honneur d'Emmanuel Macron et des semble-élites de notre pays, ni utiles à la nécessaire réconciliation franco-allemande qui ne peut se fonder sur la soumission et l'abaissement de la France. Encore moins sur le déni du sacrifice des Français et sur le mépris de nos gloires militaires. Les Allemands ont d'ailleurs les leurs et il ne serait pas plus convenable de les leur dénier. C'est ce qu'explique ici Éric Zemmour avec qui nous sommes d'accord. [Figaro magazine du vendredi 9 novembre]  LFAR 

    « C'était une demande de Berlin » L'aveu vient de l'Elysée. Surtout pas de parade ni de défilé en ce 11 novembre. On se souviendra de la boucherie, mais surtout pas de la victoire.

    Les poilus français n'étaient que des « civils qu'on avait armés » et non des soldats, héritiers des vertus militaires séculaires de leur peuple, défendant leur patrie et leur sol contre l'envahisseur. Ils se battaient pour « plus jamais ça» et pas du tout contre les Boches. Pourtant, en 2005, les Anglais n'ont pas demandé l'autorisation à Paris de célébrer Trafalgar. Et, en 2015, toute l'Europe a fêté avec faste Waterloo sans se soucier des susceptibilités françaises.

    Ce sont les dirigeants français qui, de Chirac à Macron, ont des pudeurs de jeune vierge dès qu'il faut évoquer les triomphes militaires français, d'Austerlitz à la Grande Guerre. Le prétexte est de ne pas gâcher la réconciliation franco-allemande. Fragile réconciliation qui ne supporte pas la vérité ! Vérité d'autant plus cruelle qu'elle fut longtemps niée par les Allemands, qui s'accrochèrent à la thèse du « coup de couteau dans le dos » qu'auraient donné les révolutionnaires communistes à une armée allemande invaincue. Thèse qui fit le lit de la propagande nazie.

    Il est vrai que les populations allemandes n'avaient pas vu un soldat français sur leur territoire. Cette décision de ne pas « entrer dans Berlin » fut prise par Clemenceau et Foch, sous pression des alliés anglais et américains, qui souhaitaient avant tout éviter le retour de l'hégémonie française sur le continent. Et voilà comment la France de Clemenceau - le héros de Macron ! - perdit la paix après avoir gagne guerre ! Mais cette version de l'histoire est aujourd'hui occultée par l'historiographie française. Celle-ci, mettant ses pas dans ceux de l'économiste anglais (et francophobe) Keynes, ne veut voir dans le traité de Versailles que le « diktat » qui, humiliant les Allemands, aurait alimenté leur volonté de revanche.

    A l'époque, pourtant, le président de la République Poincaré et d'autres généraux comme Pétain et Mangin, s'étaient opposés au choix de Clemenceau et Foch.

    Mais Poincaré, l'homme de la « revanche », et surtout Pétain, l'homme de Vichy, sont aujourd'hui persona non grata de notre histoire officielle. Macron n'assistera même pas à l'hommage militaire des Invalides, de peur de devoir prononcer le nom maudit de Pétain !

    Le général de Gaulle, lui, n'hésitait à célébrer le vainqueur de Verdun, tout en rappelant son hostilité à Vichy. Il fut l'artisan de la réconciliation avec l'Allemagne sans cesser de rappeler aux nouvelles générations la gloire militaire de leurs ancêtres Pour de Gaulle, la France devait être le « jockey » du « cheval » allemand, tandis que nos élites d'aujourd'hui, dont Macron est la quintessence, veulent noyer l'identité et la souveraineté françaises dans un ensemble européen. D'où les projets de partager avec l'Allemagne notre siège à l'ONU, voire notre arme nucléaire. C'est toute la perversité du projet macronien : tout en prétendant « revivifier le roman national », il le dévitalise et achève sa destruction de l'intérieur.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/11/09/histoire-actualite-ou-eric-zemmour-un-siecle-apres-la-fin-de-6103815.html